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Matin brumeux (feat Colombe Cendrée)

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   Jeu 26 Oct - 20:08


C'était le matin, je me souvenais m'être réveillée, dans ma litière en ayant froid. Quand j'avais levé ma tête, pour voir en dehors de ma petite tanière frêle, j'avais vite compris ce que c'était. Il faisait gris, la température était assez basse et il y avait un vent frais. Le soleil était à peine perceptible aujourd'hui. Je m'étais étirée de tout mon corps, avant de bailler à m'en décocher la mâchoire. J'avais regarder les deux autres couche de mousses de mes deux camarades guérisseuses, mais elles étaient vides. Surement déjà partit à l'aurore, réveillé par le froid.
Je soufflais. L'automne devenait compliquer à fur qu'on avançait dans la période et cela se voyait à la rareté des plantes. D'ailleurs en parlant de plantes, j'en avais bien récolte la dernière fois, mais mieux valait allez aux alentours. On ne sait jamais cueillir des plantes rare ça pouvait toujours servir non ?

Après avoir faire un rapide tour dans le camp, je vis qu'il manquait certains félins qui n'étais pas revenue au camps ces derniers temps. Pour Hide, je m'étais fait une résolutions. Il ne reviendra jamais. Comme les autres. Les seuls liens qui m'étais encore proche de ma meilleur amie avait disparus. Pour toujours surement. Mais leur souvenir est dans les étoiles, même si cela me faisais mal. Mais j'avais aussi remarqué que Aki, n'étais plus aussi souvent au camps, enfaite cela faisait plusieurs jours qu'il n'était plus la. J'ignorais ce qu'il était devenue, et cela faisait mal. Il était la de moins en moins, disparus comme les autres et moi je restais à l'arrière. A se demander si il n'avait pas finis par m'oublier. Celui qui bizarrement avait fait quelque chose de bizarre à mon cœur. Mais dans tout ça, il y avait aussi Brume, la jolie chatte que je croisais parfois semblait aussi avoir disparus comme Plume Noire... Est-ce que tout ceux que j'ai connue à mon arrivé allait disparaitre ? Je vais rester seule parmi les nouveaux ?
Loin de la qu'ils étaient méchants, ils étaient très sympathiques, comme la jeune Mayël. Mais on oublie jamais les anciens non ? Je savais que Plume Noire était une ombre, elle me l'avait dit le jour ou j'avais dû la soigné. Elle m'avait raconté des histoires, ou plutôt sur ce que elle faisait. Ses missions pouvait la rendre loin de camps, mais la elle ne revenait plus. J'avais parfois surveillé la nuit depuis ma tanière, un œil ouvert, mais rien. Alors aujourd'hui autant se rendre à l'arbre creux, l'ancienne demeure des caméléons, je savais que les ombres s'y rendait parfois la-bas.

J'avais traversé la forêt brumeuse, voyant à peine ce que pouvait advenir devant, de potentiels dangers, la truffe bien devant, cherchant la moindre odeurs suspecte, les oreilles aux aguets. Mais même aujourd'hui les oiseaux ne chantaient pas. A croire que la brume leurs avait enlever leur vocation si spéciale du matin. Ça rendait une ambiance stressante et pesante. Je vis enfin le grand arbre, enfin plutôt son ombre, et me mis à courir, le voyant de plus en plus net. Une fois devant je me précipitais entre les branchages et à l’intérieur, avec un brin d'espoir en moi.

-Plume Noire ?Appelais-je, imaginant entendre sa voix.
Fouillant encore dans les branchages, mais rien. Je ressortis alors.
Plume Noire ! Criais-je.

Mais la seule réponse fut ce silence. Surtout qu'aucune trace de passage récent était la. Elle semblait avoir disparue, sans laisser trace, sans me dire au revoir. Elle m'avait dit qu'elle reviendrait ! Pourquoi tout les gens que je chérissait disparaissait ? C'est si injuste. Je m'assis bredouille, le regard dans la vague, qui ne fixait que la brume. Quand j'eus l'impression de voir une ombre. Je me levais subitement, mais l'ombre dans la brume disparus aussitôt.
J'avais rêvé ou il y avait vraiment quelqu'un pas loin ? Reste à savoir si c'est un danger potentiels.

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   Dim 29 Oct - 12:00


« Il fait trop chaud... Beaucoup trop chaud… »

   Quand je m'étais réveillée, c'est la sensation que j'avais eue, à part un poids étrange sur mon dos. Une sorte de poussière, brûlante, s'était infiltrée dans ma douce fourrure protectrice. Le soleil, plutôt que de me caresser comme à l'ordinaire, m'avait fait suffoquer, m'avait empêchée de respirer correctement. « Je dois bouger. » J'avais ouvert prudemment les yeux, mais le soleil m'avait ébloui quand même. A cet instant, une grosse rafale de vent était venue me frapper de plein fouet, en portant avec elle du sable incandescent. Mon seul réflexe avait été de me plaquer au sol, mes pattes protégeant ma tête. Quand elle s'était calmée, j'avais rouvert mes yeux. « Je suis dans le désert ! Le désert... Cet espace si vaste, où de nombreux êtres vivants périssaient, chaque jour... Bientôt, ça allait être mon tour, si je ne bougeais pas tout de suite d'ici. » Je m'étais levée, mon attention reportée sur quelque chose de lourd ainsi qu'un mouvement futile qui était venu de mon échine. J'avais tourné la tête quand j'avais été choquée : une paire d'ailes, d'un magnifique blanc crème, avait trôné sur mon dos. J'avais été sidérée. « Comment ? Pourquoi ? Je ne vais probablement jamais avoir la réponse. De mon vivant, du moins. Bouge d'ici ! Pas le temps de se poser d'autres questions. » J'avais commencé par renifler autour de moi, les coussinets en feu. J'avais senti la vie ! La forêt ! « Elle doit être seulement à quelques centaines de longueurs de queues de renard. Direction l'Est ! » Le soleil m'avait indiqué quelle direction prendre. « Je ne vois qu'une seule utilité pour ces ailes, pour l'instant. » Je les avais rabattues au dessus de ma tête, tel un parasoleil. « De toute façon, voler, comme toutes choses, ça s'apprend... Ça m'étonnerait que je puisse m'en servir en un éclair... »

   Ma gorge m’avait brûlé. Mes pattes n'en pouvaient plus de marcher sur le sable, chaud comme des braises flamboyantes. Mes ailes, poids douloureux sur mes épaules, ne me protégeaient plus. Elles devenaient bien trop lourdes... De plus, je m’étais largement trompée sur la distance entre moi et la forêt, beaucoup plus loin. « Aller, je peux le faire ! Plus que quelques longueurs de queue ! » Je m’étais effondrée, tel une bûche, à l'ombre d'un arbre avec une forme bizarre. J’avais dormi, autant que je pouvais, mais la soif, à la fin trop insoutenable pour être ignorée, avait commencé à me dévorer à petit feu. Je m’étais levée, avais marché aussi rapidement que l’avait permis mon état. J’avais senti une odeur nauséabonde sur ma droite. Cela pouvait être aussi bien une charogne, mais je m’étais laissée espérer un endroit humide. « Un étang ! » J’avais couru, trébuché, m’étais relevée, et, malgré l'odeur, avais plongé la tête dans l'eau pas très fraîche, mais potable. « Et puis, à ce stade là, quelle importance ? » J’avais bu goulûment l'affreux liquide, et, une fois sûre d'être correctement réhydratée, j’avais mis une par une mes pattes meurtrirent par la chaleur. Encore une fois, j’eus été sous le choque : j'avais l’œil gauche doré ! J'avais à présent les yeux vairons. Beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête. Il n'y avait eu qu'une réponse, une seule et unique réponse. « Je délire complètement. »

