L'humain tendit ses grosses pattes.Plume recula encore un peu.L'homme s'avança encore plus.Elle poussa un cri de terreur quand il la prit dans ses bras.Mais la voit de sa mère la rassura un peu.Un deuxième humain plus grand que le premier tenait fermement Lilas entre ses pattes.
"Ne t'inquiètes pas ma chérie.Ils ne nous sépareront pas,miaula-t-elle,de sa voix douce.
-D'accord maman."
Cette unique pensée lui réchauffa le coeur.Mais après une demie-heure de route,elle se rendit compte à quel point sa mère se trompait.
Les deux hommes relachèrent Lilas puis l'un d'eux s'avança pour ouvrir une porte.Lilas poussa un cri de douleur.Les deux hommes et Plume passèrent la pas de la porte et un des hommes refermèrent la porte.
Plume tourna sa tete vers les cages.Dedans se trouvait des chats à l'air las.Certains semblait jeune et apeurés,d'autres semblait plus vieux et discutaient avec leur voisin de cage.Mais quand ils sentirent l'odeur d'un chat,ils tournèrent tous la tete vers Plume.Puis ils se mirent à murmurer des phrases inquiétantes:
"Encore une jeune qui va se faire piquer.
-Taits-toi,laisse la découvrir par elle-meme toutes les horreurs qu'elle vivra ici.
-Ne t'inquiètes pas,ma chérie,ça ira,tu ne seras pas seule."
Puis,l'humain qui la portais ouvrit une cage et la poussa dedans.Les anciens continuais leurs radotages.C'est alors que Plume s'aperçue que sa voisine de cage (une chatte doré avec de grandes ailes) la regardais avec curiosité:
"N'écoutes pas les radotages des vieux !!!!
-Oui,je m'appelles Plume et toi qui est tu,un ange?

Assise dans ma cage, lasse et épuisée, je ne savais quoi faire. D'autres chats autour de moi miaulaient, certains apeurés et jeunes, d'autres anciens et désolés, il y en avait de toute sortes. Des grands, des petits, la plupart avaient quelque chose d'anormal. Comme moi, avec mes grandes ailes dorées. J'en avait marre des radotages et du vacarme que faisait les autres félins, alors je plaquai mes pattes dorées sur mes oreilles. "Je veux rentrer !" se lamentaient certains, "Que de victimes !" soupiraient les habitués. D'une humeur massacrante, ce qui n'était pas à mon habitude, je fixai le sol sombre, froid et dur de ma cage. Je n'avais jamais connu la liberté, je faisais donc parti des "anciens", même si je détestait qu'on me désigne ainsi, car j'étais très jeune. J'avais cherché pendant de nombreuses lunes des solutions pour sortir d'ici, goûter le vent frais et respirer de l'air pur, attraper du gibier, manger autre chose que ces immondes boulettes ! Là étaient tout mes espoirs, alors je me creusai la tête à chaque journée, mais malheureusement, personne ici, moi incluse, ne savait comment échapper à cet horrible prison ... Puis un grand vacarme se fit entendre et un Sans-Fourrure pointa le bout de son museau dépourvu de poils, portant une jeune chatte, tremblante, les yeux écarquillés de terreur. "Et une victime de plus" songeai-je. Les anciens commencèrent à radoter sur la petite chatte noire aux yeux ambrés. Je fronçai le nez à l'odeur du Sans-Fourrure, qui était pour moi, la pire qu'il soit. Puis il déposa la chatte, qui semblait n'avoir pas la force de résister, ou du moins pas l'envie, dans la cage voisine. J'allais avoir une voisine, je ne m'ennuierai donc plus à longueur de journée ! Puis je regardai donc la jeune féline avec curiosité, scrutant ses grand yeux jaune plutôt ambrés et son pelage noir charbonneux, puis lui miaulai d'une voix calme pour la rassurer : "N'écoutes pas les radotages des vieux !" Puis celle-ci me dit d'une petite voix, pas très sûre d'elle : "Oui, je m'appelle Plume et toi qui est tu, un ange?" Mes moustaches frétillèrent, cause de mon amusement, et je lui répondis, d'un miaulement posé : "Non, les Sans-Fourrure m'ont piquée ! Mais avant je vais te dire mon nom, je m'appelle Phénix Doré ! Je suis née dans une cage, mais je me suis fait le serment que je n'y resterai pas. Oh, mais tu n'as pas de transformation ? Je suis désolée pour toi, ça va être une épreuve ... Difficile ..."

