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Tenkā - Embrasement de l'âme de sagesse (Tenkā, caméléon, ombre, TERMINÉ)

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Anonymous
Invité


   Ven 19 Mai - 17:49



T E N K Ā
« Réchauffe-toi, mais ne te brûle pas au feu des passions »

• Sur Felinae

• Nom : Tenkā
• Sexe : 
• Âge : 2 ans
• Clan : Caméléon
• Rang : Ombre
• Code d'identification : n°1905
• Race : //

• Pouvoir :

Tenkā possède un pouvoir d'illusion cauchemardesque. Plus précisément, les yeux de Tenkā à peine effleurés vous emmènent dans un rêve sinistre dans lequel vous pourrez apercevoir votre pire cauchemar, vécut ou non. Et le subir. Le cauchemar n'est peut-être qu'une phobie amplifiée ou alors une chose dont vous n'avez pas forcément conscience mais qui vous dressera les poils de l'échine. Pour vous sortir de ce cauchemar, il vous faut développer une confiance en soi optimale et une détermination farouche; si l'emprise reste trop longtemps sur vous, Tenkā risque gros et retirera donc cette dernière, car il peut l'arrêter également. Si jamais Tenkā renonce à enlever l'emprise, il perdra le contrôle sur son pouvoir et ce dernier se retournera contre lui; après cela, des vomissements fréquents ou bien un mal de tête sont à prévoir.
Son pouvoir se recharge en 2h et en cas d'abus, 4. Dès que son pouvoir touche quelqu'un, ses yeux s'illuminent et il ressent quelque chose d'indescriptible, comme si pendant l'espace d'une seconde son corps lâchait et il ne restait que son esprit. Il ne peut atteindre que 2 personnes en même temps, et son pouvoir agira cinq minutes, même si elles sont très difficiles à tenir pour Tenkā. (avec le pouvoir enclenché + deux chats, il ne tient pas plus de 2 mins.)

• Physique : 

Tenkā a un pouvoir constant. C'est à dire qu'il est toujours enclenché, et que donc dès que vous croisez son regard vous tombez dans l'illusion. C'est donc pour cela qu'il porte un bandeau gris foncé, qui cache son regard. Il ne voit donc pas et se repère avec les sons, les vibrations, les odeurs et tous ses sens autres que la vue. Il possède un pelage embrasé d'une rousseur éclatante. De son museau s'étend un pavé blanc jusqu'au bas de son ventre, et son museau est noir. Son poil est plus foncé sur ses oreilles fines ainsi que sur ses pattes et à la fin de ses neuf queues. Il a des cornes de bélier d'un teint de bois, qui entourent soigneusement ses oreilles, et des iris d'un bleu très, trèèèès clair, voire blanc avec des nuances azurées. Ses coussinets sont marrons. Il est d'ailleurs très grand, pour un chat.

Spoiler:

• Caractère : Cinq lignes minimum.

Tenkā a un caractère.. étrange. Enfin, dans un sens. Il est excessivement calme, ne parle presque jamais, réfléchis toujours avant d'agir. Peu de personnes ont déjà entendu sa voix. Isolé pendant son enfance il ne parlait point. Il n'est pas du tout têtu en même temps, mais il sait ce qu'il veut. Ce n'est pas un fainéant bien au contraire, il est très actif mais pas excité. Il arbore sans arrêt cette expression sérieuse. Pas forcément désintéressée. Attentive, même. Il est agile et intelligent, et sait se servir de sa tête.

• Histoire : Dix lignes minimum

  Tenkā est né de deux reproducteurs, qui affectionnent les chatons de tous leurs coeurs. 


  Soudainement, tu te réveillais de ce vide, de cette inconscience, où tu avais été plongé. Tu ne pouvais pas ouvrir les yeux. Pas encore. Tu entendais des sons étouffés, lové en boule contre quelque chose, quelqu'un, ta petite queue entre tes pattes arrières. Ton petit corps parcourut de frisson, tu tentais d'interpréter les sons de l'extérieur. Tu ne connaissais rien, ne savais rien. L'extérieur avait l'air totalement bousculé. A l'extérieur, des cris d'euphorie, et tu sombrais lentement dans le sommeil.

