Je marchais déjà depuis un moment, je savais qu'on m'avait dit de ne pas aller trop loin étant nouvelle dans la guilde et encore jeune d'après eux. Cette endroit était étrange. Je levais ma tête, au loin je vis enfin ce fameux sentier, route empruntait par maintes humains. Je regardais autour de moi, pivotant sur moi-même afin de voir la végétation. j'aimais ce décor, cette végétations, je me sentais, comme chez moi si on peut dire. Je me mis à courir pour m'amuser, en directions du sentier sans prendre garde, en bondissant sur chaque grosse feuille que je voyais. Puis ma patte arrière droite ce prit dans une grande racine noueuse. Je tombais directe à plat ventre, le choc me coupa le souffle. Je clignais plusieurs fois mes yeux, pour les rouvrir complétement quand je compris ou j'avais atterrit. J'étais au bord du sentier, la moitié de mon corps étalé dessus. Je me relevas brusquement pour vite retournais en arrière de quelque pas.

-Je suis Vraiment stupide !

Je commençais à me demander si c'était une bonne idée de venir ici tout d'un coup. Non, c'est bon, il n'y a personne, je ne sens aucune odeur suspecte. Je me secoua pour faire passer ses doutes, tout en secouant mes ailes. Ça me faisait pensais que je ne savais toujours pas vraiment voler.

Et si j'essaie ?

Vite je regardais autour de moi, et là je vis un arbre adéquate à ce que je cherchais. C'était un arbre avec différente branche à chaque hauteur et des arbuste juste près du tronc. Exactement ce qu'il me fallais ! En vitesse je filais grimper sur ce tronc à l'aide de mes petites griffes et atterrit sur la première branche.
Alors que je me préparais à sauter,je relevas ma tête, de l'autre coté du sentier, je crus apercevoir pendant un instant deux chose briller.
Je secoua ma tête, surement mon imagination. Je me concentrais a nouveau pour mon saut, mettant toute ma puissance dans mes pattes arrières et sauta. Je battis de mes ailes aussi vite que je pus. Je ne sus combien de temps j'avais réussi à tenir mais je finis par tomber en plein milieux de l'arbuste. Je réalisais bien tard que ce buissons était infesté d'épines qui me piquère de tout les côtés. Je sortis ma tête du boissons en premier. Ma tête était par dessus pleine de brindille.

- Aouch ! Mais c'est que c'est piquants des épines !

Je sortis le reste de mon corps de cette arbuste, pour voir que des épines accroché mon pelage. je m'ebroua énergétiquement. Je m'assis alors et entreprit une toilette d'expert afin d'enlever toute ces épines.

-J'aime la nature mais il y a certaines limites tout de même ! Dis-je en marmonnant le temps que j’essayais d'enlevais une épine sur mon flanc.

Au bout d'un moment je compris que j'avais cessé de prendre garde à ce qui m'entourait, alors qu'on m'avais prévenus de ne surtout pas lâcher ma garde, et encore moins là-bas.  Ma patte avant droite toujours en l'air, je leva alors ma tête scrutant le moindre recoin de l'environnement m'entourant, mais ne vis rien. Aucune odeur, juste cette brise que je sentis, mais rien d'autre. Je reposa ma patte avant droite, avec toujours un air sceptique sur mon visage. Puis j' haussa mes épaules.
Je sentis qu'il y avait encore une démangeaisons.

-Je sens que j'ai encore une épine qui me dérange.

 

 
 

Alors que j'étais toujours entrain de chercher cette maudite épine, une chose me percuta de plein fouet, m'envoyant rouler dans l'herbe. J'en eus le souffle coupé, mais me relevas vite afin de voir l'origine de ceci. Mais à peine que je me retourne, j'aperçois un matou au pelage noir hérissé, les crocs à découvert et ses griffes luisantes, sortit. Il me regarde de haut en bas d'un drôle d'air. Moi je ne bronche pas, toujours choqué de ce que je vois.

-Alors petite sotte, on oublie la règle numéro 1 : ne jamais abandonner sa garde ? Se mit à parler le matou d'une voix fort moqueuse

Moi je suis toujours éberluée par ce chat sortit de nulle part. En plus il a une drôle de manière de m'appeler. Je cligne plusieurs fois des yeux, et je me décide enfin à savoir d'où il vient en reniflant.

Ca sent la ville, l'humains. C'est un solitaire ou un Soldat ?

