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Quand on se jette dans la gueule du loup [Alec, Terra, Opale, Lune, Izira]

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Anonymous
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   Mer 8 Fév - 9:40








 
Quand on se jette dans la gueule du loup


 
Chose promise chose due les RPs d'event font enfin leur apparition ! Ce message concerne les félins faisant partie de l'équipe de Dariel. Rappelons donc que, sauf message contraire de la part du Maître du Jeu, seuls Alec, Terra, Opale, Lune et Izira. Essayez de répondre aussi rapidement que possible quitte à faire des réponses un peu plus courtes (n'oubliez néanmoins pas de relancer efficacement pour le suivant !). Les sujets liés à l'event seront clos le 25 mars ce qui laisse presque deux mois pour avancer. Pas d'ordre n'est imposé dans les réponses faites seulement en sorte que tout soit cohérant.

On vous rappelle que les humains de la caravane sont méfiants et armés. Notez aussi que s'ils possèdent des chats ces derniers ne sont pas modifiés génétiquement. Leur campement, bien que temporaire, est assez bien fourni en matériel. Pour plus de précision nous vous laissons regarder la description du lieu qui a été mise à jour ainsi que la dernière annonce faite à propos de cet événement de RP.

Bon jeu à tous !


Code par xLittleRainbow

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Anonymous
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   Sam 18 Fév - 20:24


Cela avait fait un moment qu'on avait marché, silencieusement dans la forêt, ou juste le bruit du vent frémissait les branches des arbres dénudés en cette saison, et ou quelques oiseaux courageux chantonnaient.
Malgré que j'adorais parler, j'avais bien compris que la c'était pas le moment. La ou on allaient ils ne faillaient pas être découverts, du moins du moment. C'est la que je commença à entendre des bruits étrangers, des bruits qui ne correspondait pas aux bruits habituels de la forêt. C'est la qu'on arriva et qu'on observait. L'endroit grouillait d'humains qui s'affairait de ci de la a différentes tâches de mon point de vue. Au sol il y avait différents choses, dans lesquels les humains rentrés et ressortaient, parfois avec d'étranges choses à leurs pattes.
Je sentis ma nervosité m’envahir, ma queue se balançait de droite à gauche, chassant les brindilles sur le sol d'un cou sec. Je respira un bon coup afin de maintenir mes nerfs en place, je ne souhaite pas gâcher une missions comme ça juste parce que je ne sais pas me contrôler. J'ai assez fait de bêtises par le passé ! Je secoua ma tête, recommença a observer ces humains, jusqu'à ce que certaines formes familières attirent mon regard.
Il y avait des félins, bien présent, non attaché, qui suivaient parfois certains humains. Est-ce que c'était des Soldats ? Après tout c'était les seuls qui restaient aux côtés des humains. Mais a force de les regarder il y a quelque chose qui me démangeait, j'avais beau les regarder je n'en voyait aucun qui était comme nous. Ces chats n'avait pas d'ailes, ni de cornes, ni d'étranges couleurs, il n'y avait rien a part un pelage noir, gris, blanc, roux, écaille. Etait-il des chats normaux ? C'est ça être un chat normale ? A moins que c'est un nouveau type de Soldats. Impossible a savoir si ils sont normaux, j'en ais jamais vus et je ne me rappelle toujours de rien d'avant l’expérience. Toujours observant les humains je chuchota au groupe, qui n'avait toujours rien dit :

-Est-ce que ces chats sont normaux ?

Mes yeux continuaient de suivre certaines silhouettes félines, c'en était presque hypnotisant.

HRP:

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Anonymous
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   Sam 18 Fév - 20:42


Je me dépêcha, j'étais en retard, une mission très importante avait été lancer et je n'étais pas rentér à temps pour entendre les consignes, mais je savais avant tout que c'était un mission d'espionnage, donc, je devais être discrète. Je me transforma et m'envola, survolant ls périmètre de la zone ou les groupes avaient été lancé, je reconnu le mien. J'avais été appelé un peu plus tôt ce matin, interpeller par Alec, il voulait que je sois dans son groupe, sûrement car mon pouvoir était très utile dans des circonstances de fuite. J'Avais accepter et avait suivit mon groupe pour la chasse. J'observa longuement le campement des humains. La bâtisse d'un blanc nacré était très incongrue ici. Elle ressortait crûment sur le fond noir des arbres calcinés. Il était d'ailleurs étrange que les humains n'aient pas cherché à reprendre possession de ce lieu. Ancien camp de base des Caméléons avant que ces derniers ne partent en direction du Désert, des humains avaient bel et bien réintégré le Refuge. Ils l'appelaient certainement autrement mais, pour les habitants de la forêt, ce lieu n'avait pas changé de nom.

Pourtant le Refuge n'était plus une simple structure humaine aux murs permettant de filtrer la pollution. Bien évidemment ce bâtiment était toujours debout mais il était maintenant environné par de multiples constructions plus ou moins sommaires. Petit à petit les tentes s'étaient muées en habitations plus durables mais la Caravane humaine s'étant installée ici était prête à plier bagages si nécessaire. Les humains portaient des masques à gaz pour survivre à l'air vicié de la Forêt Empoisonnée et ils avaient érigé tout autour de leur campement des défenses telles que des murs fait de troncs entiers taillés en pointes. D'autres ajouts avaient été faits pour renforcer les défenses. On pouvait voir de-ci de-là des plaques métalliques certainement prélevées sur des appareils présents dans la Décharge.


Dans tous les cas les humains vivant ici n'étaient pas hostiles au félins, certains vivaient même avec eux, et ne côtoyaient pas ceux du Laboratoire. Des chats domestiques pour sûre.

Je me posa à quelque centimètre du groupe et devenue une créature haute sur pattes. J'était une belle chatte noire, grise et blanche. J'avait de beaux yeux bleus turquoises et une couette qui cachait mon oeil gauche. Les poils de mon museau, mes pattes et le bout de mes queues étaient gris, pendant que le dessous de mon ventre était blanc, et le reste était noir. Mes oreilles étaint hautement placer sur ma tête et plus pointus, me permettant d'entendre des bruits plus lointains qu'un membre normal ne peux pas entendre. Contrairement à la race de mon père, j'avais un pelage court, qui avais dû s'adapter au climat aride du désert. J'avais neuf queue, comme le renard à neuf queue Kuybi. J'avais aussi une sorte d'aura qui partait de son oeil gauche, qui vole au vent même si ce dernier était absent, cet aura était de la même couleur que mes yeux, c'est à dire vert.
Je m'approcha du groupe et salua d'un signe des queues mon chef de groupe et m'installa près d'une chatte au pelage presque blanc, il était très légèrement grisé, un peu comme la brume. Ses oreilles, le bout de ses pattes ainsi que sa queue étaient de couleur vert pâle très clair. Elle possédait aussi des ailes constituées de plume mais celle-ci étaient d'un vert plus foncée à la base, pour allez de plus en plus clair vers le haut. Ses yeux étaient d'un vert foncés. Elle avait aussi sur la sommet de sa tête une racine de plantes constitué de feuilles et de fleurs. Elle avait aussi une racine du même genre sur sa patte avant droite mais en beaucoup plus petit. Elle fixait le campement d'un air curieux, elle devait avoir perdu la mémoire après son expérience, j'avais une ancienne amie soldate qui avait eu le même problème, perdre la mémoire c'était comme mourir, tous nos souvenirs envoler juste comme ça. Elle chuchota une phrase qui ne me surpris guère pour son jeune âge.
-Est-ce que ces chats sont normaux ?
Je soupira, puisque personne ne voulait répondre je me dis que je devrais être l'heureuse personne à lui répondre, je m'approcha et lui chuchota dans l'oreille.
- Oui ce sont des chats assez chanceux pour ne pas avoir eu d'expérience
Je me releva et regarda le comportement bizarre de ces chats.

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Anonymous
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   Dim 19 Fév - 16:17


Toujours observant c'est étranges humains et c'est félins, une voix féminine chuchota une réponse que j'attendais avec impatience, pourtant je ne détournas pas le regard.

-Oui ce sont des chats assez chanceux pour ne pas avoir eu d'expérience.