  Tu te réveillais une nouvelle fois lové contre le coeur d'une grande femelle qui arborait un sourire maternel. Tu ne voyais toujours pas. Mais qu'est-ce que ça faisait du bien de pouvoir utiliser tous ses autres sens. Tu sentais très bien désormais, et cette bonne odeur de lait était appétissante. Par réflex, tu longeas les corps de la féline jusqu'à trouver la source de l'effluve. En massant le ventre de la féline avec tes petites pattes, tu commençais à boire avec entrain. Mhhh ! C'était si agréable de se nourrir !

  Tu grandissais à merveille. Tes beaux yeux devenus vifs pouvaient intercepter n'importe quoi. Tu avais désormais dix mois. Beau petit chaton joueur et vraie petite puce, ta vie était heureuse et tu te sentais épanoui. Jusqu'au jour où tu fus arraché à celle qui t'avait nourri la première fois, celle que tu prenais pour ta vraie mère de sang, celle que tu aimais, celle qui occupait la majeure partie de ton coeur. Tu paniquais, pensant que tu ne reverrais jamais ta pseudo-famille. Les mains humaines te tenaient avec force, t'empêchaient de te débattre, t'attrapaient la peau du cou. Il te jetèrent dans une cage. Tu heurtas le mur de celle-ci, tomba à son sol, tandis que la porte claqua et se referma. La cage chuta et tu atterris sur le sol, affolé et choqué. Une grande bipède attrapa ta petite boîte en fer et t'emmena dans un autre étrange endroit, à l'intérieur du laboratoire. Paniqué, tu étais collé au fond, les oreilles plaquées contre ton crâne.

  L'humaine te posa sur un plan de travail. Ils tentaient de te mettre en confiance, de te consoler, en vain. De plus, les manipulations étranges qu'un scientifique exerçait en fond n'étaient pas très rassurantes. Quand on parle du loup, l'humain s'approcha, vêtit de sa grande blouse blanche, la main dans les gants bleus, il tenait une étrange chose au bout pointu, qui se rapprochait dangereusement de ton flanc. Soudainement, la chose te frôla, et pénétra dans ta chair. Ton regard se figea, terrifié, et tes pupilles s'écarquillèrent; une douleur frappante t'ébranla sur ton front, un grand mal de tête t'emporta; au niveau de la queue tu ressentais des maux atroces. La douleur était si grande, tu ne pouvais la contenir. Tu t'évanouis lentement, frappant le sol de la cage.

  Tu te sortis une nouvelle fois de cette inconscience, cette fois parcouru de gouttes de sueur et en sursaut. Tu respirais frénétiquement, et tu ne bougeais plus. Tu fixais la salle où tu te trouvais, en réfléchissant à ce qui s'était passé avant que tu sombres. Tu te souvenais. Un vrai cauchemar.

  Au départ tu étais tout seul, désormais, quelques bipèdes étaient venus dans la salle. Tu étais légèrement perdu, mais tu savais ce que tu devais faire. Les humains te fixaient avec des sourires qui se voulaient rassurants; ce qu'ils n'étaient pas. Tu croisas un regard. Il te prit un haut-le-coeur soudain. Un cri retentit. Il venait de cette femme que tu venais d'effleurer des yeux. Elle se tordit de douleur et s'écroula au sol... elle ne bougeait plus. Empli d'incompréhension tu tournais le regard vers un bipède qui avait l'air tout aussi effrayé que toi. Une nouvelle fois ce sentiment indéfinissable. Il lui prit les même peines que cette humaine; il tituba, se heurta contre une table, et tomba contre celle-ci, une main sur le front, l'autre qui tenait le bord de la table. Tu étais totalement affolé.

  Ta cage avait été ouverte plus tôt avant le délit. Tu étais paniqué, le coeur battant la chamade, les crocs qui crissaient. Tu sortis en courant de ta cage. Tu voulais partir d'ici et ne jamais revenir. Mais tu étais partagé. Tu voulais rester avec ta famille. Mais... si c'était pour leur infliger le même sort qu'à ces humains, jamais tu ne reviendrais vers eux. C'est donc le choix que tu choisis. Tu courais, tes pattes martelaient le sol. Tu te dirigeas vers une salle au hasard.

