Une fin de journée des plus banale, dans un monde totalement irradié comme on l'aime, allait s'achever pour laisse place à une soirée qui s'annonce tout aussi paisible que totalement vide d'activité.
Je dormais sur les branche d'un arbre sur lequel n'était pas présente un quelconque danger, usant de mon pouvoir me me maintenir alarme si présence d'une entité vivante et pourvue d'un système nerveux plus gros que celui d'une larve de mouche, quoique vus leurs taille maintenant cette argument et inutilisable.
J'aimerais surtout tombe quelque chose à mangé, une proie ça ne ferais pas de mal, surtout que j'ai bien envie de tue vus que CA m'énerve d'avoir la dalle depuis ce matin ! Même un chat à mange après l'avoir tabasse je serais pas contre !

Les minutes défilant pour se transformer en heure sombre vus que c'est la nuit et que la nuit est pas très lumineuse, un bruit se fis entendre, u' craquement de branche et je perçu, assez difficilement, un individu qui semblait se déplace avec lenteur à l'est de ma position, plus au sud-est en faite.

Jvais attendre qu'il passe pour lui bondir dsus Pensais-je

Le soleil n'allait pas tarde à se coucher. Le ciel rose-orangé en témoiniait. Le lumière palote du soleil tappais sur les grands arbres qui bordaient le sentier. Des cailloux roulaient sous mes pattes. Je quêtais un peu de gibier pour permettre au clan de festoyer ce soir. Une ou deux proies en plus sur la réserve de gibier ne serait pas de trop. L'air encore humide d'une petite pluie fine qui était tombée une bonne partie de l'après-midi. Les quelques nuages roses qui flottaient dans les ciel orangé n'était nullement menaçant et partiraient bien vite pousser par les vents. Une nuit étoilée se présenterait alors.

Je contouranais un arbra qui avait pousser en plein milieu du santé. Il était de petite taille et avait une écorce peu épaisse. Quelques baies rougeauyantes avaient poussé au milieu de son épais feuillage. De la mousse d'étalait sur ses petites racines toutes fines. Non loin un gros massif de fougère séparait le sentier en deux. Je passais sur la partie hautes bordée par des cênes de grande taille. Leur racines débordait sur le chemin. Je failli trébucher sur l'une d'elle.

L'envie de grimer dans un de ces grands arbres me prit et je me mit a escalader le deuxième. L'écorce était épaisse et douce ce qui rendait la grimpe encore plus agréble. Le parfum sucré de sève me monta au nez. Je m'assit quelque seconde au sommet de la belle plante puis redescendit. Je me mettais à marcher lentement sur le chemin caillouteux, les graviers roulant sous mes pattes.

Quand je passa près d'un autre chêne, un léger bruissement dans la pelage me permis de décéler une présence au-dessus de moi. Une présence plus ou moins....féline. Je me raidis et hérissait mon pelage. Instantanément, je sortit mas griffes que je plongeais dans la terre. Il fallait que je me calmes. Il fallait que j'arrêtes ses tremblements. C'est alors que je sentit l'odeur des Caméléons. Je me calmais automatiquement et lançait d'une voix tout de même engoissée, laissant en même temps ma fourure retomber sur mes épaules, rentrant mes griffes et arrêtant de trembler :

"Qui êtes vous ?"

Les quelques secondes à attendre une réponse du chat perchés dans l'arbre me parurent être des heures terribles.