Je marche dans la Sylve le coeur léger comme l'air et la mine heureuse. Je me sens comme sur un nuage depuis que j'ai fait la connaissance de Levi , un sous-chef de Felinae. Je ne crois pas qu'il me connait car je suis inconnue comparée à lui. La chatte ailée la plus rêveuse des Felinae qui aime un Sous-chef qu'elle ne connait pas personnellement. Ceci est tout à fait incongrus ! Je ne peut pas aimer un chat que je ne connais pas ! Je m'assis gracieusement par terre puis me lèche mon unique patte blanche. Je me trouve stupide car j'ai l'impression d'aimer tout ce que je vois sauf mes ennemis ! Je deviens de moins en moins souriante en pensant à ce petit pépin qui ne rend pas facile la vie. J'essais de me rendre aimable et douce mais je me choque facilement dépendant de la cause et me mets à faire peur aux autres. Je ne suis pas une chatte facile et en plus je crains que je fait plus peur que d'autres choses quand j'essais d'être gentille mais je suis née chez les Soldats et moi je ne veux pas vivre une vie en solitaire. J'ai l'impressions que les gens sont gentils avec moi seulement pour se débarrasser de moi ! L'air piteux je me lève et continue ma promenade seule dans la Sylve. Tout à coup j'entend un bruit. Le coeur gros je me mets en position d'attaque puis oublie mes petits problèmes et sors les griffes. Après l'attaque des Soldats contre les Caméléons on ne sais jamais si les Soldats prévoie encore faire des victimes mais cette fois si sur les alliés des Caméléons. Je perçois un pelage noir et je me détend puis m'approche un peu plus du chats en question.
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Hail to the King
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Alec
Sam 21 Nov - 18:18
Je t'aime dans l'ignorance | feat. Nyria |
Qu'il faisait bon, ce jour là l'air été plutôt chaud pour un hiver. Les soldats ne semblaient pas présents dans le coin de la sylve, qui était plutôt bien évité des autres félins, Levi aimait s'y reposait, sur les champignons géants ou même sur le sol humidement chaud. Le mâle noir était couché sur le haut d'un petit champignon, quelques mètres au dessus du sol. Il était couché sur le flanc, les pattes rempliées près de son ventre foncé. Sa mèche était décalée sur le coté, laissant paraître ses deux yeux, et son front. Son écharpe cachait son museau, qui était rentré dedans pour plus de chaleur. Il dormait paisiblement, toussotant par moment, le tissus grattant son museau, ce qui ne lui déplaisait pas tellement que ça. Les petits plumeaux surplombant ses oreilles étaient gonflés, pointant vers le haut. Toute la froideur avait quitté son corps, le lugubre matou qu'il était est devenu un magnifique félin endormi, telle une vipère inoffensive. Il avait la gueule ouverte, formant un petit cercle permettant à l'air d'atteindre ses poumons. Il était paisiblement couché, ses oreilles figées, tourner vers Nyria qui rejoignait les lieux. Ses oreilles servaient de tourelles, permettant d'entendre le danger. Ses doigts de pattes frémirent, ses sens étaient en alerte dès qu'il eu entendu Nyria, pourtant il ne bougeait pas, dormant encore. La douce lumière provenant du ciel éclairait son pelage, faisant briller ses longs crocs. La plume accroché à son oreille était en train de valser dans le vent, bien maintenu au matou.
Je vois le matou noir endormie sur un champignon puis je prend un air tendue. Et si il se réveille et qu'il pense que je l'espionne ? Je suis stressée. Je suis debout en fixant le Sous-chef d'un air anxieux. J'invente des millions et des millions de scénario qui tournerais au désastre dans ma tête , trop apeuré de bouger et de le réveiller. Pendant un long moment je le fixe sans faire aucun sons puis je déplie mes ailes doucement pour m'envoler mais je ne veux pas. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de me coucher aux côté du matou au longue dents et ensuite m'endormir et oublier mes crainte pour laisser place au rêve et à la fantaisie mais je m'en empêche de crainte de me ridiculiser. Je prends une grande respiration puis tourne les talons mais je marche sur une branche morte par terre. Je ferme les yeux et me frappe la tête avec ma patte blanche. Je me trouve si stupide. Un sons sec et croustillant s'échappe de la branche maintenant couper en deux. Je tourne lentement la tête vers Levi puis pris silencieusement pour ne pas qu'il réagisse mal ou même qu'il se réveille en me voyant. Je ne veux pas me mérité le titre de l'espionne des Felinae ! Je fixe Levi d'un air apeuré.
