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Quand la mort assemble les liens dissous par les secrets - Feat Idylle

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Anonymous
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   Sam 16 Déc - 16:45


La froideur qui gagnait mon corps au fur et à ma sure que je me trouvais ici, au fur et à mesure que je continuais de venir ici, au fur et à mesure que je continuais de venir pleurer ta triste mort. Le décor se prêtait bien à ce que l'on déplorait aujourd'hui, l'anniversaire de ta disparition, l'anniversaire de ce qui jamais n'aurait du arriver ! Je grognais doucement contre la pierre qui indiquait là où l'on t'avait enterré, avec quelques autres personnes qui t'appréciaient. Le tonnerre grondait autour de moi, mais je n'en avais rien à faire, je ne voulais qu'entendre ta voix, si belle et si douce, cette voix qui me berçait étant petite, cette voix qui me rassurait après mes nombreux cauchemars enfantins suite aux événements autour de nous. Une larme coulait le long de ma joue alors que je déposais doucement une des dernières fleurs de la saison auprès de ta tombe, la pluie se joint à celle ci, tombant en trombes d'un seul coup, trempant mon pelage de millier de petites larmes. Laissant le temps m'emporter, je me couchais doucement sur ta tombe, chantonnant alors avec douceur une comptine que tu appréciais quand j'étais enfant, les sanglots me gagnaient de plus en plus au fur et à mesure que je chantonnais, je ne pouvais plus supporter ton absence, j'avais tout pour être heureuse, mais rien pour ne pas être triste. J'avais tout pour être comme toi avant que tu ne nous quittes, mais rien pour être toi aujourd'hui. Je ne voulais pas que tu ais honte de ta fille, ta fille unique. Je hurlais mon désespoir, ma peine, ma douleur, ces souvenirs qui me frappaient avec une violence inouïe, ces mots qui retentissaient dans ma tête, au fond je savais que tu étais là, avec moi, à mes côtés, mais je ne supportais pas de savoir que plus jamais je ne pouvais te voir matériellement, autrement que dans mes rêves me faisant oublier la réalité. Cachant mes yeux avec mes pattes avants, je me laissais aller aux sanglots qui me prenaient, je me laissais aller à ma lâcheté, je suis désolée maman que tu ais à subir cette vision de ta propre fille. Tandis que je continuais de pleurer, une odeur familière vient doucement me chatouiller les narines, une odeur agréable, l'odeur de ma mère. Me relevant soudainement comme si j'étais dans la un rêve, je regardais autour de moi, ne voyant que les innombrables tombes humaines et félines surplombées des bâtiments des hommes, rien qui ne ressemblait à ma mère.

Pourtant, son odeur était bien là ! Je pouvais la sentir à travers la pluie qui tombait toujours plus fortement. Je continuais d'épier les ombres, ma mère pouvait-elle être encore en vie? C'était impossible ! Une petite voix dans ma tête me disait que je devais rêver, que c'était tout bonnement improbable, que ce genre de chose n'arrivait que dans les rêves. Je grognais violemment contre moi même, regardant à nouveau la roche qui représentait ma mère, si elle avait été enterrée ici, alors c'était impossible qu'elle en sorte n'est ce pas? Je ne sais même pas comment elle est morte en réalité, certains pensent à une attaque surprise des Felinaes, d'autres à un incident avec des monstres, et certains possèdent une autre hypothèse qu'ils n'ont jamais voulu me dévoiler, je ne saurais donc jamais pourquoi hein? Je me recouchais en soupirant doucement, fermant les yeux pour voir la silhouette harmonieuse de ma mère, je lui ressemblais tellement physiquement, la même souplesse, la même légèreté, je ne possédais que les couleurs de mon père, ma mère étant plus clair sur les extrémités du corps. Je revoyais ses beaux yeux verts, me fixant avec bienveillance alors que je m'endormais contre elle ou que nous allions tranquillement en vadrouille illégale sur le territoire des soldats. L'odeur continuait de me chatouiller les narines, ce qui m'irritait douloureusement, c'était probablement ma propre odeur déposée quelque part par des pertes de poil, ou bien alors une hallucination olfactive, m'enfin je n'en avais jamais été victime, alors je ne vois pas pourquoi d'un seul coup ça aurait lieu. Je séchais douloureusement mes larmes du revers de ma patte, j'étais une vraie raclure par moment, à m'effondrer comme ça au sol dès que je venais la voir, mais bon, la douleur était parfois plus forte que moi. Je me tournais doucement, chuchotant un dernier "Je t'aime" a sa tombe, me préparant à retourner auprès des autres soldats, personne ne devait savoir que j'étais encore venue ici pour pleurer sa mort, seuls mes proches étaient autorisés à l'entendre, sachant que Cupcake était la dernière personne qui me faisait me sentir un peu plus vivante qu'à l'accoutumée. Une ombre attirait mon attention au loin, une ombre flou et indistincte, qu'est ce que c'était encore que ça?

