-Des amis tout simplement. Peu importe si leur relation sera fusionnelle ou juste de simples "copains" Annia et Annia voudront bien rencontrer de nouvelles têtes (sans mauvais jeu de mots *tousse*) et leur relation évoluera au fil du temps. Gardez cependant à l'esprit que quelque soit votre relation avec Annia Annia, elles ont chacunes des critères et des principes différents en terme d'amitié, vous attirez la sympathie de l'une ne vous attirera pas forcément celle de l'autre, et de même pour les relations plus confictuelles.

-Bien que ce soit franchement improbable, un(e) petit(e) ami(e) : La même restriction que pour l'amitié, votre personnage ne peux considérer qu'une SEULE des deux Annia comme sa copine (et ça s'anonce un peu compliqué alors bonne chance à lui/elle...) Et oui le genre du potentiel amour n'est pas précisé car Annia et Annia sont des adolescentes et donc leur orientation sexuelle n'a pas encore été vérifiée !

-Une ou des personnes l'effrayant : Ce serait l'une des relations les plus probable dans le cas où vous ne vous entenderiez pas avec une des deux Annia... car ni l'une ni l'autre n'est fonciérement méchante, rancunière et surtout pas agressive. Notez que si vous vous retrouvez dans cette situation avec la "premiere Annia" il y a d'avantage de chance qu'elle soit surtout plus impassible et désinteressée par vous qu'elle ne l'est d'habitude avec les autres.

(Note : je rajouterais d'autre relations plus particulière si jamais il y en a dans les différents RPs, et petit rappel : évitez de plannifier à l'avance une relation toute trouvée avec Annia Annia, la rencontre avec votre personnage devient limite sans intêret si l'on sait déjà comment ça va se passer...

J'ai presque peur, en vérité

J'ai presque peur, en vérité,
Tant je sens ma vie enlacée
A la radieuse pensée
Qui m'a pris l'âme l'autre été,

Tant votre image, à jamais chère,
Habite en ce coeur tout à vous,
Mon coeur uniquement jaloux
De vous aimer et de vous plaire ;

Et je tremble, pardonnez-moi
D'aussi franchement vous le dire,
A penser qu'un mot, un sourire
De vous est désormais ma loi,

Et qu'il vous suffirait d'un geste.
D'une parole ou d'un clin d'oeil,
Pour mettre tout mon être en deuil
De son illusion céleste.

Mais plutôt je ne veux vous voir,
L'avenir dût-il m'être sombre
Et fécond en peines sans nombre,
Qu'à travers un immense espoir,
Plongé dans ce bonheur suprême
De me dire encore et toujours,
En dépit des mornes retours,
Que je vous aime, que je t'aime !

Paul Verlaine