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Mhei, le Yang de Yin - Felinae, sans rang

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Anonymous
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   Mer 21 Oct - 12:12



   
Mhei
Tu m'as vu ? Et bien maintenant vois ton pouvoir disparaître et fuis.

   
• Sur Felinae

   
• Nom : Mhei
   • Sexe : Femelle
   • Âge : 10 lunes
   • Clan : Felinae mais un petit penchant solitaire
   • Rang : Sans rang
   • Race : Turc de Van croisé chat sauvage

   
• Pouvoir : Mhei a un pouvoir qu'elle ne peut pas contrôler et qui agit parfois sous l'influence de la lune. Son pouvoir ?
Un remède à la mutation.
Dans un rayon de quatre mètres autour d'elle, les pouvoirs ne font plus effet. Cela fait comme une bulle au diamètre parfait. Une bulle invisible et impalpable mais elle existe.
Si un chat modifié génétiquement s'approche et rentre, ne serait-ce que d'un poil, dans cette limite, son pouvoir sera anesthésié et il reprendra son apparence d'avant mutation. De manière plus générale, si quelque chose en rapport avec les mutations rentre dans cette zone il ne fait plus effet.
Elle sait que son pouvoir rentre en action lorsque son pentagramme bleu tatoué sur son épaule gauche se met à diffuser de la lumière.
Elle ne peut pas contrôler son pouvoir, c'est à dire que même si elle le voulait de toutes ses forces, elle ne pourrait l'arrêter. Elle ne peut pas choisir sur quelle portée cela touchera les autres chats, elle ne peut pas choisir quand, à quel endroit ou qui cela va toucher. Même quand elle dort, elle est obligée de s'exiler pour ne pas toucher les autres en cas d'attaque imprévue. On lui a refusé le poste d'éclaireuse car elle serait trop repérable, celui de soigneuse car elle bloquait les pouvoirs de soin, nourrice car les parents ne l'aiment pas, chasseuse car ses compétences étaient véritablement pitoyables, défenseurs parce qu'elle bloquait les pouvoirs des autres, bref, son pouvoir lui pourrit véritablement la vie et la contraint à l'exil et à la solitude. Pourquoi n'est-elle pas partie de felinae ? Parce que même si elle ne fait pas vraiment parti de la guilde, ils lui offrent une protection dont elle ne bénéficierai pas à l'extérieur du camp.
La lune agit aussi sur son pouvoir. Les nuits de nouvelle lune, son pouvoir diminue d'intensité jusqu'à ne plus englober qu'un rayon d'un peu plus de deux mètres autour d'elle alors que les nuits de pleine lune, sa puissance augmente largement et peut englober jusqu'à cinq mètres.

   
• Physique : Mhei est une toute petite chatte argentée aux yeux bleus clairs, presque encore un chaton.
Descendante d'une grande lignée de génétiquement modifiés, à sa naissance le bout de ses oreilles et de sa queue étaient aussi bleus que ses yeux mais elle ne possédait pas de pouvoirs.
Après sa capture et les expériences que l'on a fait sur elle, elle n'a obtenu qu'un pentagramme bleu tatoué sur l'épaule. Celui-ci se met à briller lorsque son pouvoir se déclenche.

   
Spoiler:

   
• Caractère : Mhei est une chatte à peine sortie de l'enfance mais peureuse et très discrète. Tu ne la remarque pas ? C'est normal. Elle se cache des regards et fuit les autres chats.
Toute sa vie elle a été rejetée et les traumatismes qu'on lui a fait subir lorsqu'elle n'était qu'une expérience sont restés gravés à jamais dans son esprit.
Son avis ? On ne l'a jamais écouté alors elle ne prend pas part aux discussions, même la concernant, et se laisse faire en silence.
Elle n'est pas naïve pour autant. Mais elle n'a aucun amour d'elle-même, pour elle les autres valent forcément mieux. Ainsi elle fera toujours passer autrui avant sa personne. Si elle reste seule et éloignée, ce n'est pas par envie, c'est pour dispenser de sa présence tous ceux qui ne l'aiment pas.
Ceux qui savent la remarquer et s'approcher assez d'elle pour nouer des liens trouvent une jeune chatte renfermée mais au cœur ouvert, en manque d'affection et compréhensif.
Pour elle, son pouvoir est une malédiction.
On la fuit à cause de cela. Même si la majorité de ses camarades ont été traumatisés par ce qui leur est arrivé, ils ne se sont pas rendus compte à quel point ils étaient devenus dépendants à leurs pouvoirs. Ainsi, quelqu'un qui les leur retire ce n'est pas forcément bien vu et on le rejette un peu.
Mhei se considère comme une erreur. En même temps c'est ce qu'on lui a toujours répété lorsqu'elle était encore avec sa famille.
Mais si on apprend à lire en elle on découvre plus un chaton perdu qu'une chatte solitaire.