Je grognais doucement, sortant un peu les griffes, un soldat venait par ici? A en voir par les premières impressions ce n'était pas un soldat très vieux, ni même très musclé, je pouvais certainement me tromper, surtout par cette pluie cinglante. Ignorant cette ombre, je me tournais vers le ciel, celui ci étant presque entièrement noir, la nuit était tombée ici alors que je te pleurais hein? Je fermais les yeux laissant une bourrasque de vent m'ébouriffer le pelage avec violence et hardeur, cela me faisait énormément de bien, m'aidant en partie à cacher l'état dans lequel mes yeux étaient, c'est à dire pitoyable et gonflé. Je soupirais doucement en regardant mes pattes, recommençant alors doucement à chanter une petite comptine, en fait je me fichais de la présence au loin, je n'en avais rien à faire, si la chose voulait m'ennuyer, alors je lui ferai voir si elle avait réellement envie de continuer son bordel. Les mots commencèrent à monter de ma voix tremblante, des mots que je connaissais par coeur, des mots qui faisaient chavirer mon pauvre petit coeur. La chanson parlait d'une étoile cherchant sa voix dans l'immensité du monde, là où personne ne pouvait la remarquer, la où personne ne semblait différent de personne. Cette étoile était désespérée, ne voulant pas se contraindre à ne pas se démarquer, celle ci voulait un avenir différent, et à la fin celle ci arrivait enfin à son but, trouvant tout ce qu'elle avait toujours voulu. Un peu comme moi au final, bien que je n'ai pas tout trouvé. Il me manque tant de choses, comme peut être une famille, pas que je veuille des petits, ce qui serait impossible avec mon orientation, mais des frères et soeurs, un vrai père qui ne serait pas un vieux pervers narcissique, une mère qui ne nous aurait pas quitté sans explication pour partir rejoindre les étoiles, des cousins cousines, tantes et oncles, que sais-je ! Je souriais doucement, me tournant doucement vers la tombe à nouveau, léchant doucement le bijou que portait ma mère autour de son coup, je n'avais pas souhaité le récupérer, de peur de le perdre, si je partais, alors je le prendrai, et je le protégerai au péril de ma vie, ce pendentif en cristal violacé brillant d'une lueur rosée.

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Anonymous
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   Lun 25 Déc - 17:14


Quand la mort assemble les liens dissous par les secrets

ft. Kamishio ♥️
Encore une fois, pardonne moi...

La pluie battante fouettaient avec ardeur les vitres de ta chambre. Ce soir tu te sentais mélancolique, tu ne sais pour qu'elle raison. Pourtant, la veille, tu t'étais plutôt bien amusée. Tu avais passé la journée à t'entraîner avec un drôle de matou un peu ronchon sur les bords mais qui t'avais paru si attachant.  Alors pourquoi tant de peine ? Tu n'avais rien fait de la journée, tu étais restée là, allongée la tête sur les pattes à observer la fenêtre. De temps en temps tu t'endormais, bercée par une douce chaleur inexistante. Tu n'avais que sept mois et tu te sentais si seule...