  Il y était conservé nombre de tissus. Tu étais encore frappé par ce qui venait de se passer, tu n'arrivais pas à te concentrer. Y avait-il quelque chose qui te servirait ici ? Oui. Oui, oui, oui oui oui ! C'étaient tes yeux qui avaient causé le désastre. Tu devais les cacher. Mais tu n'étais point habitué, ta vue te servait beaucoup trop pour te priver de cette dernière. Mais tu ne pouvais pas faire courir un tel risque à autrui. Tu attrapais un chiffon gris et te l'attachas avec maladresse autour de tes yeux. Tu avais un peu de temps. 

  Quand tu ramenais tes pattes devant toi, quelque chose t'arrêta. Deux petites choses sur ton front, pointues. Tu avais désormais des cornes. Ça te changeait bien entendu, mais tu étais habitué à voir des félins avec ces étranges mutations. Ceci-dit, sur toi, c'était étrange. Tu parcourais ton corps du regard. Ah.. neuf queues... TU AVAIS NEUF QUEUES. Neuf ? C'est beaucoup, non ? Non ? Bon, d'accord.

  Ça ne te dérangeait pas vraiment. Tu étais sûr que tu t'y ferais. Des voix retentirent, venant de derrière. Tu tournais la tête et tu courais sans réfléchir vers l'extérieur. Tu connaissais légèrement le chemin pour sortir... en espérant quand tu ne te perdes pas.

  Te voici sorti. Tu courais toujours, nerveux. Tes pas te menèrent directement vers la forêt; l'endroit le plus calme et isolé que tu connaissais. Enfin, de ce que tu savais. Tu t'arrêtais et te retournas, puis jetais un dernier regard vers l'endroit de ton enfance. Tu ne le voyais pas, mais tu savais qu'il était là. Tu savais que tu ne le reverrais certainement jamais. Du moins, pas en ami...

  Désormais tu étais libre, lâché dans une jungle méconnue et dangereuse. Sans ta vue. Tu te demandais comment tu pourrais t'en sortir. Tu partais plus profond dans la forêt, toujours en courant. Tu étais prudent et désorienté. Tu te pris même un arbre en pleine tête. Agréable.

  Tu apprenais à vivre dans la forêt. Tu ne parlais pas. Jamais. Tu étais seul. Tu n'avais personne avec qui t'exprimer. Conscient de ta solitude, tu retirais ton bandeau parfois. Tu pouvais donc voir. Tu n'étais pas si confortable avec ton bandeau, mais tu apprenais à vivre aveuglément. Les débuts avaient été difficiles. Tu te blessais constamment, ne savais pas comment chasser, ratais toutes les prises que tu ciblais. Ce n'était pas facile... mais tu t'en sortais, miraculeusement. Tu n'explorais pas vraiment la forêt. Sauf quand le gibier manquait. Alors tu changeais de terrier. 

  Tu avais l'intention de bientôt partir afin d'explorer de nouveaux horizons. Tu connaissais le désert. Qu'y avait-il au-delà de celui-ci ? Peut-être un monde plus grand. De la neige, peut-être. Un monde endormi et gelé. Ou bien un monde où l'apocalypse et l'impact humain n'étaient pas. Un endroit magnifique qu'on n'avait jamais vu avant. Peut-être que les fleurs là-bas étaient incroyables. Peut-être que les lieux coupaient le souffle à n'importe quel individu. Peut-être que Tenkā n'était pas le premier à penser à ça. Peut-être même que des chats vivaient là-bas, dans la joie et la bonne humeur. Et que nous, nous vivions dans le côté sombre du monde.

  Tant de questions t'assaillaient. Tu ne pensais plus qu'à cela. Ceci-dit c'était une hypothèse intéressante. Un jour, te promis-tu, tu irais explorer ces endroits. Et pour commencer, il fallait traverser le désert.

  Plusieurs jours s'étaient écoulés. Tu t'étais servi de ton bandeau pour ramasser les provisions. Donc tu mettais des petites souris ou des lapins à l'intérieur. Tu étais fatigué. Avant de traverser le désert tu devais te reposer. C'est donc ce que tu fis. Pendant deux jours. Tu savais ce qui t'attendait, tu avais de très grandes chances, en bravant ces terres arides, de te perdre et... de mourir. Mais tu avais des petites chances de découvrir un endroit magnifique et incroyable.