Je m'en doutais alors, mais cela était tant bizarre de voir ce qu'on pourrait être sans ses expériences. Mais bizarrement, je ne me verrais pas sans mes ailes, elles m'appartenaient, j'ai toujours vécu avec du temps dont je m'en souviens, être sans, ce serais pas moi. Si j'étais normale, je devais être comment ? Je sentis du mouvement à côté et tourna la tête par instincts, c'est la que je vis la félins qui m'avais répondus et qui regardais attentivement ces humains et ces chats. Son pelage noir était aussi de couleur grise et blanche, notamment au visage. J'avais du mal à voir ses yeux à cause de quelque chose qui cachait son œil gauche, mais il me sembla qu'elle avait les yeux vert. Elle possédait également neuf queues, me faisant penser au chef des Felinae qui lui aussi en avait plusieurs. Je me demandais bien ce que cela pouvais faire dans le corps, si ça permettais d'avoir une méga équilibre ou carrément le contraire. Mais je secoua vite ma tête pour reprendre la ou nous étions et me remis à observer les humains, et certains portaient des choses identiques a leurs deux pattes avants. Une chose métallique, qui n'avais l'air guère amicale, ou les rayons du soleil eux aussi rebondissaient.
Je retourna ma tête vers la féline et toujours en chuchotant je lui demanda :

-Et c'est quoi ce que on les humains dans leurs pattes avants ? La chose métallique ? Lui demandais-je.

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   Dim 19 Fév - 18:37


L'endroit lugubre n'était pas très accueillant. Des chaines ou peut-être des montres, mon séjour chez les soldats en disait beaucoup sur eux, je chuchota à la chatte à demis-plante à demis-chatte,
- Sûrement des chaines, mais c'est la première fois que je vois un humain avec des chaines, mais vus leur cruauté, cela ne m'étonnerais guère.
Je regarda derrière moi, derrière nous s'élevais la Forêt Empoisonnée. Si la Forêt Empoisonnée était majoritairement désertique et noire, la vie transparaissait à son orée. Le sol nu se recouvrait d'herbe, quelques fleurs parvenaient à pointer le bout de leur nez et il y avait même quelques arbrisseaux qui commençaient à repousser.

De nombreux points de contrôle avaient été mis au point par les Felinaes. Dissimulés à la vue des humains, nous parvenions ainsi à observer leurs allées et venues sans être vus. Parfois, certains Soldats retrouvaient notre traces et quelques rixes éclataient. Mais nous faisions tout pour préserver notre liberté et ces points avancés n'étaient en aucun cas notre quartier général. Aucune chance que les plus faibles d'entre nous soient attrapés dans ces cas là. Et nombreux étaient les Felinaes prêts à mourir pour garder le secret de notre retraite.

Pour ce qui était des activités humaines, elles se constituaient en une grande route de terre battue, l'asphalte ayant disparue au cours des bombardements. De nombreux camions passaient emportant tantôt des gens, tantôt des marchandises. C'était l'un des axes principaux et nous autres devions faire attention si nous voulions traverser. Il ne fallait pas se faire attraper mais, plus encore, ne pas se faire renverser par un véhicule. Non loin de l'orée de la forêt on retrouvait un grand arbre au centre d'une clairière. Ici comme ailleurs, la végétation était d'un noir de suie, détruite et carbonisée. Ce qui nous intéresse est l'arbre au centre de l'espace découvert. Ce devait être un beau chêne, si on en croit le positionnement des branches et la circonférence du tronc. La légende des pendaisons venaient de cette branche basse au large diamètre.

Il paraît que, au début de la guerre, de nombreux hommes tentaient de fuir le combat. Les déserteurs étaient rattrapés et certains étaient exécutés ici pour l'exemple. Certains disaient que les fantômes de ces morts circulaient encore ici et insistaient sur le fait qu'ils étaient fort mécontents. De leur sort, mais aussi de voir ce que leur monde était devenu.

Seuls les braves s'approchaient de cette zone. L'avantage cependant, parce qu'il en fallait bien un, était que les hommes craignaient ce lieu encore plus que les félins. Il était donc très rare de croiser un bipède par ici, et même lorsque l'un d'eux s'aventurait ici il était facile de le faire fuir en faisant bruisser les fourrés.
Le centre était l'endroit le plus dévasté de toute la forêt empoisonnée. Ici les arbres étaient noircis, calcinés. Il n'y avait plus aucune trace de vie, si ce n'était peut-être quelques insectes. En effet, une bombe était tombée juste à cet endroit et avait tout dévasté. Sur vingt cinq mètres de diamètre, il ne restait plus qu'un cratère. Les arbres alentours avaient reçu l'onde de choc de plein fouet et ils étaient nombreux à être à demi brisés ou même totalement renversés, leurs racines pointant vers le ciel.

Si on s'éloignait quelque peu, les dégâts étaient un peu moins étendus, mais les arbres resteraient dorénavant sans une feuille ou un bourgeon. Un silence inquiétant planait sans cesse ici. La seule chose rassurante était le soleil qui parvenaient sans mal à percer au travers des branches nues.

Seule la curiosité pouvait nous amener ici. A moins que nous ne voulions rejoindre un point sans contourner cet obstacle. Nous le ferions cependant à nos risques et périls. Nous avions dit que seuls les insectes vivaient encore ici, mais qu'en est-il du produit qui a fait autant de dégâts ? Personne ne sait si la substance était encore active ou non.
Je sentis du mouvement de l'autre côté de la clairière, la patrouille de Dariel apparu et, regardant les humains, Dariel bougeait furtivement ses queues, j'attendais le signale.

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   Lun 20 Fév - 23:19


Je retourna ma tête vers la féline qui me répondis une fois de plus :

-Sûrement des chaines, mais c'est la première fois que je vois un humain avec des chaines, mais vus leur cruauté, cela ne m'étonnerais guère

Des chaînes ?! Pensais je intérieurement horrifié. Mais que pouvait bien faire les humains avec des chaînes ? Ils n'attachent tout de même pas des chats avec ça ! Ç est horrible. Mille pensée tourbillonnerent dans mon esprit en cette instant. Des images de chats, attache par ces chose, le sang partout sur le corps. Je me rappelais de Plume Noire. Ses chaînes sur ses ailes avec ses blessures qui refusaient de soigner correctement. Alors si c est humain nous capturaient avec ces chaînes je ne voudrais même pas voir mes amis la dedans. Ce serait horrible. Surtout que le chaînes étaient impossible à briser.  Même avec une mâchoire puissante, des griffes aiguisé, c etait impossible comparaît à une corde. Brusquement un long frissons parcourus tout le long de mon corps, et j eus l 'impressions  de sentir cette chaînes froide autour de mon cou se resserait lentement.
Je secoua subitement ma tête brusquement chassant cette chose qui me démangait. Je regardai le reste de ma patrouille aux alentours, essayant de voir le réaction qui jusqu'à la était bien silencieux. Trop silencieux.
je regardais Lune, rien qu en la regardant j avais moins peur. C'était mon amie et sa présence me rassure par tout ces félins dont j'ignorais le nom. Je reconnaissait bien le chef de groupe avec la moitié de son corps rouge. Je me demains à quoi il pensait et que fallait-il faire ? Mais le groupe restait silencieux à part cette féline à mes côtés.  D ailleurs je la regardais à nouveau, et je la vie scrutait au loin, les yeux sérieux.  Mais je ne vis pas ce que elle regardais. Alors je lui demanda encore une question en espérant ne pas la derangeait.

-Qu'est-ce que tu fais ? Je fis une pause avant de reprendre.Merci au passage. Mais on fait quoi maintenant ?


Dernière édition par Terra le Mar 21 Fév - 14:51, édité 1 fois

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Alec
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   Mar 21 Fév - 13:54


IN THE WOLF MOUTH
Groupe x Alec


Le feu vert avait été donné par Dariel. Les petits groupes s’étaient séparés et s’étaient élancés chacun de leurs côtés. Alec était en tête du sien, derrière suivait la troupe de femelles composées de Terra, Opale, Lune et Izira, cette dernière lui ayant été attribuée par Dariel. Le groupe traversait la forêt, rapidement et silencieusement, tel des ombres. Bientôt, la forêt se fit de plus en plus grise, calcinée. Ils débouchèrent droit devant l’immense porte entourée d’une muraille de rondins taillés en pointe. Cette immense prison encerclait le Refuge. Il était difficile de voir quelque chose, mais entre les troncs on pouvait apercevoir les bipèdes faisant des allés-retours dans leurs tanières de métal. Sur son côté, Alec entendait Terra faire glisser sa queue sur le sol, déplaçant les brindilles qui firent de faibles cris à peine audibles à leurs déplacements. La femelle ailée respira un bon coup, elle voulait en découdre. Patience, ils ne devaient surtout pas se faire voir. Elle secoua sa tête. Alec porta son attention sur le camp face à lui. Il pouvait entrapercevoir des félins, oui, normaux, aucunes modifications, aucunes expériences n’avaient effleurer leurs pelages ternes. Il se redressa, ses sabots fit un bruit sourd au contact du sol cramé entre pierre et terre. Izira se posa derrière eux, et repris sa forme féline, elle s’épuisait sans aucun intérêt en utilisant son pouvoir tape-à-l’oeil. Elle salua Alec, qui ne pris même pas la peine de lui répondre. La chatte se plaça à côté de Terra.

» Est-ce que ces chats sont normaux ?  