   
• Histoire : (Je vous préviens, ceci est un gros, gros, très gros pavé ! Et je m'excuse auprès de ceux qui vont avoir à le lire !)

Solitude. Rejet. Souffrance.
Ce sont les maîtres mots qui ont toujours rythmés la vie de Mhei.
Le bonheur ?
Notion inconnue.
Les amis ?
Jamais entendu parler.

Pourtant, elle n'est pas méchante, elle n'est pas idiote, elle n'est pas laide.
Mais elle fait peur. C'est une erreur.

Lorsque Mhei est née, elle avait un magnifique pelage argenté et des yeux aussi purs que le ciel avant la guerre disait-on.
Mais ce qui a repoussé toute sa tribu, ce clan de chats descendants de chats réfugiés des expériences, c'étaient les bouts de ses oreilles et de sa queue. Ils étaient bleus, d'un bleu aussi beau que celui de ses yeux, mais symbole de manipulations génétiques.
Symboles d'humains, de haine, de mort.

Rejetée par ses propres parents, alors qu'elle tenait cette particularité de son père, Tobia, elle passa ses premières lunes à l'écart.
Son frère, Zéphir, possédait de magnifiques plumes vertes et un bec à la place du museau mais c'était un mâle. Son pouvoir, sa mutation, était autorisée. Pas celle de Mhei.
Seuls les mâles avaient le droit de posséder un don ou une modification physique, et l'idée même qu'une femelle puisse en posséder faisait frémir de dégoût.
Elle passa ses premières lunes, les plus importantes, celles qui définissent le caractère, seule, sans même savoir quel était son pouvoir.
Car rien n'indiquait qu'elle n'en avait un.
Sa sœur, Atalante, ressemblait à Mhei comme deux gouttes d'eau, excepté les détails qui faisaient d'elle une paria. Sociable, belle, rapide et habile au combat, elle avait tout pour plaire. Elle était la bonne sœur.

Seulement une personne savait accepter Mhei comme elle était.
Sa grand-mère.
La vieille chatte au très fort caractère était née différente, comme Mhei. Une autre mutation. En effet, la belle chatte noire possédait des yeux vairons, l'un violet et l'autre rose, et tous deux produisaient de la lumière suivant la volonté de la chatte.
Mais elle avait su trouver un compagnon, se faire aimer et respecter par les autres membres de la tribu.
Mhei se disait que si elle restait sage, obéissait à tous les ordres à la la lettre, ramenait les plus belles proies et était la plus rapide et la plus douée, elle serait enfin acceptée comme l'avait été Miyu, mais rien à faire.
On disait que ce devait être son pouvoir, qu'elle ne valait pas mieux que les autres, au contraire, puisqu'elle trichait avec son don.
Son frère et sa sœur passèrent leur enfance aimés et protégés par leur parents mais aussi par la tribu.
Mhei passait son temps seule, perchée dans les arbres, à ruminer sur sa vie.
Elle était une erreur, aucun doute à cela.
Mais pas une erreur desquelles on apprend, pas les celles utiles. Juste un poids sur la conscience.
Elle pensait que sa vie ne pourrait être pire.
Elle se trompait.
Elle avait à peu près 8 ou 9 lunes lorsque le camp pourtant bien dissimulé à l'orée du désert, juste à côté de la forêt empoisonnée, fut débusqué et attaqué.
Par les soldats, ces expériences heureuses de leurs sorts agissant au grès des humains.
Et le vrai cauchemar commença là.

