J'ai été envoyé ici à cause que certains bleu croient avoir repéré une odeurs de Felinae dans les parages. Certains bleux sont vraiment crintif. Même pas capable de demander à un autres Soldats que moi d'aller inspecter les lieux. C'est peut-être à cause que je parrais fort et que les défis ne me font pas peur mais je m'en fou. Je veux juste pouvoir me reposer pour une fois. Je continue de marcher dans les égouts. Ça pue tellement ici comment comment un Felinae ne peut-t'il pas prendre ses jambes à son coup en sentant l'odeur immonde que dégage cette endroit ? Certe je n'ai pas l'habitude de venir ici mais il faut bien se douter que les Felinae vivent en forêt , là où le gibier gambade et où il fait l'attraper pour se nourir. Là où il n'ya qu'une forte odeur de boisés et de terres humide. Franchement ils sont si capricieux , que'ce qu'ils voudrait d'autres ? Au moins nous chez les Soldats se sont les humains qui nous nourrissent. Ils nous offrent des lits douillait aussi et des toits sur nos têtes. Comment un Felinae pourrais venir ici pour nous attaquer sans être jaloux de nos superbes instalations. Je fini par humer l'air et une forte odeur de Felinae parvient à mes narines. Je retrousse la truffe car l'odeur est immonde même comparé à celle des égout. J'imagine qu'il doit avoir trébucher quelque fois dans l'eau sinon je ne vois pas comment il pourrait autant puer. Je bande mes muscles et m'apraître à bondire sur l'ennemie.

J'étais la seule felinae qui en tant que sous-chef s'était dévouée pour partir en mission dans les égouts. Pff.. Quelle corvée ! Des égouts, quoi. Des égouts ! Si on met une sous-chef dans les égouts, de quoi elle a l'air ? D'un chaton, puant, sans défense. Mais bon, les apparences sont trompeuses, et c'est bien à mon avantage. Pourtant je suis l'une des plus grandes felinaes... Bah, d'une légère secousse je chassais ces idées et je me remettait à ma mission. Des soldats, mission d'infiltration... Awigen devait s'attaquer à des soldats. Pfft. Des soldats, toujours eux ! Pourquoi nous pourrissent-ils la vie ? Sans ces phénomènes complètement tarés, nous serions tranquilles. Mais bon, le monde est ainsi, le destin l'a décidé... Que peut-on y faire ? Tous les tuer ? Le plus pratique serait qu'ils deviennent dingues et qu'ils s'entretuent eux-même. Mais bon, je pense que ce ne sera pas la plus modeste des techniques. Une odeur qui puait encore plus que la peste me fait rapidement plaquer les oreilles contre mon crâne. Je me fait plus discrète maintenant, car je sais qu'un soldat gambade pas loin. Certainement que les humains, ces êtres qui me dégoûtent, avaient repéré ma position. Ils avaient tout un tas d'appareil bizarroïdes que nous felinaes ne connaissons pas. Après tout nous sommes des habitants de la forêt. Quoi de plus normal ! Un chat dans une forêt, en voilà un vrai ! Un chat avec les humains, en voilà un faux ! C'est évident non ?

Bon.. Concentre-toi maintenant, Awigen. Fit-je pour moi-même. Il se rapproche. Son odeur m'étouffe ! C'est tellement dégoûtant... Elle tira sa langue, et conclut : Baaah !


Un craquement se fit entendre. Un craquement dans les égouts ? Non, c'était plutôt des couinements. Des couinements de rat d'égout. Oui, un être vivant, qui marchait bel et bien, se faufilait par ici. Je me recroqueville dans un recoin puant, guettant une évidente apparition d'un éventuel soldat. Je dois me préparer à utiliser mon pouvoir... Enfin, il faut voir, ça dépend de qui il est... Si c'est un soldat de troisième ligne, pas besoin !
  Je plisse mes paupières, et j'attend, j'attend, j'attend...

