Tu es comme une Connaissance Neutre, mais en plus évolué. Maintenant, je sais que tu es quelqu'un de relativement bien. Mais nous ne sommes pas non plus si proche que cela. Tu restes une connaissance, bien qu'un peu plus définit.

Tout les deux, on se connait un peu mieux. J’apprécie te parler, même si je peux me passer de toi car tu ne m'es pas indispensable. Tu me respectes, je te respecte et l'on peut parler librement. C'est réciproque. Seulement nous ne sommes pas amis.

Toi, tu es quelqu'un de bien. C'est plus que du respect, c'est de la sincérité. On se connait depuis un moment maintenant, et même si tu peux avoir quelques défauts je te supporte. Ce n'est pas incroyable, c'est juste étrange. Tu me feras découvrir l'amitié pour la première fois de ma vie.

C'est étrange, mais je me sens en sécurité avec toi. Tu fais partie de mon monde, de mon univers. Ou alors, je fais partie du tiens... Qu'importe, tu pourrais m’emmener au dessus des cieux, tu pourrais me faire traverser les déserts, escalader toute les montagnes ; on serait capable de faire n'importe quoi à nous deux ! Tu as réussis à me redonner de la confiance envers le reste du monde et de l'espoir. Je te félicite.

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On s'est rencontré par hasard, un jour. Parlé peut-être, on n'en sait rien. Quoiqu'il en soit je n'en sais pas plus sûr toi, et tu n'en sais pas plus sûr moi. Ça ne va pas plus loin que ça, et je ne cherche pas à en savoir plus. Après tout, tu n'es qu'un félin comme un autre. Tout comme moi à tes yeux, d'ailleurs.



Tu es comme une Connaissance Neutre, mais en plus évolué. Maintenant, je sais que tu es quelqu'un de relativement mauvais. Mais nous ne sommes pas non plus si éloigné que cela. Tu restes une connaissance, bien qu'un peu plus définit.

Tout les deux, on se connait un peu mieux. Je n'apprécie guère de te parler, et je peux me passer de toi car tu ne m'es pas indispensable. Tu ne m'aime pas, je ne t'aime mais l'on peut tout de même se tolérer. C'est réciproque. Seulement nous ne sommes pas ennemi.

Vous êtes si insignifiant... Des enfants. Des enfants plus petits que moi et qui m'énervent, me tournent autour comme des mouches, pour s'amuser, m'énerver. Juste une chose : dégagez, morpions. Vous êtes tellement insolents et ignorants.

Toi, tu es quelqu'un de mauvais. C'est plus que de ne pas apprécier, c'est de la haine. On se connait depuis un moment maintenant, et je n'arrive pas à te supporter. Je ne t'aime pas, et je ne souhaite pas te croiser. Tu me feras redécouvrir la haine à ta façon.

Je te hais, tu me hais, à la folie. Je ne peux même pas te voir en peinture, tu me répugnes ! Tu as réussis à me dégoûter, et pour rien au monde je ne souhaiterais te revoir ! Et gare à toi si tu me cherches, tu finiras par me trouver. Et tu auras intérêt à savoir courir vite, car quand je suis en colère, je suis une vraie diablesse...



J'ai jamais vu ça... Tu es bizarre, tu m'énerves. Tu es collant, chiant, tu as tout pour plaire vraiment. Un(e) jeune qui se croit fort(e), qui croit que je le/la crains... Non mais franchement, remet-toi en question. Tu n'es pas mon/ma pire ennemi(e), tu es juste pitoyable !

Je comprends pas. Tu me suis partout, tu m'observes derrière les buissons. C'est mon rôle de faire ça, de regarder les autres, qu'est-ce que tu fais en fait ? Eh ! Lâches moi un peu ! Tu fais quoi là ?! Bon sang que tu es bizarre toi aussi... On dirait un/une vrai(e) pervers !

Vous, je vous respecte. En partie. Je suis arrogante avec vous, vous obéis sans motivation pour vous énerver. Je n'aime pas les adultes, alors je ne vous aime pas. Je serais bien capable de vous faire paître, de vous remballer, mais je suis un minimum polie. Alors un conseil, vous, adultes, parlez-moi avec politesse et je promet que ma langue ne fourchera pas.

Je t'aime bien. Tu es sympa. Mais tu ne m'aimes pas. Cela m'attriste un peu, et comme je n'ai pas vraiment de tact, je risque de t’offusquer plus qu'autre chose. J'aimerais bien te parler, te dire des choses, discuter avec toi. Mais tu refuses. Qu'est-ce qui te dérange chez moi ?

Je ne t'aime pas. Tu es saoulant. Mais tu ne m'aimes bien. Cela t'attriste un peu, et comme tu n'as pas vraiment de tact, tu risques de t’offusquer plus qu'autre chose. Tu aimerais bien me parler, me dire des choses, discuter avec moi. Mais je refuse. Qu'est-ce qui me dérange chez toi ?

Pour une raison ou pour une autre, tu t'es pris de sympathie pour moi, et moi de même. Au début je me méfie, et puis finalement, c'est le crush. On s'entend à peu près, et ensemble, nous avons fait un pacte : celui que je serai ton apprentie et toi mon mentor. Mais pour quoi ? Et bien, pour le combat ! Apprend-moi cet art, je t'en pris.