Je réfléchis pendant un bon moment, ne sachant que faire. Ce matou avec les crocs et griffes à découverts, ne me semblait guère amicale. Si c'est un Soldat, un vrai, je me demandais si il dévorait l'âme. Je remarqua alors qu'il avait une drôle de chose attaché à son corps, mais je ne sus ce que cela était. Je me rendis compte alors que si il s'agissait bien d'un horrible Soldat comme Kaï me l'avais dit, je devrais fuir le plutôt possible. Je ne savais aucunement me battre et me défendre, et je détestais les combats. Je remarqua que je n'avais toujours rien dit.

Peut-être qu'il est gentils ? Il est peut-être comme ca parce que il pense que je suis méchante, quoique vus ca façon d'être et de parler...

Je secoua ma tête, et pris mon courage à quatre pattes. Je devais au moins essayer, et si cela ne marchais pas, il me restais une option : fuir le plus vite possible. Je lui souria et me mis à lui répondre :

-Bonjour monsieur non amical, mon nom est Terra et je viens de la Guilde des Caméléons. Et toi un Soldat ou un solitaire ? Et c'est quoi qui est accrochée à ton corps ?

J'attendis impatiemment sa réponse devant ce matou à l'attitude agressive.

Le chat en face de moi ne me réponds, continuant de grogner et d'y montrer ses crocs luisants. Moi je n'ose bouger de peur, je ne veux pas me battre, et le chat en face de moi, commence sérieusement à me faire peur. Alors que je m'apprête à faire un pas en arrière, il se remit enfin à me répondre :

-Je suis ton pire cauchemar, pauvre chatonne ! Sa voix est remplis d'une haine et d'une rage que je n'avais jamais entendus.

Et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il me bondit dessus, toute griffes dehors, crocs à découvert. Moi je ne fais aucun mouvement, je suis pétrifié sur place. Je sens une douleur qui me transperce l'épaule, la ou je m'étais blessée, lors de mon aventure avec Kaï. Je ne me peut me retenir de pousser un miaulement de douleur sous le coup. Le matou ne me lâche toujours pas, et la douleur et grandissante, le temps me semble s'être même arrêté, tant cela dure. L'impacte du saut qu'a fait le matou, ma cloué au sol. J'en ais le souffle coupé, alors qu'il mord toujours mon épaule, ce qui m'arrache à nouveau un miaulement. Puis l'odeur métallique du sang me prend au nez, ce qui m'alerta encore plus, augmentant mon stresse.

Mais il vas me tuer !

Je ne sais pas quoi faire, mon cœur bat tellement vite, le poids du matous est si écrasant, que je ne peux me déloger. Je suis complétement pris au piège. Puis je me souvins d'un des conseils de Kaï. J'allais être obligée de sortir les griffes et de frapper ce chat, mais je ne savais comment m'y prendre, je n'avais jamais attaquer personnes ! Je pris décisions et sortit mes griffes, je visa la ou il me mordait toujours. Je le griffa maladroitement, mais il me lâcha sur le coût, libérant mon épaule en feu enfin. Je tentas alors de fuir le plus rapidement, mais ma blessure saignante que j'avais oublié, me fit chuter gauchement. Le sang se mélangea à la boue sur mon pelage. J'étais désespérée, j'étais blessée, je ne pouvais pas fuir, et je ne savais pas me battre. Ce chat fous aller me tuer ! Je retournas en vitesse ma tête en sa directions, toujours couché par terre je ne bougeais pas. La matou si imposant avec son pelage hérissé, ses griffes longues et tranchantes sortit, ses crocs d’où perlaient quelque gouttes de sang. De mon sang. Je le regardas, ma peur m'avait littéralement envahis, figé sur place. Je ne fis plus aucun mouvement, mais dans la peur qui commença à me faire trembler, je lui cria dessus  de peur in contrôler, les yeux fermés , sans m'arrêter criant ces mêmes mots de désespoir  :

-Vas-t-en ! Vas-t-en ! Vas-t-en...Vas-t-en.