  Fin près que tu étais. Tu pouvais désormais affirmer ce voyage. Mettre en marche cette traversée. Tu mis une patte sur ce sable, à la lisière de la forêt, et tu t'avançais avec courage. Ce dernier qui menaçait de s'évaporer, dévoré par des pensées peureuses. Mais tu avais peut-être un avenir meilleur devant toi. Tu avais déjà chaud. La forêt était de plus en plus petite. Tu t'enfonçais dans le désert et petit à petit la tempête était de plus en plus forte. Elle s'élevait et bientôt et t'ébranlerait, te frapperait et te ralentirait.

  Elle était devenue trop forte. Tu t'étais réfugié dans une petite cavité ensablée. Tu en profitais pour te nourrir légèrement. Le "plafond" avait l'air de tenir. Tu décidais de rester ici jusqu'au lendemain. Après avoir fini ta souris, tu te lovas en boule et ferma tes paupières avant de sombrer dans un sommeil dérangé.

  Tu te réveillais le lendemain, fatigué. Avant de te rendre compte que le sable avait presque engloutis la caverne. Tu attrapas ton bandeau et sortis d'ici en vitesse. Tu avais bien failli y rester. La tempête était moins forte. Tu pouvais pour le moment circuler en tout simplicité. Excepté la chaleur, les conditions étaient meilleures qu'à ton départ. Tu te dépêchais donc de marcher vers on-ne-sait-où, un endroit que tu découvriras par la suite. Peut-être la mort. Peut-être le bonheur. Qui sait ?

  Tu avais marché des heures et des heures. Le soleil était à son zénith. Il était midi. Tu ne t'étais presque pas arrêté de la matinée. Tu étais fatigué. Trop fatigué. Et tu avais soif. Trop soif.

  Tandis que tu soulevais ton regard endormi devant toi, tu avisas une chose où tu pourrais t'abriter, car l'ombre y était beaucoup. Parfait. Tu pris garde, cependant, à ce que ton cerveau ne te joue pas des tours. Tu t'y avanças prudemment toucha la surface brulante de la chose. C'était bien du vrai ! Tu t'y arrêtas donc. Et tu passa un long moment ici.

  La chose t'avait offert de l'ombre. Tu avais eu de la chance, beaucoup de chance. Tu avais repris la route quelques temps plus tôt. Tu songeais à t'arrêter une nouvelle fois.. mais... quelque chose attira ton attention. Par terre, des traces de pas s'étendaient sur le sol. Tu levas la tête. Elles allaient dans cette direction. Ton coeur s'emballa. Est-ce que c'était bien ce que tu pensais ? Tu te mis à courir avec enthousiasme, suivant ces pas. Tu t'arrêtas en haut d'une dune et la vue que tu admiras te laissa sans voix. Il y avait.. des chats.. beaucoup de chats. Et au milieu, une énorme oasis.

  Tu jetas les proies qui te restaient, brandis ton bandeau et t'avanças. Étrange endroit que voilà... Ça faisait bien un moment que tu n'avais pas observé de rassemblement de chats comme ceci. Depuis ta fuite de chez les soldats, pour être exact. Les chats te regardaient étrangement. L'un vint vers toi. Tu étais un peu à l'écart.

  — « Une nouvelle tête, ici ? Ce n'est pas souvent. Qui es-tu ? Que viens-tu faire ici ? »

  Bien entendu, tu ne répondis pas. De 1, tu n'avais pas parlé depuis des jours et des jours. De 2, tu avais soif, et tu étais à bout de forces. De 3, ce que tu venais de vivre dans les jours passés était plutôt traumatisant. La femelle te regardait avec des yeux curieux. Tu tournais ta tête vers elle, en suivant le son de sa voix et en t'orientant au souffle de son haleine chaude.


  — « Tu dois être exténué, je vais éviter de te poser des questions. Va t'hydrater, on reparlera quand tu te seras assez reposé. »


  Tu te dirigeas donc vers l'eau sableuse sans un mot. Une fois à côté de celle-ci tu t'accroupis puis lapais l'eau. Tu te levais et te dirigeas vers un endroit - pas isolé - mais avec peu de personnes. Tu remuais tes neuf queues. Tu comprenais à peu près ce qu'il se passait ici. Quelques chats te lançaient des regards farouches. Tu ne les voyais pas. Tu t'en doutais par contre. 
 
  Tu entendais des pas se rapprocher de toi.


  — « Bonjour ? »


  Tu ne répondais pas. C'était un grand mâle à sa voix. Il se racla la gorge, gêné.