Mhei bailla.
Elle entrouvrit les yeux.
Il lui semblait entendre du bruit non loin à l'extérieur mais elle ne voulait pas aller voir. Elle voulait dormir.
Elle se dressa néanmoins sur ses pattes et s'étira longuement. Elle sortit du trou dans le tronc de l'arbre où elle avait installé sa tanière, éloignée du camp, puisqu'on lui avait fait clairement comprendre qu'on ne voulait pas d'elle là bas.
Elle se glissa entre les buissons, surprise d'entendre des cris, de douleur, de rage et de peur. Des chocs sourds aussi. Et la puanteur du sang emplissait peu à peu l'air.
Elle commença à paniquer. Comment cela…
Elle passa sa tête entre quelques feuilles d'un buisson et sa peur se confirma. Son cœur loupa un battement et elle se retrouva dans l'impossibilité de respirer.
Le camp se faisait bel et bien attaquer.
Partout, des chats étranges, des mutants, attaquaient les siens.
Elle vit que non loin gisait le corps sans vie de sa mère. Elle eut l'impression de sentir comme un coup de griffe dans ses entrailles. Même si cette dernière ne lui avait jamais montré un tant sois peu d'amour, elle espérait qu'un jour elle en soit à la hauteur.
Désormais la possibilité de voir ce jour exister s'était dissipée, il n'existerait jamais.
Son père, un chat beige donc la queue se finissait par un crochet semblable à ceux des scorpions du désert, se battait aux côtés des autres mâles toujours en vie.
Mhei vit, les yeux ronds, que tous ceux de son âge, possédant une mutation génétique ou non, avaient été regroupés, encerclés par un groupe de chats qui ne semblaient tout de même pas vouloir les tuer.
La jeune chatte argentée se tourna pour tenter d'apercevoir sa grand-mère quelque part, le seul être qui se soit jamais inquiété pour elle.
Lorsqu'elle vit enfin son beau pelage noir elle paniqua.
La vieille chatte était aux prises avec un matou gris aux crocs dignes de ceux des chats sauvages qui vivaient très longtemps avant la guerre, avant même que les humains ne possèdent leurs technologies.
Mhei bondit hors des fourrés où elle était cachée et se plaça devant Miyu pour faire bouclier. Le chat arrêta son geste pour ne pas la blesser et essaya de la dégager pour atteindre la vieille chatte, déjà presque morte d'épuisement mais Mhei lui cria :

- Laissez la en vie, je vous en supplie, je vous suivrais sans faire d'histoires !

Le chat cracha sur le sol, les yeux brillants de fureur, mais il laissa les deux chattes et partit aider à mater les derniers résistants.
Mhei et Miyu furent contraintes par un autre chat à rejoindre leurs jeunes camarades qui essayaient désespérément de s'enfuir. On lui griffa le haut de l'oreille mais pour le moment elle n'avait rien à faire du sang qui commença à couler le long de son visage.
Mhei fut jetée à terre et elle se haït pour ne pas avoir mieux résisté et aidé les derniers combattants qui avaient besoin d'aide.
Derrière les chats qui leur faisaient barrière, Mhei voyait, impuissante, ses camarades de clan se faire tuer un par un.
Elle se retrouva collée contre Atalante qui ne faisait que pleurer son désespoir devant le corps de leur mère et le rude combat que menait leur père.
Mhei vit, emplie de tension, le chat beige glisser et tomber sur le dos, à découvert, sa queue brisée par les coups coincée sous lui.
Elle hurla et essaya de forcer le passage pour aller aider son père qui allait se faire tuer.
On la retint et elle observa, sans cesser de se débattre avec toute la force que possédait son frêle petit corps, son père qui allait vraiment se faire tuer si personne n'intervenait.
De grosses larmes commencèrent à couler le long de son visage, se mêlant au sang et à la terre qui le maculaient déjà.
Son père commença à ramper en arrière pour échapper à son adversaire mais en vain. Le chat lui sauta dessus et lui déchiqueta la gorge. Le sang gicla, pourpre et abondant, tandis que Tobia convulsait une dernière fois.
Sa tête se tourna vers ses enfants et Mhei eu le sentiment que c'était elle en particulier qu'il regardait. Il souffla :

- Ai... Aidez... moi.

Puis il s'écroula sur le sol, mort.
Mhei hurla de désespoir et de tristesse, en chœur avec Atalante et Zéphir, ainsi que tous ceux qui venaient de perdre un par un les membres de leurs familles.
Les derniers combattants étaient vaincus.
Les soldats avaient gagné, avec seulement deux pertes, contre plus d'une quinzaine pour le pauvre clan.
Sous le choc, les jeunes ne s'opposèrent pas autant qu'ils ne ne l'auraient voulu tandis qu'on les conduisait de force dans le ventre d'un étrange animal à l'odeur de fer et de cuir.
Tant qu'ils restèrent dans son champ de vision, Mhei ne quitta pas des yeux les corps ensanglantés de ses parents et de sa tribu décimée en général.
Lorsqu'ils eurent définitivement disparus au loin, alors seulement, Mhei enfouit son museau dans la douce fourrure de sa grand-mère, seule adulte rescapée de l'hécatombe, grâce à la jeune chatte argentée.
Elle passa tout le trajet sans bouger, sans rien dire.
D'ailleurs, personne ne disait mot. Tous étaient sous le choc, détruits d'avoir tout perdu aussi vite.
Seuls des sanglots déchiraient le silence.
On ne les fit pas sortir, on les saisit par la peau du cou chacun leur tour pour les placer dans de grandes cages de fer.
Mhei ne réagit pas, les images de la mort atroce de son père tournant dans sa tête, jusqu'à ce que quelqu'un ne se saisisse de son frère.
Zéphir miaulait avec force, donnant des coups de griffe à tout vas pour ne pas se faire attraper. Mhei et Atalante attrapèrent les plumes de leur frère et s'accrochèrent à lui pour ne pas le laisser partir.
Mais un autre humain arriva et les décrocha brusquement avant de les reposer dans le fond de la caisse où ils étaient tous parqués.
Mhei et Atalante se collèrent l'une contre l'autre.
Pour la première fois de leurs vie, elles se sentaient vraiment sœurs. Sœurs dans la douleur.
Puis ce fut au tour d'Atalante de se faire prendre. Mhei eu beau défendre sa sœur, elle n'arriva à rien.
Quand ce fut elle qui fut saisie, elle miaulait avec désespoir.
Sa grand-mère, toujours assise dans la caisse, lui fit un sourire, crispé par la peur et la tristesse, et lui jeta un coup d’œil qu'elle voulait encourageant.
Mhei arrêta de se débattre et fut placée dans une cage métalliques aux barreaux de fer dans laquelle elle était atrocement secouée.
Elle était épuisée, elle avait mal au cœur et la tristesse lui pesait tellement qu'elle aurait voulu mourir pour ne plus avoir à en souffrir. Elle vomit un peu d'une bile jaune qui lui brûla la gorge et elle s'écroula dans un coin, en train de pleurer à gros sanglots.
On l'enferma dans une pièce plongée dans le noir en compagnie d'autres chats, dont certains venant de son clan, mais elle eut beau les appeler et essayer de les voir, Zéphir et Atalante n'étaient visiblement pas là.
Envahie par le désespoir, elle s'écroula sur le sol de sa cage roulée en boule. Elle voulait mourir tant elle souffrait. A la place, elle s'endormit.

