Kaïgaan s'étira dans sa chambre individuelle, aux murs vides, ressemblant plus à une prison dissimulée qu'à une véritable caserne. La nuit avait été longue et il avait peu dormi, remuant de nombreuses pensées. Depuis sa rencontre avec Hishika, il se sentait vulnérable, comme si n'importe qui d'autre pouvait être au courant de son plan d'évasion, mis en place avec son ami Felinae, Gwei. Personne ne devait savoir, et ils étaient déjà trop nombreux. Beaucoup trop. Le soldat électrique avait peur que ses véritables intentions, libérer les prisonniers du joug des Hommes, ne se propagent. Il ne pouvait faire confiance à personne, et il se devait de doublier de prudence. Cependant, Kaïgaan faisait partie de ces chats qui n'ont pas vraiment d'estime pour eux-même, qui pensent beaucoup et qui sont très méfiants. Avec les derniers évènements, c'était un combo parfait pour dormir peu et penser énormément. Il devait aider les prisonniers, cobayes, victimes des humains. Mais il avait également peur pour sa vie, son avenir. Il avait peur que même en quittant les Hommes, ils soient toujours une partie de lui, qu'il n'arrive jamais à se défaire de son éducation de soldat. Car cela allait être ainsi. Même si par chance, il survivait à son évasion, même si les Felinaes l'acceptaient, il resterait toujours une création des Hommes, avec les pensées, les habitudes des soldats. Il ne se sentait pas à sa place chez les humains, mais ne serait jamais complétement un Felinae. Cela faisait des semaines que Kaïgaan se sentait perdu entre ces deux mondes.

Perdu une nouvelle fois dans ses pensées, il sursauta quand un supérieur vint hurler à sa porte, ordonnant à lui et à ses collègues de rejoindre la pièce principale où seront distribuées les missions et patrouilles du jour. Le soldat gris bailla avant de s'ébrouer, vaine tentative pour se réveiller. Enfin, il devait sortir. En passant la porte de sa chambre, les bruits autrefois sourds s’intensifièrent jusqu'à former une marrée de discussions en tout genre. Progressant à travers la cohue de soldat, Kaïgaan les entendait parler de leurs entrainements, des Felinae attrapés, de leurs batailles. Des sujets basiques, comme il en avait entendu des millier. Le mâle gris rayé de noir ne parla à personne et tout le monde savait qu'il était connu pour ne pas vraiment être du matin. C'était cela, Kaïgaan mettait du temps à se réveiller. Ses collègues mirent fin à leurs stupides conversations quand leur supérieur énonça leur travail journalier. Des patrouilles de reconnaissance, des surveillances, des infiltrations... Puis vint le tour de notre félin moqueur. Son chef de ligne lui annonça de son ton rêche que la patrouille de Kaïgaan se ferait en compagnie d'un dénommé Pelage de Nuit. Bien, un nouvel inconnu. Si d'un côté, le soldat électrique ne voulait tout simplement pas socialiser avec un autre soldat, il se disait que tous ses camarades ne devaient pas être de simples chiens des Hommes. Qui sait, peut-être que certains partageaient sa façon de penser. Les humains étaient des monstres faisant souffrir tous les chats qui pouvaient constituer une arme pour eux. Ils n'avaient que faire de la vie, seule la guerre les intéressait.

Il attendit de la marée de chat se disperse pour partir à la recherche de son coéquipier. On le lui avait décrit comme un chat noir aux ailes reptiliennes. Bien, cela n'était pas commun. En effet, après quelques mouvements de tête, Kaïgaan dressa les oreilles en voyant le chats correspondant à cette description. Il s'avança alors vers lui, sans grande émotion. Il était fatigué, pas encore totalement réveillé et partager sa matinée avec un autre soldat n'était pas vraiment sa vision du début de journée parfaite. Rejoignant le matou aux ailes de dragon, il le salua d'un ton à moitié endormi.

- Salut, je suppose que tu es Pelage de Nuit... Je m'appelle Kaï.

Kaïgaan dû retenir un bâillement avant de s'ébrouer pour se réveiller un peu plus. C'est donc d'un voix un peu plus vivante qu'il reprit la parole.

- Bon, on est censés patrouiller autour de la caserne, histoire de voir si aucun ennemi de s'approche de notre territoire.