Je fini par trouver la Felinae puis sans penser je lui saute dessus et la plaque au sol. Je lui dit d'un ton froids :
-Alors minette , on se promène sur le territoires des Soldats ? 
Je lui inflige quelque coup de griffe. Je suis un deuxième ligne bien sûre que je peux l'attaquer et même la tuer si je le veux mais ce serais trop facile. Pour l'instant je dois prouver à ces petits bleux que je ne suis pas leurs esclaves donc non ! Je ne tuerais pas la chatte. En plus cela ne serais pas un choix justicieux. Je vais plutôt me contenter de la blesser. Je vais lui donner une bonne frousse pour ne pas qu'elle revienne ici de si tôt. Je lui mord le coups et enroule ma queue autour d'une de mes pattes arrière pour ne pas la laisser me mordre la queue si elle essaye. Je mets ma patte sur sa poitrine et y enfonce mes griffes. Elle ne sortiras pas d'ici intacte je le promets ! Je la garde au solpour ne pas qu'elle réplique car je ne veux pas me mesurer à une chatte et devoirs la tuer mais bon c'est vraie que si je la relâche elle va surement sois s'en aller com e une poule mouillé ou sois rester pour défendre son honneur mais elle seras plus facile à épuiser si elle se bats contre moi que si je la garde au sol. Je la relâche et lui lance un regard défiant. Je m'éloigne et bande mes muscle en m'assurant que ma queue est encore enroulé autour de ma pattes. Je m'assure de bien me protéger puis j'attend qu'elle réplique.

Le soldat me trouve, et m'attaque. Il me maintient et m'afflige plusieurs griffures, avant de me mordre la gorge et d'enrouler farouchement sa queue autour de sa patte arrière. Ah, quel lourdaud ! Je vois bien que c'est un mâle... Il pue la pâté, cette chose immonde que les soldats mangent. Je n'ai pas besoin de l'éjecter qu'il se retire... Il bande ses muscles et tourne la tête pour s'assurer que sa queue est bien accrochée. Ainsi je lui lance, me redressant et m'époussetant la fourrure :

—  « Allons bon, il en faut de l'audace pour s'attaquer à une femelle de haut rang, dis donc ! Miaulais-je, un sourire en coin s'affichant sur mon visage. Il ne m'avait pas fait vraiment mal, quelques petites égratignures. Oh mais en plus, je te reconnais avec ces yeux bleus et ce pelage légèrement bleuté... Tu es Titan, mâle réputé au sein des soldats pour sa musculature et ses missions toujours accomplies ! Tu ne laisses pas un travail de filer entre les doigts. Et alors, tu es réduit à venir dans les égouts.. Ils t'ont bien eu !

Je m'avance petit-à-petit, discrètement pendant que je parle, plongeant mes yeux dans les siens. J'essaie qu'il se focalise sur mes iris verrons brillants dans l'ombre de ce lieu puant. Ainsi, je pourrais utiliser mon pouvoir pour l'éliminer et mener à bien ma mission. Ou alors, le réduire à filer, vu qu'il sera entièrement à ma merci.

Je me concentre sur qu'elle partis de la chatte je pourrais attaquer. Je fini par décider de mordre ses pattes mes avants je lui dit froidement:
-Je n'ai pas peur de Felinae...!
Je lui fonce dessus et essais de mordres dans une de ses pattes mais je la rate. Je fini par lui mordre la queue mais pas assés fort. Je crois que le fait que je respecte les chatte aille un effet négatif sur ma victoire maintenant peu probable. Je ne veux pas laisser cette chatte s'évader ! La petite peste ! J'essais de me calmer pour ne pas frapper le sol et la faire disparaitre dans une crevasse enflammé. Je me calme et me dit pourquoi ne pas l'effrayer un peu ? Je frappe le sol de ma patte avant gauche fort et le sol commence à se craquer. Il fini par s'ouvrire juste devant le femelle maintenant illuminé à cause des flammes bleu jaillissant du trou. Après 5 minute je le referme pour ne pas avoir de brulûre cinq minutes de plus plus tard. Je montre les croc et fixe la femelle droit dans les yeux puis un indésirable goût de lui obéire me prend. Je secoue la tête mais je me sens hypnotisé par la chatte aux yeux verrons. J'essais de m'empêcher de rester comme ça mais je reste figé le regard dans le sien. C'est officiel je déteste cette chatte ! Je sors les griffes mais elles refuse de sortire. J'essais de la distraire en ouvrant un cratère mais mes pattes sont cloué au sol. Je ne suis même pas capable de montrer ma rageenvers elle. Que'est-ce qui m'arrive ?!