Je suis petite. Je suis perdue.
Je marche dans l'espoir d'arriver à une destination que je ne connais même pas, dans de longs couloirs aux parois glissantes.
Elle est là. La clairière de mon enfance.
Je me précipite dedans.
Si ça se trouve, mes parents m'y attendront ! Ils me diront à quel point ils regrettent, qu'ils sont heureux que je sois leur fille, que je ne suis pas une erreur, comme ils me l'ont toujours répété…
Peut-être que pour une fois ils ne m'ignoreront pas…
Mes parents sont là. Ma mère gît, morte, non loin.
Aux côtés de pleins d'autres morts. Le sol d'habitude si vert de ma clairière est devenu carmin. Du sang. Partout.
Et mon père, sur le point de se faire égorger, rampe pour échapper à son meurtrier.
Il me regarde, ses yeux sont plongés dans les miens. Il ne cesse pas de me regarder, même lorsque son adversaire se jette sur lui et lui déchire la gorge avec ses crocs.
Tout disparaît. L'assassin, les corps.
Il ne reste que moi et mon père.
Il convulse sur le sol et me parle, une lueur de panique et de peur dans le regard :

- Aide moi Mhei, aide moi ! Ai... de... moi...

Je suis incapable de bouger. Mes pattes sont comme collées au sol. Je pleure toutes les larmes de mon corps, je hurle, je me débat et essaie de bouger. Rien à faire.
Je suis obligée de rester là, à regarder mon père se vider peu à peu de son sang, à me hurler après pour que je vienne l'aider. Il se tord de douleur. De l'écume rouge apparaît au coin de ses lèvres, il commence visiblement à suffoquer.
Avant de s'écrouler mort.
Je sens mes pattes se libérer, je peux de nouveau bouger. Je suis épuisée, je suis couverte de blessures.
Je regarde mes pattes qui sont couvertes de sang. Il y a une flaque non loin. Je me déplace pour regarder dedans.
Mes crocs sont couverts de sang. Le sang de mon père.
C'est moi son assassin.


Mhei se réveilla en sursaut, terrifiée par ce cauchemar qu'elle venait de faire. Son cœur battait à mille à l'heure et sa fourrure était trempée de larmes.
Sa journée passa dans la déprime la plus totale. Elle resta roulée en boule. Elle ne voulait plus dormir. Plus jamais. Parce qu'elle ne voulait en aucun cas refaire le même cauchemar.
Elle passa ainsi toutes ses journées, seule, roulée en boule dans sa cage, à ne boire et manger que quand la faim et la soif ne devenaient vraiment trop insupportables. Elle ne se souvint pas du temps qu'elle avait passé ainsi, juste que pendant ses rares moment de sommeil elle faisait encore et encore le même cauchemar et que quand elle ne se torturait pas l'esprit de la sorte, elle restait couchée, incapable ne serait-ce que de réfléchir tant chaque pensée était douloureuse.
Et toutes ces questions qui la torturaient en permanence.
Qu'étaient devenus Zéphir, Atalante et Miyu ?
Qu'allait-on bien pouvoir lui faire ?
Aurait-elle pu sauver son père ?
Et si son rêve était réel ? Avait-elle pu tuer le tuer ?
Et des centaines d'autres qui tournaient dans sa tête. Si elle restait enfermée trop longtemps elle deviendrait folle.
Ce serait sa fin. Une fin bien peu douloureuse pour quelqu'un d'aussi mauvais qu'elle.
Mais ça ne se passa pas comme prévu.

