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Cendres, blasée et apathique, Felinae, Sans-Rang [Fini]

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Anonymous
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   Jeu 4 Fév - 19:58



Cendres
"Are you insane like me ? Are you deranged like me ? Are you strange like me ?..."

• Sur Felinae

• Nom : Cendres
• Sexe : Femelle
• Âge : 8 mois
• Clan : Felinae
• Rang : Sans-rang
• Race : X

• Pouvoir : Capacité d'explosion. Cendres n'est pas une bombe sur pattes, détrompez-vous ; elle peut simplement, par une onde de choc, désintégrer la matière. Cette explosion est de très faible portée, de 2 à 3 mètres maximum. Elle est particulièrement efficace sur la matière dense et dure, par exemple une roche. Elle n'a quasiment aucun effet sur un corps mou ou une plante, par exemple. Elle ne peut donc pas faire exploser un être vivant, naturellement. En revanche, la matière touchée par cette désintégration est retrouvée à l'état de … poussière (ou de cendres). Ce qui lui a valu son nom. Si elle est enfermée dans une caverne, par exemple, un éboulement suivra automatiquement l'explosion des roches aux alentours qu'elle aura provoqué. On peut donc penser que son pouvoir pourrait indirectement la tuer. Heureusement, il est bien fait. Sa puissance est plus importante plus la distance est courte. Il est donc le plus efficace autour de son corps, lui permettant de s'échapper d'un éboulement en lui laissant une certaine marge, puisqu'elle désintégrera les roches s’abattant directement sur elle pendant environ 1 minute après l'utilisation de son « explosion ».
L'utilisation de son pouvoir est bien entendu limité ; elle ne peut l'utiliser deux fois de suite, elle doit attendre un minimum de 1 à 2 heures. Mais elle ne peut pas non plus l'utiliser toutes les 2 heures.
L'intensité de l'explosion va aussi varier en fonction de l'intensité de ses émotions. Il lui faut un minimum de hargne et de rage pour la déclencher.
Pour son bien, il vaut mieux qu'elle ne l'utilise que quand c'est réellement nécessaire. Il peut donc se passer des semaines sans qu'elle ne l'utilise.
Si elle l'utilise excessivement, elle perd littéralement ses forces et son énergie et s'évanouit en cas de fatigue extrême. Son pouvoir ne pourra jamais l'auto-détruire car elle ne peut l'utiliser si elle est épuisée ; elle n'aura pas la puissance émotionnelle nécessaire, comme expliqué ci-dessus.

• Physique : Cendres est une petite et fine chatte grise comme la cendre, sa fourrure mi-longue n'aborde que très peu de nuances. Sa truffe est grise plus foncé, ses yeux sont bleus-gris ternes. Lorsqu'elle utilise son pouvoir, ces derniers deviennent oranges feu. Malgré le fait qu'elle soit encore jeune et qu'elle n'ait pas atteint tout à fait sa taille adulte, Cendres ne sera jamais très grande...

Spoiler:
En utilisant son pouvoir :

• Caractère : Cendres est une jeune chatte particulièrement morne. Elle ne sourit jamais, ne semble jamais heureuse ou satisfaite. D'un rapide coup d’œil, on pourrait penser qu'elle fait la tête sans arrêt, comme un chaton boudeur. Elle n'est pas du tout bavarde. Il peut se passer plusieurs jours sans qu'elle n'ouvre la bouche pour prononcer un mot. Elle est plutôt solitaire, elle n'a rejoint les Felinae que par « obligation », elle n'a pas l'âge de se débrouiller toute seule. Elle est très froide et absolument asociale. Elle n'est pas respectueuse et sa compagnie est des plus désagréables. Et par dessus tout, elle déteste, elle hait. Elle hait les autres, les humains, le monde. Sa haine profondément ancrée en elle fait de cette chatte un personnage apathique et plutôt détestable. C'est ce qu'elle dégage de l'extérieur.
A l'intérieur, Cendres est une chatte très perturbée et « froidement » folle. Elle a depuis longtemps perdu la joie de vivre et possède une certaine insanité d'esprit. Elle est pessimiste et presque impossible à persuader si elle pense avoir raison. Ses mots, pour le peu qu'elle en prononce, sont glacés et durs comme la pierre. L'espoir et l'amour ont été réduits en poussière et balayés à jamais de son cœur. Si l'on engage la conversation avec elle, on pense immédiatement qu'elle est complètement déjantée, dépressive et irrécupérable. La haine est son carburant, les ténèbres sont ses alliées psychologiques et sur son passages des cendres elle sèmera.

