Une goutte d'eau fraîche s'écrasa contre ma truffe ce qui me fis éternuer pleinement, secouant du bout des oreilles jusqu'au bout de ma truffes tous le membres. Un vraie séisme cet éternuement dis donc ! Je me levais ensuite après un étirement matinale. Enfin matinale, cela faisait déjà un bon moment que l'aube était déjà passé. Je sortis pleinement avec un certain entrain, j'avais vérifier la réserves de plantes médicinales et le sentence était tombé. Le peu de réserves qui avait était assemblé durant la période glacière était mort et ne servait plus à grand chose. Il avait donc fallut jeter le reste. Mais le problème était présent, on n'avait plus aucune plantes pour soigner, et malgré que le dégel était la, la présence de maladie était encore en alerte en cette période. Si un félin tombait malade et que je n'avais rien pour le soigner, ça pourrait vite partir en épidémie et cela était un des scénarios parmi tant d'autres.
Si seulement il pouvait y avoir un second guérisseur ou guérisseuse, les choses seraient plus facile surtout avec une guilde qui désormais s’agrandissait. J’espérais parfois soit avoir un apprentie ou bien un félins qui viendrait dans la guilde avec des connaissances médicinales, mais ce n'était toujours pas le cas. Peut-être que ça finirais par venir maintenant avec la nouvelle saison qui arrivait.
Avec entrain j'avais courus dans la forêt, histoire dégourdir mes membres endormis après ce rude hiver glaciale. Après un soleil qui avait bougé de positions le temps que j'atteigne le lieu que je voulais, j'arrivais au ruisseau. Cette endroit avait recelait de plantes médicinales en période dure pendant la glace, alors malgré un dégel, je devais forcément trouver. J’espérais du mieux que je pouvais. Alors comme par une habitude si familière avec le temps, je fermais mes yeux et levais ma truffes à l'affût d'une de leurs odeurs, laissant simplement le ruisseau émettre un son.
Une odeur agréable me parvint, et je distinguais pile ce que je voulais. Pas loins du ruisseau, un peu à l’abri du soleil , dans l'ombre d'un tronc d'arbre, se trouvait de l'ail des Ours, reconnaissable à ses petites pétale blanches que je trouvais toujours mignonnes et leur milieu vert. Je m’élançais vers celle-ci pour les cueillir. Parfait !
Au même moment dans mon champs de visions j’aperçus ces petites fleurs tant connues de tous, surtout des femelles attendant des petites. De la Bourrache, mais oui bien sur !
J'en avais besoin pour les prochaines portés ! On ne sait jamais après tout ! Ou même pour de la fièvre se sera fort utile si une infections arrive. Après avoir cueillis en douceur de l'ail d'Ours, je m’élançait vers les petite fleurs de Bourrache toute jolie encore et en cueille un paquet tout en laissant le reste à la nature. Je me retournais satisfaite, intutile de trainer, rentrons directement.