Quand les humains vinrent la chercher, elle était maigre. Son pelage était terriblement mêlé, elle respirait à peine, perdue dans un demi-sommeil qu'elle ne quittait jamais. Son esprit était trop torturé. La folie s'emparait petit à petit de chaque parties de son pauvre cerveau.
Elle souffrait le martyr, que ce soit physiquement ou mentalement.
Quand elle faisait parti de sa tribu, elle était seule. Maintenant elle était seule et brisée.
On la déposa sur une table et on la sangla au niveau du dos, le museau collé contre le métal froid. Elle commença à récupérer un peu de lucidité face à ce qui se passait. Ce n'était pas normal. Elle tourna la tête et vit que, sur deux tables à sa gauche, il y avait d'autres chats qui se débattaient.
Les deux plus proches d'elle étaient Atalante et Zéphir. Leur vue agit sur elle comme un électrochoc. Elle se débattit et essaya de s'échapper pour les rejoindre, qu'ils s'en aillent tous les trois. Mais elle était trop solidement attachée.
Un humain arriva, retira la sangle qui la collait à la table et la força à se coucher sur le dos. Puis, il raccrocha de nouveau la sangle qui lui serrait si fort le ventre qu'elle eu l'impression qu'elle allait étouffer.
Et on accrocha tour à tour chacune de ses pattes, avant de lui coller sa queue qui battait furieusement à la table pour l'accrocher et aussi sa tête. Elle essaya de mordre l'humain mais ses petits crocs de chaton n'arrivèrent même pas à entamer son cuir.
Atalante et Zéphir étaient déjà installés de la même manière. On pourrait leur faire ce qu'on voulait, dans cette position ils ne pourraient jamais se défendre.
L'humain tira un petit chariot à lui, sur lequel reposaient des seringues emplies d'un liquide à la couleur changeante et des scalpels en tout genre.
Il s'approcha tour à tour des chats qui reposaient attachés plus loin. De là où elle était, Mhei ne pouvait pas suffisamment lever la tête pour voir ce qui se passait mais elle entendait les crachats, les cris de douleur et les derniers soupirs.
Elle sentit son cœur commencer à battre plus vite. La panique s'infiltra dans chacune de ses cellules. Elle ne s'était jamais sentie utile mais elle ne voulait pas mourir ainsi.
Lorsque ce fut le tour de Zéphir de se faire piquer, elle se débattit toujours plus fort pour se dégager. Des larmes brûlantes commencèrent à mouiller son pelage.
Elle vit l'humain se saisir d'un de ses scalpels et faire une entaille dans le cou du chaton à plumes vertes qui hurla de douleur. Puis, il se saisit de la seringue et l'enfonça sans douceur dans l'entaille précédemment faîte et appuya pour lâcher le produit.
Zéphir commença à convulser en hurlant de douleur, un cri à réveiller les morts. De l'écume apparut sur ses lèvres, ses yeux roulaient dans tous les sens, ses plumes étaient hérissées. Puis, lorsqu'il n'eut plus de souffle il arrêta de hurler. Et son corps cessa de se débattre pour retomber sur sa table. Sa tête tomba sur le côté et Mhei sentit ses entrailles se retourner lorsqu'elle vit les yeux de son frère. Des yeux vitreux. Ouverts sur la mort.
Atalante pleurait encore plus que Mhei, elle qui avait été très proche de leur frère. L'humain s'approcha et lui fit à son tour une entaille dans le cou. La petite chatte voulut cracher mais il se perdit dans un gargouillement. Elle souffrait.
On lui enfonça à son tour une seringue emplie de ce produit étrange dans le cou avant de lui injecter. Mhei aurait voulu fermer les yeux, ne pas la regarder mourir comme Zéphir mais elle ne pouvait pas.
Sauf que ça ne se passa pas pareil. Atalante hurla, convulsa, mais elle ne retomba jamais morte. Un de ses yeux miroita et changea de couleur pour devenir d'une autre nuance de bleu. Ses pattes commencèrent à s'affiner, à s'agrandir de manière exagérée, comme sa queue. Elle commença à maigrir, sa tête s'affina aussi.
Et son corps retomba sur le côté. Elle n'était ni morte ni inconsciente.
Elle regardait Mhei dans les yeux. Et ce que vit la jeune chatte ce fut de la haine. Elle cracha en direction de sa sœur avant de fermer les yeux et de sombrer dans l'inconscience. Ou de mourir.
Mhei n'arrivait pas à distinguer si son flanc bougeait toujours.
Elle regarda devant elle, elle regarda l'humain qui venait de se pencher sur elle pour lui entailler le cou. Elle essaya de se débattre, de dégager sa tête, mais elle ne pouvait pas. Elle était bloquée.
Lorsque le scalpel s'enfonça dans sa chair elle hurla de douleur. Elle avait l'impression que son cou était en feu, la même sensation que lorsque ses camarades s'étaient amusés à la fouetter avec des branches sans que leurs parents ne leur disent rien.
Puis, l'humain approcha une seringue de son cou. Toujours plus, Mhei essaya de se défendre. L'aiguille s'enfonça dans la plaie à vif et Mhei cru qu'elle allait mourir tant elle souffrait. Puis elle eut l'impression que cette fois-ci tout son corps s'embrasait lorsque le liquide s'infiltra dans son corps. Elle hurlait si fort qu'elle n'entendait plus rien.
Elle sentit à peine la douleur à son épaule gauche comme si on lui appliquait un fer chauffé à blanc sur son épaule. Le seul feu, la seule douleur sur laquelle elle était concentrée était celle qui embrasait son corps. Et pour échapper à cette torture elle sombra dans l'inconscience.