Alec glissa son regard vairons sur le spectacle face à lui, et il hocha la tête en guise de réponse à la femelle fleuri. Mais comme si cela n’était pas une réponse assez claire, la chatte au pouvoir tape-à-l’oeil lui répondit après un soupirement.

» Oui ce sont des chats assez chanceux pour ne pas avoir eu d'expérience.

La femelle se redressa, et plongea elle aussi son regard dans la danse de ces intrus.

» Et c'est quoi ce que on les humains dans leurs pattes avants ? La chose métallique ?
» Sûrement des chaines, mais c'est la première fois que je vois un humain avec des chaines, mais vus leur cruauté, cela ne m'étonnerais guère.

» Qu'est-ce que tu fais ? Merci au passage. Mais on fait quoi maintenant ?

Après ce dialogue entre les femelles, le mâle se redressa d’un coup, frappant ses sabots sur le sol, imposant le silence aux femelles derrière lui. Il tourna sa tête vers elles. Ses longues oreilles accompagnés de ses cornes imposaient le respect et le silence, son regard sombre était menaçant. Il n’eut rien à dire pour que la demande soit comprise. Ils ne devaient pas attendre le signal de Dariel, ils étaient seulement ici pour observer. Le bruit que la discutions avait produit devait sûrement déjà avoir attiré l’attention des gitans, car des bruits s’élevaient d’eux, voir même des cris, des miaulements de craintes et de défenses ? Aucunes idées, tout ça n’était que du bruit pour l’instant. La mâle brun reposa son regard sur le Refuge, il fixait un humain, qui le fixait aussi. Et merde. Il ondula la queue, aucun mouvement ne devait être fait pour l'instant.
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   Mar 21 Fév - 21:03


Dariel notre chef avait donné le feu vert et je suivais sans rien dire le chef de notre groupe Alec tout en restant à côté d'Opale. Puis Terra et Izira discutèrent un peu mais même si c'étais mes opinions je ne réagis pas car je n'avais pas envie de me mêler à la conversation, j'étais assez perturbée. J'étais perdue dans mes pensées quand j'entendis Alec donner un coup de sabot. Je sursautai et regarda Alec qui regardais lui même un humain. Il ondula la queue et tout le groupe compris qu'on ne devait pas bouger. Je concentrai mon énergie car je sentais que cette journée allais être longue, très longue tout en observant le refuge

HRP : Désolée pour cette réponse nulle j'avais pas d'inspiration

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   Mer 22 Fév - 14:10


Je m'empressai de rejoindre mon groupe lorsque Dariel donna le signal de départ. J'étais près de Lune au moment du regroupement. Mais, alors que le reste du groupe partais, je restai derrière eux, un peu à la traîne. Je voulais analyser en détail la forêt. Je savais que si je ne me concentrai pas sur le lieu lui même, j'allais vite faire une bêtise. J'ai donc osé être en arrière.
Les feuilles larges et denses des arbres laissaient passer des minuscules rayons de soleil, ce qui donnait à la Forêt Empoisonnée un air sombre. Je stopai ma course de temps en temps pour vérifier les alentours. Les rares fleurs dançaient au vent, les oiseaux gasouillaient et les buissons discutaient entre eux grâce à la douce brise fraîche.

Ce n'est que quelques minutes plus tard que je remarquai mon retard trop important. Je ne voyais plus le reste du groupe. Ni une ni deux, je montai sur le premier grand chêne à ma porter. Je sautai agilement de branches en branches, faisant voler les petites feuilles qui étaient obligées de rester attachés.
J'arrivai sans mal près du refuge où se trouvait mon groupe. Deux belles chattes discutaient entre elles, ce qui n'est pas très intelligent je trouve. Je voyais Lune, ma meilleure amie, en bas, entre les deux inconnues et Alec. Celui-ci restait,le regard fixé sur les Humains. Je fis de même.

Les Humains. Ils ne me fesaient pas vraiment peur à vrai dire. Je suivais du coin de l'œil les mouvements indéchiffrable de ces êtres ignobles. Ils rentraient et ressortaient d'une tanière blanche en métal dans arrêts. Alec m'a dit que c'était la Caravane. Pourtant, mon regard se détourna sur quelque chose de plus familier pour mon esprit. C'est bizarre, ils nous ressemblent...

Des félins. Ils n'avaient pas de modifications comparé à nous. Cela m'intriguai alors d'avantage, un peu trop même. Je n'entendais plus rien. La conversion des deux femelles me paraissait invisible. J'oubliai la présence de Lune et Alec. Je n'entendais que les pas légers des chats domestiques, tournant en rond autour des Humains. Ils sont avec eux, j'en étais sûre. Je ne voyais plus que ça: des animaux selon moi incontients, près à tout pour aider leurs "supèrieurs". Une haine profonde m'envahissait de plus en plus, ne voyant plus que le sang et la mort dans mes yeux.

Le son résonnant des sabots d'Alec retira brusquement mes envies meurtrières. Il regarda les félines bavardes de ses yeux apeurant et autoritaires. Sa queue battante, il nous imposait le silence. Le chat au derrière de diable reposa son regard sur le Refuge. Il fixait un Humain. Et malheuresement, il faisait de même. Je ne bougeait pas.

Je devais faire quelque chose. Après tout, je sais maîtriser les auras. La mémoire remplie de citations, j'en cherchai une qui pourrait aider Alec. Une fit briller mes yeux sans pupilles:
"Une des pires douleurs vient de l'Aura."

Mais bien-sûr! Lorsque la pression de l'aura augmente, les maux de têtes peuvent être très importants! D'où mes maux de crânes réguliers. Je savais quoi faire.

Toujours perchée sur ma branche, je fermai mes paupières. Une multitudes de vagues colorés apparurent. Je remarquai facilement celle de l'Humain dangereux. Je ressentais une légère appréhension en lui. Je me concentrai, faisant le vide dans mon esprit. Son aura était à ma portée. Je réouvris mes yeux, à présent luisant. On aurait dit de véritables Opales. En fronçant mes soucils, rapprochant mes pattes entre elles, je voyais l'Humain se tenir le crâne avec ses pattes. Je répétai dans ma tête cette petite citation qui m'a ouvert l'esprit.
À présent, la pression était à son maximum. Je regardai l'être se tordre de douleur. Il criai pour appeler à l'aide. Il rentra dans la Caravane en boitillant. Un long soupir sortit de ma gueule. J'étais un peu fatigué, mais rien de grave. J'irais mieux demain.

Je ne descendis pas de mon perchoir, admirant encore les autres Humains rejoindre leur camarade. J'étais haletante, mais fière. Pour moi, je suis utile. C'est rare que je me trouve utile dans un groupe. Souvent je me prétends nulle.
Je regardai le reste du groupe. Comment vont-ils réagir?


[HRP: Je suis vraiment désoler pour le retard. Je suis assez prise en ce moment, mais je vais faire du mieux que je peux^^]

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   Sam 25 Fév - 18:53


Après ce dialogue entre les femelles, Alec se redressa d’un coup, frappant ses sabots sur le sol, imposant le silence aux femelles derrière lui. Il tourna sa tête vers elles. Ses longues oreilles accompagnés de ses cornes imposaient le respect et le silence, son regard sombre était menaçant. Il n’eut rien à dire pour que la demande soit comprise. Le bruit que la discutions avait produit devait sûrement déjà avoir attiré l’attention des gitans, car des bruits s’élevaient d’eux, voir même des cris, des miaulements de craintes et de défenses ? Aucunes idées, tout ça n’était que du bruit pour l’instant. Le mâle brun reposa son regard sur le Refuge, il fixait un humain, qui le fixait aussi. Il ondula la queue, aucun mouvement ne devait être fait pour l'instant.
Une chatte arriva. Son pelage était d'un blanc immaculé. Le bout de ses pattes, de sa queue, de ses oreilles étaient noires. Des cercles bleus entouraient son thorax, ses pattes, sa queue et ses oreilles. Malgré sa petite taille, elle était musclée. Sa mâchoire était puissante. Ses pattes étaient larges. Ses yeux étaient particuliers : elle n'avait pas de pupilles et ils étaient bleus opale avec des reflets violets.
Elle semblait réfléchir. Sûrement pour éviter que l'humain ne nous remarque. Toujours perchée sur sa branche, elle ferma ses paupières. Un long moment passa et quelque instant plus tard. L'humain ce tortillait dans tous les sens, rejoignant les autres humains. Elle ne descendis pas de son perchoir, admirant encore les autres Humains rejoindre leur camarade. Elle étais haletante, mais fière. Pfff, elle a juste créer un mal de tête, ça risque d'empirer notre cas, les humains risque de se douter de notre présences. Je regarda la chatte, j'ouvris la bouche et, bah non. Je me retourna, la fouettant de la queue, je lui dis comme ça que son acte faisait qu'empirer notre cas.
Je regarda longuement les bipèdes. Je voulais un peu d'action là.