Toujours à terre et apeurée ce ce Chat face à moi, il se mit à éclater de rire à mes cris de détresse. Il s'arrête aussi rapidement que son fous rire avait commencé, et me regarda dans les yeux. Je ne voyais plus que ces deux yeux brûlant d'un haine, dont je ne sait d’où elle sortait. Il se met alors à lécher ses canines souillée de mon sang, ses canines pointues, celles qui m'avaient transpercé d'un coup dans mon épaule. Il émit un rire satisfait au goût de mon sang sur ses canines. Non : Je ne pouvais pas y croire ! Ce chat était complétement malade ! Comment un chat pouvait-il aimer cela ! Ça ne pouvait pas exister tout de même ? Il baisse lentement son regard vers moi. Je n'ose plus bouger, c'est à peine si je respire, tellement la peur et le stresse me compresse les poumons. La matou fonce sur moi d'un coup, je sens ses crocs attrapée mon cou, je ne respire même plus à ce contact croyant la fin arriver.

Il va me tuer ma parole !

Mais je le sens me tirer rapidement, me forçant à me redresser et donc d'être assis face à l'imposant matou sanguinaires. Moi je n'ose toujours pas esquisser un mouvement, la peur à paralyser tous mes muscles. Mais je n'aie pas le temps de comprendre que le matou me gifle avec sa pattes avant, ses griffes longues, luisantes et pointues, plongeant dans ma chair. Je le sens, mon visage et en feu. Et la force de l'impact m'envoie à nouveau par terre, dans la boue, m'écroulant sur ma blessure qui m'arrache un léger cris à cela. Je sens une légère pluie s'abattre sur Terre. Et moi je sens couler le sang sur mon visage, mais je n'arrive toujours pas à déterminer ou est-ce que le matou m'as touché. Puis j'entends un murmure froid à mon oreille. La matou m'avait rejoins sans que je ne m'en aperçoive. Son murmure est froid, j''ai l’impression que ses mots me transpercent.

-Alors c'est tout ce que tu as ? Tu ne m'as fait qu'une égratignure, c'est décevant...

Mes yeux s’ouvrir en grand. Il voulait quoi à la fin ! Que je le fasse saigner ? Mais je déteste me battre ! Je n'aime pas ça, je ne veux pas être un monstre ! Je ne sais même pas comment on fait ! Mais avant que je ne puisse penser d'avantage le matou me reprends par le cou à l'aide de ces crocs qui m'empêche de gémir, car il les a planté plus fort cette fois ci. Il me force à nouveau à m'assoir et je sens un liquide chaud descendre le long de mon cou. Je comprend alors qu'il s'agit encore de mon sang qui coule à nouveau. J'ai vraiment peur, ce chat va-t-il me malmener jusqu’à ma mort ? Mais à ma surprise le chat se met un hurler deux mots qui résonnèrent dans mon esprit, tout comme le cou de Tonnerre qui l'accompagna, aussi fort que son Hurlement.

-Maintenant bat toi !

Bat toi!

Je m'arrêta de respirer, ce chat, ce monstre face à moi voulais que je me batte moi ? Mais je ne savais même pas comment faire ! Mes yeux ne cessait d'alterner de droite à gauche sur la matou, je ne savais vraiment pas quoi faire, la seule chose que je me souvenais que mon amis Kaï le Soldat m'avait dit c'est de courir le plus vite possible et de m'éloigner. Je ne pouvais pas courir à cause de ma blessure, mais je devais au moins essayer d'esquiver les coups de ce monstres. D'une voix tremblante je pris parole au monstres face à moi :

-Je ne sais pas me battre.

A ces mots, avant qu'il ne tente quoique ce soit, à l'aide de ma patte avant droite, je lui projeta de la terre au visage, et m'empressa de bondir hors de sa portée. Je fus enfin à quatre longueurs de queue de lui, de son côté, droit. Le matou n'allait pas tarder à savoir ou j'étais passée, et j'ignorais comment il allait réagir, mais il n'était pas question que je meure aujourd'hui. Je ne pouvais peut-être pas courir pour m'enfuir, je ne savais pas me battre, mais je pouvais aux moins essayer d'esquiver ses coups. J'étais désormais debout, le pelage souillée entre sang et bous, et mes petites griffes prêtes à envoyer à nouveau de la terre en cas de secours extrêmes.

Alors qu'avec la légère pluie j’avançais toujours péniblement, espérant à tout prit que ce matou sadique avait lâcher l'affaire, mais je me tromper durement, puisque le matou atterissa subitement en face de moi. Il devait surement me suivre depuis le haut des arbres. Mais avant que je ne puisse faire la moindre esquive le matou plongea sous moi et se mit à me labourer mon frêle ventre encore fragile. Je sens ses griffes m’arracher, j'ai l’impression que du feu me brûle, mon cris est sourd car la douleur est trop forte, ma visions se brouille pendant un moment, sous l’intensité des nombreuses douleurs que je ressens. Puis a travers mes yeux entre ouvert je vois le matous à nouveau devant moi. J'ai l’impression que je vais m'écrouler à nouveau. Et j'ai peur de ce que la matou va me faire désormais, mais je me fiche, car j'ai l’impression d'être déjà au bout. Je le sens d'un coup me pousser vers un endroit, et je ne comprends pas ce qu'il compte faire. Veut-il me tuer dans un coin comme une vulgaire proie ?  Mais je ne peux pas protester, car je suis presque à bout de force, et je sens le liquide chaud sous mon ventre. J’atterris dans un endroit qui est encore sec, alors que je m'attendais à encore pire, rien ne vint. Avec un effort ultime je me tourne, mais je vois que le matou à disparus. Aussitôt, je m'écoule a terre sous mes membres tremblant. J’atterris sur le flanc et ne bouge plus un moment, essayant de me calmer afin de revoir nettement plutôt qu'une visons brouillé et assombris.

Est-ce que il est vraiment partis ? Ou bien est-il encore là ?

Je commence à lever ma tête afin d’observer mon ventre et mon flanc pour voir l’étendue des dégâts. J'ai du mal à voir car du sang s'écoule toujours mais semble s'arrêter. Enfaite je m’aperçois que c'est tout mon pelage qui est souillée de sang et de bous. J'ai mal partout, au moindre mouvement et je commence à être fatiguer. Mais je me force à me lever, ce qui fus très difficiles. Je commence à regarder autour de moi essayant de scruter le plus possible, mais mes muscle ne me tiennes pas longtemps, je me force donc à m'assoir. Je me rends compte que j'ai du mal à respirer, il faut que je me calme, si je sais un truc c'est que mon stresse et mon pire ennemies. Tout en me forçant à respirer calmement, je continue de regardais autour de moi, regardant chaque arbre, chaque buissons. Mais je ne vois rien et ne sens rien. Mais je n'ose faire aucun mouvement ou même partir. J'ai peur qu'il soit toujours la tapis dans l'ombre prêt à me sauter dessus à toute instant. De toute façon, même pour moi il m'est impossible de bouger pour le moment.

Le temps passa, mais rien ne laisser paraître que le matou était toujours la. Je n'osais pas bouger. Mon pelage commençais à s'humidifier à cause de la fine pluie. J'entrepris de commençais à faire ma toilette en restant surtout sur mes garde, pour arrêter le sang de couler des différentes blessures. Cela me picotait, mais je savais qu'il fallait le faire. Au bout d'un moment, la pluie cessa, et je n'entendis ni ne vis le matous. Peut-être était-il partit après tout ? Je me leva donc en douceur, mais cela ne pus m'empêcher d'émettre une grimace sur la douleur. J'avais l’impression encore que quelque chose me brûlait presque partout. Je fis quelque pas vers un buissons, hésitante comme jamais, mais je fus obliger si je voulais rentrer chez moi. Avec la plus grade peur, j’écartai le buissons. Mais je ne vis rien, à part le vide. Je retourna ma tête à l'arrière pour voir si cela n'était pas un piège, mais toujours rien. Aucun son, aucune odeur suspecte si ce n'est le senteur de la pluie sur l'herbe. Je leva ma tête soudainement, pour voir les branches des arbres, scrutant chaque arbres minutieusement, tous les sens en alertes. Après tout l'horrible matous étais venus par la avant. Mais la encore toujours rien. Je me décida alors de marcher le plus doucement possible, m'attendant à ce que le matou me saute dessus d'un instant à un autre. Mais toujours rien. Voyant que le danger semblait passée, j’accélérai l'allure, allant toujours de plus en plus vite, jusqu’à courir, qu'importe les douleurs brûlantes de mes blessures. Cela m'importait, je voulais rentrer. Je ne voyait presque plus devant moi ou sur le côté, je courais sur le chemin du retour machinalement, sans plus faire attentions a ceux qui m'entourait. Des épines me griffèrent mais cela n'avait même plus d'importance.
Ce chat était un monstre sadique.
Ce chat était tout simplement un vrai cauchemars pour moi.

J'archive! :3