  — « Heum... comment t'appelles-tu ? »


  Tu ne parlais plus. Tu gardais la tête droite, couché sur le sable chaud, ton bandeau sur ton museau, avant d'arriver à articuler :


  — « Tenkā. »


  Tu savais comment parler, tu connaissais tous les mots, tu n'avais pas perdu ton savoir. Bon, peut-être un peu. Mais en général tu pouvais parler. C'est juste qu'après avoir passé tant de jours seul et en se débrouillant (presque) à merveille, tu ne trouvais plus aucune utilité à parler. Le mâle soupira.


  — « Salut Tenkā. Moi c'est Huāmi. Tu es courageux d'avoir traversé tout le désert. Ça a du être périlleux... »


  Tu hochais la tête.


  — « Tu n'es pas bien bavard, dis. Laisse-moi deviner, des jours légèrement traumatisants ces derniers temps ? »


  Tu acquiesçais.


  — « On est habitués. D'où viens-tu ? Tu as vécu seul ou tu étais chez les soldats auparavant ? »


  Tu songeas à comment répondre à cette question. Tu brandis deux de tes neuf queues.


  — « Oh, tu étais chez les soldats ? »


  Tu fis oui de la tête.


  — « Et tu y es toujours ? »


  Tes muscles oculomoteurs se plissèrent. Bien sûr que non !


  — « D'accord. Tu sais où tu es, ici ? »


  Ton expression s'illustra de manière à imiter le "non".


  — « Chez les Caméléons. Nous sommes les Caméléons. Tu en as certainement entendu parler au QG des soldats. Nous sommes des chats très pacifiques. On n'aime pas trop se battre. Nous sommes une Guilde, comme les Soldats. »


  Mhhh. Tu comprenais désormais. Tu étais bien heureux de te trouver chez les caméléons ! C'était un peu ton utopie depuis ta fugue.


  — « Tu peux rester ici si tu veux. Et puis après, il faudra que tu te trouves un rang, etc... moi, je pense que tu es forgé pour être Ombre. »


   Tu tournas ta tête vers lui. Il s'était assis à côté de toi. Tu tournas la tête vers lui.


  — « Ombre, c'est espion quoi. Et toi, tu es très calme, et discret. Et puis tu as réussi à traverser tout un désert ! »


  Oh. Intéressant.
 
  — « Tu penses que ça te plairait ? Pour ça, il faut t'entraîner bien entendu. »

  Mh mh. Ça te plairait bien ! Tu hochais la tête. Tu discernais qu'il souriait, à son souffle. Il t'invita à te lever et à le suivre, ce que tu fis. Tu trottinais. Tu étais heureux. Ta vie allait être meilleure dès aujourd'hui. 


  Un peu moins d'un an plus tard, tu étais ombre confirmé. Tu avais bien grandi, désormais tu avais 2 ans et quelques. La puce qui t'avait été posée au QG des soldats avait été retirée par les caméléons, et tu vivais parmi eux. Tu connaissais la plupart d'entre eux mais eux te trouvaient toujours mystérieux bien qu'ils t'appréciaient. Effectivement tu cachais à peu près toute ton histoire tragique. Mais ici, vous étiez partagiez tous les même destin. Vous aviez fui de chez les soldats pour vous retrouver ici pour la plupart. Vous avez vécu des expériences horrifiques, et vous avez ressenti beaucoup de choses. C'est ce qui vous rapprochait, en somme; la difficulté des obstacles ne vous arrêtait pas. Vous vous comprenez. Et c'est ce qui fait la Guilde des Caméléons.



HRPG :

• Dans la vraie vie

• Pseudo le plus souvent utilisé : Awi, cactus
• Âge : 15 (bientôt je vieillirai un peu plus, patience)
• Comment as-tu découvert le forum ? nyah (DC)
• Autre chose ? Jus d'cactus.
• Je souhaite avoir un parrain/une marraine pour mon premier rp : nyupe (effacer mention inutile et ajouter le pseudo du parrain/ de la marraine si vous savez qui vous voulez)