Certaines de tes camarades t'avaient dit :"Trouve toi un compagnon, comme ça si tu t'es toute tristounette tu pourras sécher tes larmes dans son pelage", d'autres ont ajouté "Tu es si jolie ! Tu n'auras aucun mal à te trouver quelqu'un" et d'autres encore (qui n'ont pas fait long feu) "Même ton propre père te cours après !". Mais non. Tu n'avais pas envie d'un compagnon, tu n'étais jamais tombée amoureuse. Cela ne t'intéresse pas pour l'instant. Il te fallait quelque chose de plus profond, un sentiments de sûreté, tu voulais te sentir protégée. Mais par quoi ?

Tu soupires. Il faisait nuit mais tu n'en pouvais plus, tu avais besoin de te défouler. Tu réajustas ton petit sac puis, à pas de loups, tu te faufilais discrètement dehors, direction le cimetière. Pourquoi le cimetière ? Pour y voir ta mère, celle qui aurait pu te procurer cette chaleur manquante à ton petit cœur. Si tu ne l'avais pas tuer, elle serait là à te dorloter. Enfin bon, on ne peut pas revenir en arrière... En sortant, le vent malmena ton corps de chatonne et la pluie gifla ton visage. Mais peu importe, tu avais réellement besoin de te rendre au cimetière, pour lui parler, chercher sa présence, t'excuser pour la millième fois.

Dans la pénombre, tu avançais paisiblement malgré la boue qui te collait aux pattes et les bourrasques qui manquaient de t'emporter. Tu slalomais entre les arbres, les buissons, puis bientôt entre les tombes et les chrysanthèmes. Tu savais très bien où elle était et en quelques bonds tu y étais arrivée. Cependant, un autre chat s'y trouvait. Sur sa tombe. Sur ses chrysanthème. Tu plissas les yeux, espérant distinguer plus facilement le félin. Rien à faire, la pluie bloquait tous tes sens. Tapie derrière tes ronces, tu tentais de t'avancer. C'était une voix douce, nostalgique. Elle chantait une comptine apaisante, une pierre violacée entre les pattes. Tu aperçus son pelage, semblable au tiens d'ailleurs. Tu penchai légèrement la tête sur le côté et, plus qu'intriguée, tu décidais de la rejoindre. Silencieusement, tu t'assis près d'elle et écoutais sa rassurante berceuse. Tu sentis la chaleur qui émanait de son corps, tes muscles se décontractèrent doucement si bien que tu en oubliais la pluie diluvienne.

"Encore pardon... Si tu étais encore là, tu aurais pu entendre cette si douce mélodie." fis-je d'une voix cassée, une larme roulant sur mon pelage ondulé.


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Anonymous
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   Ven 5 Jan - 22:51


Une voix se fit entendre près de moi, une voix enfantine, une voix douce mais une voix larmoyante, cette voix provenait d'une silhouette plus petite et plus fine que moi, mais similaire au niveau de la forme. Continuant cependant mon chant sans y prêter attention, j'entendis cependant la tristesse dans sa voix, et surtout les larmes qui menaçaient de briser celle ci. Qui était cette personne? Pourquoi me ressemblait-elle? Pourquoi était-elle ici? Je ne l'avais jamais vu auparavant, et comment dire qu'il m'arrive de venir très souvent quand je ne me sens pas en état de continuer quoi que ce soit tellement je pense à elle. Ma mélodie se finissait doucement, alors à ce moment là, je regardais attentivement la nouvelle venue, d'un oeil attentif bien que méfiant. Déjà, c'était une jeune soldate, probablement de mon rang, sans aucun doute, celle ci était plus menue, mais avait d'étranges cristaux sur le dos, des cristaux d'une étrange couleur violacée...Attendez, pardon?! Ouvrant la bouche interloloquée, mes yeux passant de ses cristaux au cristal entre mes pattes, qu'est ce que cela voulait dire? Ma mère avait-elle eu une autre portée? Avec qui? Pourquoi sans me le dire? Est-ce que cela voulait dire que nous étions liées par les liens du sang? Que nous étions de la même famille? Que nous étions soeurs? Demi-soeurs? Quelque chose du genre? Je n'en revenais pas, c'était totalement impossible ! La pluie s'abattit sur nous avec violence à ce moment là, comme pour me rafraîchir les idées alors qu'elles étaient toutes si distordues et confuses, mon incompréhension devait se voir à des kilomètres à la ronde, même à mon odeur ! Une odeur familière me venait aux narines, ramenant des souvenirs douloureux et faisant remonter les larmes près de mes yeux, maman qu'as tu donc fait? M'as tu caché ces choses? Pourquoi? Je me sentais au fond trahie, bien que je savais qu'il y avait une explication probable, je ne sentais rien qu'une profonde tristesse ainsi que de l'incompréhension. Les larmes s'échappaient de mes yeux, rejoignant celles qui avaient coulé quelques minutes plus tôt, je ne pouvais définitivement pas y croire, définitivement pas vivre sans ta présence près de moi, je suis désolée maman, je suis quelqu'un de faible au fond n'est-ce pas? Je commençais à m'essuyer les yeux du revers de la patte, en les frottant rapidement, tout en parlant d'une voix cassée par les larmes.

