• Nom : Sérieusement ? C'est écrit partout, espece de crétin ! Mon nom c'est Tsunde, retiens le bien, et ça se prononce Tsounedé...
• Sexe : Tss...On ne sait plus reconnaître une femelle d'un mâle ?
• Âge : 2 ans
• Clan : Caméléon, mais ça ne veut pas dire que je suis lâche !
• Rang : Chasseuse
• Race : Je n'ai pas besoin d'être d'une race particulière !

• Physique :

Mon physique ? Pff...Je ne vois pas pourquoi il t’intéresse, je suis assez banale, je n'ai aucune modification corporelle en plus ! Je suis une femelle rousse au poils assez longs et ébouriffés qui forme des mèches, surtout deux sur le coté de mon crâne, c'est ridicule on dirait deux longues couette ! Sa couleur est assez éclatante car j'en prend soin et j'ai de beaux yeux ambre assez grands et étirés sur les cotés, c'est peut être la seule chose réellement jolie chez moi.

Sinon, je suis de taille moyenne, de poids moyen, ma silhouette est moyenne bien que plutôt fine et féminine, bon d'accord je suis maigrelette ! J'ai des oreilles de taille moyennes et pointues au bout, une truffe rose qui décore un museau fin paré de petites moustaches et une que arrondie au bout. J'affiche souvent un air contrarié et/ou blasé. C'est tout.

Spoiler:

• Caractère :

Hein ? Tu veut ENCORE me poser des questions ? Bah ! Disons que je ne suis pas très agréable à vivre : Je suis souvent contrariée, et je râle la plupart du temps ! Beaucoup se sont fait envoyer bouler pour m'avoir adressé la parole au mauvais moment...Je peux paraître hautaine, voir carrément pimbêche pour certains !  Les autres me supportent car ils savent que j'ai bon fond et que je suis une vraie travailleuse. Ils ne pourraient pas vraiment se passer de moi car, malgré mes défauts je suis essentielle : Je fais bien mon travail, je suis courageuse et malgré les apparences, je suis à l'écoute des besoins des autres et n'hésite pas à m'occuper des autres, bien que je dise le contraire !

Car voyez vous, je déteste montrer que je suis attachée à quelqu'un : plus j'apprécie une personne, plus je serais odieuse avec elle pour qu'elle s'éloigne de moi, et plus je m'en voudrais de l'avoir blessée et donc plus je prendrais soin d'elle l'air de rien...C'est un cercle vicieux...Je ne sais pas vraiment pourquoi, j'ai sûrement peur des autres au fond...

Néanmoins, plus on me connait, plus je me "ramolli" et devient amicale, je peux même, dans certains cas, placer ma confiance dans certaines personnes ! Mais c'est assez dur de briser ma carapace...

• Histoire :

Tu commences vraiment à me pomper l'air à tout vouloir savoir sur moi.. Surtout que je n'ai rien de très intéressant à te raconter !

Je suis née de parents domestiques, ce qui fait que je n'ai ni pouvoir, ni modification corporelle... J'aurais pu vivre en tant que domestique, mais il faut croire que les Humains n'aiment pas s'occuper de trop de chats à la fois car mes frères et sœur et moi même avons étés relâchés en pleine nature, alors que nous étions encore chatons !

En tant que sœur aînée, j'ai vite pris en charge tout ce petit monde : il y avait Rubis, un mâle roux plus foncé que moi, un vrai trouillard au grand cœur, Yande, une femelle noire aux yeux gris bleus assez douce qui ne posait jamais de problème, Hime, mon deuxième frère, un mâle roux clair taché de noir aux yeux bleus persuadé que tout le monde devait le traiter comme un roi, même si il n'avait rien d'admirable, et enfin Topaze, une femelle blanche tachée de roux aux yeux d'un bleu topaze magnifique, qui était une très bonne chasseuse et qui était très honnête.

Tous me faisaient confiance. Ils ont eu bien raison, car, arrivés à l'âge d'un an, nous étions encore vivants ! Rubis est devenu un domestique car il s'était rapidement fait adopté. Topaze également pour sa beauté. Hime est devenu soldat, j'ignore où il en est à présent... Des rumeurs disent qu'il est devenu solitaire car il regrettait ce choix et n'osais plus se montrer en public...Quand à Yande, elle est devenue une solitaire qui prêtait ponctuellement main forte aux felinaes. Elle est très appréciée. Et moi, j'ai décidé de rejoindre les caméléons. Nous sommes tous séparés, mais un lien nous unis tout de même.

Cela fait longtemps que je ne les ai pas vu, mais ça ne me pose pas de problème : si je les croise, tant mieux, et si je ne les vois plus jamais, je pourrais alors leur inventer des futurs fantastiques dans ma tête...Parfois, il vaut mieux ignorer la vérité, surtout quand elle touche des gens qu’on aime de tout notre cœur. C'est sans doute une des raisons de mon caractère déplorable : j'ai vécu avec ces quatre là toute ma vie, et maintenant je me sentais vide, comme si des morceaux de ma bonne humeur, de ma confiance et de la sociabilité étaient partis avec chacun d'entre eux...