Il frappa le sol de sa patte et un fissure se crée dans le sol, s'arrêtant net devant moi. Des flammes bleues sortent du cratère, mais elles ne m'atteignent pas. Quel beau pouvoir... Mais bon, il n'y a pas de quoi être jalouse ! Le mien est très bien, je dirais même mieux. Mais bon, tout le monde considère son pouvoir plus fort que celui des autres. C'est bien normal. Après, il referma brutalement la fissure, c'était certainement sa limite de temps. Mais, niai comme il est, caractéristique d'un soldat, il me fixait déjà dans les yeux. Je savais qu'il tentait des choses, comme bondir, sortir les griffes ou utiliser son pouvoir. 

  Il est à moi... Pensais-je. J'esquissais un sourire narquois pour exprimer mon triomphe. 

Je le manipulais; je le manipulais complètement. Je peux lui faire faire ce que je veux. Pour lui donner un avant-goût de mon pouvoir, j'exerce un geste de la patte, geste bien précis qui veut qu'il tourne la tête. Bien sûr il ne peut pas résister, il est hypnotisé. Il a encore un peu de conscience, mais bientôt plus. Il sait peut-être que je suis en train d'utiliser mon pouvoir ? Bah, ça m'est égal. Après tout, c'est un peu pour cela que je suis respectée de ma guilde.

—  « Tu m'en diras tant; tu n'as toujours pas peur des felinaes ? Ça m'étonnerais... Tu es complètement à ma merci, tu ne te contrôles plus. Je sais qu'après ça, tu vas me détester, et moi aussi; c'est déjà le cas, d'ailleurs - je pense que ça l'est pour toi, pareillement. Bon. Je ne sais pas quoi faire de toi. Je suis déçue, je te croyais plus fort, d'après les rumeurs. Mais bon, j'ai eu tort de me fier aux blablas... C'est mauvais de jouer avec les êtres humains. Je ne suis pas comme les soldats, moi. »

Après ça je tape au sol, qui dans le domaine de l'hypnose signifie au chat qui subit le pouvoir qu'il faut s'endormir. Quoi de mieux que du repos ? Comme on dit : après l'effort - même s'il n'en a pas fait beaucoup -, le réconfort. Bon, ce sera peut-être la seule fois que le matou noir bleu aura raté une mission, mais il fallait s'en douter, non ?

—  « Tu as envie de dormir... Tes paupières sont lourdes... Tes pattes sont ankylosées par le sommeil... Un... Deux... Et Trois ! »

Je suis maintenant sûre qu'il dormira paisiblement.

La chatte ne m'effraie pas. J'ai juste envie de lui sauter dessus et de lui arracher les oreilles mais je fini par tomber puis je m'endore. Je me réveille mais à voir ce qui se passe c'est un rêve. Ma tante Irma me regarde comme quand j'étais chaton. Je réalise quw je suis redevenue un chatons et que je suis dans la ménagerie. Une porte s'ouvre mais il est trop tard. Je vois ma soeur Aphrodite se faire prendre par les humains. Je me dit que maintenant je connais des techniques et que ces monstres vont regreter de s'en prendre à ma défunte soeur. Dans se rêve pourtant elle est là comme dans mon souvenir et je veux absolument empêcher les humains de refaires pleurer mes tantes Becky et Irma qui s'occupait de moi et de ma soeur car ma mère est morte en me donnant naissence à moi et à Aphrodite. Je cours vers les humains et en griffe un à la paupière puis il laisse tomber ma soeur et s'enfuit. Ma soeur commence à prendre une grandeur adulte et moi aussi puis elle me dit doucement de sa voix calme et si réconfortante :
"Merci"
Je fonds en larme dans son pelage roux et blanc puis elle me fixe de ses yeux vert en me disant :
"Ne t'inquiète pas , je suis là pour toi"
Je renifle un coup et lui dit tristement :
-J'aimerais que tu le sois encore....
Puis elle sont pelage devient de la poussoère lumineuse et comme pour me rassuré elle me dit :
"Ce n'est pas parceque j'ai grandie dans le royaumes des morts que je n'étais pas avec toi Titan..."
Elle me fixe de son regard chaleureux et disparait à mon plus grand regret. Je fini par me réveiller et bizzarement l'hypnose ne fonctione plus sur moi. J'ai perdu mon goût de la battaille envers la chatte aux yeux verrons. Ma soeur m'a calmé..Elle m'a rassuré et ma rendue le sourire. Je me mets tout de même en position d'attaque prêt à attaquer la chatte ennemie. Je lui saute dessus quand elle ne s'y attent pas et lui griffe le flanc avant de lui dire :
-Merci...Merci de m'avoir permis de parler à ma soeur.
Je souris à la chatte et lui griffe une oreille.