En effet, Kaïgaan avait déjà eu vent de certains Felinae se rapprochant de la caserne, et plus particulièrement du laboratoire et de la ménagerie, pour essayer de libérer un des leurs. Enfin, cela arrivait rarement, la matinée devrait être calme. Bien, il pourrait essayer d'en apprendre plus sur son partenaire du jour, tout en collectant des informations pour sa véritable mission : Trouver une faille dans la sécurité afin de libérer les prisonniers.

Pelage de Nuit se trouvait a la pièce principal de la caserne et mangeait calmement et quand il eu fini fie sa toilette comme a son habitude Pelage de Nuit se léchait la patte et se la passait contre son front et regardait les chaton jouer et s'amuser repenssant a ces jours lointain jouant avec sa soeur et son frère,en pensant a cela,un air nostalgique monta en lui et failli le faire pleuré:heureusement son caractère farouche et confiant l'ampèchait de pleure comme une bébé,toujours dans ses pensé il n'entendit presque pas l'appelle de son nom pour les patrouilles de l'aube il se leva difficilement et alla rejoindre son supérieur.

Il ne pris pas attention a ce que lui disait son supérieur,son regard était braquer sur la porte de la caserne en pensant si un jours il c'échapperait de ce trou béant et retrouverait sa liberté,il n' entendi que le nom de son coéquipier de patrouille:Kaïgaan,selon lui un chat assez farouche pour avoir l'idée de s'échapper.Réjouie d'avoir un coéquipier qui n'aimait pas les humains autant que lui,il avait entendue des rumeurs sur se prénommé Kaïgaan,certain disait qu'il n'était vraiment pas d'accord avec se que faisait les humains,et qu'il faisait ça juste pour la nourriture,en fait comme moi.

Continuant a se toiletter il guettait d'un oeil un chat gris,blanc avec certaine tache noir avec des rayure bleus se qui passait inaperçue,contrairement a lui,qui était tout noir avec des ailes de dragon ce qui était,pour la plupart énormément dérangent,contrairement a se qu'on dit même des grosse ailes de dragon pouvais servir a quelque chose,pars exemple:se protégé d'une évantuel attaque et morsure,frapper et évanouir et bien sur voler. Regardant du coin de l'oeil si son coéquipier arrivait il s'étirait et commençais a se réveiller,même si il ne dormais plus la nuit,mais a l'aube et au coucher de soleil.

Il vit un chat pareil a la description de son supérieur s'avancé vers lui et le saluer d'un ton a moitié endormie.

-Salut, je suppose que tu est Pelage de Nuit... je m'appelle Kaï

Reconnaissent un chat très fatiguer Pelage de Nuit n'en dit pas plus puisqu'il n"avait écouter son supérieur il ne savait pas trop quoi dire il le laissa parler.

Bon, on est censé patrouiller autour de la caserne, histoire de voir si aucun ennemie de s'approcher de notre territoire.

Enjoué en reconnaissent là un jeune chat il se leva et lui dit.

Alors allons s'y,en passent moi je m'appelle Pelage de Nuit, mais appelle moi Night

En se dirigeant vers la porte de la caserne il vit la plupart des chats observé c'est ailes et entendie marmonner dans son dos, mais n'en pris pas attention, en continuant son chemin,il lui dit.

Je me demande bien si on a pas juste des chiens de Bipèdes ici.


R'ajouta t-il agacé.

HRP:

Pelage de Nuit semblait déjà plus réveillé que notre moqueur. Le matou ailé ne semblait pas dégager énormément d'émotion, ayant l'air d'un chat plutôt calme. Bien, Kaïgaan n'aurait jamais eu le courage de supporter un hyperactif aussi tôt le matin. Il se leva promptement avant de s'exprimer d'un ton calme, assez neutre à vrai dire.

- Alors allons-y, en passant moi je m'appelle Pelage de Nuit, mais appelle-moi Night.