Mhei se réveilla dans sa cage, longtemps après l'expérience.
Quelque chose avait changé, elle le sentait. Elle était moins brisée. Comme si on avait essayé de recoller quelques morceaux. Et sa folie l'avait quitté.
Elle se redressa. Elle était toujours dans sa cage, mais les chats dans celles voisines étaient... différents. Tous avaient quelque chose qui clochait.
Ainsi, untel avait des cornes, encore un autre avait des ailes, ou une couleur de pelage étrange, bref, des choses pas naturelles et chez certains carrément flippantes.
Mhei se souvint de la douleur qu'elle avait ressenti à son épaule gauche et la regarda.
Tout nouveau tout beau, il y avait un tatouage bleu comme les bout de sa queue et de ses oreilles, un magnifique double cercle à l'intérieur duquel apparaissait une étoile. Un pentagramme, le symbole du bouclier magique.
Et aucune idée de comment il avait pu arriver là.
Lorsqu'elle s'assit, elle eu un vertige.
Elle vit qu'elle était toute maigre. Toute faible. Et elle se demanda depuis combien de temps elle avait pu se laisser aller.
Elle se jeta sur sa gamelle de croquettes au goût atroce et but toute l'eau malgré son odeur horrible.
Elle savait que son frère était mort. Ça, ça ne changerait pas. Mais sa sœur était vivante. Enfin elle espérait qu'elle le soit. Car même si jamais elle ne serait proche d'elle, surtout après ce qu'elle avait lu dans son regard, cette fureur, cette haine… eh bien elle restait sa sœur.
Elle resta assise, à attendre patiemment qu'on l'emmène autre part. Elle le voulait, elle l'attendait. Jamais elle ne serait un pion des humains après ce qu'ils avaient fait à sa famille…
Sauf qu'ils détenaient Miyu. Mhei savait qu'ils n'auraient pas prit le risque de la tuer, sinon ils l'auraient fait dès qu'on les avait capturés.
Et effectivement on vint la chercher. Elle était encadrée entre deux chats mais elle ne fit pas attention à eux. Elle voulait voir Miyu et Atalante.
On la mena dans une grande cour bondée de toutes sortes de chats où elle chercha sa grand-mère et sa sœur frénétiquement du regard. Ce fut Miyu qui l’aperçut.
La chatte noire se jeta sur Mhei qui n’eut pas le temps de réagir et la noya sous un flot de paroles :

- Oh, Mhei, j'ai eu si peur de ce qu'ils avaient pu vous faire…  J'ai apprit pour Zéphir… mon pauvre petit… Mais Atalante aurait survécu. Ils vont l'amener, ils me l'ont promis ! Oh, comme j'ai hâte de la revoir, ma si chère petite fille… Elle ressemble tellement à ma défunte fille. Oui, elle ressemble vraiment à sa mère…