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Alec
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   Sam 25 Fév - 20:56


IN THE WOLF MOUTH
Groupe x Alec


Il le fixait. Il savait qu’il était là. L’homme et la bête. Face à face. Plus rien ne comptait autour du sous-chef Felinae. L’homme. Il ne voyait que lui, et son voisin ne voyait que le Diable. Alec fixait son voisin dans les yeux, laissant une sceau en pentagramme apparaître sur l’une de ses joues. Dans ses filets. Si l’homme tentait quelque chose, Alec le stopperait d’une pensée. Il était plongé dans le regard du bipède, oubliant autour de lui, pourtant ses immenses oreilles captaient tout les sons au alentours, elles étaient immenses, plantées bien droites sur son crâne. Il devait sûrement entendre mieux que n’importe quel félin avec ces antennes. Il entendait le dernier membre de son groupe au dessus d’eux. Opale. Elle était perchée sur une branche, surplombant les félins. Elle se concentrait. La guerre de regards que ce lançait l’homme et la bête se finit quand l’animal sans poils attrapa son crâne entre ses mains, jurant avec sa voix qui bientôt se mit à hurler de douleur. Il chuta, se tordant de douleur sur le sol, maintenant sa tête entre ses poignes. Alec comprenait quelques mots de ce qu’il hurlait. « Chat!Chat ! Diable ! Chat ! Intrus ! Ennemi !… » Ces cris alertèrent d’autres bipèdes, qui sortirent de leurs cases quand l’homme à terre se mit à hurler de plus en plus fort, se traînant de douleur vers de l’aide. Marqué. Alec croisa le regard de tout les hommes pouvant venir des cases, les marquant tous d’un pentagramme déposé à chaque fois dans un endroit aléatoire. D’une pensée, son pouvoir fit effet. Ils étaient dès maintenant invisibles aux yeux des bipèdes, et de tout ce qui étaient dans l’enceinte des murs en bois. Le sous-chef au cul de bouc se retourna d’un coup, fixant Opale d’un regard dur. Elle avait remuer le couteau dans la plaie. Alec soupira, elle n’y pouvait rien, elle était encore jeune et sans expérience. Il regarda les autres femelles. Izira serait inutile si un combat se lançait, elle avait utilisée son pouvoir pour les rejoindre, et de ce qu’il savait, après 15 minutes, elle chutait dans les vapes. Comment avait-elle pu rester debout alors qu’elle avait fait tout ce chemin en utilisant son pouvoir déjà ? Bonne question. De toute manière, il l’interdirait d’utiliser  son pouvoir de métamorphose, qui mettrai la propre vie d’Izira en danger. Si il doit l’immobilisé pour l’empêcher d’en faire usage, il le fera. Il glissa ses yeux sur les autres femelles, les pouvoirs de soins de Lune seront aussi utiles, espérons juste que les femelles savent se battre, sachant que Lune et Opale étaient apprentis, Terra étant soigneuse, Alec avait la certitude qu’Izira savait se battre, étant une combattante, mais sans pouvoir, sa force d’action était affaiblie de beaucoup. Le sous-chef regarda de nouveau la base humaine, glissant ses yeux sur les hommes qui passaient leurs regards sur les Felinaes, sans pouvoir les voir, car cacher par le pouvoir du sous-chef. Le mâle leva l’une de ses pattes avants, la glissant sur son poitrail, écoutant son propre pou. Il la reposa de nouveau et continua de regarder le camp.
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   Mar 7 Mar - 8:51








Quand on se jette dans la gueule du loup


Attention à la cohérence de ce RP ! Les humains présents dans le Refuge n'ont pas avec eux de chats génétiquement modifiés. Les Domestiques ne sont que ces compagnons à quatre pattes comme nous pouvons en avoir actuellement dans nos maisons.

Cependant je vous annonce que des Soldats pourraient avoir étrangement croisé votre chemin... Je ne vous révèle pas leurs noms. Ils le feront lors de leur entrée en jeu :D

Bon courage et n'hésitez pas à m'envoyer un MP si vous rencontrez des difficultés.


Code par xLittleRainbow

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   Jeu 9 Mar - 8:48


Le soldat marchait sans grande détermination, ne prêtant aucun regard à ses collègues de patrouille. Les arbres défilaient sur leur chemin, noircis, morts, affreux. Le moindre brin d’herbe vert ressortait, brillant sur le sol calciné. La forêt était comme immobilisée, en pause, comme si les félins étaient piégés dans un seul instant : Celui de l’explosion de la bombe qui avait autrefois ravagé cette nature auparavant luxuriante.
Kaïgaan soupira, se retenant de grommeler plus intensément. Il était accompagné de trois autres soldats à qui il ne prêtait pas vraiment attention. Quelle attention aurait-il pu leur porter de toute façon ? Il ne discutait pas vraiment avec ses collègues, ne partageant que très rarement leurs centres d’intérêts. Il évitait de passer du temps avec les autres soldats, ne les appréciant pas vraiment. La majeure partie du temps, il se baladait hors de la ville, rencontrant Caméléons et Felinaes, se confortant dans l’idée qu’il était bien plus proche de ces chats sauvages que des bêtes sadiques et sans cœur avec qui il vivait. Et le voilà, devant patrouiller en compagnie de trois autres félins. Il n’était que bonheur et joie. Cependant, il évitait de montrer son mécontentement, se contentant de marcher droit devant lui en direction du lieu de la mission. Hishika lui avait mentionné le fait que certains soldats doutaient de sa loyauté et il devait éviter que ces soupçons prennent plus ample forme. Il était donc un soldat blasé, marchant sans grande détermination, cachant comme il le pouvait son agacement certain. Allez, il devait rentrer dans la peau d’un bon soldat.

La petite troupe arriva finalement sur le lieu de la mission : Le fameux refuge. Kaïgaan reconnu rapidement les humains, campés dans leur maisonnées, cachés derrière un barrage de bois taillés en pics. Ils avaient effectivement de quoi se méfier, avec toutes les bestioles étranges qui peuplaient la forêt. Ours, loups, chiens, renards et insectes géants, tous mutants, ils étaient servis.
Caché derrière un buisson, le mâle électrique observait le campement. Son regard blasé lors de la marche s’était muté en un regard un peu plus curieux. Après tout, ce n’était pas tous les jours que l’on tombait sur quelque chose d’aussi inhabituel. Ses pupilles bleues parcouraient le camp, remarquant les félins qui marchaient tranquillement aux côtés des Hommes. Ces chats étaient tout ce qu’il y avait de normal, sans pelage étrange, ni ailes, ni cornes ou autre particularité qui caractérisait les chats génétiquement modifiés. Alors c’était cela, un chat normal ? Kaïgaan n’avait pas eu l’occasion d’en voir énormément durant ses 2 ans d’existence et cette normalité lui paraissait paradoxalement très étrange. Voilà à quoi était censée ressembler son espèce. Des pelages ternes, sans aucune particularité n’attirant le regard, sans pouvoir.

Kaïgaan dressa soudainement les oreilles, alerté par un cri strident d’un homme se tordant de douleur. Celui-ci prononça quelques mots que le soldat gris ne put entendre, avant de se réfugier dans sa tente. Les humains s’agitèrent, remuant bien plus que la normale. Que se passait-il ? Ils regardaient, cherchaient, l’air perdus, dans la forêt, les buissons. Mais pas dans la direction de la patrouille de soldats.

- Qu’est-ce que ?…

La félin moqueur tourna la tête, se mettant lui aussi à chercher ce que les humains semblaient tant redouter. Un korth ? Un insecte ? Il plissa les yeux, cherchant à voir entre la multitude de végétaux. Puis, enfin, il les vit. Purée.
La patrouille des quatre soldats se trouvait à quelques dizaines de mètres d’un groupe de Felinaes, tous concentrés sur les Hommes. Il y avait là un mâle fauve, à l’arrière-train rouge, bien plus grand que les deux autres - Kaïgaan n’avait en effet pas remarqué la femelle blanche sur son arbre. Son regard passa ensuite à une femelle à neuf queues, qu’il avait brièvement déjà rencontrée. Assez pour savoir qu’elle pouvait se montrer assez agaçant, mais pas suffisamment pour définir quel danger elle représentait. Tournant une ultime fois la tête, Kaïgaan faillit s’étrangler. Terra. Terra était avec eux. Saperlipopette. Le soldat grinça des dents, espérant qu’une confrontation n’allait pas avoir lieu. En effet, il devrait attaquer le groupe de chats sauvages pour ne pas éveiller les soupçons de ses collègues, mais ne voulait absolument blesser la femelle avec qui il s’était battu et avait tant marché. Il ne pouvait se résoudre à la blesser.
Il déglutit, ne prononçant aucun mot. Suite à sa précédente interrogation, les trois autres soldats allaient très certainement remarquer aussi ces félins libres. Allaient-ils provoquer une confrontation ? Kaïgaan était plus que tendu, son regard ne quittant pas les Felinaes et Caméléons mais son ouïe concentrée sur ses camarades de mission. Peut-être que les chats sauvages n’allaient pas remarquer leurs ennemis, mais cela, il en doutait sérieusement.

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   Sam 11 Mar - 17:20


J'entendis un claquement sec sur le sol et trouvais ma tête pour voir le felin meneur de cette patrouille nous regardait avec un regard qui en disait beaucoup. J'avais surment trop parler. J'indiquais d'un signe de tête à Izira que je le remerciait pour ses réponses. Et reporta mon regard sur le campement des Humains mais cette fois en étant le plus silencieusement possible. Un bref instant passa avant qu'un cris humains ne retentisse. Je fouille nerveusement de mes yeux avant de voir un humain gigotait en tenant de ses drôle de pattes sa tête. Il semblait avoir mal et disait des mots que je ne comprenais pas de cette langue. Le camps entier semblait en alerte, des Humains semblait sortir de partout et courrait aider leurs camarades. Je vis le chef de patrouille se retournait brusquement, mais sa tête semblait regarder quelque chose en hauteur. Je tournais aussi ma tête vers le haut et vis sur une branche d'arbre la chatte blanche au jolie rayure bleue. Elle avait du utiliser un pouvoir sur l'homme. Je me demande bien ce que c'était mais refusa de poser la question. C'était certainement pas le moment avec remue-ménage. Quand je retourna ma tête sur le campement les humains semblaient tous se calmer peu à peu. Je ne compris pas vraiment, un peu comme si il ne nous voyait plus, comme si nous n'existons plus à leur yeux. Bon d'un cote c'était un bonne nouvelle tout de même, on pourrait continuer notre missions sans interruption. Je regardai à nouveau se campement se calmant, notamment ses félins sans rien, me demandant toujours à quoi je ressemblais avant mon expérience. Ce remue ménage dans le campement m'avait amène plusieurs odeurs, à mon avis certaines venait des Humains car elles étaient nauséabondes. Je me demande comment ils font pour ne pas se sentir franchement. Ou alors ils n'ont plus d'odorat. Une autre partie d'odeurs constituait celle des félins du campement. Mais une quelque chose me titilla. Dans ces odeurs félines il y avait quelque chose qui me semblait connaître. Un chat. Il y avait quelqu un que je connaissais sans aucun doute, mais cela faisait longtemps que je n'avais plus recroiser sa route. Mes yeux roulerent de partout, changeant sans cesse de direction. Peut être était il prisonniers ? Puis je revint sur un point au loins du campement, de l'autre côté dans ce que je pense des buissons et des arbres tout comme nous. Une paire de yeux bleus familiers, un corps massif et ce pelage que je pourrais reconnaître entre mille tant j'ai voulus revoir.

Kaï !!

Je sentais une joie immense monter en moi, ma queue au soir que j'essayais de contrôler trembler sur l'herbe, mes pattes griffais intensément l'herbe et je me retenais de ne pas crier de joie.
Mais il me semblait voir d'autre silhouette à ses côtés. Était-ce d'autres soldats ? Je sais que dans ce cas il faut se méfier. Je tourne légèrement mon regard vers le chef de patrouille. Les a-t-il vu ? J'espère que non. Un combat je ne veux pas y penser. Je préfère ne pas alerter pendant le moment, si on peut éviter une confrontation évitons. Mais eux nous ont-ils vus en face ? Si ils nous prennent les pattes en premiers ce serais parce-que je n'aurais pas prévenus ?
Mais une bataille non... je n'ai certainement pas envie de voir Kai blessé sous les yeux voir pire. Je ne pense pas que tous les Felinae le connaisse.
Je reporte mon regard au loin sur les deux yeux bleu. Est ce qu 'il me voie ?
Autant tenter le tout pour le tout. En regardant pour être sur de ne pas être vue des autre je le regarde en faisant signe de non de la tete. Faison croire que je détends les muscles de mon cou aux autres de mon groupe.
J'espérais qu'il comprenne "non on vous a pas encore vu" ou bien "non pas de baguarre".
Au moins quelque chose qui éviterait la confrontation surtout près de ces humains. C'était clairement pas le moment. Ce serait un vrai Chaos si les humains si mettaient.

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   Sam 11 Mar - 18:23


IN THE WOLF MOUTH
Groupe x Alec


L'homme face à eux avait disparu dans l'un de leurs abris, les autres avaient parcourus le paysage du regard, recherchant activement les Felinae, ils ne pouvaient pas les voir, c’était impossible, son pouvoir n’avait aucune faille. Bientôt, le brouhaha se calma, et tous reprirent leurs activités, ignorant les paroles de leur camarade. Le sous-chef Felinae ne se détendit pas pour autant, toujours en alerte, ses oreilles captaient plusieurs bruits, dont un à sa droite. Sa truffe sentait une odeur nauséabonde, celle des hommes et de leurs créations, mais aussi les odeurs des félins sans modifications, ainsi que l’odeur de la forêt calcinée, mais une odeur plus particulière, qui lui rappelait de profonds souvenirs, son enfance, tout ce qu’il avait été avant que l’incendie lui retire la moitié de son corps, sa compagne et sa fille. Il reniflait la Caserne, l’odeur des Soldats, cette odeur métallique et si familière. Il tendit une oreille vers la droite, gardant son regard sur le refuge. Derrière lui, il sentait l’une de ses coéquipières se tendre, se raidir. Il pivota son regard vers elle. Elle se détendait les muscles, étirant son cou. Enfin, c’est ce qu’elle voulait qu’on croit. Pourtant, on voyait bien qu’elle faisait un signe, elle regardait ailleurs, elle regardait la provenance de l’odeur si particulière. Alec tourna la tête, dans un geste lent, et planta son regard dans celui de son ennemi, il était bleu électrique. Le parfait contraire des yeux ambrés et vide du mâle au cul de chèvre, ceux-ci frappés d’hétérochromie. Il marqua le soldat face à lui, un pentagramme se dessina sur le front de son voisin, entre ses deux yeux. Et lentement, les felinaes disparurent aux yeux du soldat. Alec tourna sa tête vers Terra, et de sa voix froide, grave et dur, il lui dit :

-C’est notre ennemi avant tout.

Elle le connaissait, c’était obligé, sinon elle aurait fait remarqué à son groupe qu’ils étaient là. Ils devront se battre, le soldat n’était pas seul. Alec détendit ses muscles, reprenant son énergie au fur et à mesure que son pouvoir se désactivaient sur les hommes qui redisparaissaient dans leurs baraques. Le mâle fauve reposa son regard sur la patrouille ennemi. Si il captait un regard ennemi ne serait-ce qu’un millième de seconde, il utilisera son pouvoir contre eux. Le sous-chef porta sa voix en direction de la femelle ébène à plusieurs queues.

- Izira, tu as l’interdiction d’utiliser ton pouvoir en cas de problème. Ordre de ton sous-chef.

Avec ces paroles, il glissa un rapide coup d’oeil à la femelle, histoire d’avoir été compris. Il reposa son entier regard sur les soldats. Il pivota tout son corps, faisant face aux soldats. Ses sabots firent craquer le sol calciné sous eux. Et sa longue queue rêche ondula dans l’air, telle la lame d’une guillotine, prête à fendre l’air pour frapper d’un coup sec. Il redressa ses épaules.


- Opale, ton action n’était pas réfléchie, le danger n’était pas entièrement présent. La prochaine fois, remarque la vraie menace avant de réagir. Calme ta respiration et prend conscience de ton nouvel ennemi.


Dit-il, de son habituel ton grave et tranchant. Il avait soupiré ces paroles, audibles que pour son groupe. Il ignora Lune, qui n’avait pas encore agit depuis le début de la patrouille. Le demi-bouc reposa son attention sur les soldats, roulant ses muscles, près à se battre et à vaincre. Il ne devait pas  laisser une seule de ses coéquipières se faire blesser. Il était un sous-chef, un combattant, et elles, étaient soit des apprenties, soit des soigneuses. Izira était une combattante, mais son pouvoir avait déjà été utilisée pour son déplacement, elle ne tiendrait pas un combat en forme draconique. Le sous-chef se déplaça, pour être en tête de son groupe, le protégeant de sa carrure immense et imposante. Il lâcha un soupire, qui gronda en sa gorge.
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   Sam 11 Mar - 19:18


La première réaction que je vis était celle de la chatte au neuf queues. Elle soupirait, comme si je n'avais rien fait de positif. Lorsque son regard atteignit le mien, des milliers de paroles et d'insultes sur mon inutilité bousculèrent mon cerveau. J'allais pleurer, mais non. Je suis une future chasseuse et verser des larmes pour se type de personne ne servirait à rien. Elle me foueta de la queue. Je sentais ce qu'elle voulait faire passer comme message: mon acte n'a servit qu'à empirer notre cas.

Je soupirai. J'avais de nouveau perdu le peu de confiance en moi qui me restais. Je voyais Alec m'adresser un regard dur. Ma tête ne bougea point, seuls mes prunelles se dirigèrent vers le grand chat. Je relevai le museau, regardant le désastre que j'avais commis.
Les êtres à deux pattes c'étaient calmés. Mais bizarrement, aucun ne posèrent les yeux sur nous, comme si nous étions invisibles. D'accord, j'étais perchée. Les autres, non. Je levai les yeux au ciel pour retirer toutes les pensées négatives et noires qui hantaient mon esprit assez sombre comme ça.
Le "diable" posait son regard sur chacune des trois autres femelles, sans que je ne sache vraiment pourquoi. Avait-il une idée en tête? Je ne pense pas. Il se concentra, une fois de plus, sur le campement humain. Il leva sa patte pour la poser contre son torse. Puis, la remis à terre, continuant de suivre du regard les Hommes.

Je voulu l'imiter. Un son m'en empêcha et fit dresser mes oreilles. Alerte, je scrutais les moindre recoins des yeux, sans que ma tête ne bouge. Rien. Nani. Je ne voyais personne. Je savais qu'il y avait, au minimum, un félin qui m'était inconnu. Son odeur était présente, elle. Je n'osai pas tourner la tête, de peur que je sois repérée. Je pourrais utiliser ma vision spirituelle, certe, mais cela serait trop spontané de ma part. Si j'utilise mon pouvoir maintenant, je ne pourrais pas m'en servir en combat.
Une bêtise à la fois, comme je dis si bien.
Mais quelque chose m'indiqua que cet -ou ces- inconnu ne m'avait pas vu, puisque j'étais en hauteur. J'avais donc plus de chance pour prévenir mon groupe. Pourtant, une impression de malaise s'empara de moi, tel le venin d'un serpent.

La chatte aux fleurs se tourna légèrement vers derrière. Une expression de joie se marqua sur son beau visage. Elle tentait de retenir sa queue qui tremblait sur l'herbe. Ses pattes griffèrent la terre sèche. Qu'est ce qu'y pouvait la rendre si joyeuse? Ou plutôt, qui?
Je savais que l'intrus y était pour quelque chose. Ils devaient être amis. Elle adressa un regard léger sur notre chef. Je sentais qu'elle avait légèrement peur, mais de quoi? C'était sans doute une guérisseuse vu son physique et sa douceur dans sa voix. Elle ne voulait certainement pas qu'une bagarre se produise, surtout après mon acte.
Elle fit détendre son cou. Enfin, soit disant. J'avais bien vu qu'elle tentait de prévenir son ami. Je la comprenais. J'aurai fait la même chose.

Alec l'avait certainement remarqué aussi puisqu'il tourna la tête en direction de l'odeur étrange. Comme je ne voulais toujours pas bouger, je ne voyais qu'une petite partie de la scène. Il introduisit son regard ambré dans celui de son adversaire, qui m'était invisible. Après quelques secondes à peine, le sous-chef tourna sa tête vers la jeune guérisseuse. D'une voix sèche et froide, il lui justifia son acte:
-"C'est notre ennemi avant tout."

Je ne me preoccupais pas des paroles, mais de son timbre. Des frissons me parcourèrent l'échine, je sentais mon sang dans mes tampes. Ça a alors. Je ne pensais pas qu'il pouvait donner des sueurs froide rien qu'avec sa voix. Je n'en revenais pas.
Il détendit ses muscles en regardant les Humains. Il revint sur le chat. Je pris peur de nouveau lorsqu'il déclara à la femelle grise, qui c'était moqué de moi d'ailleurs:
"-Izira, tu as l’interdiction d’utiliser ton pouvoir en cas de problème. Ordre de ton sous-chef."

Au moins, elle a été recalée. Mais je ne riais pas. Je me concentrais sur le danger auquel nous avons à faire. Cette fois-ci, je serais utile. Puisqu'Iriza -comme je venais d'apprendre- ne pouvais plus utiliser son pouvoir et que Lune et l'autre chatte étaient guérriseuse, seuls Alec et moi-même pouvions avoir un réel avantage, si on pouvais dire ça...
Le mâle pivota entièrement son corps en direction des intrus, sa queue fouettant l'air tel une hache. Il redressa ses épaules:
-"Opale, ton action n’était pas réfléchie, le danger n’était pas entièrement présent. La prochaine fois, remarque la vraie menace avant de réagir. Calme ta respiration et prend conscience de ton nouvel ennemi."

Je n'avais pas peur, au contraire, j'étais plus rassurée. Je savais quoi faire à présent. Je devais être calme tout en restant alerte et rusée.
Il s'avança afin de rester en tête du groupe. J'ai remarqué qu'il avait ignoré Lune, se qui se comprends facilement. Elle n'avait pas bougé depuis son arrivée. Avait-elle peur?
Quoi qu'il en soit, le danger était en face de nous, prêt à nous trancher la gorge.
Non! Non Opale, non! Il fallait que je me reprenne, que je me contrôle. J'inspirais profondément.
J'avais l'avantage de la hauteur, de l'agilité et de mon pouvoir trompeur. Peu de chats ne savent pas que je peux produire des boules d'énergies car, je ne le fait qu'en cas extrême.

Je ne bougeais plus. Rien ne pouvait me déconcentrer. J'étais prête à me battre jusqu'à la mort. Rien ne m'arrêtera. Rien.
Mon aura s'intensifiais au centre de mon corps. Mon énergie était à son maximum.
Je regardais Alec et le reste du groupe sans bouger. Mes yeux étaient de vrais opales lumineux. Comme je voulais tout de même répondre au sous-chef, je balançais discrètement ma queue en panache, signe que je suis au taqué, mais que la parole est utilisable pour éviter la bataille. Il a dit lui même:
Remarque la vrai menace avant d'agir

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   Dim 12 Mar - 16:54


HRP:
Izira lança un regard hargneux vers son sous-chef, elle ne l'aimait guère, comme la plupart de ses camarades Felinae. Non seulement car il avait un physique imposant, aussi car il n'était guère plaisant à vivre. Toujours à te blâmer. Ah, mais attend, c'est un peu comme elle. Regard froid, vide d'expression et dure, portrait cracher d'Izira, bien sûr, elle, c'était une fille. Elle regarda Lune d'un regard vide qui ne laissait passer aucune expression. Elle n'avait pas bouger.
« Elle doit avoir peur, tsk. Même pas cap de partir en mission d'espionnage sans flipper»
Pensa t-elle. Elle reposa son regard sur la chatte blanche strier de bleu et tacheter de noir, elle était au bout de souffle. Le chat au cul de bouc l'interpela et lui dit.
- Izira, tu as l’interdiction d’utiliser ton pouvoir en cas de problème. Ordre de ton sous-chef.
Elle regarda la chatte blanche, noire et bleue nommée Opale. Celle-ci était contente qu'elle se fasse recalé, c'était bien fait pour elle, mais Izira ne le pris pas comme ça. Elle lança un regard noir telle le félin lorsque l'on fait claquer la crique au cirque(:admin:). Izira faillit s'étouffer tant elle était fâcher, une voix roque et sans joie sortie de sa bouche.
- Oui oui, ça va, je sais. Je connais mes limites quand-même
Dit elle en balança ses queues plus rapidement. Elle sentis quelque chose, ou quelqu'un. Une odeur familière mélanger au métal et la puanteur des bipèdes. Une odeur de chat. De soldat. Des soldats. Elle regarda son chef et remarqua que lui aussi avait sentie l'odeur, plutôt puanteur des soldats. Parmis les soldats, elle reconnu un chat, un soldat. C'était Kaï, une vielle connaissance à tata Izira. C'était à la base un chat gris, qui avait ensuite été marqué de noir, de bleu et de blanc. Il était de taille moyenne, presque grand, en tout cas assez élancé. Il était musclé sans non plus en être étouffé, juste assez pour se battre. Il avait le poil court, mais presque mi-long. Les poils de sa tête n'étaient pas aplatis mais formaient quelques petites touffes, comme s’il venait de se secouer la tête. Maintenant la tête. Au-dessus de ses yeux, comme de faux cils, se trouvait une tache blanche, De son museau, qui était gris foncé, à ses joues, son poil était noir. Il portait au-dessus du museau quelques rayures blanches, qui recouvraient une sorte de pointe noire. L’extérieur de ses oreilles était noir, l’intérieur était blanc. Ses crocs étaient bien blancs.
Son corps maintenant. Elancé mais musclé, tout en étant bien proportionné. Son poil était blanc sur son cou et son ventre. Sur son dos, on pouvait apercevoir des rayures noires, d’une forme évoquant un mixte entre des éclairs et des flammes. Entre ces grosses rayures noires se trouvaient des rayures bleues, bien plus fines, ressemblant parfaitement aux éclairs bleus de l’électricité.
Au tours des pattes maintenant. Ses coussinets étaient bleus. Sa patte avant gauche était blanche jusqu’à l’épaule. La droite était noire jusqu’au coude. Sa patte arrière gauche était noir jusqu’au-dessus des coussinets. La droite était blanche jusqu’au genou. Elles étaient fines mais puissantes.
Sa queue, elle, était plus fournie que le reste de son corps. Elle portait les mêmes rayures que sur son dos.

Elle regarda Terra. Ah, il se connaissait tous les deux. Incrédule elle regarda Terra qui semblait absorber par le chat gris. Je vis qu'il était accompagné de trois autres soldats. Ceux-ci regardait dans notre direction. Tout à coup, un signe rouge apparu sur ceux-ci, les marquants tous. Ils passèrent les yeux milles fois sur la cachette d'Izira, sans la trouver. Un long moment passa entre Izira qui regardait Kaïgaan, et ainsi de suite.

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   Dim 12 Mar - 17:20


Soudain, je vis au loin, même si cela m'étais difficile à apercevoir quelque chose de rouge, un étrange signe sur son front, entre ses deux yeux. Une voix froide et grave, qui semblait lointaine et dénué d'émotions résonna sur ma gauche, et lorsque je tourna ma tête, c'était pour voir le sous chef Felinae. Il me regardait. Et son regard disait bien plus que les mots froids qui sortaient de sa bouche.

-C’est notre ennemi avant tout.

Puis le sous chef parla en direction d'Izira, mais je n' écoutais plus la suite. J'avais déjà tourne ma tête. Kaï devait-il être nécessairement mon ennemis ? Juste parce que il est dans groupe nommé "Soldats" ? Mais qui peut définir si il est vraiment mon ennemis ? Il m' à sauve, je sais qu'il a déjà croisé de nombreux Felinae, je sais qu'il est rester là-bas pour une base cause je le sais. Mais. Ferait-il du mal à mes amis à cause de ses faux amis de Soldats ? Pourquoi ne fait-il pas comme Hishika ? Elle a rejoint les Felinae !
je le regardais dans le lointain mais j'avais compris que le sous chef avait un pouvoir spéciale. Le même qu'il avait utilisé sur les humains auparavant. J'espérais juste que ça n'efface pas la mémoire. Je voyais Kaï, mais lui ne me voyait surment plus désormais. Au fond j'étais un peu triste, j'avais espérer d'autres retrouvaille. Deux saison sont presque passer sans que je le revoie, j'avais foule l'orée à nombreuse reprise dans le voir.
Mais il n'est pas mon ennemis. Je ne veux pas le croire.
Mais au fond je ne peux pas en vouloir au sous chef des Felinae même si je ne le trouve pas très amical j'imagine que c'est son rôle et pour lui Soldats c est un ennemis.
Mais je refuse de me battre contre mon amis et si je le voix se battre je ferais tout pour l'eloigner.
je suis peut être guérisseuse, mais je sais quand même me battre depuis, et mon pouvoir on m'a appris à m'en servir en cas de danger.
Et Kaï n'ai sûrement pas seul, il doit sûrement être accompagné de ces vrais Soldats de cauchemars, mais impossible de savoir si je connais ou non. J'ai l'impression de ne voir que des ombres mouvantes.
Mais il faut faire attention au Humains.

-Compris. Dis-je d'une voix déterminé, toujours en regardant face à moi.


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   Dim 12 Mar - 20:55


Kaïgaan observait le groupe, n'ayant toujours pas vu la femelle blanche sur son arbre. Il espérait que les deux camps ne se verraient pas : Il n'avait aucune envie d'une confrontation et ne voulait pas voir Terra se faire attaquer sous ses yeux. Mais si cela arrivait, la défendrait-il ? Il grinça des dents, quelque peu stressé. Si un soldat essayait de la tuer et qu'aucun de ses camarades ne pouvait la secourir, il le ferait, mais uniquement dans ce cas. Après tout, les partenaire de la femelle ailée avaient l'air plutôt bien battis, musclés, ils devaient être des combattants. Kaïgaan pouvait très bien éviter une confrontation en rappelant à ses collègues l'objectif de leur mission : Observer les nouveaux arrivants. Enfin, ils n'avaient pas l'air d'avoir déjà repéré le groupe de Felinaes, et tant mieux.
Terra tourna la tête, semblant chercher quelque chose, jusqu'à ce que son regard croise celui de Kaïgaan. Si le visage de la femelle laissa exprimer une joie certaine, le soldat se retenait d'avoir une quelconque expression, afin de ne pas alerter ses camarades. Mais il ne pu empêcher son regard de s'illuminer et les traits de son visage de s'adoucir. Elle le regardait avec affection, tout contente de le revoir. C'était partagé, bien évidement. Plusieurs semaines, voire mois s'étaient écoulés depuis leur rencontre, leur bataille contre le scarabée géant, leur marche dans la forêt puis dans la sylve... Leur folle journée était gravée à jamais dans sa mémoire. Elle avait quelque peu grandi, mais gardait son air de chatonne curieuse, sensible et adorable. Kaïgaan était vraiment désolé que leurs retrouvailles se passent dans de telles conditions. Si tenté que cela pouvait être pire. Le regard de la Felinae devint plus sérieux, ce qui attira l'attention du mâle gris. Elle secoua discrètement la tête de gauche à droite, message que le soldat compris parfaitement. Les deux félins voulaient à tout prix éviter la confrontation. Et c'était bien ce que Kaïgaan comptait faire, dans la mesure du possible. Il fronça légèrement le museau. Dire que quelques soldats avaient des doutes sur sa loyauté, cette histoire n'allait rien arranger.
Puis, en l'espace d'une seconde, le groupe entier de Felinaes disparu. Le soldat électrique dressa les oreilles, surpris. Il plissa les yeux. C'était impossible, comment avaient-il pu être aussi rapides ? Non, cela devait certainement relever d'un pouvoir, mais il n'avait pas pu deviner qui en était le détenteur... Bien, il ne les voyait plus. Mais est-ce que son groupe avait subi le même sort ? Il l'espérait franchement. Si ses collègues ne pouvaient plus voir leurs ennemis, aucune confrontation n'aurait lieu. Il restait à savoir si ledit pouvoir avait bel et bien opéré sur le groupe, et surtout combien de temps allait-il durer. Kaïgaan espérait également que la troupe de Felinaes ne leur préparait pas une attaque, histoire d'éliminer quelques soldats.
Le mâle était donc tendu, cherchant néanmoins à dissimuler ladite émotion, espérant que les deux camps n'auraient pas à s'affronter. Décidément, il avait bien changé. Il fut un temps où seul sa survie, son avenir aurait compté. Mais aujourd'hui, il cherchait à protéger une amie.

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   Jeu 30 Mar - 16:42






Quand on se jette dans la gueule du loup.
Feat Alec, Terra, Opale, Lune, Izira, Kaïgaan



Je marchais lestement dans la direction qui nous avait été indiquée. A mes cotés, plusieurs autres soldats, dont, à vrai dire, je ne me souciais pas plus que ca, bien que je gardais un œil sur eux. Cependant, nous avions écopés d’une mission un peu différente de nos habitudes. Ce n’était pas si souvent que nous étions envoyés en espionnage, puisque nous existions principalement pour nous battre. Toutefois, ce jour-la, notre cible était cette caravane humaine arrivée récemment dans les environs et qui se serais installée au refuge.

Ce que je savais de ce nouvel arrivage, je le tenais des quelques paroles que je pouvais comprendre des humains, donc j’en savais peu, et c’avait été avec un certain plaisir que j’avais été choisie pour participer a cette mission. Ils auraient bien besoin d’une vétérante dans leur rang, et ce malgré mon caractère que je savais difficile, et effrayant pour les autres. D’ailleurs, je ne rechignerais pas à me battre s’il le fallait, j’en avais même carrément envie.

Peu après, nous arrivions au refuge, ou nous nous dissimulions dans un buisson. Et je pus enfin voir ces nouveaux arrivants. Ces humains, tout en étant semblables, étaient si différent de ceux qui s’occupaient des soldats, qui étaient la plupart en blouse ou en des habits identiques d’un humain à l’autre. Ce qui était le plus étonnant, dans toute l’agitation que faisaient les humains de la caravane, c’étaient ces chats. Ils marchaient et s’occupaient si près de ces homme sans paraitre le moins du monde sur leurs gardes. Et leurs apparences étaient… tout ce qu’il y a de plus normal. Chez les soldats comme chez les chats des forets, et ce bien que je leurs vouent une haine sans nom, il n’était vraiment pas rare de trouver des individus cornus, ailés, avec des dents proéminente ou un nombre incalculable de queues, et les pelages pouvaient varier d’une couleur tout à fait normale comme ils pouvaient être d’un rose vif. Non, ceux-ci était juste normaux, aucun chat ne paraissait génétiquement modifié. Dans ce cas, surement n’avaient-ils pas de pouvoir non plus, ce qui leur donnait un net désavantage en cas de combat.

Je remarquais aussi l’agitation des humains qui commençaient à devenir plus forte. Ils gardaient une attention particulière sur la forêt, comme s’ils y avaient vu ou entendu quelque chose d’inhabituel. A une longueur de queue a coté de moi, j’entendis un chat, Kaïgaan, qui s’exclama doucement :

- Qu’est-ce que ?…

Je tendis l’oreille et le museau afin de découvrir moi aussi qu’est ce qui retenait l’attention des hommes. L’odeur qui me chatouilla les narines titilla aussi mes muscles qui se tendirent par pur reflexe. Des Félinae, et des caméléons aussi. Je pouvais en détecter pas moins de quatre ou cinq sans en reconnaitre aucun, ce qui était normal, puisque généralement je ne revoyais plus jamais les chats des forets que je croisais, qu’ils soient morts ou vifs. Je voyais aussi des pelages qui se différenciaient des feuilles vertes et brunes de la forêt.

Tout en me retenant de faire quoi que ce soit, empêchant ma queue de s’agiter, et de me jeter sur ces félins contre lesquels j’étais si habituée à combattre, je jetai un coup d’œil sur Kaïgaan, le chat gris qui se tenait non loin. Lui aussi fixait les chats des bois, mais pas comme s’il était prêt a attaquer, non. Je ne pouvais vraiment décrire son regard, mais mon instinct me disait de garder un œil sur ce soldat. Je n’avait que peu d’affinité avec les soldats, la faute a ma sale réputation, qui, soit dit en passant, me plaisait beaucoup, et donc je connaissais peu les chats qui m’accompagnaient. Au contraire, eux devait savoir qui j’étais, et cela suffiraient peut-être a les empêcher de faire quelque pas de travers que ce soit.

Je détachai mon regard du chat gris et recherchais les felinae et caméléon d’un coup d’œil. Sauf qu’ils n’étaient plus la. Leur odeur était encore présente, fraiche, et je ne pouvais pas croire qu’ils étaient tous partis sans aucun bruit. La seule réponse valable était que d’un des leurs possédait un pouvoir qui les aurait déplacé, bien que je n’y croyais pas, c’aurait été un pouvoir difficile a porter, surtout si l’on déplaçait autant de chat a la fois. Ou alors ils étaient juste… dissimulés. Etait-ce un pouvoir de caméléons, réputés si apte a se cacher ?

Un peu sur les nerfs de ne pouvoir les repérer a nouveau, je ne pus m’empêcher de sortir les griffes et de les planter dans la terre sous mes pattes pour la remuer nerveusement mais silencieusement.  Je reportai à nouveau mon attention sur la caravane humaine, qui, tout en gardant une certaine attention sur la forêt, s’étaient un peu calmés.

Ce qui attira plus encore mon attention étaient les chats qui les accompagnaient. Certains s’étaient approchés, doucement, vers la forêt. Ils n’étaient qu’a une dizaine de mètre de nous, et reniflait curieusement les alentours. Leurs queues s’agitaient pour montrer qu’ils se méfiaient, mais leur curiosité devait être plus forte. Dans ma tête, je me dis alors que si combat il devrait y avoir, cela risquait bien de tomber sur ces matous qui ne connaissaient visiblement rien à ce qui habitait dans cette forêt et aux alentours. Et si au passage on pouvait se faire un ou deux félinae, je ce cracherais pas dessus.



Code par xLittleRainbow

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   Lun 3 Avr - 19:03


Attendre. Toujours attendre. Le temps semblait être long, et tout autour de moi semblait n'être qu'un ralentit. Qu'est-ce qu'on était cessait faire maintenant ? Attendre que le temps passe au lieu d'en apprendre plus ? Mpi je veux voir ça de plus près ! J'en ai marre d'être accroupis les griffes sortis.
Sans tourner la tête, je jettais un coup d'oeil furtif vers le sous-chef. Celui-ci regardait droit devant lui, sur ses gardes. D'ailleurs les autres aussi. Je tournais ma tête vers Izira dont je venais de connaître le nom. Elle semblait amicale, et puis c'était la seule à répondre de mes question. J'aurais bien voulus lui demander de me suivre, mais ça risquez d'attirer beaucoup trop l'attention. Et dans ce cas là je serais grille comme en saison chaude.
Je recula me olus lentement possible en jetant sans cesse des coup d'oeil pour ne pas être vus. La dessus je devais être le plus discrète possible , je ne compte pas me faire voir comme avant. Ça a déjà gâché ce que je ne voulais pas. Je fus tout doucement à l'arrière du groupe, je les voyais de dos. D'ailleurs je sentis sur ma croupe les pointes de branches d'arbustes. Avec un dernier coup d'oeil, je le faufilais sous l'arbuste et en ressortis de l'autre côté. Je trotinais alors vers le refuge mais restant derrière les buissons et surtout en faisant un arc de cercle de sorte que les autres ne le voient pas.
Puis je le faufilais cette fois dans un arbuste avec un creux et ressortis uniquement ma tête.
J'ouvrais grand les yeux. Ici le refuge était bien plus et devant moi, sur une drôle de chose plate et élever il y a avait des choses que je n'avais jamais vue.
Mais ça brillait. C'était hypnotisant. Il y avait un cercle argenté et à un endroit se trouve un pierre verte étincelante. Par contre à côté, il y avait une grosse chose qui puait comme le santé métalliques. C'était semblable à ceux que les humains tenaient souvent.
Je relevai mon regards, voir ces humains de si près, je dois avouer que je ne m'y attendais pas.
Je les regardait faire des allés vénus. Et ces chats normaux semblaient ben paisibles. Ils n'avaient pas l'air d'êtres tous méchants.
Une idée me vins. Je tournais à nouveau dans la tête vers la grosse chose métallique. Me demandant bien ce que cela pouvait être.
Je sortis ma patte avant droite, la leva le plus doucement possible, prête à l'abattre sur une proie. Et d'un coup sec je touchais cette chose. C'était dure. Très dure. J'avais jamais sentis une chose pareil. Je donnais alors ensuite plusieurs fois des coups de pattes.

Finalement, j'en apprend bien plus qu en étend coincé accroupis avec les griffes.

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Anonymous
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   Jeu 18 Mai - 0:17


Le soldat était tendu, cherchant frénétiquement les chats libres fraichement disparus. Enfin, il savait très bien que si cette mystérieuse disparition provenait d'un pouvoir, il ne les retrouverait pas en balayant simplement la forêt du regard. Mais c'était la seule chose qu'il pouvait faire, à son grand regret. Un mouvement sur son côté le fit se reconcentrer sur son propre camp. Une soldate donc il ignorait le com venait de planter ses griffes dans la terre tendre. Elle devait être tendue, et il ne fallait pas être un génie pour deviner qu'elle avait aussi senti, ou vu, le groupe de Felinaes et de Caméléons.
Kaïgaan préféra ne pas engager la conversation, au cas où elle virait en "allons défoncer ces matous". Et puis moins il parlait à ses collègues, mieux il se portait. Néanmoins, un groupe devait bien bouger, ils n'allaient pas tous restés là à se chercher l'un l'autre en face d'un refuge d'humains banals aux chats banals.

Le soldat entreprit donc de bouger, sur quelques mètres, histoire de se rapprocher de l'endroit qu'ils étaient censés observer. Bien entendu, il restait sur ses gardes au cas où les félins venaient à les attaquer. Nous n'étions jamais trop prudent. Kaïgaan était à présent un peu plus à découvert. Mais bon, il savait que les Felinaes et Caméléons avaient déjà vu son groupe, ce n'était plus la peine de se cacher plus longtemps.
De ce nouveau point de vue, il observa le refuge plus précisément. Il reconnaissait quelques objets humains, assez bateaux mais tout était bon à savoir. Son regard balaya l'endroit, jusqu'à s'arrêter sur quelque chose. Ou plutôt quelqu'un. Terra purée mais qu'est-ce que tu fais ?! Il savait que la femelle était très curieuse et pouvait souvent se montrer imprudente, mais tout de même... Cependant, il évita de réagir, se disant que si ses collègues voyaient la demoiselle, elle aurait bien des problèmes. Espérons juste que son groupe la trouve avant le mien...

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Anonymous
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   Lun 19 Juin - 15:31


Up!
(faites moi signe si je dois archiver, ou si j'ai fait une bêtise :>)

EDIT: J'archive~





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