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Un piaf, une éclipse et une aveugle. Quoi de mieux, n'est-ce pas ? [FEAT Elidea & Eclipse]

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Anonymous
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   Mer 29 Mar - 18:20



Un piaf, une éclipse et une aveugle. Quoi de mieux, n'est-ce pas ?

Feat Elidea & Eclipse.


Il fait bon ici, vous ne trouvez pas, Mister Corbeau ? Non ? Et bien, vous avez si tord, cher ami. Moi, je suis bien ici.

Depuis un moment maintenant, je suis là. Je sais, contrairement à d'autre fois, très bien pourquoi je suis ici, et qu'elles en sont les raisons. Je n'ai plus envie de bouger, je suis trop bien. Je ne comprends pas ce que je fais là, pourquoi je reste... Immobile depuis tout ce temps. Tout ce que je fais, c'est regardé. Oui, c'est con dit comme ça. Mais regarder, c'est si... Fantastique. Je ne sais pas pourquoi, mais j'aimerais resté là toute ma vie. Juste pour pouvoir voir le ciel, juste pour pouvoir sentir ce doux vent chaud dans mes poils et mes plumes. Juste pour pouvoir, juste une fois, rester là, silencieux. Mes entrailles toute entière remue dans mon ventre, je suis bien ici, en vrai. J'attends, voilà là tout. J'attends que quelque chose ce passe. Que je puisse enfin me libérer des chaînes qui m’entoure. Que je puisse enfin m'envoler de toute mon envergure. Que je puisse sentir le vent glisser sur mon corps, que je puisse sentir le soleil sur mes poils. Que je puisse partir d'ici, et vite.

Je m'étais réveillé se matin, comme tout les matins. Depuis que j'ai fais la rencontre de tout ce monde, je tenais à me détendre. A relâcher la pression un peu, vous voyez. Alors, pour une fois, je partais plus loin que prévu. Je ne sais pas pourquoi mais cette idée ne me plaisez point, en faite. Je n'avais pas envie de partir trop loin non plus, histoire de ne pas me perdre avec mon sens de l'orientation équivalent à celle d'un pomme de terre. Alors je m’avançais lentement entre les arbres, zigzagant en souriant avec mon air nié tout autant que d'habitude. Je ressemblais à rien de très intelligent comme ça. Mais bon, que voulez-vous, je suis comme ça ! Je finis par arriver vers l'égout. Je l'avais traversé une fois, j'allais donc le refaire. Je regardais autour de moi les flaques d'eau moisies, verdâtre et écœurante. De plus, l'odeur qu’émanait les égouts était plus qu'atroce. Mais je ne dis rien et continua mon chemin. Je tournais des fois à droite, d'autre à gauche. Puis encore à droite. Chaque bruit que j'entendais me faisais sursauter un laps de temps avant que je continue à sourire niaisement. Autour de moi, les mûrs grisâtre et vert dégoulinait par-ci par-là pour former petit à petit des flaques visqueuses. Quelque chose d’effroyable ressemblant à du vomit. Ne regarder jamais ce machin, il fait très peur. Je suis sûr qu'il est sortit de vos pire cauchemar pour vous hantez... Bref ! Je continuais mon ascension jusqu'à que je trouve une issue à ce labyrinthe. Je me hâtais vers la sortit, espérant enfin pouvoir respirer l'air pur. Je sortis alors, prenant une grande bouffer d'air pour mieux respirer. Puis je relâchais, me dirigeant lentement vers les arbres devant moi. Je me mis alors à chercher quelque chose d'inexistant. Enfin, il existait bien sûr, mais il ne semblait pas se trouver là. Je regardais partout autour de moi, plissant les yeux, levant la tête au ciel eeeeet... PAM ! Je trébuche sur une racine. Je me relève alors aussitôt, grognant légèrement. C'est vrai que la chute était plutôt marrante, en faite. Surtout le faite de m'entendre pousser un petit cris de femmelette. Ça, ça devait vraiment être drôle ! Mais je ne me suis pas vus faire, malheureusement. Je me suis juste vus tomber comme rien... je me redressais, donc. En me redressant, devant moi, je vis un arbre. Il avait une grande allure, un grand charisme, une grande force. Il y eut... Des paillettes dans mes yeux. Mon âme d'enfant c'était libéré en un instant. Un sourire admiratif se dessina sur mon visage. Quelque chose de magnifique à vous chez un adulte. Quelque chose de rare pour vous, mais de fréquent pour moi. Alors, pousser pas un élan, je me précipitais vers l'arbre, l'enlaçant – avec difficulté étant assez épais – pour grimper. Je finis, avec un peu voit beaucoup de mal, par arriver sur une grande branche de l'arbre. Je tournais en rond un instant, puis m'installa. La mousse de ses branches étaient douce, chaleureuse. Je me mis alors d'un coup sur le dos et regarda le feuillage de l’arbre laissant un instant entrevoir les rayons du soleil. Puis je fermais les yeux. Pour le moment, vous allez me dire, tout va bien. Et bien, oui, mais pas tant que ça. Un bruit me perturba dans ma sieste. Ce n'était pas le même bruit que les insectes géants du coin, ou que les craquement du bois en décomposition. Non vraiment pas. C'était un bruit que je pourrais reconnaître entre tous. Celui d'un oiseau. D'un piaf, d'un ami. Mes yeux s’ouvrèrent alors d'un coup. Je me redressais à une vitesse hallucinante, et tournais la tête dans tout les sens. Comme affolais par ce qui se passé. Mais je ne vis rien. Je soupirais alors, déçu. C'est alors qu'un autre bruit survint. Derrière moi, cette fois. Je redressais ma tête qui était baissé et vis un être semblable à...
Un corbeau. Un corbeau. Ce mot, si étrange, si familier, je répétais en boucle dans mon esprit. Un corbeau blanc. Un corbeau. Juste ça, juste à piaf. Mais il était plus qu'un piaf pour moi. Mon corps tout entier resta figé. Plus rien ne pouvais altéré mon état. J'étais comme congeler dans la glace. J'étais trop surpris pour bouger, pour demander à mon corps de faire quelque chose. De réagir. Le volatile, en face de moi, croisait, semblant pas surpris de me voir. C'est alors qu'il déploya ses ailes, et s'envola. Je me réveillais alors, et sauta de l'arbre pour le suivre, paniquer de perdre sa trace. C'était lui. C'était lui, je me souviens de lui ! Il est là ! Il me guidera peut-être ? Qui sait ! Je me mis à courir comme un fou pour le rattraper, hurlant à plein poumon une phrase en boucle.

- REVIENS ! JE T'EN SUPPLIT REVIENS ! ATTENDS MOI !

Je poursuivis l'animal dans une course incroyable. Je tombais beaucoup, perdant le contrôle de mes pattes arrières. Mais, comme un fou à qui l'on montre un moyen de s'amuser, je me redressais et courais de nouveau. Mon courage était sans limite, ma volonté sans fin. La seule limité était le faite que j'aurais voulus voler pour rattraper le volatile. Je sautais, trébuchais, me relevais, recourais. Je ne regardais même plus ce qui se trouver autour de moi, tout ça n'avais aucune importance à mes yeux. Non, plus aucune. Je voulais juste courir, encore et encore, pour rattraper l'oiseau. Je le suivais à la trace, faisant attention à ne pas le perdre de vus. Et lui, comme pour me guider, regarder derrière lui pour voir si je suivais. Où allait-t-il dont comme ça ? Où m’empennait-il ? Est-ce que je saurais enfin qui je suis, d'où je viens ? Toute ces questions se bousculer dans mon esprit. Tout ça me semblait si flou... Je revolais sans cesse le corbeau blanc passé au dessus de moi, sans cesse le même souvenir. Et là, je le suivais. Quelque chose d'impossible, d'incroyable... De fou... Mon enthousiasme et ma conviction montait au plus haut point. Et, d'un seul coup, je trébuchais de nouveau. Mais cette fois, je fus emportais dans ma chute dans une pente. Et je dégringolais alors, me prenant quelque chose ressemblant à du sable dans la figure. Je tombais, encore et encore. Et là, plus rien. Juste un bam et le noir le plus complet. Juste ça. J'avais perdu. C'était finis pour moi. Silence.

Le vent. Le vent chaud souffle sur mon corps, lentement. Je l'entend souffler dans mes oreilles une douce mélodie. Le sable sous mes pattes me tient chaud, à une température relativement douce également. Mais l'air ambiant est froid, pas spécialement agréable. Alors, à chaque fois que la brise stoppait, je souhaitais qu'elle recommence aussitôt. Car, incapable de bouger, j'attends. Mais, tout à coup, je me rends compte que je peux penser. Je peux donc faire quelque chose. Alors, lentement, j'ouvre les yeux... Et les referme aussitôt. Je suis aveuglé par la lumière qui se trouve en face de moi. Une lumière vive, comme celle du soleil qui se couche... Mais bien déterminais, je rouvre les yeux et les plisses, puis monte la tête faiblement pour ne pas regarder le soleil en face. Du sable, des touffes d'herbe. Je suis dans un désert. Un beau désert, pas si aride que ça en fin de compte. Les yeux entre ouvert, je me redresse alors lentement. L'endroit et vraiment très dégagé. Je n'ai jamais vus un endroit pareil. Si beau. Si magnifique. J'ai presque l'impression d'être dans un rêve. Le ciel est bleu, dégagé en partie car quelque nuage réside à des endroits, teintent d'un beau orange-rose. Je dresse la tête vers la lumière, et vois le soleil qui commence lentement mais sûrement à tomber. Il n'est pas traverser par la ligne de l'horizon, mais encore bien au dessus. Je fixe alors la boule lumineuse, baissant le regard. Et pouf. Je m'assois. Je suis bien, ici. En fin de compte. La brise souffle sur moi, me forçant ainsi à fermer les yeux. Et à respirer un grand coup. L'endroit et si silencieux, si... Inoubliable ! Je suis bien ici, je voudrais y rester. Ça donne envie d'y vivre, même. Pitié, que personne ne vienne me déranger. Laissez moi ici, en paix.