"-Qui..." Je reniflais, les larmes s'accentuaient sur mon visage, coupant mes phrases et m'empêchant totalement de parler, je n'y arrivais donc pas. Je serrais les dents pour essayer de me contrôler, j'avais le coeur gros, n'arrivant pas à me calmer, laissant ainsi des flots, des torrents couler le long de mon pelage, tombant au sol sur le cristal, le faisant tinter d'une étrange lueur. Maman excuse moi d'être aussi faible pour pleurer devant quelqu'un, mais je ne peux plus supporter ton départ, je ne peux plus rien supporter, même si ma compagne m'aide à tenir, je ne peux rien faire contre ça ! J'ai trop mal, sans toi je me sens vide, je cache derrière des moqueries incessantes, des actions insensées, des fous rires, une bonne humeur incroyable ! Mais au fond je n'étais qu'une chatonne brisée, que rien ne pouvait réparer, un peu comme nous tous au fond? Et toi en face de moi, qui étais tu? Etais tu aussi brisée par son départ? L'avais tu seulement connu au fond? Probablement pas, tu semblais jeune, tu ne semblais pas assez vieille en tout cas pour l'avoir connu longtemps. Fermant les yeux, me laissant aller aux larmes, affaissant mes épaules, baissant la tête vers le sol, je crus entendre quelque chose, une voix, une toute petite voix. Celle ci était douce et rassurante. Relevant la tête, les yeux emplis de larme, je vis une lumière autour de la femelle, une lueur magnifique, cette lueur ressemblait à ma mère. Alors tu vivais en elle également? Pas seulement en moi? Quel message voulais tu me passer? Devais-je la protéger? Ou non? Je ne sais pas? Je clignais des yeux plusieurs fois, lâchant mes dernières larmes, laissant la tristesse envahir le reste de mon corps, mais pas mes yeux, je devais essayer de me montrer forte, du moins devant les autres, je pouvais pleurer quand je serai seule. D'une voix tremblante je commençais doucement à parler, hésitant à plusieurs reprises. "-Q...Qui es-tu? Qu..Que fais tu ici? Tu...Tu connaissez ma mère?...Ces cristaux sur ton dos...Ce sont les mêmes que...Celui que ma mère avait..." Je la regardais, ses yeux étaient d'un vert émeraude, brillant de larmes chaudes coulant au passage sur ses joues. Comment...Je regardais le ciel, voyant que les nuages faisaient tomber moins d'eau, nous permettant de nous voir un peu plus. Son pelage était si similaire au mien...Même dans les couleurs..Elle ressemblait tant à mon enfoiré de père.