Comme je l'avais prévu, l'hypnose s'était atténuée après son sommeil. Donc, je ne cède pas à ses attaques et riposte :

—  « C'est avec plaisir ! On peut recommencer, si tu veux ! Miaulais-je en passant sous son ventre, le lui frappant à l'occasion avant de lui faucher les pattes, de pivoter et de le clouer au sol. Je l'immobilisais, mes pattes sur son poitrail. Après ce que tu as vu... tu es sûr d'être heureux avec les humains ? Je sais qu'au fond de toi, tu peux rester gentil... tu peux rester toi-même ! Les soldats t'on privé de ta soeur... ils t'ont rendu malheureux au point de les servir ! Un mâle comme toi devrait être rancunier. Vois les choses en face.. je te permets d'être heureux. Tu pourras retrouver ta soeur au lieu de songer à des cauchemars immondes que te créent les humains, ces cauchemars là où tu vois ton passé. »

Je plongeais une nouvelle fois mes yeux dans les siens, ils étaient vraiment d'un bleu éclatant; le bleu de ses flammes. Le bleu de la mer déchaînée. Mes iris, elles, étaient synonymes de paix et amour, de tolérance et de gentillesse. Je pouvais parfois paraître impitoyable envers le chats comme lui. Là, par exemple, ce n'était qu'un avant-goût de ma puissance. L'hypnose serait plus simple et plus durable, vu que j'avais une nouvelle fois eu un contact avec lui. Les minutes passaient rapidement, j'avais utilisé déjà cinq minutes d'hypnose. Plus que quinze. C'était suffisant.

—  « Tu peux me rejoindre. Tu l'as dans ton coeur. Écoute-le, ne refuse pas... Ne résiste pas... »

J'ouvrais grand mes yeux, avant de les plonger longuement dans les siens. Je ne savais pas si ça allait marcher, mais mes grandes paroles aidaient souvent au développement de l'hypnose.

Je secoue la tête et dit à la chatte :
-Je dois refuser...Je vais rester ici pour honorer mes tantes , ma mère et ma soeur. Je ne veux pas les abandonné même si plusieurs d'entres elles m'ont quitté...
Ma tante Irma encore vivante essais d'aider du mieux qu'elle le peut sa soeur Becky et elles compte toutes deux sur moi pour les aider. Je ne veux pas abandonner ces chattes qui m'ont élevé moi et ma soeur. Elles sont resté fidèle envers ma mère donc je dois faire la même choses. Rester fidèle envers ma famille. Je marche en m'éloignant de la chatte et lui dit :
-Au plésire de te revoire dans une prochaine bataille , Awigen.
Je ne connaissait pas le nom de cette chatte mais quelque chose m'a bien dit que son nom est Awigen. Je m'éloigne en prévoyant déjà ce que je dirais au jeunes bleux ayant été effrayé par l'odeur de cette Felinae. Je leurs dirais que ce n'étais qu'un rats provenant de leurs territoire bien que je sois maintenant impregné de l'odeur des Felinae.

Hors rp: