La tempête étant terminer, je sautillais un peu partout dans la caserne. Je vais enfin pouvoir sortiiiiiiiiiir.
J’attendais cela depuis… longtemps ? La tempête n’avais durer que quelque jours mais il me semblait que cela fessait une éternité que je n’avais pas vu la lumière du soleil. Que ma fourrure n’avais pas étais refauché par celui-ci ! Que je n’avais pas sentie la terre sou mes coussinet. Que je n’avais pas couru, la fourrure au vent avec l’herbe me caressant doucement les moustaches. Que mes yeux n’avais pas étais ébloui par la lumière se reflétant sur l’eau. Enfin vous m’avez comprise.
J’avais hâte de sortir, se que je fit dés que j’eu étais levés.
Sotie de la ville, je m’élance dans la foret, courant comme je n’avais jamais couru. J’aurais pu battre un record de vitesse, sans blague. Je n’en revenais pas d’a quel point j’aller vite, mais, plus je courais, plus jamais envie de courir. Haletant encore et encore mais ne rensentant pas la fatigue de la course que je fessais avec moi-même. Ma course était frénétique, je me sentais enfin libre, après toute ces journée enfermer. Je voulais courir, griffer, je voulais être a nouveaux moi même, tuer en riant, courant et jouant plus encore qu’a mon habitude. Je voulais a nouveaux ressentir cette sensation incroyable qu’étais celle de vivre entourer de danger. Je voulais rencontrer de nouvelle personne qui ne me considéreraient pas comme leur amie ou comme une simple chatonne. J’en avais assez de faire ami ami avec tous ceux que je croiser. Je voulais de la tension, de l’excitation et peu être quelques goutte de sang dans la gueule. Cette idée me fit courir encore plus vite, cette excitation rendit mes yeux écarlates et commencer a me faire perdre le contrôle de la stabiliser de mes membres.
J’arrive a un endroit que j’avais déjà visiter avec certains soldats. Il m’avais dit que c’étais l’endroit ou les caméléons et les felineas s’abreuvent… je crois … cet endroit n’étais pas acceillant… et l’eaux ne semblait pas du tous potable…
Enfin l’important c’est que c’est ici que peuvent se rassembler plusieurs ennemis potentiels.
Si se sont des felineas, j’aurais de l’actions, si se sont des caméléons… j’aurais une nouvelle décente de lit.
J’arrive au niveau de l’étang avec mon corps qui se décomposer dans l’air et les yeux couleur rubis. Des particules de mon corps flottaient un peu partout autour de l’étang et, sans elles, mon corps semblait un peu difforme d’ailleurs.
Quand je passe certain buisson, je voie un chat couleur sable. Il avait un tissu rouge accrocher a son cou et quelque chose de noir au dessus de ses yeux. J’essaye de m’approcher discrètement de lui mais il semble m’avoir remarquer.