Suivis de Neko, je me dirige vers le refuge, endroit où je n'ais jamais mis les pattes. On est l'après-midis et je n'ais toujours pas trouvé de quoi me nourrir. Ci cette citation déjénaire je ne saurais plus comment survivre seule. Enfin non, je ne suis pas toute seule mais Neko ne me sert vraiment à rien. Je regrette même d'avoir accepter qu'il m'accompagne dans mon aventure. Dommage que je ne puisse pas revenir sans le passé.
Au Refuge, il y a beaucoup d'arbres a moitiés dénudés à cause du froid de l'hiver qui leurs fait perdre les feuilles. Je n'aime pas la saison d'hiver, le froid et la faim à mourrir, aucun endroits où dormir au chaud et au sec, la neige qui abime les coussinets. Toute ses choses me font détester cette saison dure et pénible. Je regarde alors la neige blanche, sans aucune trace de pas d'un moindre animal. La chasse va être très mauvaise aujourd'hui. Bon je m'en passe pour maintenant. Je peut encore supporter le froid sans avoir mangé depuis maintenant 2 jours. Mais je dois absolument mangé ce soir. Sinon je me vois froc à rejoindre les felinae. Pas pour l'instant mais un jours peut-être.
Neko saute dans la neige comme un petit chaton qu'il vien de découvrire. De temps à autre j'ai l'impression d'être sa mère. Il me désespère vraiment.
Par la suite, j'ouvre légèrement la bouche pour mieu localisé les odeurs. Rien, il n'y a rien au alentours. Temps pis. J'ai d'autre préoccupation que ça. Je dois d'abord trouvé un endroit où passer la nuit. Je regarde alors autours de moi. Le froid me fait pleurer à chaque jestes que je fais. Neko est tombé devant mes pattes. Moi j'explose de rire, sans me contrôler. Mais si ça se trouve un autre félin m'a entendue et me cherche. Je regarde autours de moi encore une fois et je pars en courant vers une cabane délabrée que j'ai aperçue au loin. Le bout d' on elle est constituée est vermoulu et ancien. Je pense que c'est le bonne endroit pour dormir. Je tourne alors autour de cette construction en cherchant l'entrée. Elle est juste de l'autre côté où je me trouvais. J'entre dans celle ci et je m'assie au milieu. Le sol est en bois et certain endroit n'en a pas. Le plafon est constitué de poutres elle aussi vermoulu, prêtes à tomber à tout moment. Je dors quand même ici, je sais je prend un risque mais temps pis. C'est mon choix de mourir écrasée. Si je ne fuis pas avant bien sûre. Une odeurs m'interpêlle, c'est celle d'un félin. D'une féline Caméléon plus précisément. Mais elle est assez éloignée de la cabane. Je me prépare à lancer mon onde de choc à tout moment.