Je ne comprenais pas ce que la chatte dorée voulait me dire.Un deuxième vacarme se fit entendre.Deux humains rentrèrent dans ce batiment que je trouvais si étrange.Je fronçai le museau  à cause de l'horrible odeur qui échappais d'une sorte de pot que tenait l'un des hommes.L'autre portais un petit objet qu'il tenait bien fermement dans sa main comme si il tenais un petit animal qu'il ne devait absoluement pas faire tomber.Ils s'approchèrent de moi.Je ne comprenais pas ce qui se passait.Mais apparament ce n'était rien de bon.En tout cas,ma voisine écarquillais de les yeux et béguayais:
"La....la pi....qure,cou...cou....ra....ge!"
OH NON !!!!Ils se mirent à ouvrir ma cage!L'homma à la piqure si j'avais bien compris Phénix Doré s'avança.Il pointa l'objet et lui enfoça.Plume poussa un s'évanouit!!!!

Puis deux Sans-Fourrure entrèrent, un avec la piqure et l'autre qui l'accompagnait. Ils s'approchèrent, criant des paroles incompréhensibles, une vraie cacophonie pour nous, les félins. Puis les deux Sans-Fourrure se mirent près de la cage de ma voisine. Plume allait se faire piquer, malheureusement pour elle ... Je me demandai quelle métamorphoses physiques allait-elle hériter, et si elle serait assez forte pour s'en sortir, et ne pas devenir un démon sans âme ... Un Sans-Fourrure ouvrit la cage de Plume, et sortit une grande seringue, imprégnée de substance rougeâtre qui, selon les connaissances de certains chats ici présents, était un sérum très puissant. Je pris une grande inspiration et hoquetai à ma congénère : "La....la pi....qure, cou...cou....ra....ge!" Puis une des deux créature dépourvue de poils s'approcha de la jeune féline terrorisée et planta son objet. Je fermai les yeux tout en priant pour qu'elle revienne comme moi et non en monstre, puis attendit. Lorsque je rouvris les yeux, la jeune chatte avait perdu connaissance, mais elle était toujours là, elle n'était pas devenue démon. Des vivats commencèrent à jaillir de la gueule des chats, et je me joignis à eux. Soulagée, je décidai d'observer quelles modifications physiques avait-elle reçu. La chatte avait désormais de grandes ailes grises, mais je n'apercevais pas son deuxième changement. Puis elle tressaillit et je pus distinguer une nouvelle griffe à chacune de ses pattes. Elle cligna des yeux et je lui murmurai : "Bienvenue parmi le monde des vivants !"

Les cris des chats me réchaufèrent un peu le coeur.Phénix me ragardait.Une lueur chaleureuse dansait dans ses yeux dorés.Je comprit alors une chose,je m'étais faites un amie.Puis,les chats se remirent à crier.Les hommes hurlèrent.J'aisseyais de distinguer les paroles des chats qui se trouvaent autour de moi:Ou est-tu ????Phénix doré venait de parler et je ne comprit pas le sens de ses paroles.Ou j'étais,mais dans ma cage bien sur !!!!Il passa à peu près une demi-heure.C'est alors que je commençais à avoir des maux de tete.Horrible.Puis Phénix me déclara:Ah tu as réapparus !!!!Je penses qu'après avoir vu ma tete,elle comprit que je ne comprenais pas ce qu'elle disait.La chatte aux alies dorés me regarda avec son regard intense et pénétrant.Elle se mit à crier:C'est ton pouvoir,tu comprends !!!!Plume a un pouvoireuuuh elle peut etre invisibleuuuuuh !!!!Dès anciens me souhaitèrent bonne chance des jeunes me félicitèrent.Mais malgré ça,ma mère me manquais....

"Waw ! C'est super, t'es invisible ! Il est trop bien ton pouvoir !" Je ronronnai et me frottai à elle, puis elle disparut et réapparut . Son pouvoir était il si incontrôlable ? Je décidai de me rendormir, me roulant en boule au fond de ma cage sale et froide. J'essayai d'ignorer les vivats et les acclamations des félins, mais il criaient trop fort, et le sommeil ne vint pas. Je continuai donc de regarder de mon regard pétillant et pénétrant la jeune féline aux ailes grises. Je vérifiai qu'elle n'était pas blessée, le Sans-Fourrure aurait pu la couper. J'aurais donc pu verser une larme pour soigner sa blessure, mais je n'en voyais aucune.

Ma voisine semblait heureuse mais pas moi.J'avais compris les limites de mon pouvoir.Avant de disparaître,j'avais versé une unique larme et c'est elle qui m'avaient fait disparaître.J'approchais mon museau un pot qu'un des deux hommes avaient laissé dans ma cage.J'en approchais mon museau mais l'odeur désagréable me fit froncé la truffe.Je voulais à tout prix un des écureuils que chassait ma maman quand nous étions encore toutes les deux près du grand chêne.

De longs jours passèrent tous aussi monotones les un que les autres.Chaque matin,je fit comme le jour précédent.Je me levais,discutais avec ma voisine,mangeait une de ces boulettes au goût et à l'odeur fort désagréable,puis je me faisait un brin de toilette,et ensuite,je cherchais le reste de la journée un moyen pour sortir (que je ne trouvais jamais),je dinais avec les boulettes tout en discutant avec Phénix Doré et je me couchais.

Puis un jour,un grand chat avec des ailes et un chat gris entrèrent discrètement dans le labo.Après une minute d'observation des cages,ils vinrent voir Phénix Doré.Ils lui dirent de venir avec eux dans un endroit ou il lui promettaient foyer et protection.La chatte accepta à condition que je vienne aussi mais les chats annoncèrent que ce ne serait assez discret.Puis après une minute de réflexion,
ils déclarèrent qu'une chatte viendrait me chercher le lendemain pour m'amener au même endroit que Phénix Doré et après les au revoir elle partit mais avant je lui annonçait que je savais comment j'étais devenue invisible et lui expliquait.Et puis,je redevint seule mais pour une journée seulement....

Les journées passèrent, aussi interminables les unes que les autres, répétant le même scénario. Le matin, je me levai très tôt, m'étirai de tout mon long, et fixai les autres félins autour de moi, certains faisant de même, d'autres ronflant, leur museau sous leurs pattes. Et moi, inlassablement, je grignotai quelques boulettes au goût ignoble, sèches et terreuses. Mais mon appétit me poussait à manger cette infâme nourriture. Puis j'attendais que Plume se lève, et à son réveil, nous papotions ensemble pendant de longues heures, sur notre vie, nos pouvoirs, tout ce qui nous passait par la tête ! Puis je faisais un brin de toilette, passant de grands coups de langue râpeux. Enfin, le restant de la journée, je scrutai le laboratoire dans ses moindres recoins, cherchant une moindre fissure de liberté dans cette cage cruelle.

Puis un jour, froid et triste comme toujours, un chat avec des ailes et un autre chat gris s'approchèrent de ma cage, ils n'étaient pas emprisonnés comme nous, ils étaient libres. Je les regardai avec des yeux ronds, entrer dans le laboratoire maudit. Ils regardèrent les cages et leur regard se posa sur moi. Gênée, je détournai le regard et regardai le sol froid de ma prison. Puis ils se mirent en face de moi et me dirent : "Salut, nous sommes là pour te sauver, nous te promettons un foyer sur et protecteur." Avec excitation, mais douteuse, je leur dis : "Euh ... Bonjour ... Vous ... Vous me promettez la liberté ? Je ... Ok mais Plume peut venir ?" Les deux chats se regardèrent interloqués, je leur montrais alors du bout de la queue la cage de ma voisine. Celui avec les ailes me répondit : "Je suis désolée, mais ça ne serait pas très discret, nous préférons donc t'emmener seule. Mais ne t'inquiète pas, nous enverrons un des nôtres pour la libérer." Hésitante, je fis mes au revoir à Plume, avec un pincement au coeur et une vague de tristesse. Puis le matou gris s'approcha de ma cage et souffla sur les barreaux. Ceux-ci fondirent comme neige au soleil et j'étais libérée. Ils me firent signe de les suivre et je fis un dernier regard à Plume, lui souriant. Je suivis donc les matous, sous le regard des autres chats, mécontents de ne pas avoir été choisis. Ils me firent passer par une brèche dans le laboratoire et je pus sortir à l'air libre. Le choc fut brutal. Je n'avais jamais vu l'extérieur. La lumière m'aveugla aussitôt et je dus cligner des yeux pour m'y habituer. Heureuse et libre comme le vent, je suivis les deux chats, cavalant à leur suite, une pensée pour Plume, qui était encore dans sa cage, emprisonnée. "Attend !" me cria le chat aux ailes, "Nous devons enlever ton traceur !". Je me tortillai pour l'apercevoir, mais je ne le vis pas. Les deux matous m'aidèrent à l'enlever et nous nous remîmes en route.

La chatte arriva me débarrassa de mon traceur et côte à côte nous partiment pour la guilde des felinae,nos pelage réchauffer par le soleil couchant....

[HRP : Je continue sur quoi après ? ^-^]

heu....ben quand t'arrive au camp,hum (je sais pas très bien).

Je clo se rp ça veut pas dire qu'on arrête de rp ensemble

Oui, mais c'est mieux de le clore, t'as raison

Féfé tu viens sur la cb si tu connectée?

Évitez de vous parler ici ^^"
J'archive.