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Hail to the King
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Alec
Sam 21 Nov - 20:35
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Crack. La branche écrasé par la patte de la pauvre Nyria appeurée. Ses deux tourelles auditives se tournent vers la provenance du bruit, telle la sentence se déployant sur le jugé. Ses deux pattes avants frémirent, puis d'un clignement d'yeux, il se retrouva devant elle, la fixant de haut, dans le noir, la mèche au vent. Son déplacement fut fluide, d'un bond agile, telle le vent, il s'était retrouvé devant elle d'un battement de cil. Il la fixa dans les yeux, ses deux crocs remontés telle la guillotine. Ses babines étaient retroussées, ses yeux brillants et menaçant, il était passé du beau matou dormant au terrible bourreau. Il la fixa, pendant de longues secondes, ses yeux froids perçant l'âme de l'amoureuse inconnue. Il ne bougea pas, les muscles tendus, pointant sous son poils lustré. Il la jugeait, l'inspectait, la fixait au plus profond d'elle même. Il se détendit un peu, ses muscles toujours bombés, après avoir reconnu la chatte ailée. Il la connaissais peu, mais l'avais déjà vu. Nyria, chatte noir et blanche ailé, aux prunelles d'améthystes, une combattante Felinae. Il arqua un sourcil, que faisait-elle ici? L'espionnait-elle? Que dirait-il si on apprenait qu'il dormait, lui, l'insomniaque qui doit veiller nuit et jour sur sa guilde? Il la fixait toujours et encore. Et elle? Que faisait-elle ici? Elle devait le suivre, c'était sûr. Non, pas forcément, peut-être que personne n'aime ce lieux, mais on peut très bien se promener sans objectif, ou même se perdre. Il souffla, laissant un nuage de fumée quitter ses narines pour agiter doucement la mèche de la femelle.
Je rougis puis fait un bref sourire. Je le regarde et prend un air surpris. Pense t'il que je l'espionnait ? Je me recule pour ne pa avoirs l'air trop pot de colle puis dit d'un ton nerveux: -Salut... Je me calme mais laisse échapper un petit rire nerveux. Je croyais que Levi était insomniaque avant...Je remarque qu'il dormait mais je ne le connais à peine donc je ne le sais pas. Je ne faisait qu'entendre des rumeurs au camp. Je m'assis puis le regarde toujours entrain de rougir. Mon coeur bats la chamade. Suis-je vraiment ici ? Dans la Sylve , l'air dans les nuages et le chat noir au quel mon coeur chavire devant moi. Je suis troublée. Je regarde Levi avec un air innocent puis soupire. Le silence reine longtemps mais à chaque battement de coeur je suis de plus en plus troublé du fait que je veux faire bonne impressions. Je finit par bredouiller: -Sa va ? Je me trouve ridicule. Dans une situation pareille ce n'est pas facile de garder son calme surtout quand le chat pour lequel tu serais prête à tout se tiens debout devant toi.
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Alec
Dim 22 Nov - 1:15
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Nyria s'assit, l'air faussement sereine. Mais le matou voyait bien, il voyait très bien que derrière ce " Salut " et ce " Ça va " ce cachait la peur de la femelle. Il voyait bien le rouge pointant sur les joues de Nyria. Il le voyait. Le mâle bomba le torse, se calmant aussi. Puis il s'assit doucement, la lumière du ciel éclairant son visage. Il redressa son regard toujours aussi perçant vers la femelle. Aimable? Froid? Distant? Que répondre? Il ne sait pas, il ne sait plus. Il se lèche la patte, montrant son gène devant le choix. Il regarda le sol, sa vue gênée par ses deux longues canines qui aurait pu égorger la femelle d'un seul geste. Il ferma les yeux, laissant un long moment de blanc s'installer. Puis il redresse la tête, toujours les yeux fermés, pour se placer droit face à la chatte noir. Il ouvrit doucement ses grises prunelles. Son air était toujours aussi froid, mais il savait, il savait qu'il ne devait pas être aussi distant avec tout le monde. Car la solitude tue, elle tue la vie. Mais la mort ne veut pas de la vie de Levi, il peut être seul, il le doit. Il agita sa queue, ses pensées se chamboulant. Sans vraiment faire attention, il répondit d'un ton doux et mielleux, d'une voix agréablement chaleureuse, à la femelle.