Oui Monsieur, bien Monsieur. Néanmoins, cela détendit quelque peu Kaïgaan. Oh, ce Night n'avait rien dit de spécial mais Kaïgaan aussi demandait à être appelé par un surnom, Kaï. Disons qu'il se sentait un peu plus proche du mâle maintenant. Imperceptiblement. N'oublions tout de même pas que Kaïgaan n'était vraiment pas du genre à socialiser et à se faire des amis rapidement. Du moins avec les soldats. Le félin au rayures électriques s'arrêta quelques instants sur le physique atypique de son partenaire du jour. Il était noir aux yeux ambrés, quelques cicatrices parsemaient son visage. Ses canines avaient l'air plus longues que la moyenne également. Mais le plus visible demeuraient bien évidement ses ailes. Fait original, ce n'était pas des ailes d'oiseaux mais bien des ailes de ces grands reptiles appelés le plus communément des dragons. Hum, cela devait être bien utile de voler. Terra, Nyria, Night, autant de chats dotés d'ailes qui pouvaient voler en liberté. Cela devait être une sensation bien particulière que de ne plus sentir le sol sous ses pattes... Enfin, Kaïgaan se reconcentra sur le présent. En effet, Night commençait déjà à s'éloigner. Accélérant le pas pour le rejoindre, le mâle gris vit celui-ci remuer les oreilles en entendant quelques murmures à son sujet. Enfin, tout le monde parlait sur tout le monde dans cette caserne. Excepté Kaïgaan qui ne parlait jamais à aucun soldat, sauf s'il était obligé bien entendu.

- Je me demande bien si on a pas juste des chiens de Bipèdes ici.

Son agacement était clairement visible, mais ce sont ses mots qui firent lever les oreilles au félin électrique. Son intérêt pour ce chat ailé venait de grimper en flèche. Il plissa légèrement les yeux, lançant quelques regards autour de lui pour vérifier que personne ne pouvait les entendre. Néanmoins, il attendit qu'ils soient tous les deux sortis de la caserne pour enfin s'exprimer. Son ton était calme, détaché, essayant de se rendre le plus naturel possible.

- Tu n'es pas trop pour ce que font les humains n'est-ce pas ?

Aucune accusation n'émanait de sa voix, mais Kaïgaan ne montrait pas non plus qu'il était de l'avis de son partenaire. Pour l'instant, jusqu'à savoir ce que pensait réellement Night, il valait mieux rester neutre. Le matou électrique était naturellement méfiant, il allait prendre son temps pour en apprendre plus avant de donner son avis. Simple prudence, mais nécessaire. A vrai dire, il ne savait pas vraiment quoi faire en cas de réponse positive. Lui dire son propre avis ? C'était quelque peu risqué, il ne le connaissait pas vraiment. Enfin, tout ses collègues savaient que Kaïgaan n'était pas vraiment fan des Hommes, mais il obéissait tout de même alors n'avait jamais eu de problème. Bref, il fallait improviser avec sa réponse, il ne connaissait pas assez ce félin pour pouvoir l'anticiper.

(okay je l'enleve)

En continuant son chemin,le jeune félin ce demandais si il ni avait pas des chats dans cette caserne mais des chiens,maniaque des humains et dépendant,rendu dehor il pris une bouffer d'air frais.

Tu n'est pas trop pour ce que font les humains n'est ce pas?

Ohhhhhh que non! il m'on voler ma sœur et mon frère,en les transformant en un de ces monstre sans âmes et ça je suis pas près de l'oublier,si tu veux mon avis je partirait bien de se trou de chiens,oups je veux dire de chats maniaque et dépendant des humains...j'irai bien rejoindre les Felinae.


Rajouta t'il en lui fessant un gros sourire.

Et toi?

Rajouta t'il en s'arrêtant et le regardant d'un regard intérogatif.

Le mâle ailé répondit immédiatement, ce qui étonna grandement le soldat électrique.

- Ohhhhhh que non ! Il m'ont volé ma sœur et mon frère, en les transformant en un de ces monstres sans âmes et ça je suis pas près de l'oublier, si tu veux mon avis je partirais bien de ce trou de chiens, oups je veux dire de chats maniaque et dépendant des humains... J'irai bien rejoindre les Felinae.

Il prit le temps de faire un grand sourire avant de terminer par une simple question.

- Et toi ?

Kaïgaan le regarda quelques secondes, les yeux grands ouverts de surprise. Il jeta plusieurs regards aux alentours, voulant être certain que personne n'avait entendu cela. Le mâle gris s'attendait à plus de méfiance, ou au moins à un peu d'hésitation. Après tout, un tel avis pouvait entrainer de nombreux problèmes si les autres soldats venaient à le savoir. Un pion que ne serait plus sous le contrôle des Hommes serait remis en cage. Il servirait sûrement de reproducteur, de cobaye, ou serait tout simplement tué. Et voilà que ce matou lui révélait tout naturellement son ressenti. Il n'était pas au courant ? Ou peut-être s'en fichait-il, tout simplement. Kaïgaan lui avait certes demandé son avis sur les humains, mais il avait donné beaucoup trop de détails. Il y avait un fossé gigantesque entre dire que l'on était pas fan des actions des Hommes, ce que disait généralement Kaïgaan, et dire que l'on voulait carrément quitter son camp pour rejoindre l'ennemi. Oui, Kaïgaan prévoyait de le faire aussi, mais le dire à un autre soldat serait prendre un risque énorme. Enfin, il devait répondre à Night. Et puisque celui-ci n'avait pas sa langue dans sa poche, il valait mieux rester discret et flou. Mais également le mettre en garde. Un soldat qui souhaitait rejoindre les Felinaes, c'était assez rare, il devait l'aider un minimum. Il prit donc une grande inspiration, avant de soupirer longuement, prenant un ton mêlant agacement, surprise et bienveillance.

- Tu devrais éviter d'en dévoiler autant, surtout devant un soldat que tu ne connais pas. Si j'étais vraiment vicieux, je pourrai dénoncer tes intentions aux autres et tu retournerais en cage pour le reste de tes jours. La confiance est une illusion ici, soit plus méfiant.

Kaïgaan, qui était de nature très méfiante, ne pouvait tout simplement pas concevoir qu'un soldat soit à ce point naïf. Enfin, il avait de la chance d'être tombé sur un félin comme le mâle gris. Il ne le dénoncerait pas, bien entendu, et pouvait même le mettre en garde. Il continua donc sa tirade d'un ton un peu plus calme.

- Enfin, pour répondre à ta question, je ne suis pas non plus d'accord avec les Hommes. Mais bon, ici on a confort, nourriture et abri, je n'ai aucune raison de partir.

Non, il n'allait pas lui dire toute la vérité. Du moins pas avant de le connaître plus grandement. Si l'on ne pouvait enlever quelque chose à Kaïgaan, c'était bien sa méfiance. Et sa mauvaise estime de lui-même, bien évidement. Mais il n'allait certainement pas se dévoiler devant un soldat, partageant certes sa vision, mais manquant cruellement de méfiance. Enfin, peut-être que le mâle gris avait tout simplement un tête qui inspirait la confiance.

Tu devrais éviter d'en dévoiler autant, surtout devant un soldat que tu ne connais pas. Si j'était vraiment vicieux , je pourrai dénoncer tes intentions aux autres et tu retournerais en cage pour le reste de tes jours. La confiances est un illusion ici,sois plus méfiant.

ajouta le matou gris et bleu,accordant ce point il le laissa parler,

Enfin,pour répondre a ta question, je ne suis pas non plus d'accord avec les hommes. Mais ici on a confort, nourriture et abri, je n'ai aucun raison de partir.

QUOI!, moi, je préfère mourrir dans une cage cas être au service de ses humains,je te les dits moi, contrêrement a toi, moi j'ai une raison de partir de cet enfer ou nous somme nez, au pardon moi je ne suis pas nez ici, c'est pourquoi je veux retrouver ma liberté, pas comme toi, monsieur chat domestique, qui veux pas quitter les bipèdes!

Rajouta Pelage de Nuit très iritée., et continua son chemin le queue haute,il s'arrêta un moment pour parler,

De toute façon nous allons mourrir un moment donné,comme tout les chats.

Il laissa sa phrase en suspense et avait l'air de s'être calmer,

J'ai senti un renard par la allons voir,si il est encore la

disat t'il en se dirigeant vers le source de l'odeur.

Sans crier gare, le félin ailé s'énerva immédiatement, la queue fouettant l'air avec une irritation palpable.

- QUOI ?! Moi, je préfère mourir dans une cage que être au service de ces humains. Je te l'ai dit moi, contrairement a toi, moi j'ai une raison de partir de cet enfer ou nous somme nés. Ô pardonne moi je ne suis pas né ici, c'est pourquoi je veux retrouver ma liberté, pas comme toi, monsieur chat domestique, qui veux pas quitter les bipèdes !

Quoi ? Il était sérieux là ? Kaïgaan grogna et dû se contenir pour ne pas lui balancer ses quatre vérités. Ah, il contenait un peu trop son côté moqueur ces derniers temps, cela allait peut-être le rendre infecte à la longue. Non, il devait rester calme, sinon il allait trahir sa couverture. Et face à un chat ayant si peu de barrière, disant tout ce qu'il pense sans aune méfiance, il valait mieux réfléchir à chaque mot prononcé. Néanmoins, le félin moqueur n'eut pas le temps de lui répondre quelque chose d'un peu plus préparé que son partenaire s'arrêta pour s'exprimer d'une autre réplique, un peu plus calme.

- De toute façon nous allons mourir un moment donné, comme tous les chats.

Waw, c'était profond, merveilleux. Kaïgaan poussa un long soupir visant à le calmer un peu. Sans grand succès. Certes ils allaient mourir un jour, bien évidemment, mais le matou gris devait faire en sorte de mourir soit le plus tard possible, soit que sa mort soit vraiment utile. En effet, il avait réellement peur de mourir durant l'évasion des prisonniers. Tué par un soldat, par une arme humaine, ou victime d'une nouvelle expérience. Enfin, si les soldats l'attaquaient, il saurait parfaitement se défendre. Sa vie entière avait été vouée à l'apprentissage du combat, à maitriser parfaitement son pouvoir. Il savait aussi bien de battre que ses collègues, et ne se laisserait certainement pas faire par eux.

- J'ai senti un renard par la, allons voir s'il est encore la.

Kaïgaan grogna. Peut-être était-ce sa fierté, peut-être son côté moqueur, mais il ne pouvait laisser un chat parler de lui ainsi sans réagir. Après tout, il détestait que l'on se moque de lui. Le félin électrique rejoignit son collègue en quelques bonds, lui barrant la route. Il releva la tête pour le regarder dans les yeux, plongeant ses prunelles bleues électriques dans celles jaunes de Night. Il s'exprima alors d'un ton froid, glacial, agrémenté d'une touche de moquerie piquante.

- Tu préfères mourir que de servir les humains ? C'est exactement ce que tu es en train de faire, crétin. Tu es leur petit chien, leur pion qu'ils placent où ils le veulent. Toi qui veux tant être libre, vas-y, fuis. Mais les soldats te rattraperont et tu seras de nouveau en cage, à pleurer ta liberté éphémère. Tu es autant domestiqué que moi, qui suis né parmi eux.

Kaïgaan commença fit un tour de son partenaire, marchant en faisant rouler les muscles maintenant ses épaules. Il ne voulait pas spécialement être méchant, uniquement reclaquer la vérité devant les yeux d'un matou qui se croyait au dessus des autres. Pourtant Kaïgaan était le premier à se moquer des soldats dès qu'il en avait l'occasion. Mais Pelage de Nuit vivait dans le déni, aveuglé par sa propre naïveté. Il se disait libre, luttant contre les humains, différent des autres, alors qu'il vivait de la nourriture des Hommes, patrouillant pour eux. Ayant fini de faire le tour du félin ailé, il se replaça à nouveau devant lui, toujours son air froid et moqueur sur le visage. Mais cette fois ci, il leva la tête d'un air supérieur.

- Arrête de te prendre pour un résistant alors que n'es qu'un autre chien de tes maîtres.

Est-ce que Kaïgaan cherchait la bagarre ? Hum, disons qu'il essayait de résonner un félin d'un ton froid, cherchant délibérément à la provoquer pour lui montrer que ce qu'il croyait était faux. Donc oui, il cherchait la bagarre, ou plutôt qu'il n'essayait pas le l'éviter. Le matou gris avait laissé faire son côté moqueur, bagarreur et agressif, et cela s'avérait être très agréable. Même si Kaïgaan détestait les Hommes et prévoyait de faire évader les captifs, il n'en restait pas moins un soldat, élevé pour se battre. Il savait utiliser ses griffes, mais surtout les mots à son avantage.

Arrête de te prendre pour un résistant alors que n'es qu'un autre chien de tes maîtres.

Pelage de Nuit, la voyait bien un chat qui voulait le résonner, dans la raison que nul lui ou un autre chat pourrait s'enfuir de cette caserne de chat.

Je ne suis pas là pour me battre, même toi tu la avouer que tu était autant domestiqué que moi, alors fait de même, cours pour ta liberté, moi je reste ici juste pour la nourriture et le confort, mais je reste ici pour retrouvé ma mère, elle ma été enlevé a 5 semaine, je n'es même pas pue la voir une seul fois, alors je ne fais pas le malin, moi j'ai un objectif, retrouvé ma mère, sortir de se trou avec elle ou pas, mais je veux sortir d'ici, va, avertir tes petits supérieurs, qu'il essaye de me retrouver, je me battrais jusqu'a ma mort ou je me tuerais moi même je ferais tout pour revoir ma mère, alors ferme là, moi je vais par là

Pelage de Nuit détourna du regard le chat gris, continuant son chemin vers la source de cette immonde odeur.

Si tu veux reste là a regardé ta misérable vie, moi je vais vivre

Le félin ailé lui répondit calmement, comme si aucune expression ne pouvait transpercer son visage noir.

- Je ne suis pas là pour me battre, même toi tu l'a avoué que tu étais autant domestiqué que moi, alors fait de même, cours pour ta liberté. Moi je reste ici juste pour la nourriture et le confort, mais je reste ici pour retrouver ma mère, elle ma été enlevée à 5 semaines, je n'ai même pas pu la voir une seul fois, alors je ne fais pas le malin, moi j'ai un objectif, retrouver ma mère, sortir de ce trou avec elle ou pas, mais je veux sortir d'ici. Va, avertir tes petits supérieurs, qu'ils essayent de me retrouver, je me battrais jusqu’à ma mort ou je me tuerais moi même je ferais tout pour revoir ma mère, alors ferme là, moi je vais par là. Si tu veux rester là à regarder ta misérable vie, moi je vais vivre.

Sur cette tirade, il se détourna de Kaïgaan, poursuivant son chemin vers l'odeur qui lui tenait tant à coeur. Quant au soldat éclectique, il devait faire des efforts immenses pour ne pas laisser ses poils se dresser sur son échine. Pensait-il réellement que dire à tout le monde qu'il voulait s'échapper était le bon moyen de retrouver sa mère ? C'était pourtant évident qu'agir dans l'ombre était beaucoup plus sûr et productif. Kaïgaan cracha, ultime effort pour ne pas exploser, avant de suivre le matou noir sans un mot. Le raisonner semblait perdu d'avance et le félin gris n'avait pas le courage d'être patient avec un tel énergumène. Sérieusement, dans quel monde vivait-il ? Il voulait retrouver sa mère mais se disait prêt à mourir sans elle, quelle idée étrange. Il disait vouloir vivre mais avait l'air de tout faire pour mourir rapidement. Raaah, il ne valait mieux pas s'attarder sur les capacités de raisonnement d'un tel félin, c'était peine perdue.
Enfin, Kaïgaan le suivi donc sans dire un seul mot, la queue battante servant à exprimer son ressenti quant aux dires de son collègue naïf. Il avait lui aussi senti une odeur étrange, sans pouvoir mettre un nom dessus. Finalement, au bout que quelques temps de marche, l'odeur se fit bien plus forte. La bête, peut importe ce que c'était, était toute proche. Le soldat électrique sorti les griffes, écoutant sa méfiance naturelle. Les muscles tendus, il scrutait les environs à la recherche d'une quelconque forme de vie, sans grand succès. Au bout de quelques secondes de pur silence, il murmura à son camarade de patrouille :

- Tu vois quelque chose ? L'odeur est très forte.

A vrai dire, son ton était froid, glacial même. Son agacement parlait pour lui mais la concentration de Kaïgaan était tournée vers le danger potentiel.

Tu vois quelque chose?

Dit le soldat électrique, d'Un ton rêche et glacial

Normal, j'aurais pas due en dire autant, je suis un peux trop naïf, ça je le sais

Oui, pourquoi, tu ne le sent pas?le renard, radioactif, très laidSur un ton qui....était bizarrement, gentil et compréhensif, très bizarre.

Tu ne le sent vraiment pas?Lui dit-je, en penchant la tête vers la droite, curieux,

Je ne supportait pas les renard radioactif, manger ma soeur et mon père était déjà trop, ensuite manger se pauvre soldat, non merci, je ne veux pas voir de mort en face de moi.En se dirigeant vers la source de l'odeur, je lui dit, en ne retournant pas la tête,

Je suis désoler pour tantôt, je me suis emporter, je perd le contrôle de mes parole des fois, j'espère que je ne tes pas blesser.