Quiz

Validouch' par un arc-en-ciel ♪

Code par xLittleRainbow



Dernière édition par Tenkā le Mer 7 Juin - 10:13, édité 4 fois

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 31 Mai - 21:49


Rew bienvenue ma Namûre ! ♥

Invité



Anonymous
Invité


   Ven 2 Juin - 17:43


Merci ma namûre <3
Fiche terminée ~

Invité



Anonymous
Invité


   Lun 5 Juin - 11:18


Re-bienvenue ^^

Alors, je pense que je vais aborder tout de suite le sujet qui fâche : le mélange des gènes d'un chat et d'un renard ne nous semblent pas concorder avec le contexte. En effet, les opérations dotant les félins de pouvoirs s'effectuent aux alentours des deux mois de ces derniers. C'est cette modification qui permet l'apparition des dons, pas un manipulation génétique antérieure. En mélangeant seulement deux génomes (pas très différents l'un de l'autre du reste) tu ne devrais pas avoir de don ni même de modifications physiques.

Pour ce qui est du code d'identification n'oublie pas qu'il doit se composer de quatre chiffres et non pas seulement de trois (:

Invité



Anonymous
Invité


   Lun 5 Juin - 11:54


Dada › 
 • Ça marche ! Je retire le mélange chat-renard
 • Après pour le code, excuse-moi, je suis pas habituée xD Ça fait longtemps que j'ai pas joué de soldat et la dernière fois, le système de code n'était pas encore mis en place. Plus j'avais vu un code à 3 chiffres donc j'ai pris confiance :3

  Je change tout ça, je posterai dès que ce sera terminé. :)


Dernière édition par Tenkā le Mer 7 Juin - 10:18, édité 1 fois

Invité



Anonymous
Invité


   Lun 5 Juin - 12:19


DP
 
 • J'ai changé le code et l'histoire, mais je me suis demandé quelque chose : est-ce que l'histoire telle que je l'ai changée tient, ou alors il est nécessaire que Tenkā, en tant que natal du QG, doive être obligatoirement né avec ses modifications physiques ?

Invité



Anonymous
Invité


   Lun 5 Juin - 14:33


L'histoire me semble bien si ce n'est qu'il ne faut pas oublier que la puce implantée à tout félin passant entre les les mains des humains doit être ôtée.

De plus, il serait tout de même bien qu'il y ait une limite de félins atteints par ton pouvoir. Parce que tu parles d'un temps de recharge de deux heures mais on ne sait pas quand est-ce qu'il va y avoir besoin de ladite recharge. On ne sait pas non plus combien de temps peuvent durer les illusions. Si elles durent plus de plusieurs minutes nous serons certainement obligés de refuser ton pouvoir. Je comprends que ton personnage passe la majeure partie de son temps les yeux bandés mais, dans une bataille, terroriser quatrorze adversaires douze fois de suite pendant douze minutes chacun c'est quand même pas rien. C'est réalisable avec les conditions que tu appliques pour le moment.

Invité



Anonymous
Invité


   Lun 5 Juin - 14:57


Okey, voilà qui est réglé pour le pouvoir. Pour la puce, à quelle case est-elle retirée ? Chez les caméléons ?

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 1:14


Dix minutes ça me semble encore un peu beaucoup :/ Après si ton personnage ressent des effets et n'est pas au top de sa forme pour combattre pourquoi pas. Sinon tu te rends bien compte que c'est vraiment loin d'être équitable ^^'

Pour la puce elle peut être retirée à n'importe quel moment (: Il faut seulement prendre en compte le fait qu'elle est implantée au niveau de la nuque et ne peut donc pas être retirée par le félin lui-même.

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 9:13


J'ai réduit le temps à 5 mins par précaution :)

Pour la puce, les caméléons pourraient l'enlever ?


Dernière édition par Tenkā le Mer 7 Juin - 10:18, édité 1 fois

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 9:34


Bien pour le temps, merci beaucoup pour ta patience (: Et, en effet, les Caméléons peuvent ôter la puce.

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 10:09


Je dirais plutôt merci à toi pour t'occuper de ma fiche, ainsi que pour ta patience, également. :)
Ça marche, je change ça et je poste quand c'est fait. Merci encore ~


Dernière édition par Tenkā le Mer 7 Juin - 10:17, édité 1 fois

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 10:16


Hop là, voilà qui est réglé, je te mets le passage pour que tu ne sois pas obligée de chercher › "Tu avais bien grandi, désormais tu avais 2 ans et quelques. La puce qui t'avait été posée au QG des soldats avait été retirée par les caméléons, et tu vivais parmi eux. "

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 7 Juin - 10:28


A priori tout est bon, je valide ta fiche. ~





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