Je m'étirais le long de mes muscles après une nuit de sommeil plus ou moins difficiles. La chaleur constante de la saison commençaient clairement à se faire ressentir. Le sommeil devenait compliqué, car même la nuit, il faisait toujours aussi lourd. Il n'y avait point de vue d'une petite brise rafraichissante. L'hiver glacial semblait clairement bien loin de cela. Je me levais ensuite et prit la direction du parking tandis que l'aube se pointait. Certes il faisait toujours aussi lourd est chaud mais c'était toujours mieux que le soleil tapant en pleine journée. Et puis, me brûler le pelage n'était pas très tentant aujourd'hui, la dernière fois, j'avais ressentis pendant un moment les effets néfastes. Je pense qu'en journée il est préférable de rester dans une zone d'ombre pas trop exposer au soleil si possible.
Je finis par arriver au Parking et trottant plus rapidement pour me rapprocher delà source d'eau froide pure. Je bus goulûment et sentis l'eau froide traverser ma gorge, puis mon œsophage pour finir dans mon estomac. J'en eu un frissons de la tête au bout de la queue, puis, hydrater à nouveau comme une plante, je repris chemin sortant de la ville engloutie dans le lever du soleil.
Après une bonne marche et un soleil plus haut qui faisait déjà grimper la température je finis par arrivé dans une zone boisée de l'orée ou on voyait des zones ensoleillé la ou l'herbe étaient desséché et d'autres endroit ombragé ou ça l'été moins. Il nous fallait encore des proies, et j'imagine qu'il est encore tôt, donc les chances de croiser une proie doit être potables.
D'ailleurs, le bruit d'une proie se fit rapide lorsque le doux sifflement d'un oiseau s'entendit à mes oreilles. Pendant quelque instant je l'écouta, puis je suivis le son pour le trouver sur une branche d'arbre. Je n'aimais pas particulièrement tuer les oiseaux, car j'aimais énormément leur douce musique, mais la survie de ma guilde primait par dessus tout. Aussi donc j’adoptai la position de chasseur, prêt à bondir, et dès que le moment fut, je sauta, chopant le moineau pile dans ma gueule, avant d’atterrir pile sur mes quatre pattes, la proie dans ma gueule.
Je déposais ensuite ma proie près d'un tronc d'arbre, avant de m'enfoncer dans les zones les plus ombragés, marchant comme une plume.
Quelques instant plus tard, les bruit de rongeur se fit et je le vis entrain de grignoter ce qui semblait être une graines. Ni une ni deux, je me cacha pour la prendre de dos, et je l'eus facilement. Elle devait surement être étourdis par la chaleur, car celle-ci n'avait pas beaucoup réagis. Ça devrait être comme ça avec toutes les proies, quoique évitons la pénurie, mais au moins ça avantage un peu ma guilde sur ce coup la.
Je revins sur mes pas, la ou se trouvait ma précédente proie, avant de prendre le chemin de la maison, car oui, le temps que je rentre, le soleil serait déjà haut dans le ciel, et je n'ai pas envie de me cramer le pelage. Je veux renter avant cela moi !
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