• Histoire : D'aussi loin que je me souvienne, j'étais collée au ventre de ma mère, moi ainsi que la portée à laquelle j'appartenais. Nous piaillions joyeusement, enivrés par le goût du lait et la flagrance maternelle familière et protectrice. Insouciants. Nous étions des chats errants, sans sécurité garantie. Nous nous cachions des hommes, ces étranges créatures à deux pattes, tantôt dans la puanteur des égouts, tantôt dans de grandes « boîtes » qui empuantissaient les ordures des humains. Mais j'étais habituée à ça, moi ainsi que ma famille. Maman disparaissait parfois la journée entière pour nous dégotter à manger. Il lui arrivait souvent de revenir bredouille. Trop souvent. Un de mes frères mourut de faim. Nous ne pouvions rien y faire. Ma mère restait forte. Et nous, nous étions trop jeunes pour comprendre. Nous avions plus à manger. C'était l'essentiel. Mais maman avait peur. Elle avait toujours peur. Elle nous murmurait tous les soirs qu'elle ne nous abandonnerait jamais, qu'elle serait toujours là. Généralement, nous nous endormions, bercés par ses murmures d'inquiétude. Je sais qu'un matin, alors que maman était partie, j'ai senti que quelque chose n'allait pas. Nous étions cachés dans une de ces fameuses boîtes, mais je nous sentais terriblement vulnérables. Nous étions sans défense. « Ils » approchaient. Ils étaient nombreux, et une odeur féline les accompagnait. Plusieurs, même. Peut être était-ce la peur ou alors le soulagement, mais une de mes sœurs a miaulé, alors tout s'est passé trop vite. Nous avons été découverts, arrachés à notre abri de fortune et portés brutalement jusqu'à un endroit bizarre. Nous miaulions, désespérés, désemparés. Nous appelions maman, mais maman n'est pas venue. Je ne me souvient plus très bien ensuite. Nous avons été enfermés. Le « sol » était dur et froid. Je voulais que maman vienne me réchauffer. Je ne me rappelle plus combien de temps a duré ce calvaire, mais celui qui suivit fut bien pire. Un jour, un humain est venue m'arracher à ma cage. Je tremblais de toute mon âme. Je me souviens avoir eu mal. Ils m'ont fait mal. Je leur miaulais d'arrêter, mais ils ne m'écoutaient pas. Ils s'en fichaient. J'ai eu mal. Maman n'était pas là. Les autres non plus. J'ai pensé que j'allais mourir de fatigue. Je n'avais plus d'énergie. On m'a encore fait mal, et je suis tombée d'épuisement. Tout est devenu étrangement noir et gris. J'ai traversé une longue nuit de souffrances, attendant de mourir. Mais non, la douleur s'était accrochée à mon petit corps gris et frêle.
Puis je me suis finalement réveillée. Quelque chose avait changé, mais je ne savais pas encore quoi. J'étais seule, enfermée dans une cage, éclairée par une lumière artificielle. Ma nourriture semblait arriver de nul part, toujours était-il que j'en recevais. D'où venait-elle ? Je ne pouvais comprendre. Je suis longtemps restée seule, m'habituant petit à petit à ma seule présence. Je me posais de moins en moins de question et vivait chaque minute patiemment. Je m'habituais à la fraîcheur du « sol » de ma cage. Je me familiarisais avec cette prison. Les hommes ne venaient plus me faire mal, et c'était tant mieux. Pourtant, cela ne dura pas. Un jour, fatalement, l'un d'eux vint me voir. J'avais peur. Je ne voulais plus avoir mal. Il commençait à ouvrir ma cage lorsque je bondis en avant et le griffai rageusement. Il eut un vif mouvement de recul et n'approcha pas. J'avais gagné. Il ne m'avait pas fait mal. Je retins la leçon. J'obtins même de l'humain son départ. Ils ne m'approcheront plus jamais. Je les déteste. Ils ne me feront plus jamais souffrir gratuitement. Pourtant, après cet événement, je ne reçus plus de nourriture. Faim. Sortir. Je n'en pouvais plus de cette cage, et au fur et à mesure des jours, je me retrouvais à devoir me coucher dans mes excréments. Mais l'humain ne revint pas. J'avais faim, j'étais courbaturée, mon pelage baignait dans la souillure de mes déjections. « Ils » m'ont enfermée là, ai-je pensé. J'ai mal. Ils me font encore du mal. Je suis épuisée. Attendant la mort dans ma cage. Faim. Soif. Je ne pouvais même plus faire ma toilette. Alors, un humain est venu. Quand il a ouvert ma cage, j'étais trop épuisée pour me battre. Il m'a prise. J'ai pensé à la nourriture. J'ai pensé à l'eau. J'ai pensé que j'étais sauvée. Mais on m'a mise dans un endroit avec d'autres chats. Ils étaient étrangement normaux. Et affreusement déboussolés. Une grande chatte s'approcha alors de moi. J'avais plaqué les oreilles en arrière et avait craché. « Ne m'approche pas ! » J'avais peur de tous ces autres. J'avais peur. Ils vont me faire mal. C'est ce que j'ai pensé. Mais la chatte resta sans broncher, à la fois pressée, inquiète et joyeuse. J'ai mis du temps à reconnaître maman. Elle était enfin là. Pourtant, je n'avais pas réagi. J'avais oublié. Ma mère resta néanmoins à mes côtés. Nous reçûmes de la nourriture. Je m'étais jetée dessus avec hargne. La chatte qui fut autrefois ma mère avait fait ma toilette dans les moindre recoins. D'abord méfiante, j'avais fini par la laisser faire. Nous étions restés longtemps enfermés, sans que rien ne se passe d'autre. Pourtant, le pire était à venir, et nous ne le savions même pas. Ils sont venus. Ce n'était pas les humains. C'était des chats, CES chats. Anormaux, différents, puissants. Je compris alors. Je compris en regardant leurs yeux. Nous étions la nourriture. Nous étions leurs jouets. Certains d'entre eux ne savaient pas et voulaient juste partir. Mais les autres nous fixaient. Faim. Ils étaient affamés. Mon cœur manqua de transpercer ma poitrine. Ils vont nous tuer. Avant même qu'un chaton puisse émettre un miaulement, le carnage commença. Les chats bizarres nous attaquèrent sauvagement. Nous étions à leur merci, sans défense. Je ne compris alors plus rien. Il y avait du feu, des chats qui volaient, des griffes démesurés, des yeux aux étranges couleurs, des chats qui mourraient sans avoir pris le moindre coup de patte... Ma mère s'était mise entre eux et moi. Elle semblait déterminée. Je n'avais pas bougé, terrifiée comme jamais je ne l'avais été dans ma vie. Tout est allé de travers. Il y avait trop de sang, trop de morts. Tout devenait étouffant. J'ai senti en moi gronder la peur. Un chat mutant m'arracha à la protection de ma mère pour me mordre à sang. Mal. Non, pas encore. Maman miaule de douleur. Elle hurle à la mort. J'en ai assez. Je ne veux plus avoir mal ! ASSEZ ! Alors j'ai explosé. Littéralement. La déflagration projeta mon assaillant loin de moi. Elle détruisit les murs qui étaient juste derrière moi. Alors la pièce entière s'effondra. Je me suis plaquée au sol, paralysée. Je me souviens de cris d'horreur et de souffrance. Je me souviens des hurlements paniqués. J'avais attendu la douleur, fatalement. Mais jamais elle ne vint. Les pierres ne vinrent jamais s'écraser sur moi pour me briser. Lorsque j'ai rouvert les yeux, la lumière du jour m'avait éblouie. Et j'ai vu. J'ai vu les cadavres à moitié ensevelis dans la poussière et les fragments de ce qui avait été notre prison. L'air puait la mort et le sang. J'ai cherché maman. Je l'ai trouvée. Morte. Comme les autres. Son dos faisait un angle bizarre. Ses yeux exprimaient encore l'horreur et la douleur que ces fragments pierreux nichés dans sa gorge, son ventre et sa patte arrière lui ont fait subir. Je veux fuir, mais mes muscles restent paralysés. Les hommes ont disparu. Fuir.
Je me souviens être restée là, devant son cadavre. Figée, brisée. C'est moi qui l'ai brisée. Maman. Je voulais m'enfuir loin de tout et mourir à mon tour. Mais je ne pouvais pas. Je ne me souviens pas combien de temps je suis restée là, à fixer l'expression horrible et éternelle de ma mère. Le sang qui coulait de sa gueule. Je l'ai brisée.
Cette fois-ci, je vais mourir. C'est pour maintenant. Mais des crocs m'arrachèrent à la catastrophe dans laquelle j'avais tant baigné. Des chats bizarres me miaulèrent des choses que je ne fus pas capable de comprendre, mais je ne me débattis pas. J'étais épuisée, affamée, mourante. Alors ils m'ont emmené. Dehors. Loin des hommes. J'ai comaté des jours durant. J'ai petit à petit compris qu'on m'avait recueillie. Mais je ne veux de personne. Je les déteste tous. Ils m'ont baptisée Cendres, parce j'en étais recouverte quand ils m'ont trouvées. Et c'est comme si elle n'avait jamais quitté mon pelage. Ne m'approchez pas. Je pue la mort. Et je vous hais.

Écrire ici

• Dans la vraie vie

• Pseudo le plus souvent utilisé : Ice Blue ou Lighty (Tempête de Foudre), mais du coup vous pouvez aussi m'appeler Cendres.. o/
• Âge : 17 balais
• Comment as-tu découvert le forum ? Euca'. C:
• Autre chose ? OUII, enfin mon DC ! ccx Aussi, oui, l'histoire de Cendres n'est pas particulièrement dramatique et tragique, de plus je voulais un point de vue plus neutre, plus naturel, plus "chat" quoi.. >.> Ah, et une dernière chose ; désolée de choisir une Felinae alors que nous sommes en sureffectifs, mais ça n'est que passager, une fois en âge de se débrouiller, elle va très certainement finir solitaire.. Voilà. :')

Quiz

Validé par Elli.

Code par xLittleRainbow


Dernière édition par Cendres le Ven 5 Fév - 17:04, édité 2 fois

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   Jeu 4 Fév - 20:43


Re-bienvenu déesse des dessins ! ♥ Et voilà ton fameux DC x'D

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Anonymous
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   Jeu 4 Fév - 21:06


Mercii beaucoup..! ;w; Vii, sympathique, n'est-ce pas ? xD /pan/

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Anonymous
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   Jeu 4 Fév - 21:14


Re bienv'nu :3. Cette DC est bien blasée dis donc XD. ♪Happy♪ X).
Nan sérieusement, je la trouve intéressante cette petite perso :3

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Anonymous
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   Jeu 4 Fév - 21:23


Merci beaucoup, j'ai particulièrement adoré travaillé sa psychologie.. x')

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Anonymous
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   Ven 5 Fév - 11:26


Rebienvenue !

Je suis navrée mais les Felinae étant en sur-effectifs cela veut bien dire que personne ne peut être intégré en plus à la Guilde. D'autant plus que, si c'est seulement temporaire tu peux toujours dire que les Felinaes ont confié Cendres aux Caméléons en attendant de voir ce qu'elle souhaitait faire et devenir. Sinon je sais pas trop quoi te dire :/

Pour la dernière question du quizz je te conseille de retourner voir ce sujet.

En espérant que tu ne seras pas trop déçue :s

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Anonymous
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   Ven 5 Fév - 13:10


Bienvenue a toi











































Bienvenue a toi :3:love:








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   Ven 5 Fév - 14:59


Blue : Cendres étant un DC, elle a le droit d'être felinae.

Il ne reste plus que la réponse exacte à la dernière question du quiz.

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Anonymous
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   Ven 5 Fév - 17:06


Ah j'ai eu peur, c'est bien ce qu'il m'avait semblé, qu'on pouvait avoir un Felinae si c'était un DC.. ^^'

Brefouille, j'ai corrigé, j'avais pas vu que ça avait changé, ma fiche n'était absolument pas prête depuis un mois, non non, donc voilà, et merci beaucoup d'avoir été aussi rapides ! ;w;

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   Ven 5 Fév - 17:13


Je valide donc ^^

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   Ven 5 Fév - 17:13


Mercii ! ^^

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Anonymous
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   Mer 17 Aoû - 0:10


J'archive.





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