Oh mon Dieu, je suis un véritable boulet, je n'avais pas vu que tu avais commencé le RP x.x Excuse-moi...
Aujourd’hui, le soleil tapait fort.
J’avais l’impression qu’à chacun de mes pas mes coussinets brulaient.
J’espérai trouver un peu de gibier, mais à cause du temps, toutes les proies devaient se terraient au fond de leur tanière.
Je grommelai. Je détestai l’été.
Je m’arrêtai un instant dans un carré d’herbe fraiche et j’humai l’air. Une odeur de campagnol flottait dans l’air, mais celle-ci était éventée.
Crotte de souris !
Je me dirigeai cependant vers les traces qu’avait laissées le rongeur. Peut-être qu’avec un peu de chance, j’arrivai à le retrouver.
Ventre un terre, je sentis chaque recoin pour trouver l’animal, en vain. Je me redressai, énervée et remarquai que je me trouvais près de l’étang.
Je vais pouvoir me désaltérer. Songeai-je.
Je me rapprochai de celui-ci pour pouvoir m’abreuver. Une fois chose faite, je me relevai, prête à chasser. Mais malheureusement, encore aucunes proies dans les parages, chose étrange, vu que j’étais près de l’étang.
Je m’assis, et réfléchi. Peut-être qu’il y aurait du gibier dans la Frontière Ouest, bien que cela serai bizarre.
En soupirant, je trottinai vers la Carcasse d’Avion.
Je m’arrêtai de nouveau. La chaleur était encore plus étouffante ici, et mon pelage duveteux n’arrangeait absolument rien.
Je ne trouverai rien, et même avec de l’espoir, c’était impossible.
Ah !
Ma fourrure était couverte de poussière. J’entrepris rapidement de faire ma toilette, dégoutée.
Pourquoi est-ce-que je suis là, d’ailleurs ? Il n’y aucun gibier ici !
Je m’apprêtai à faire demi-tour pour rentrer, mais je me sentais observer, je crus même discerner l’odeur d’un chat.
Je regardai tout autour de moi. Bien que l’odeur fût présente, il n’y avait aucun moyen de déterminer où était le félin.
Ma fourrure doubla de volume, ce qui devait être impressionnant, vu que celle-ci était déjà épaisse en temps normal, et je sortis mes griffes. L’odeur du chat n’était pas celle d’un Caméléon, Félinae ou Soldat. Ce n’était pas bien étonnant, vu que l’endroit était désert.
J’ai dû attraper un coup de chaud, pour avoir la stupidité de m’être aventurée ici.
« Je sais qu’il y a quelqu’un ! Maintenant montre toi ! » Fêlai-je.