   Je m’étais réveillé, la nuit, cette fois. La douceur du temps m’avais fais du bien mais j'avais eu faim. J’étais retourné vers l'étang, seul point d'eau dans les alentours, ce qui allait attiré forcément les animaux. M’étant caché dans un fourré, je m'étais activé à ma toilette, profitant de la fraîcheur matinale. Ma fourrure, auparavant douce et soyeuse, était des pauvres épis de poils emmêlés, sableux. Une fois un peu près propre, je m’étais concentré, fermant les yeux, pour entendre le bruissement du vent et à essayer de sentir n'importe quoi de comestible. Je m’étais laissé me perdre dans mes pensées. « Pour quelle raison me suis-je réveillé dans un désert ? Pourquoi j'ai des ailes, un œil doré ? » Dans mon esprit, une barrière m'empêchais de me souvenir ce qu'il y a eut avant le désert. Je m’étais souvenu de mon enfance, ma mère, Murmure Argenté, me chantant ma berceuse, mon amitié avec Onyx, à quel point je tenais à lui. Tout, sauf cet épisode, ce trou noir. Une larme s'était échappé de mon œil bleu, pour s'écraser, comme un cristal éclatant en millier de petits morceaux brillants.

   Ce fut trop tard. J'avais agis trop tard, ma méfiance se lassant endormir par des souvenirs douloureux. Quelle sotte ! J'avais ouvert les yeux, et vis la chose qui m’avait attaquée, ignoble. Fêlant de rage, j'avais essayé de me sortir de l'emprise de mon attaquant. Il était fort, trop fort. Je n’avais pas pensé pas à la mort, mais à la survie. Un renard ! Mon flaire, par je ne sais quoi, avait été aiguisé. « Il pue, comme cet étang, mais en pire ! » Ses yeux rouges, sans pupilles, étaient de la couleur du sang séché. Son pelage, d'un marron cramoisis, avait mis en valeur son poitrail blanc, taché de sang. Mais le plus effrayant, le pire, avait été ses canines, longues, aiguisées, débordant sur ses babines dégoulinantes de bave. Un filet s’était formé, tombant sur moi. Ce fut comme la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase. Une colère implacable m’avais consumé toute entière. D'un coup d'ailes, je l'avait reversé et l'avait envoyé percuter un mûr. Celui-ci avait gémit sous l'impacte.

   Soudainement, une douleur insupportable m'avait broyé mon crâne. Je m'était cabré sous celle-ci. J'avais senti mes organes se gonfler, grossir, mes pattes s'allonger, mes dents poussées, mon pelage s'épaissir. Tout cela en même temps. Puis, tout avait cessé d'un coup. A cet instant, j'aurai pu traversé le désert, gravir les plus hautes montagnes, courir des milliards de longueurs de queue, sans me fatiguer. J'avais été aussi forte qu'une lionne, aussi farouche qu'un mustang, aussi agile qu'un écureuil, aussi rapide qu'un faucon pèlerin. Rien n’aurait pu m'arrêter. Et sûrement pas ce pitoyable renard. Je l'avais achevé d'un simple coup de crocs. La faim m’avait poussé à le dévorer. J'avais écouté mon instinct.

   Quand j'eus terminé, toute rage m'avais quitté. J'allais jeté un coup d’œil dans l'étang. Cette fois, j’avais été nullement surprise de voir ce que j'étais devenue. Une louve. Puis, je m'étais évanouis de fatigue.


Dernière édition par Colombe Cendrée le Mer 10 Jan - 21:38, édité 5 fois

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   Mar 7 Nov - 20:21


Je scrutais la brume, toujours me demandant si les silhouettes que je voyais n'étais pas dû à mon imagination ou si cela était ennemis. Le temps passa, bien que j'ignore combien de temps, il était impossible de voir la monté du soleil avec cette grosse couche de brume. Et ce silence, si étrange ? Pour une fois je n'aimais pas le silence, moi qui étais habitué d’être entourée de mes amis, j'avais l’impression qu'ils disparaissaient de plus en plus.
C'était la première fois que je me sentais vraiment seule, sans un amis ou une personne la pour moi, pour m'épauler. Les promesses semblaient être brisées l'une après l'autre, sans qu'elle n'ai pu une fois etre vraiment réelles au yeux des autres ?
Et cette douleur que je sentais parfois dans ma gorge, près de mon cœur, elles étaient différentes de mes douleurs habituelles. Ça venaient uniquement quand je pensais à des choses tristes.

Est-ce que mon cœur était brisée ? Ça se répare ? Ou ce sera toujours comme ca ? A croire que j'aimerais tout oublier, que mon amnésie emporte tout ce que j'ai vécu. Je me suis bien réveille sans rien connaitre ? Je n'étais pas triste, j'étais heureuse...

-Hooo... Mais pourquoi je dis ça moi ? Les peu de souvenirs que j'ai pu me créer je suis si heureuse de les avoir, d'avoir connus des amis... Soupirais-je.

Je regardais mes pattes, me demandant quoi faire maintenant. Je n'avais pas envie de rentrer tout de suite, je n'avais pas envie de revoir tout ces visages qui risquait de partir d'un coup comme les autres. Mais à force d’être assise à ne rien faire, je commençais à frissonner dans mon coin, l'humidité et le froid s'infiltrant dans mon pelage.
Puis un cris aiguë se fit entendre en écho dans toute la forêt qu'il me fis dresser mon pelage comme les point d'un arbre nue. Le bruit suivis d'un faible échos de feulement de chat.

Quelqu'un à des ennuis !

Je me levais de suite, et guidé par mon instinct d'aide et de ma volonté, je courus dans la forêt, courant malgré tout à l'aveuglette dans cette forêt brumeuse, manquant parfois de tomber, les pattes prise dans une racine. Le bruit, le raffut, unique dans ce silence de mort était de plus en plus fort. Je finis par reconnaitre l'endroit étant allée à de nombreuse reprises, c'était l'étang, et la brume était moins intense ici, mais ce n'est pas ca qui attira toute mon attention, c'était le spectacle face à moi.
Deux êtres, plus grands qu'un chat, l'un à la fourrure brune, tachée de sang, de long crocs, mais l'autre, beaucoup plus imposant, grand, un beau pelage. Une chose que je n'avais jamais vue. La vilaine bestiole au pelage miteux, mourus d'un coup, par l'autre être géant au pelage  gris et à de jolie ailes d'oiseau blanche. Je ne savais pas quoi faire. Je devrais probablement fuir le plus vite possible face à un être vivant beaucoup plus gros que moi et plus puissant, et qui voudrait surement me manger. Mais je ne pouvais détacher mon regard. Ça semblait... C'était beau tout simplement, sublime chose au milieu de cette forêt. Un être vivant majestueux, alors que toutes les autres êtres était tout droit sortis des pires cauchemars.
L'étrange bête aux ailes se mit alors à faire une chose que je ne m'attendais pas. Il se mis à manger l'être qu'il venait de tuer. Je fus choquer de voir cela, mais en même temps cela pouvait avoir une certaines logique si il avait faim, si c'était sa proie. Puis après avoir mangé, celui-ci se penchais près de l'étang avant de s'effondrer.

Il est blessé ? Mourant ?

Je voulus avancer, mais mon instinct de survie me retint face au danger de l'inconnue. Je ne connaissais rien de cette bête. Pourtant poussée par la curiosité et la beauté de l'inconnue, j’avançais lentement vers la bête. M'arrêtant parfois, prête à décamper si cela m'attaquais.
Je finis par être proche, je voyais ses flanc se soulever, je sentais l'odeur du sang frais, odeur métallique, mais j'étais derrière elle. Par peur tout de même, j'essayais de garder un distance respectable, puis avec ma patte avant droite, je l'étirais le plus possible et commençais à tapoter la bête doucement, pour voir si elle était consciente.

- Hé ho ? Demandais-je d'une petite voix. Peut-être qu'il ne comprend pas ma langue ? Je peux toujours essayer autres chose ? Ça va bien ? Ressayais-je, pourtant j'avais des doutes sur ce que je faisais. Parler et tapoter des bêtes beaucoup plus grande que nous c'était très dangereux, surtout dans cette forêt ou il voulait tous nous manger. Sauf que cet bête était jolie par rapport aux autres, dommage que j'ignore quels et le nom attribué a ce genre d'être vivants. Ça doit être beau en tout cas, pour être en accord.

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   Ven 5 Jan - 4:20


Up.

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   Mer 10 Jan - 17:20


« J'ai froid... On va dire que ça change du désert ! Où suis-je ? » J'avais senti qu'on m'avais tapoté doucement la tête.

- Hé ho ?, demanda une petite voix. Ça va bien ?

   Mon odorat m’avais certifié que ça avait été un chat. J'avais eu l'impression d'être retourné à l'état d'un frêle chaton, dormant au près de sa mère et de ses frères et sœurs. Mais il avait manqué la chaleur maternelle. Celle qui avait disparu dès ma naissance… J’étais revenue brusquement à la réalité, faisant en même temps sursauter… Ma sauveuse ! J’avais sauté de quelques longueurs de queues en arrière sous la surprise. Bizarrement, mes pattes me faisaient mal, comme si elles avaient été étirées. J'avais comme l'impression d'avoir eu le bout de l'oreille droite arrachée. Ça avait piqué désagréablement mais cela avait été supportable. Mes griffe et le contour de ma bouche avaient été taché de sang... J'avais regardé autour de moi, totalement désorienté. J'étais toujours à côté de l'étang. En face de moi, la petite chatte avait reculé vivement. Elle ne devait pas avoir plus de 12 lunes. Elle était si mignonne ! Mais un détail m'interpela : ses yeux pétillait sauf que derrière, je ressentait de la tristesse... Être triste à son âge ? Quasi impossible ! On passe la journée à dormir, manger et jouer avec les autres chatons !
   Pendant de brèves secondes, je l’avais dévisagé : c'était une très belle jeune chatte blanche grise avec, à plusieurs endroits, des tâches d’un très beau vert tendre. Ses yeux, d’un vert émeraude, scintillaient. Entre ses oreilles, avait trôné une couronne de racines, de feuilles et de fleurs multicolores. Elle avait eu également, autour de sa patte avant, une racine avec une petite fleur bleue clair. Pour finir, une magnifique paire d’ailes, vertes et blanches, époustouflantes. « Elle a des ailes ! Comme moi ! Elle pourrait peut être me dire comment elle les a eu ! »

- Salut !, dis-je. Je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi…


Dernière édition par Colombe Cendrée le Sam 24 Fév - 15:53, édité 3 fois

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   Sam 20 Jan - 0:58


HRP:

Ça venait de bouger, et avec un sursaut de peur, surement l'instinct j'imagine, j'avais reculer. L'être vivant géant devant moi avait changé de forme pour être féline. Une féline au pelage toujours grisé, au poitrail blanc et surtout avec des ailes. De grandes belles ailes, comme les majestueux oiseaux qui arpentait parfois le ciel bleu en été. Ces être libres, la haut, qui pouvait tout voir sans toucher le sol, qui pouvait atteindre les étoiles, atteindre les disparus.
Parfois j'aurais aimé être un oiseau, ne serait-ce que pour voyager, mais je ne suis qu'une chatte avec des ailes qui ne vole pas, avec des fleurs sur la tête que tout le monde trouve jolie et mignon, mais ça fait mal à l'intérieur.

La féline m'avait aperçu, son geste me fit peur sur le coup, avant de comprendre que elle aussi avait eu peur de moi. Elle avait fait quelques saut en arrière. Je ne savais pas que je pouvais faire peur. Il faut un début à tout j'imagine. Elle est peut-être perdus ? J'ai du mal à identifier d’où elle vient, l'odeur du sang est toujours présente, malgré que je sois proche de l'étang. Je la voie me dévisager, peut-être verra-t-elle que je ne suis pas un danger ? Pour qui en serais-je un de toute façon ? Je suis petite et je sais à peine me défendre !

-Salut ! Je te remercie pour tout ce que tu as fait pour moi…

Je la regarde, penchant légèrement la tête sur le côté, curieuse, intrigué. Au son de sa voix claire et fluette, je peux constater qu'elle est gentille. Elle n'est pas méchante, elle ne fait pas partie des monstres tueurs. Mais je suis interpellé, je n'ai pas encore fait grand chose, quoique j'ai quand même essayer de la ramener à l'état de conscience. A près tout elle c'était évanouie ? Je me demande si elle est blessé ailleurs, mais d'abord, autant se présenter, après tout, ce serait la moindre des choses, elle a l'air vraiment sympathique.

-Salut ! Ravie de te rencontrer ! Je me nomme Terra ! Je m'arrête et lève la patte pour la pointer dans sa direction. Serais-tu blessé au passage ? Parce que je peux t'aider si il faut !

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   Sam 24 Fév - 15:44


« Comment un chat peut-il avoir des ailes…? »
Cette question faisait écho dans ma tête, presque greffée dans mon cerveau.

   La petite chatte m’avait fixé mais avait semblé être plongée dans ses pensées. À peine quelques secondes plus tard, je la vis sortir de sa torpeur et répondit d’un voie joyeuse :

- Salut ! Ravie de te rencontrer ! Je me nomme Terra ! Serais-tu blessé au passage ? Parce que je peux t'aider si il faut !

   Sa voie était aussi douce qu’un  nuage. Mélodieuse et alto, elle voleta jusqu’à mes oreilles. « Terra… Quel magnifique nom ! »
   C'est alors que j'avais senti un liquide chaud coulé de mon oreille et de mon cou. L'odeur métallique du sang avait empli ma truffe et m'avais fait tiquer. J'avais également ressenti la douleur aux endroits où le fluide vital s'écoulait péniblement. J'avais regardé l'étendu de ma blessure au niveau de ma gorge quand j'avais frissonné. Elle était assez profonde. Un sentiment de panique m'avais envahi. Je n'avais jamais eu de blessure grave et j'étais persuadé que je ne m'en sortirai pas. Mes pattes s'étaient mise à trembler. « Cette petite... Peut-elle m'aider ?... » La folie m'avais fait voir des petite tâches noires qui dansaient dans mes yeux. Soudain, une image avais refait surface de ma mémoire : moi, perchée dans je ne sais quoi d'un blanc immaculé ; au sol, dans l'herbe terme... Et une silhouette familière ? Celle-ci était grande sur pattes, musclée mais pas trop. Un jeune chat sûrement. Son pelage était mi-long, brun foncé avec de fine rayures noires qui lui parcouraient la colonne vertébrale et ses oreilles ; elles terminaient en petites touffes de poils blanches. Ses yeux, d'un ambre avec des reflets dorés chauds, donnaient envie de plongé son regard dedans. J'avais tout de suite compris qui était ce chat et   repris mon calme ainsi que mon courage. Onyx... « Je ne dois l'abandonner... Surtout pas. Il a besoin de moi. Il doit être dans de sales draps par rapport à moi... ».          
   J'étais sortie de mes pensées et avait regardé la petite chatte droit dans les yeux.

- Je m'appelle Colombe Cendrée... et... je veux bien de ton aide...


Dernière édition par Colombe Cendrée le Sam 10 Mar - 10:01, édité 2 fois

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   Sam 3 Mar - 16:55


La féline encore sans nom semblait encore plongé dans ses pensées. Peut-être le choc de ce qu'il venait de se passer ? Ses yeux me captivais autant que ces jolies ailes pure. Mais la brise m'apporta une autre odeur. Une odeur métallique, de fer, de frayeur rappelant les batailles. L'odeur du sang. Il enivrait mes narines. Je ne m'étais donc pas trompé. Cette féline étrangère à ma mémoire était bel et bien blessé. Et je n'allais certainement pas la laissé comme ça. Sa voix claire me parvint comme une douce brise.

- Je m'appelle Colombe Cendrée... et... je veux bien de ton aide...

Je lui fit un hochement de tête, pour lui faire comprendre que j'acceptais volontiers, et marchais vers elle, pour voir ou se trouvait cette blessure ouverte. La féline était plus grande que moi, mais je parvins tout de même à savoir ou elle était blesse. Vers la nuque. J'ai déjà une petit idées de ce que cela pourrait être. Je vais chercher vite fait ce qui pourrait me servir. Je devrais déjà pouvoir trouver de quoi nettoyer la blessure et arrêter le saignement. Ce sera déjà une bonne chose.

-Ne bouge pas, je vais chercher ce qu'il faut ! Lui dis-je en souriant.

Ensuite je me retournais aussitôt bondissante, allant près des arbres, cherchant déjà une vieille branche que je ne tarda pas à trouver d'ailleurs. Je la pris entre mes crocs puis alla entre les troncs d'arbre trouver des toiles araignées que j'enroulais sur la branche. Une fois que j'en eux assez, je posais la branche devant Colombe Cendrée, et revint sur mes pas la ou j'avais trouver la mousse. J'en pris une assez grand quantité, puis tout en trottinant, j'allais au bord de l'étang la trempé. Une fois que ce fus assez, j'aplatis avec ma patte, pour enlever le surplus d'eau, il était inutile d'engorger le pelage de la féline d'eau. Surtout par ce temps.
Je m'approchais une nouvelle fois d'elle, le regard pétillant, et posa la mousse mouille à mes pattes.

-Je suis guérisseuse dans ma guilde. Je peux te soigner, mais il faut que tu me fasse confiance et que tu te baisses. Dis-je toujours en souriant.

Je sais qu'il était dure de faire confiance à des étrangers qu'on ne connaissait pas, dans une forêt étrange, en étant blessée. Les sens étaient en alerte, grâce à notre instincts de survie. Mais avec un sourire et petite comme j'étais, elle verrait de toute façon que j'étais inoffensive. Que tout ce que je voulais était la soigné et faire connaissance.

HRP:

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   Sam 3 Mar - 21:01


J'avais essayé de me contrôler et de rester calme. Elle avait, avec une hochement de tête et un sourire, accepté de m'aider, moi, une parfaite inconnue blessée. Elle s'était approchée de moi, s'était mise sur le bout de ses pattes et avait regardé l'état de ma nuque. Elle avait grimacé.

- Ne bouge pas, je vais chercher ce qu'il faut !, m'avait-elle dit avec une ton rassurant.

   Elle avait ensuite bondit vers un vieil arbre. Elle avait trouvé une branche, s'était dirigée vers un recoin entre deux arbre et avait enroulé avec le bâton de la toile d'araignée. « Elle est rapide ! » Je ne l'avait pas quitté du regard, fascinée par la débrouillardise de ma sauveuse. Elle était revenue vers moi et avait déposé la branche avec de la toile. Elle s'était après dirigée vers l'étang, trop loin pour que j'aperçoive quelque chose. Enfin, elle était revenue avec de la mousse imbibée d'eau. Son regard était brillant, avec  toutes les nuances de verts possibles dans ses yeux dès qu'elle regardait le soleil. « Elle est magnifique, cette petite. » Une fois tous les éléments rassemblés, elle m'avait déclaré avec fierté et un magnifique sourire :

- Je suis guérisseuse dans ma guilde. Je peux te soigner, mais il faut que tu me fasse confiance et que tu te baisses.

  Malgré la douleur de ma plaie, je lui avait souri en retour et m'était allongée docilement sur le flanc, la tête vers elle. J'avais senti que cette rencontre allait peut-être faire naître une belle amitié. Si ce n'était pas le cas, une reconnaissance sans faille envers la chatte. J'avais fermé les yeux, en essayant de me détendre, ayant totalement confiance en Terra. En repensant aux mots de mon interlocutrice, je m'était demandé quelle était cette guilde. Et toujours comment elles avait eu ces transformations physiques ?! « Comment ?! »

- Dis-moi, Terra... Est-ce que tu peux me raconter comment à tu eus ces ailes ? J’aimerai bien me rappelé de ce qu'il met arrivé à moi aussi mais les seuls souvenirs que je garde sont ceux de mon enfance et que je me suis réveillé en plein milieu d'un désert avant de le traversé et d'avoir été attaqué par cet odieux renard !... (reprend sa respiration XD) Ça me perturbe un peu... Et peux tu me dire comment est ta guilde ?
 
   J'avais tellement de questions à lui poser au bord de ma langue ! Mais par respect, je m'étais abstenue de toutes les posées.