Laissez moi voler.


HRP :

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Anonymous
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   Jeu 30 Mar - 17:50


Cela faisait longtemps qu'Elidea marchait. Combien de temps? Elle ne saurait le dire, mais l'air chaud de la journée commençait à se rafraîchir. La nuit tomberait dans quelques heures tout au plus, et il faudrait que l'apprentie soit de retour au camp assez tôt. Elle était partie pour s'isoler du bruit ambiant de la Sylve, des conversations, des jeux des chatons et des bruits de pattes sur le sol humide. Toutefois, si quelqu'un la croisait ici, elle expliquerait simplement qu'elle était partie chercher une quelconque plante médicinale, ce qui, bien évidemment, était loin d'être vrai. Ses connaissances dans ce domaine étaient encore très limitées, et les guérisseurs n'en manquait pas. A quoi donc servirait une réserve de plante gigantesque?

    Elle lâcha un soupir. La femelle ne savait même pas où elle était. Assez loin des champignons immenses en tout cas, car l'odeur de Felinae était à peine perceptible. Un chat tout à fait normal ne l'aurait sans doute pas perçu. Mais un sens perdu permet d'aiguiser les autres, ainsi Elidea ressentait plus d'odeurs que les autres félins. Elle tenta de se situer un petit peu dans cette forêt. La jeune apprentie était partie vers le sud est depuis la sylve, et avait marché durant un long moment. Si elle se rappelle bien, elle était partie en début d'après-midi. Sa lenteur était dû à son handicap, devant toujours marcher avec précaution afin de ne pas se prendre une racine et dégringoler dans une pente. Elle devait toutefois être assez loin, car l'odeur de la ville se ressentait vers sa droite. Toutes ces odeurs humaines d'huile, de métal, la firent grimacer de dégoût. Comment les Hommes peuvent survivre avec des odeurs aussi atroces dans leurs narines?

    Soudain, elle ressentit un courant d'air chaud devant elle. Un vent doux et agréable qui lui permet d'oublier ces sensations urbaines. Serait-elle arrivée jusqu'au désert? Aurait-elle put arriver aussi loin? C'était étrange. Elle s'avança prudemment alors que le souffle se faisait plus puissant. Elle sentit l'humidité de la forêt se raréfier peu à peu, tandis qu'un sécheresse rude prenait place. Elle n'avait jamais rencontré de désert. Elle ne savait pas à quoi cela ressemblait. On lui avait dit que c'était "ocre". Mais qu'est-ce que la couleur "ocre"? Ces mots n'ont jamais rien signifié dans son esprit, tout comme "rouge", "indigo" ou "turquoise". Quelques fois, elle aimerait bien voir, ne serais-ce qu'un instant pour comprendre ce que sont les couleurs.

    Devant elle s'étendait le sable. Le sable, elle en avait déjà senti sur ses coussinets, mais pas autant que maintenant. Ses pattes grises s'enfonçaient sous les épaisseurs de la plaine. Elle était tellement absorbée à s'imaginer ce qu'elle avait devant ses yeux bandés qu'elle ne ressenti pas tout de suite la présence d'un autre individu. Lorsque cette information parvint à son cerveau, elle se redressa. Devant elle, un chat... Ou... un oiseau? Elle ne savait pas, les deux odeurs se confondaient parfaitement. Et s'il s'agissait... D'un chat oiseau? était-ce possible? Les Humains auraient-ils réussi à coupler ces deux créatures afin d'en créer une unique? C'était étrange, mais en même temps très intéressant. Préférant rester discrète, elle fut ravie que le vent soit tourné contre elle. Ainsi, le félin ne pourrait pas la sentir tout de suite.Toutefois, son parfum révélait quelque chose de bien plus inquiétant. Ce chat était un soldat.

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Anonymous
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   Sam 1 Avr - 14:30


Comme à mon habitude je marchait sans grand but dans cette forêt ou le silence régnait comme un lion est roi. Je ne savait même plus pourquoi j'étais parti, qui s'en préoccupe de toute façon ! En réfléchissant à un endroit autre que l'arbre des pendus pour regarder le ciel je continua à marcher tous droit en esquivant les buissons et autre obstacles. Et d'un coup j'ai été ébloui par quelque chose. Je plissa les yeux pour discerner ce que c'était, le soleil ! Je me demandant pourquoi le soleil puisque j'étais protégé par les arbres de la forêt jusqu'à que je me prenne une bourrasque de sable dans le museau. Je cracha avec une tête qui laissait paraitre mon dégout. Après avoir à peut près nettoyer mon museau plein de sable je regarda autour de moi. Aucun doute à avoir, j'étais bien à la Frontière Ouest. Les anciens m'avait parler de cette frontière je ne sais combien de fois mais je ne pensait pas qu'elle serait si près ! Elle a surement dut avancer avec les années. C'est alors que je senti pour la première fois l'odeur fraiche d'un soldat. Je n'avaient encore jamais senti cette fragrance, surement un nouveaux. Mais que ferait un nouveaux aussi loin de la ville. En avançant plus loin dans le désert je senti une autre odeur, beaucoup plus faible. Celle d'un Félinae, mon sang ne fit qu'un tour. La dernière fois que j'avais senti cette odeur c'était à l'arbre des pendus. Si le nouveau tombait sur un Félinae il était en grand danger. Je commença à courir en direction de l'odeur de mon camarade jusqu'au moment ou je vis deux oreille gris cendré sur  le sable couleur or. Je changea de direction pour foncer sur le Félinae. Il ne m'avait pas encore remarqué, c'était ma chance. Je lui sauta dessus en lâchant un miaulement de rage.

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   Sam 1 Avr - 17:31



Un piaf, une éclipse et une aveugle. Quoi de mieux, n'est-ce pas ?

Feat Elidea & Eclipse.


C'est quoi tout ce boucan bordel ?!

Je suis tranquille, ici. En fin de compte. J'ai totalement oublié le corbeau. Le... LE CORBEAU ! C'EST VRAI ! Où il est ?! J'ouvre alors soudainement les yeux, semblant me réveiller. Mais c'est alors que j'entends un bruit derrière moi. J'entends un bruit que je reconnais. Un bruit qui ne cause que la guerre, que le malheur. Un bruit qui cause votre mort. Celui d'un miaulement effroyable. Abominable. Je reste figé un instant, ne comprenant pas, puis je me redresse d'un bond et me tourne vers l'origine du bruit. Ce que je vois alors me fait me crisper. Un chat. Deux chats. Deux chats, l'un au dessus de l'autre, qui semble pas ce faire des câlins, loin de là. Une... Bagarre ? Droit, fixe devant l'action, je regarde. Semblant à la fois terrorisé et à la fois en pleine réflexion. Le chat, se mouvant dans le sable, essaye de l'attaquer. Je remarque que son pelage ébène possède des bouts cuivrés, quelque chose d'assez beau. Son corps semble assez fin, et gracieux. Quelque chose d'assez... Faible je dirais. Mais, en plissant les yeux, je remarque qu'il n'a pas l'air si faible que ça. Il continue à exécuter son action, semblant pour moi être si lente. Comme-ci tout ce qui ce passé autour de moi n'était qu'une fraction du temps actuel. Le chat en dessous de lui, par contre, ne semblait pas s'attendre à ce qu'il arrive et lui saute dessus comme ça. Et d'ailleurs, je viens de le remarqué, mais c'est pas un félin. C'est une féline. Je prends quelque seconde pour la regarder, voyant que celle-ci est un chat... Comment appelle-t-on c'est chat... Un chat siamois ! Beige et brun, donc. Elle possède des rayures d'un beau bleu marine, et des le bout de sa queue qui brille. Mais, en regardant bien, je remarque qu'elle porte quelque chose sur son visage. Un bandeau rouge avec un œil dessus. Pourquoi ferait-elle cela ? C'est un jeu ? Je ne comprends pas, pour le coup. Mais maintenant, je me pose une question. Pourquoi ils s'attaquent, en faite ? Je ne sens pas leur odeur, le vent est à contre sens. Mais je sens autre chose derrière moi. Je sens l'odeur d'un oiseau. Je tourne les yeux vers ma droite, à l'arrière, sans pour autant bougé la tête. Puis je me redresse et lance en murmurant à voix basse, comme parlant dans le vide.

- Ne bouge pas, j'arrive. J'ai quelque chose à faire, Monsieur l'Oiseau.