Je ne savais que dire de plus, je la regardais sans un mot, essayant d'afficher une expression impassible, je lui avais montrer un mauvais visage de moi, un très très mauvais visage. Puis mince ! J'affichais donc une expression normale, ni impassible, ni trop sentimentale, ça c'était réservé aux autres, si elle était venue ici c'était forcément car elle avait un lien avec ma famille, du moins ma mère. J'essuyais encore une fois mes yeux du revers de la patte, essayant tant bien que mal de chasser toutes les larmes qui pouvaient encore s'y trouver. Un rire nerveux s'échappa de moi, mon coeur s'emballait à l'idée d'entendre les réponses de la jeune chatte en face de moi, et si j'avais tout bon? Pouvait-on réellement être soeur en fait? Etais-je seulement possible? Nous nous ressemblons, elle est venue pleurer ma mère, le jour pile de l'anniversaire de sa mort, qu'est ce que c'est que ce bazar? Je regardais le cristal entre mes pattes avants, d'un oeil curieux, il ressemblait tant à sa modification, c'était bien trop étrange pour être une coïncidence n'est ce pas? Je soupirais doucement, contractant un peu mes muscles, j'avais peur, peur de m'être trompée, mais à la fois peur d'avoir eu raison. C'était étrange comme sentiment, je n'arrivais pas du tout à comprendre ce qu'il m'arrivait, bien que je l'avais déjà ressenti auparavant. Je regardais alors les yeux de la chatte, me préparant intérieurement, il était temps d'affronter ton passé Kami, il était temps de voir ce que les secrets avaient créé sur cette terre, et surtout dans ta famille. Qu'est ce qui m'attendait derrière ce rideau de vérité, j'allais certainement bientôt le découvrir, même si mon coeur me disait que cela n'allait clairement pas me plaire.

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Anonymous
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   Mer 10 Jan - 18:39


ft. Kamishio

N'y touche pas...

Quand la mort assemble les liens dissous par les secrets

Le cœur brisé en mille morceaux, je pleurais doucement, le sourire aux lèvres. Oh mon dieu, comme j'aurai aimé avoir une mère. Une mère aimante, vaillante et rassurante. Peut-être aurai-je été encore plus forte ? Peut-être qu'elle m'aurait choyé, tendrement lovée dans son pelage au doux parfum. Et dire que si je n'étais pas venue au monde, elle serait toujours en vie... Tandis que de chaudes larmes continuaient de couler sur mon pelage ondulé, l'autre féline me fit :

-Q...Qui es-tu? Qu..Que fais tu ici? Tu...Tu connaissez ma mère?...Ces cristaux sur ton dos...Ce sont les mêmes que...Celui que ma mère avait...

Les yeux ronds, je mis un instant à comprendre la situation. Lentement, je tournai la tête vers la chatte et entrouvris la gueule. Je voulus dire quelque chose mais aucun son ne parvint à sortir de ma gueule. Je restais donc là, le cœur battant la chamade. La pluie se calma et je pus apercevoir plus clairement la silhouette de la féline. Elle me ressemblait tellement... Non c'est impossible, mon père me l'aurait dit. Pourquoi me cacher l'existence d'une éventuelle sœur ? Ça n'a aucun sens. Aucun. Puis, d'un geste brusque je me levai et reculai de quelques pas en miaulant d'une voix cassée et froide :

- Ta mère ? Ce n'est pas vrai, il doit y avoir une erreur... C'est ma mère, tu entends la MIENNE!

La colère qui irriguait mes pattes raidit mes muscles et me coupa le souffle. Mon regard se perdit un instant sur le pendentif de cristaux violets. Oui, c'était bien mes cristaux, et ils sont si fragiles ! Il ne fallait plus qu'elle y touche, ce collier ne lui appartenait pas ! De quel droit elle ose s'approcher du bijoux le plus précieux que je connaisse ! t d'y poser ses sales pattes en plus ! Brutalement, je me jetai sur le collier qu'elle tenait entre ses pattes et le lui arrachai tout en montrant les crocs. Cependant, mon regard ne laissait paraître aucune agressivité. Juste de la peur mêlée à une profonde tristesse. De nouvelles larmes firent leur apparition et dévalèrent mes joues.

[HRP → P'tit changement de fiche de rp, je la trouve plus classe celle là ahah, et j'ai également changé la personne à laquelle j'ai écrit le rp :3 Ah et aussi, le rp est petit et si tu n'as pas assez pour répondre, envoie moi un mp ♥️]






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