Mhei sourit, mais d'un sourire un peu crispé. Miyu était très gentille avec elle mais ça n'en changeait pas qu'elle préférait largement Atalante et qu'elle ne le cachait pas.
En parlant d'elle, la chatte argentée arriva, elle aussi encadrée par deux brutes, mais ils la laissèrent une fois qu'elle eu rejoint la place.
La chatte était devenue grande, très grande, ses pattes étaient devenues fines et longues comme des brindilles mais malgré tout elles ne semblaient pas frêles. Son corps s'était aussi allongé, comme sa queue, et elle était devenue très fine.
Elle atteignit sa sœur et sa grand-mère en quelques foulées. Elle dépassait Mhei d'une bonne tête et, alors qu'elle était encore un chaton, était presque aussi grande que Miyu.
La vieille chatte noire lui lécha le dessus de la tête avec amour et toutes deux commencèrent à pleurer Zéphir. Les yeux de Mhei restèrent secs.
Elle se sentait désormais incapable de pleurer pour quelqu'un qui n'avait jamais fait attention à elle. Et elle ne le regrettait plus. Sa vie valait moins que celle des autres mais elle ne voyait plus pourquoi elle aurait du pleurer son frère. Qui n'en avait jamais été un.
Puis Atalante la regarda, un regard dur et empli de haine et lui cracha à la figure :

- Tu n'aurais jamais du naître ! Je suis sûre que c'est toi qui a attiré les humains au camp, toi qui les a aidés. Je te hais, tu es une sale traître, tu n'aurais jamais, jamais du naître ! Tout ce que je veux faire quand je te vois c'est t'étriper ! Je te hais Mhei, tu n'es plus ma sœur, je te hais !

Mhei encaissa toutes ces paroles sans broncher. En vérité, ce que venait de dire la chatte argentée la blessait plus qu'autre chose. Miyu hésita, ne prenait pas de parti.
Atalante se jeta sur sa sœur et commença à la mordre. Sous la douleur, Mhei réagit. Elle ressentit une petite douleur dans son épaule gauche tandis qu'elle se débattait.
Son pentagramme sur l'épaule commença à briller et une onde de choc sortit du corps de Mhei, comme une bulle. Tous ceux qui se trouvèrent frappés par cette onde furent projetés vers l'extérieur et certains se relevèrent différents. Normaux. Paniqués, ils s'enfuirent loin de Mhei.
Atalante était redevenue normale aussi mais ça ne changeait rien.
Elle allait se jeter sur Mhei lorsque des mains la saisirent au vol. Un humain la tenait fermement et il repartit avec elle. Puis un autre arriva et saisit Mhei sans qu'elle puisse rien faire. De son autre main il saisit Miyu qui se laissa faire.

On conduisit Mhei et sa grand-mère dans une salle vide à l'exception de deux tables de fer et d'une étrange machine noire qui puait le souffre et le feu. On posa Mhei sur la première et Miyu sur la deuxième.
Un chat aux cornes de diable et un humain arrivèrent et s'assirent face à Mhei.
Le pentagramme sur son épaule avait cessé de briller, sans que Mhei ne sache pourquoi. Elle ne savait d'ailleurs pas pourquoi Atalante était redevenue normale. Ni même pourquoi il y avait eu une onde de choc.
Le chat au pelage brun prit la parole. Pas un chat. Une chatte. A la voix mielleuse, atroce.

- Il paraît que tu as fait une petite démonstration de ton pouvoir tout à l'heure… Quel drôle de pouvoir… Apparemment tu aurais retransformé les mutés autour de toi. Aussi je ne te poserais qu'une seule question : Peux-tu déclencher ton pouvoir ?

- Je… Je… Non, j'ai jamais…

- Voyons voyons… Si tu ne veux pas nous remontrer nous devrons te donner une raison de le faire…

Mhei regarda la chatte brune au regard fou sans comprendre. Comme si l'humain avait attendu ce moment, il saisit la machine noire à l'odeur de souffre et de feu et la pointa sur Miyu qui était assise face à Mhei, la fourrure hérissée, l'odeur de sa peur emplissant l'espace.
Un autre humain la tenait pour ne pas la laisser s'échapper.

- Je vais compter jusqu'à trois. À toi de voir si tu tiens à cette vieille chatte…. Un.

Mhei paniqua. Elle se concentra très fort pour essayer de déclencher son pouvoir mais rien à faire.

- Deux.

La chatte brune semblait jubiler.
Mhei regarda sa grand-mère dans les yeux, complètement paniquée. La chatte noire avait son regard implorant, et essayait de se débattre.

- Trois.

Un bruit déchirant retentit, écorchant les oreilles de Mhei tandis qu'un éclair illuminait la pièce. Une odeur de poudre et de souffre se répandit lentement.
Et le corps de Miyu retomba sur le sol. Du sang s'écoulait d'un trou au milieu de sa tête. Ses yeux étaient encore ouverts sur le vide.
Mhei hurla à nouveau. La seule personne qui ai jamais vraiment compté pour elle venait de mourir par sa faute, sous ses yeux. Elle se recroquevilla sur elle-même et poussa un miaulement encore plus déchirant. Le pentagramme sur son épaule se mit à briller encore plus fort que la première fois.
L'onde de choc qui avait déjà fait son apparition peu de temps auparavant sortit à nouveau de sa poitrine, traversant les murs.
Tout était renversé. Et la chatte brune aux cornes de démons se redressa en rigolant, la bouche ensanglantée. Mhei releva la tête et vit que cette chatte était redevenue une chatte normale. Plus de  cornes. Plus de regard effrayant.
Les humains n'avaient pas été ébranlés par cette démonstration de choc. Lorsque la chatte brune regarda ses pattes, elle du se rendre compte de quelque chose. Ses yeux s'agrandirent avant de se poser sur Mhei.
Un rictus de rage apparut sur ses babines en sang et elle se jeta sur Mhei en hurlant.