Oui c'est vraie, je perd le contrôle de mes paroles, quand j'ai trop utiliser mon pouvoir, simple contradiction, il en faut.Tout a coup le renard bondit de sa cachette et sauta sur le félin, le plaquant au sol, sans qu'il puisse bouger d'un pousse, je bondit a mon tours et ouvrit mes ailes, fonçant sur le renard bavant, lui plantant mes cornes d'ailes en plein dans la peau du coup, le plaquant au sol, comme il l'avait fait avec le félin électrique, mais il fallait plus qu'un petit coup de corne sur son cou pour le tuer, me griffant en plein sur le ventre, le sang coulait et giclait, en me relevant, je faillit tombé sur mon coéquipier, j'ouvris la bouche et un tuyau de feu gros comme un lit deux place en sorti, brûlant a vif le renard, me rapprochant de l'autre chat présent, je lui dit,

Est-ce que ça va?D'un ton gentil et préocupper par lui

Le matou aux ailes de dragons lui répondit rapidement.

- Oui, pourquoi, tu ne le sent pas ? Le renard, radioactif, très laid.

Kaïgaan grogna légèrement. Comme ta face de gland, pensa-t-il. Mais non, il fallait une nouvelle fois retenir sa langue de vipère, piquante à souhait lorsque le soldat électrique était énervé. Il venait de dire que l'odeur était forte, c'est bien qu'il l'avait senti, tsss. Enfin il n'était plus à ça près, et la méfiance du soldat gris était supérieure à son énervement.

- Tu ne le sent vraiment pas ?

Oooh, il allait le rendre fou. Une odeur pareille, n'importe quel idiot pouvait la détecter ! Elle emplissait son museau, masquant toutes les autres odeurs aux alentours. Mais il devait rester concentré sur le prédateur, et non pas sur un collègue agaçant. Kaïgaan décida donc d'ignorer son coéquipier, sa queue battante montrant néanmoins parfaitement dans quel état émotionnel il se trouvait. Pelage de Nuit s'approcha de la source de l'odeur, avant de se retourner.

- Je suis désolé pour tantôt, je me suis emporté, je perd le contrôle de mes parole des fois, j'espère que je ne t'ai pas blessé.

Kaïgaan failli éclater de rire. Lui ? Blessé par des mots ? Oh, chéri, les mots était son arme, il les maniait comme il le souhaitait, et ce n'était certainement pas un soldat naïf qui allait le blesser. Il était né parmi les Hommes, avait grandi en devant s'entrainer chaque jour, au prix de nombreuses blessures, le tout sous les insultes des soldats plus expérimentés. C'était la naïveté contradictoire de Pelage de Nuit qui l'avait énervé, mais en aucun cas ses mots ne l'avait blessé.
Les deux félins venaient d'être déconcentrés, et c'est ce moment que choisi le renard pour se pointer. Une bête affreuse, bien loin du mammifère doux et roux dont on lui comptait les histoires. Celui-ci était nu, les yeux infectés de sang, la bave coulant le long de sa mâchoire. Il sauta sur Kaïgaan avec une rage incontrôlable, le plaquant au sol. Surpris, le félin feula, poussant sur ses pattes, mais incapable de faire bouger la bête à l'haleine putride.

Raaah, saleté.

Kaïgaan posa ses pattes sur le torse de l'animal, grognant à l'idée de devoir utiliser son pouvoir, ce qui allait encore lui brûler les pattes. Mais avant qu'il ne l’enclenche, le canidé poussa un glapissement de douleur, laissant le matou s'échapper de ses pattes maudites. Pelage de Nuit venait de le plaquer au sol, avant de se faire griffer le ventre. Kaïgaan allait sauter sur la bête, mais son partenaire se releva rapidement, laissant une marrée de feu jaillir de sa bouche, brûlant le renard qui poussa un cri strident de douleur. Le matou noir se tourna ensuite vers Kaïgaan, s'exprimant tout naturellement.

- Est-ce que ça va ?

Le matou gris fouetta l'air de la queue. Il détestait avoir besoin d'aide, être inutile. Oh, il savait qu'il aurait pu aussi flanquer une raclée à ce prédateur, mais l'utilisation de son pouvoir lui faisait mal physiquement, et c'était pour cela qu'il ne l'utilisait qu'en cas de réelle nécessité. Il répondit finalement à son collègue, toujours froid, mais bien moins que précédemment.

- Oui, je vais bien.

Observant la blessure de Pelage de Nuit, il rajouta, un peu plus gentiment.