» Ça va, et toi?
Il se surpris lui même, redressant les sourcils, comme choqué par son ton. Il repris directement son air dur, respirant bruyamment pour tenter de cacher ses mots. Il soupira, un nouveau nuage de buée quittant son corps pour agité les poils de sa voisine. Il fixe la femelle, gêné par ses propres dires, du moins la façon dont il lui a répondu. Il fixa la femelle, maintenant son regard, se forçant à ne pas fixer le sol telle un lâche qui abandonne le combat de regard. Il respire à plein poumon, toujours aussi menaçant que depuis son réveil.
Je n'en crois pas mes oreille ! Levi me répond à moi une chatte qui ne représente surement aucun intérêt pour lui ? Je suis si heureuse et lui répond d'un ton chaleureux: -Ça va aussi merci. Je focus sur le fait que je dérange surement le matou mais sa présence me fait sentir importante pour quelqu'un car rare son les chats qui me répondent mielleusement après que je leur pose cette questions. Je le regarde d'un air déçu mais change tout de suite d'air après quelque seconde et prends un air quelque peu souriant. Je suis attristé de pouvoirs aimer mais de ne pas recevoir cette amours. Je me sens ridicule et surtout stupide. Je m'avance d'un pas vers Levi puis m'assois toujours en le fixant puis je baisse la tête et regarde le sol avec une mine triste. Je ne suis pas très satisfaite mais la vie n'est pas faites pour être juste n'est-ce pas ? sort les griffe puis dessine un coeur sur le sol mais je le détruit après un bref regard à mon dessin.
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Alec
Dim 22 Nov - 16:52
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Nyria semblait totalement euphorique à l'idée que le matou lui ai répondu si gentiment. Levi redressa la tête, pour regarder le ciel. Puis il baissa son regard vers Nyria, qui fixait le sol, la mine déçue, entrain de gratter la terre. Le matou regarda la pauvre chatte, ne voyant ce qu'elle dessinait. Il soupira, pourquoi la vie sur ces terres était si dur.. Le matou réfléchissait trop, laissant passer de longues secondes silencieuses, telle que si il était parti, cela se serait passer dans les mêmes conditions. Il fixa le sol, ses crocs caressant son propre poils. Il soupira. Il aimerai que quelqu'un lui prouve qu'il ne décédera pas seul, il aimerai avoir de l'amour, un corps chaud près de lui le soir, lorsqu'il n'arrive pas à dormir. Il soupira de nouveau, non-doucement. Il regarda de nouveau la pauvre chatte ailée, déprimée à même le sol. Il réfléchit un bon instant, un trop long instant. Le mâle soupira, puis regarda la pauvre femelle, il remarquait maintenant bien la forme déchiré sur le sol. Un cœur. Pour qui? Pour quoi? Le matou n'a pas connu l'amour, il ne peut que compatir avec elle, pour cette pauvre femelle qui aime un félin qui ne semble pas le savoir. La matou dressa sa patte, un petit nuage de poussière en naquît. Il posa ensuite sa douce patte lourde sur son épaule, un faible sourire forcé sur le visage.
» Je peux t'aidé, si tu veux.
Il tenta temps bien que mal de paraître gentil et chaleureux, en vain. Il regarda la femelle, de long instant dans les yeux, sont regard froid et transperçant. Il tenta de sourire encore plus, lui donna un air totalement idiot et forcé. Il laissa sa patte sur son épaule quelques instants, le temps de pouvoir attendre la suite de la discussion, la lumière provenant du ciel éclairait juste les deux félins, laissant briller les yeux gris du sous-chef.
Je tourne la tête vers Levi qui a mis sa patte sur mon épaule. Je lui réponds tristement: -Je ne crois pas que tu peux m'aider en ce moment... Je le regarde d'un regard profond puis baisse la tête et chuchote: -Je suis si tourmenté par ça ! Je rougie encore plus. Je ne veux pas regarder Levi de peur qu'il sois mal alaise. Mon coeur bats très vite et j'ai l'impression que je vais faire une crise cardiaque. Je ne veux pas qu'il ne me trouve bizarre donc je décide de monter la tête et je la tourne vers Levi mais j'ai trop peur qu'il m'ignore ou qu'il fasse un autres geste blessant donc je détourne le regard. Ma queue bat le sol pendant quelque seconde puis je décide de me lever mais je me rassis aussitôt. Je rentre et sors mes griffes nerveusement puis j'en ai assés. Je décide de me calmer. Je commence par prendre de grande respirations puis je ferme les yeux pendant un bref instant puis je les rouvrent. Le vent frais viens caresser mon pelage . Je finis par regarder autour de moi. Suis-je dans la réalité ou bien est-ce un rêve ? Je pris intérieurement pour ne pas me faire passer pour une folle car je me trouve déjà passés stupide. regarde le sol avec un air totalement gênée. Je sais que le matou se montre froids et désintéressé.
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Alec
Ven 18 Déc - 0:11
Je t'aime dans l'ignorance | feat. Nyria |
Le tourment et l'indiscision. Le matou connait ces deux sentiments qui lui rappelle son enfance dans les labos. Il appuie sa patte sur son épaule, serrant dans le silence ses crocs. Il retire sa patte après que la femelle ai rebaissé le regard. Le mâle se redresse, et d'un geste agile, disparaît dans les buissons et les champignons, telle une brise volatile. Il grimpe agilement sur un rocher surplombant la scène, fixant la chatte ailé maintenant seule, il voyait que la femelle avait un pincement au cœur, prête à en pleurer si elle le pouvait. Le mâle se plaqua sur la pierre, ignorant le sens du vent, fixant dans l'ombre la femelle. Il a préféré avoir à partir, qu'elle ne croit qu'a une pensée de lui, ou qu'elle puisse ne pas être gênée de pleurée, seule. Il lâcha un simple soupire, ses deux yeux luisants seulement dans l'ombre, ses deux crocs cachés sous lui. Il sort ses griffes, qui tentent de s'enfoncé dans la pierre, en vain, lâcha qu'un petit cris similaire à celui d'une chouette. Le vent soufflait face à lui, laissant sa mèche partir en arrière. Il serre les crocs, dans un crissement inaudible. Il s’aplatit encore plus, fixant la femelle avec conviction et attente. Il ne sait pourquoi ses pattes s’obstinent à ne pas bouger, le bloquant ici, à regarder une chatte pour qui il ne sait rien. Il ne sait rien de personne, il ne prend pas le temps d'apprendre à connaître les gens, il préfère partir, chasser, être utile. Mais ce coup-ci, Nyria le fait se poser des questions.
Je me sens tout à coup seule mais pas si seule que ça. Levi s'en va mais je me sens comme si une opportunité s'ouvre à moi. Je me trouve stupide mais un crie ressemblant à celui d'une chouette surgie des buissons. Je me dit que ce moment est comme mon enfance mais pas toute mon enfance. Ce moment ce rapproche d'un moment en particulier...La mort de mon père. J'avais ressentie de la colère et de la rage ce qui est tout le contraire de ce que je ressent en ce moment mais pourtant son absence m'avait ouvert les yeux et même donné l'opportunité de m'enfuir quelque jours après la mort de ma mère qui c'était en réalité enfui et qui avait eu ma demi-soeur Maniac avec un autres chat. J'ai commencé à me sentir moins seule dans ma famille. Je finis par me levé et je m'éloigne de la Sylve avec un regard neutre. Je souris et rentre dans ma tanière personnelle au camp pour me détendre.
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