- Qu'est-ce que tu m'as fait !? Où est mon pouvoir ? Rends moi mon pouvoir !

Un humain récupéra la chatte qui se débattait violemment tandis que Mhei essayait de lui échapper. Ses flancs étaient en sang, elle souffrait. Cet humain la tenait à bout de bras, comme dégoûté.
Il la posa à nouveau dans la cour. Dans un rayon de trois ou quatre mètres autour d'elle, tous les chats mutants retrouvèrent leurs apparences d'avant mutation. Elle entendit l'humain dire quelque chose qu'elle ne comprit pas tandis que ses camarades sortant des expériences se demandaient pourquoi ils venaient de perdre leurs pouvoirs.
Mhei, elle, commençait à comprendre.
On la posa de nouveau sur une table et, pensant qu'ils allaient lui retirer son pouvoir, Mhei ne réagit pas. Mais elle comprit qu'elle se trompait lorsqu'un autre humain arriva pour la retenir et que l'autre se saisissait d'un gros scalpel avant de l'approcher du cou de la jeune chatte.
Elle commença à se débattre et cette fois-ci, ses crocs réussirent à percer la peau de celui qui la retenait. Libre de ses mouvements, elle sortit en trombe de la salle et parcourut les couloirs en courant avant d'atteindre une zone à l'air libre. Sans savoir où elle allait, elle fonça dans ce qu'elle sembla reconnaître comme la forêt de son enfance.
Lorsqu'elle s'écroula, elle était presque morte de fatigue. Elle s'endormit et passa la nuit à portée des prédateurs, roulée en boule entre des racines.
Bizarrement, elle ne fut pas tuée pendant ce temps à découvert.
Le lendemain, elle recommença à marcher, sans but. Elle arriva face à un arbre géant et vit d'autres chats s'activer autour. L'un d'eux s'approcha d'elle, sans le savoir, et son pelage redevint normal. C'était un mâle brun tigré de vert à la queue étrangement divisée mais il devint un simple matou brun aux yeux verts.
Rassurée, elle voulut l'approcher mais il ouvrit grand les yeux en la voyant, baissa les yeux sur ses pattes, paniqua et s'échappa.
Mhei le suivit pour obtenir son aide lorsqu'elle déboula dans une clairière pleine de nouveaux chats dont les différentes mutations clignotèrent pour eux aussi s'afficher en chats normaux. Ils commencèrent tous à hurler et une grande chatte noire et blanche avec un troisième œil étrange sur le front s'approcha qui se résorba à une vitesse affolante pour la laisser seule chatte noire et blanche aux yeux verts et cria :

- Cachez-vous Caméléons ! Les illusions ne marchent plus ! Il y a quelque chose qui bloque mon pouvoir !

Cette meneuse aperçut Mhei du coin de l’œil et sembla comprendre ce qu'il se passait. Moins effrayée, elle s'approcha avec suspicion de la jeune chatte, accompagnée par des grosses pattes.
Ils abordèrent Mhei et lui expliquèrent gentiment mais très fermement que même s'ils étaient des Caméléons et qu'ils comprenaient qu'elle veuille les rejoindre, ils ne la laisseraient pas entrer dans leurs rangs à cause de son pouvoir mais ils lui indiquèrent un autre clan qui voudrait d'elle.
Alors Mhei s'y rendit.
Elle les trouva et devint une felinae. Mais jamais elle ne trouva une vraie famille.
Mhei est l'erreur. Mhei est une paria. Et dans un clan comme dans un autre, Mhei restera toujours Mhei.


   
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Dernière édition par Mhei le Mer 21 Oct - 16:47, édité 5 fois

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 21 Oct - 12:55


J'aime bien ton perso ^^ son pouvoir est......... intéressant :) ^^

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 21 Oct - 13:09


Bienvenue !

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 21 Oct - 13:11


FLUFF: y a écrit mon Dc dans "la vrai vie" je croix que c'est Yinzi :p

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 21 Oct - 14:00


Oh trop bien ton perso **

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 21 Oct - 14:30


Merci à tous ;)

Bien remarqué Thaiko ;D

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   Mer 21 Oct - 17:19


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