J'entends le volatile faire quelque bon, et je me mets alors à courir, semblant moins sérieux d'un coup. Oui oui, moins sérieux. En faite... Je souris niaisement, et je semble très tranquille. Et en faite, je cours pas. Je trottine encore plus niaisement vers les deux félins. Arrivais à quelque mètre deux, je me penche alors en avant, essayant de sentir. Mais le vent le change toujours pas de direction. Je sens alors rien. Je me rapproche pour chercher à comprendre ce qu'il se passe. Le sable s'envole, partant au loin. Je réalise alors quelque chose. Oui oui, je réalise enfin quelque chose. C'est que je comprends vite, mais il faut m'expliquer longtemps ! Les deux félins ce battent vraiment. A mort peut-être ? Qui sait ? Alors, mes yeux s'écarquillent et je commence à paniquer. Je bouge dans tout les sens, essayant de trouver une issue. Et vous me connaissez, vous savez comment je suis. Et comme je réagis. Alors, que vais-je faire ? Bingo ! Je suis stupide. Je saute dans le tas. D'un coup de patte, j'éloigne le félin sombre, et de l'autre, fait rouler la féline à son inverse. Me plaçant entre eux. Je déclare alors, avec une voix assez strident, pour une fois.

- Vous faite quoi là ? J'espère pour vous que vous jouiez ! J'aime pas les bagarres...

HRP :

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   Lun 3 Avr - 19:12


Tout était si calme. Le silence. On entendait que le silence. Quelquefois, une bourrasque de sable chaud venait effleurer son pelage, mais à part cela, le temps semblait figé. Le félin en face d'elle ne bougeait, ou du moins ne semblait pas bouger. Elle lâcha un soupir, puis esquissa un petit sourire. Cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas sentie aussi calme. Et pourtant, devant elle, se tenait l'ennemi principal des Felinae. Etrange n'est-ce pas?

Alors, son silence et son calme furent rompus par une nouvelle odeur. Un autre Soldat. Cette odeur était bien plus agressive, et le chat était sûrement plus violent que l'innocent chaton qu'elle avait devant les yeux. Alors elle se cacha derrière une petite dune de sable fin, faisant son possible pour ne pas être repérée

Mais cela n'était pas suffisant. Le mâle l'avait sûrement remarqué. Elle n'eu pas le temps de réagir qu'un miaulement d'agonie se fit entendre, tendis que le félin sautait sur elle avec une ardeur impressionnante. Prise au dépourvue, elle fut aussitôt plaquée au sol, avalant des grains de sable répugnants. Elle se débattait comme elle le pouvait, mais son handicap lui faisait battre les pattes en l'air, donnant un aspect presque ridicule au combat. Toutefois, il lui semblait avoir réussi deux ou trois coups de griffes bien placés. L'attaquant, quant à lui, dans sa rage meurtrière, lui avait amoché la joue gauche, juste sous son bandeau.

Ce fut à se moment là que le premier soldat décida d'intervenir. Sans vraiment comprendre ce qu'il se passait devant elle, Elidea sentit l'odeur de chat-oiseau avant d'être projeté en arrière, faisant quelques roulades avant de s'écraser définitivement sur le sable. Elle se releva rapidement et tenta de se débarrasser des grains qui collaient à sa fourrure. L'apprentie feula à l'égard du second mâle juste avant que le premier prennent la parole. Elle l'écoutait à moitié, mais ses paroles si naïves la firent rire aux éclats intérieurement.

Elle cracha sur le sable, puis lui répondit avec une ironie tellement grosse qu'elle espérait tout de même qu'il la remarquerait.
"Bien sûr que oui que nous jouions triple buse, que voulais-tu que nous fassions? Les Felinae et les Soldats sont les meilleurs amis du monde, c'est bien connu!"

Elle avait pris un air sérieux, et son regard, bien qu'invisible aux deux chats, était grave. Ce n'est pas parce qu'elle est guérisseuse et aveugle qu'elle ne pourrait se débrouiller. Elle avait des souvenirs de petits entraînements avec son père près de la vieille cabane humaine. Elle arriverait bien à les défaire tous les deux. Et puis le piaf ne serait pas un problème, vue a naïveté.

Elle lécha sa main et la passa sur sa joue blessée. C'est alors qu'elle sentit quelque chose d'étrange. La couture si parfaite du ruban irisée avait était défaite, et le bas de son bandeau était désormais en lambeaux. Pas assez pour voir ses yeux, certes, mais ce bandeau signifiait tellement pour elle. Personne n'avait le droit de l'abîmer. Ce félin le paiera.

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   Mar 4 Avr - 9:11


J'étais en position de force fasse au Félinae ... Attendez une seconde ... Je veux dire la Félinae. Une Félinae ?! Vu son niveau au combat elle devait être apprentie soigneuse. Pendant que je là maintenait au sol elle battait des pattes dans l'air, deux ou trois fois elle réussi à me donner des coups de griffe bien placé. Et d'un coup je senti l'odeur du Soldat à mes côté. Il me poussa et fit rouler la Félinae, il se mit entre nous deux et dit avec une voix stridente :

- Vous faite quoi là ? J'espère pour vous que vous jouiez ! J'aime pas les bagarres...

Sérieusement ?! Comment on à put tomber aussi bas nous les Soldats ! Qu'elle Soldats diraient se genre de bêtises ! Je sais pas comment il est devenu Soldats lui ! Qu'est-ce qui c'est passé pour qu'il soit aussi enfantin ! Je le regarda droit dans les yeux et puis le trou noir. Pendant que je regardait son passé j'y vit  qu'il n'avait pas réellement souffert. Alors pourquoi est-il aussi enfantin ? Je me réveilla et la Félinae lui répondit en faisant de l'ironie :

"Bien sûr que oui que nous jouions triple buse, que voulais-tu que nous fassions? Les Félinae et les Soldats sont les meilleurs amis du monde, c'est bien connu!"

Je m'attendais à-ce que l'autre Soldat comprenne qu'elle faisait de l'ironie mais pas dut tout ! Il là crut la phrase de la chatte ! Comment un Soldat de son âge pouvaient être aussi naïf ! Alors je lui dit d'une voix désespéré :

"Tu crois vraiment qu'on ai chez les bisounours ou tu le faits exprès ?!"

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   Mar 4 Avr - 18:56



Un piaf, une éclipse et une aveugle. Quoi de mieux, n'est-ce pas ?

Feat Elidea & Eclipse.


Hein ? Quoi ? Attend... Félanikoua quoi ?...!

Je regarde à tour de rôle les deux félins. J’espère alors profondément, à cette instant précis, que l'un des deux ce décident à répondre. C'est vrai, comme mon innocence est grande, je ne me rends pas vraiment compte du pourquoi et du comment de la bagarre. J'aurais juste pus me dire qu'ils ce connaissent mais ne s'aiment pas. Mais non. Pour moi, à cette instant, il y avait une raison à cette querelle. Une raison précise. Même si bon, entre nous, qu'un chat saute sur un autre comme ça alors qu'il ne c'est rien passé, bien c'est quand même assez illogique. La seule chose est sûr, c'est que je suis déterminé à comprendre pourquoi. Alors je reste de marbre face au deux félins. Je vois la chatte ce relever dans le coin de l’œil, toussant du sable et en enlevant de ses poils. Le mâle lui, me regarde soudain fixement. Alors, plissant un sourcil, je le fixe tout autant dans les yeux. Je ne fais pas attention à ce qu'il fait, à c que cela peut lui servir. Je le fixe juste, c'est tout. Je me balade alors dans son regard, son regard si... Étrange. Ses yeux. Ils ne sont pas bleu, ou rouge, on même marron, ou même jaune, non. Je n'ai jamais vus cette couleur d’œil, je trouve ça si spécial. Il a les yeux gris. Enfin, gris, pas vraiment. C'est plutôt argenté. Mais cette couleur est si belle. Et si gracieuse. Elle me rappelle le pelage brillant et lisse du corbeau. J'écarquille les yeux. Son regard est un horizon vide, sans fin, tellement... Magnifique. Je me perds dans les méandres de son regard, oubliant mon âme derrière moi. Plus rien ne pouvais m'atteindre, je ne voulais plus lâcher son regard. Je me perdais. Juste ça. Je suis perdu. Perdu dans le regard de quelqu'un, c'est possible ? Je n'en sais rien, mais maintenant que j'y pense, peut-être. Tout à coup, le chat se réveille et détourne son regard. C'est alors que moi, aussi, je me réveille. Je ne comprends pas pourquoi, mais à ce moment là, je me sens dormir. Et pourtant, je suis bien présent. Mais quelque chose m'empêche de vraiment revenir à la réalité. Je baisse le regard, fixant le sable à mes pattes. La chatte prend alors la parole rapidement, me faisant me tourner la  tête vers elle.

- Bien sûr que oui que nous jouions triple buse, que voulais-tu que nous fassions ? Les Félinaé et les Soldats sont les meilleurs amis du monde, c'est bien connu !

Je plisse les yeux. Les quoi ? Elle a dit quoi ? Les Filénéali... Hein ? Je ne compris pas vraiment ce qu'elle dit, mais elle a l'air... Ironique. Je ne connais pas ce mot, sachez le. Ce mot n'existe pas encore dans mon vocabulaire, car je suis trop naïf pour en comprendre le sens. Alors, peu importe ce qu'elle dit, je compris tout de travers. Tout. Pour moi, à ce moment, je crus entendre : « Mais oui nous jouions mon petit oiseau ! Que croyais-tu ? Nous sommes tous égaux et amis ! ♫  » Ouais, ouais. Je sais. C'est super nian-nian. Mais que voulez-vous ? Je suis un enfant dans ma tête ! Un enfant, ça comprends toujours tout de travers. Et ça crois surtout tout et n'importe quoi. Mon regard devint alors plus... Souriant. J'étais contente qu'elle dise ça. J'étais content qu'elle me dise que nous étions tous ami. Enfin quelqu'un qui n'aime pas la bagarre ! Moi qui pensais être le seul à penser comme ça... Je me redresse alors sûr mes pattes, la tête plus haute, et m’apprête à lui répondre quand le mâle prend la parole.

- Tu crois vraiment qu'on est chez les bisounours ou tu le fais exprès ?!

Cette phrase me crispa légèrement, me faisant me tourner vers lui. La phrase semble si... Désespéré. C'est si fade. Si... Gris. Comme ses yeux. Mais même eux m'avaient semblé plus accueillant. Je le fixais de nouveau face à face, les étincelles dans mes yeux ce détruisant à cet instant même. Il n'y avait plus de joie dans mon regard, que de la surprise. Il n'est pas content. Il semble même... Révolté je dirais. Comme-ci ce que j'avais dis juste avant était inconcevable pour lui. J'ai dis quoi au juste, de mal ? Je ne comprends pas... En faite, je suis réellement perdu maintenant. C'est vrai qu'il faut dire que ça fait beaucoup d'information d'un coup pour moi. D’abord, elle me parle de Filénaniéché-pa-tro-koua, puis maintenant lui il me parle de binousours de machin et truc. Mais de quoi ils parlent ? Ils le font exprès pour me ce moquer de moi ? Non, ils n'oseraient pas ! Enfin... J'espère. Ça serait mal poli, et méchant. Et puis bon, ce n'est pas ma faute si je suis amnésique. Je ne l'ai pas décider ! Je ne me suis pas dis un matin : « Oh tiens ! Et si je perdais ma mémoire et devenais totalement stupide ! » Quoi qu'il en soit, je me sentis à ce moment là extrêmement visé. Je suis, actuellement, au centre des regards des deux félins. Ça fait un peu la même sensation que de ce prendre deux échardes en plein cœur. Et ça fait pas vraiment du bien, je dois dire. Et, dans ce genre de cas, je vous pose une question. Que fais un enfant ? Être un enfant. Et par conséquent, s'enfuir de la concertation, fuir le sujet principale. Et c'est ce que je fis.
J'entends derrière moi le corbeau, il approche. Il se rapproche encore un peu, ce mettant à côté de moi. Du coin de l’œil, tout d'abord, je le fixe en silence. Ils doivent remarquer que mon esprit commence à s'évader. Je tourne alors la tête vers lui, lui qui me dévisage de ses yeux rouge-grisâtre. Je ne comprends pas ce qu'il attend, lui. Il attend quoi au juste ? Qu'on me demande ce qui ce passe dans ma tête ? Non parce que là, je ressemble à un chat qui voit un fantôme. Car sachez qu'il n'y a rien, à côté de moi. Rien du tout. Je ressemble donc à un fou. Je pense. Distrait, je fixe son plumage. Lui, qui est aussi blanc que le mien. Lui qui est magnifique, en faite. Je souris légèrement en le voyant, comme totalement distant du monde. Soudain, sa réaction me surprend. Il me croise dessus. Je sursaute de l'autre côté et redresse la tête vers les deux chats. Je suis officiellement fou. Je reviens alors à la réalité et des questions me viennent. Du moins, me reviennent. Je m'avance et demande alors au deux chats en même temps, d'une voix grave et assez... Viril en faite. Ma voix naturel quoi. Mais qui aurait pus penser que de tel parole sortirait de ma gueule ?

- Excusez moi. Je suis nouveau ici, depuis peu. Qu'est-ce que sont les Filé... Falina... Les Félinaé ?... Et les bisous je ne sais pas quoi également ? Je ne connais que le mot Soldat, que je trouve assez déplaisant. Même si je n'en connais pas vraiment le sens...

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Anonymous
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   Mer 5 Avr - 18:19


Après l'ironie grandiose de la Felinae, que, malheureusement, le soldat naïf ne semblait pas avoir compris, le second mâle intervint, lui expliquant avec une subtilité peu présente la situation. On aurait même pu la prendre au dépourvu en la voyant esquisser un sourire alors que le félin à l'odeur poussiéreuse prononcer ces mots. Ce n'était pas pour autant qu'elle ne voulait pas se venger. Le chat avait touché son bandeau. Son précieux bandeau. Son seul souvenir de sa vie passé

Elle se rappelle à peine de ces premiers instants, mais cette douce sensation de chaleur avait tout de rassurant. Elidea se sentait en sécurité dans cet endroit, blottie auprès du pelage de son père alors que celui-ci l'observait avec attention et amour. Son pelage sentait toujours l'oiseau, un peu comme le naïf devant elle. Mais ce n'était pas le même animal. Son père était un geai. Enfin, il n'était pas un geai, mais son odeur était comme celle de la créature. Elle se demande encore à quoi il ressemblait, son père. A ce moment là, lors de ses premiers mois, elle avait encore ses yeux face au dur monde qu'elle croyait alors si doux, si innocent. Mais ce jour là, il vint, un tissu humain d'un parfum agréable entre les crocs. Malgré son jeune âge, elle compris, du moins dans les grandes lignes, les désirs du geai. Selon lui, ses yeux feraient peut aux autres, et il ne voulait pas que la jeune aveugle subisse quoi que ce soit à propos de cela. Alors, avec sa délicatesse paternelle, il noua le bandeau autour de son visage. Son père l'avait toujours traité avec calme et douceur. Il prétendait que tout allait bien. Aujourd'hui, elle pourrait tout aussi bien le traiter de naïf. Mais c'était son père et il ne l'était pas. Il ne pouvait pas l'être, pas comme l'abruti qui s trouvait à quelques pas d'elle.

Ses anciens souvenirs furent stoppés par la réponse du-dit abruti. Et sa réponse la consterna. Un soldat qui ne sait pas qu'il est soldat? Mais cela n'a strictement aucun sens! Comment? Comment une buse pareille pouvait se retrouver parmi les ennemi principaux des Felinae et Caméléons? C'était tout simplement impossible! Et la manière avec laquelle il s'exprimait ressemblait plutôt à celle d'un chaton de quelques semaines! A croire qu'elle était tombée sur un amnésique de la dernière espèce.

La femelle lâcha un long soupir désespéré. Elle devait garder son calme ou elle finirait par lui sauter dessus. Ce qui serait une mauvaise idée d'autant plus qu'elle se ferait attaquer par le second Soldat qui, lui, n'hésiterait pas à la mettre en pièce.

Prenant une grande inspiration durant quelques secondes, elle entama sa réponse, mais ne put se retenir face à la naïveté fantastique de son interlocuteur
Alors, écoute moi soldat-piaf je ne sais trop quoi, les Felinae, ce sont les chats qui se battent pour leur liberté et refuseront d'être soumis à ces êtres sans poils nommés Humains. Les Soldats, dont toi, triple buse, fait partie, sont les ennemis principaux des Felinae, notamment car ils restent joyeusement et de leur plein gré auprès des Hommes.
A ces derniers mots, elle jeta son regard sur le second soldat.
C'est donc pour cela que, Non, nous ne nous amusions pas comme deux petits chatons remplis d'une innocence nouvelle. C'est clair?

Bien, au moins c'était vite expédié, et il n'y avait aucune ironie là-dedans. Normalement, il devrait comprendre,du moins elle espérait

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Anonymous
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   Jeu 6 Avr - 10:55


Alors, écoute moi soldat-piaf je ne sais trop quoi, les Felinae, ce sont les chats qui se battent pour leur liberté et refuseront d'être soumis à ces êtres sans poils nommés Humains. Les Soldats, dont toi, triple buse, fait partie, sont les ennemis principaux des Felinae, notamment car ils restent joyeusement et de leur plein gré auprès des Hommes.
A ces derniers mots, elle jeta son regard sur moi.
C'est donc pour cela que, Non, nous ne nous amusions pas comme deux petits chatons remplis d'une innocence nouvelle. C'est clair?

Je la regardais avec mes yeux froids et neutre même si il y avait une petite touche de gratitude. Elle lui avaient expliquer clairement à ma place. Je n'aurais pas penser que certains Félinae pouvais le faire aussi bien. Heureusement pour le nouveaux sinon je sens que j'aurais perdu mon sang froid et qu'il ne serait qu'un tas de chair à charogne à l'heure actuelle que j'aurais donner comme pâturage au plante carnivores. Je le regardais en me demandant si il avait compris les paroles de la Félinae. Pour être sûre qu'il est compris je rajouta avec un ton acerbe :

"Maintenant que tu as compris soit tu te bat à mes côtés contre cette Félinae soit je te finis ici !"

Ma queue battait l'air aussi sec que le sable. Je commençais à avoir soif et la chaleur commençait à être étouffante, je sentait comme si la Félinae me dévisageait du visage. Je la regarda du coin de l’œil très vite. Juste le temps de voir que son bandeau était, sur un côté bien abimé. J'ai du lui faire sa pendant l'affrontement. Elle me regardait, elle m'en voulait pour le bandeau ? Je ne comprenais pas. C'était juste un bout de tissu rien de plus. Encore si c'était un être qui lui était chère je veux bien mais là je ne comprenais pas pourquoi elle me regardait. Elle se leva et je fis de même prêt à me battre contre elle ou d'abord contre le piaf.

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Anonymous
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   Lun 19 Juin - 16:57


Dois-je archiver puisque Dorean n'est plus? :>
A moins que vous voulez continuer sans elle~

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Anonymous
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   Dim 23 Juil - 22:21


J'archive, sans réponse~





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