HRP : (je sais pas comment on fait le code)
Merci, la tienne aussi ! :luv:

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   Mar 13 Mar - 19:27


Elle accepte avec joie ma demande, quand je voie son expressions sur son visage. Elle s'abaisse, et pose sa tête sur l'herbe me laissant alors champs libre pour la soigner. Je prie la mousse et commença à tapoter légèrement sur la blessure, puis après quelques geste comme ça, je finis par appuyer la mousse contre la blessure pendant quelques seconde, la maintenant fermement. Pendant ce temps là, la voix de la jolie féline parvint à mes oreilles.

-Dis-moi, Terra... Est-ce que tu peux me raconter comment à tu eus ces ailes ? J’aimerai bien me rappeler de ce qu'il m'est arrivée à moi aussi mais les seuls souvenirs que je garde sont ceux de mon enfance et que je me suis réveillée en plein milieu d'un désert avant de le traverser et d'avoir été attaquée par cet odieux renard !... Elle s'arrêta reprenant sa respiration, ce qui me fit sourire. Ça me perturbe un peu... Et peux-tu me dire comment est ta guilde ?

Elle avait beaucoup parler, est loin de trouver ça dérangeant, ça me faisait rire intérieurement. C'était exactement moi, quand je ne savais pas quelques chose quelques saisons auparavant et que je dérangeais les adultes. Soit avec des question stupides à leurs yeux, ou bien à cause de longues tirades essayant de comprendre leurs points de vue.
J’entrepris de réfléchir à ce que venais de me dire Colombe Cendrée, mais d'abord, je retirais la mousse de la blessure, et constata avec un petit sourire que l’écoulement du sang avait cessé. Je posais alors la boule de mousse souillé à mes pattes et prie la branche avec le lot de toiles d’araignées. Avec une douceur des plus infinis, je la décola doucement pour la faconer comme je voulais, et la mis sur sa blessure et un peu autour de son cou, toujours avec délicatesse. Tout en m'attelant à ce travail, je réflechissais à ce que venais de me dire la féline. Elle avait des souvenirs de son enfance et ensuite un gros trous noir. Etait-ce dû au choc de l'expérience ? Peut-être que cela est récent. Sin serait-elle amnésique d'une partie de sa vie même en se souvenant de son enfance ? C'était possible ? Dans ce cas, pourquoi moi je n'ai rien ?

-Ces ailes, et ces attributs de plantes, proviennent de l’expérience des humains qu'ils ont probablement dû me faire. Je ne suis pas sûr exactement, je sais que je me suis réveillé sur un sol blanc dure et froid avec des ailes et des racines avec option fleurs.

Je m'arrêtais de parler, constatant que je venais de finir mon travail sur sa blessure. Pour le moment sa blessure était protégée mais si comme elle l'a dit c'était un renard à l'origine, alors il valait mieux désinfecter, mais je n'avais pas une telle plantes sous les pattes, c'était dans ma réserve. Je me plaçais ensuite devant elle pour le regarder. Notamment ses yeux pour être sur, qu'elle n'était pas en état de choc, mais ses pupilles semblaient normal.

-Pour de ce qui est de ton manque de souvenirs, je pense que tu souffres d'une amnésie pas complète. Si tu as des souvenirs de ton enfance, je pense qu'une partie de tes souvenirs sont endormis. Il reviendront déjà ne t’inquiète pas.

Et c'est moi qui dit ça alors que je vois les saisons défiler sans une once de souvenirs ou même des informations sur ma famille d'origine ? Je ne sais même pas si il y une méthode particulière pour retrouver nos souvenirs ou si on dois attendre ou bien un élément. Mais j'imagine que si elle se souvient de son enfance c'est plutôt bien non ?

-Ma guilde se nomme les Caméléons, on recueille les chats, qui veulent rester le plus loin possible des humains et être tranquille. Surtout pour ceux étant traumatisé. Ensuite t'as les Felinae, ils se battent pour libérer les chats prisonnier. D'ailleurs, tu viens des Felinae ou bien tu es une solitaire ? Car ta blessure doit être désinfecter. Dis-je en pointant sa blessure de me patte avant droite.Je n'ai pas les plantes adéquates sous ma patte.

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Anonymous
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   Mer 18 Avr - 21:51


Up ~

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Anonymous
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   Ven 18 Mai - 12:24


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