- Ça va aller toi ?

- Ça va aller toi ?

Bizarre, il avait adoucit son ton, bof après l'avoir sauver, c'était le moindre qu'il pouvait faire. Je lui répondit en m'assoyant, en levant le patte et en la bougeant de haut en bas devant moi,

-Pfff, ça pourrait allez mieux, mais c'est pas un renard qui va mettre fin à ma vie, j'ai affronter plus que çaJe me mit à énumérer toutes les choses que j'avais subit. Les insultes des soldats plus expérimentés, les griffures que les autres me donnaient pour me forcer à m'entrainer, la douleur de la piqure et surtout la mort de mon frère, de mes propre pattes, forcer par les humains, ils disaient que mon frère était un gros inutile, même si sont pouvoir était très intéressant, il était très vulnérable au combat, il pouvait créer des portails lui permettant de se téléportée d'un à l'autre, il pouvait juste en créer deux en même temps cependant, si il en mettait deux en ligne, il pouvait projeter des jets bleus qui pouvaient blesser.

Bon changeons de sujet, je disait donc. J'enflamma ma patte et la posa sur ma blessure, grognant en sentant le contact brûlant de ma patte. J'avais découvert qu'en brûlant un blessure, elle cicatrisait mieux.
Je lui dit, d'un air décontracter,
-Bon bein, c'est pas tout ça, mais je pense que je vais être obliger de voler pour ne pas rouvrir ma blessure, je t'avertirais si le renard reviensCar oui, le renard avait pris ses jambes à son cous, courant comme un chaton qui à vu un monstre et qui rejoins sa mère. Je me leva d'un air paresseux, et ouvrit mes ailes, ce qui me faisait paraître trois fois plus grand, je m'envola, projetant un peu de sable sur les alentours, ne touchant cependant pas Kaï.

Pelage de Nuit s'assit avant de lui répondre, observant sa patte.

- Pfff, ça pourrait allez mieux, mais c'est pas un renard qui va mettre fin à ma vie, j'ai affronté plus que ça.

Oh, ça, Kaïgaan n'en doutait pas. Vu le monde dans lequel les félins vivaient, il se demandait si un chat pouvait encore n'avoir vécu aucune chose horrible. Même Terra, la demoiselle la plus innocente qu'il lui avait été donné de voir, avait vécu pas mal de choses... Ah, le soldat gris espérait, sans grande conviction, qu'un jour les chats pourraient vivre tranquillement, sans cette guerre continuelle entre son espèce et les Hommes. Pelage de Nuit enflamma sa patte, puis la posa sur sa blessure. Kaïgaan avait rapidement entendu parler de cette méthode pour faire cicatriser une plaie rapidement. M'enfin, ils étaient en ville, ils auraient pu tout simplement marcher jusqu'à l'infirmerie... Mais bon, il ne valait mieux pas s'attarder sur ces détails.

- Bon bein, c'est pas tout ça, mais je pense que je vais être obligé de voler pour ne pas rouvrir ma blessure, je t'avertirais si le renard reviens.

Sur ces mots, il ouvrit ses ailes et s'envola, secouant le pelage de Kaïgaan et l'obligeant à fermer les yeux pour ne pas que de la poussière y entre. Well, alone on the ground. Le félin gris leva les yeux au ciel, observant quelques instants son collègue. Des ailes. Comme Terra finalement, qui elle ne savait pas encore s'en servir. Il s'imagina voler lui aussi, sentant l'air frais parcourir son pelage. Mais contrairement à beaucoup d'autres chats, Kaïgaan était très bien sur terre. Certes, voler était un moyen de se déplacer plus rapidement, mais cela n'intéressait pas vraiment le félin électrique. Quoique parfois, après avoir utilisé son pouvoir, il aurait été bien content de ne pas avoir à poser ses pattes à terre. A vif, brûlées par l'électricité les ayant parcourues, elles lui faisaient atrocement mal. Il grimaça en se souvenant de la douleur qu'il avait dû endurer, en compagnie de Terra, à marcher partout après qu'un scarabée géant les avait attaqué. Enfin, ses pattes étaient guéries maintenant, même si, lorsque l'on écartait ses poils, quelques marques demeuraient. Bref, Kaïgaan commença à marcher, prenant la route vers la caserne. Ils avaient accompli leur mission : Vérifier qu'aucun intrus n'avait pénétré dans la ville.

HRP: