Ce jour  semble encore plus froid que les précédents et rare sont les endroits ou le sol n'est pas gelé , c'est ce qu'avait pus observer Gliff . La messagère qui passait le plus clair de son temps à l’écart de son groupe pour plus de tranquillité commençais tout de même à s’inquiéter de l'avenir de sa guilde . Aussi il était devenue compliqué de trouver un endroit pas trop exposé au froid en s'éloignant un peut de "l'oasis" . La chatte solitaire avait donc décidé de se rapprocher à contre cœur de ses congénères et se forçais à le vivre du mieux possible question de survie . Mais il était compliqué pour elle de ne pas feulé sur les chatons lorsqu'ils lui marchent accidentellement sur la queue ou de ne pas se disputés avec d'autres félins commettant de petites erreurs du quotidien . Mais Gliff faisais de son mieux, elle chassait plus régulièrement aussi bien qu'elle partageais rarement son gibier . Depuis la mort de Milie il n'y avait plus personne au pouvoir et personne ne pouvais donc maîtriser le groupe de félin . C'est alors qu'elle aperçue  un félin sur le haut rocher ou jadis les chefs plus ou moins illusionnistes avaient pour habitude de proclamer leurs annonces au groupe .
Gliff s’assit sur le sol gelé, elle en frissonna en sentant le froid parcourir son corps et enfouis son museau dans le maigre pelage de son poitrail dans l'espoir de s'y réchauffer .  Elle releva à peine les yeux pour identifier le chat sur le roc, elle reconnue alors Nùazu ce qui l'étonna particulièrement . Elle entendis alors celle-ci prendre la parole d'abord d'un ton tremblant , même Gliff ne pouvais s'empêcher de compatir puis elle devenais plus assurée . Elle ne pus que admirer ce courage dont faisait preuve la jeune chatte, elle écouta attentivement son discours et ses annonces plus étonnante et innovantes les unes que les autres . Relevant la tête Gliff avait d'abord hoché la tête d'un air approbateur puis s'était même levée pour félicité le félin qui allais probablement être le nouveau leader .

Elle s'avança se frayant un passage parmis l'assemblée pour s'approcher des premiers rangs.
Elle voulais absolument déménager sur le champ dans leur nouveau refuge, le froid était insupportable ! Elle poussa un cris pour le moins optimisme regardant les autres d'un air de défis afin de les pousser et de les convaincre à approuver .

-  " Relevons nous ,  Ophéis ! " Cria même Gliff lorsque Nùazu eu finis son discours . Elle était fière de sa nouvelle chef, et , contrairement à Milie sentais déjà qu'elle pouvais avoir confiance en elle . Elle n'avais jamais trop connue Nùazu mais il lui semblait qu'elle était une brave chatte ce qui est à ses yeux une bonne qualité de départ . Et puis elle venais aussi de montré ses talents d'oratrice . Gliff se sentais revigorée et prête à partir pleine d'espoir en l'avenir. Elle était fière de la tournure que prenais les Caméléons ..heu ... Ophéis !

Le froid était mordant, je tremblotais dans ce que l'on pouvait considérer être une tanière. Cette tanière qui autrefois abritait deux aitres incroyable félines. Mais celles-ci n'étaient plus présente parmis nous. Enfin, c'est ce que je pense. Loreley et Jaeming avait disparut depuis longtemps. On n'avait plus croisé leur moustaches, ni leur odeur.
Mais depuis la Tempête des sables, j'avais l'impressions d'avoir une douleur qui ne partait jamais. On avait tant perdus de camarades. J'ai toujours l'impression que ca venait de hier, que le vent hurlant dans nos oreilles nous empêche d'entendre nos camarades qui demande de l'aide. Je me revois sans cesse essayer d'attraper Hide porté par le vent puis Aki, puis ils disparaissent...

Certains de mes amies Felinae avait disparut, enfaite tous les descendants de ma meilleure amie avait disparut, puis notre cheffe. Il avait fallut se rendre à l'évidence, elle n'était jamais revenue. Elle avait surement rejoint le ciel. Elle est surement aussi devenue une étoile comme les autres. Elle continuera de briller et mener les perdus d'une autre manière.
J'étais seule entrain de griffonner de la veille mousse brûler par le froid, quand plusieurs miaulement et des pas de foules se firent entendre. Intrigué je finis par sortir ma tête et vit de quoi il retournait. La haut, sur le roche se tenait un félin, mais ne voyant rien dans mon angle, je me fis une place, bousculant après excuse certains de mes camarades, et je vis enfin qui c'était.

Il s'agissait de Nuàzu, une jolie féline blanche au passage de gris et deux beaux yeux bleue. Elle se tenait droite et imposante sur le rocher. Aussi étrange soit-il, cela etait rassurant de la voir la-haut, là ou d'habitude Millie se tenait dans les brefs moment ou elles s'y rendaient. Je ne connaissais pas entièrement Nuàzu, je sais qu'elle était une conseillère hors pair, et qu'elle était très présente au sein de la guilde, mais je n'avais jamais vraiment pris le temps de lui parler.
Je chassa mes pensées quand sa paroles arriva à mon ouïe, et plus elle parlait, plus je sentais une peur m'envahir. Un mélange de tout, de mourrir, de souffrir, de vois nos camarades, nos amis disparaitres.

Elle parla de la disparition de Millie, de la Tempête des sables, qui me mit un étrange coup à la poitrine, et de notre guilde qui était au plus bas. Puis son discours changea, donnant un espoir, elle nous donnait la racine d'une étincelle promettante pous nous les Caméléons. Un renouveau complet pour pouvoir vivre en paix et dans la sécurité. Quand elle demanda pour être trop cheffe, mes oreilles se dressent et ma queue se raidit. Pourquoi demander ? Elle était de toute facon la plus apte a prendre cette place et à la voir la-haut, on aurait dit que c'etait son chemin, sa voix. Si on était pas en plein jours, j'aurais presque l'impressions de voir une étoile géante brillant dans le ciel noir glacait. Emle nous apportait enfin de la chaleur et de l'espoir, et je ne vois vraiment pas pourquoi nous nous y refuserons. Cela serait trop bête, surtout après avoir tant souffert...
Quand elle nous raconta le nouveau lieu, de quitter l'oasis, j'eprouva pendant un moment des regret, me rappelant de bons moment passe ici avec mes amies. C'était ici que mes amies avait vecus, que les souvenirs créé apprenait. Mais c'etait aussi ici que l'oasis m'avait privé à jamais de ceux de mon coeur. L'oasis n'etait pas un endroit sûr c'etait dangereux. Je ne connaissais pas ce nouvel endroit mais il semblait prometteur !
Quand à la derniere partie, changé de nom. Ca faisait bizarre de savoir que notre guilde ne se nommerait plus comme ca, c'est comme si on laissé définitivement le passé la ou il était pour ne penser qu'au futur et au présent.
C'était sûrement une bonne décisions.

Une voix s'éleva sur ma gauche et je tournais ma tête pour y voir et vie une féline au pelage brun, mais de la ou j'étais, difficile à voir. Elle scandait notre nouveau nom : Ophéis.
Et elle avait raison. Il etait tant de se relever, de laisser la ou était les mauvaises choses. Il etait temps de cesser d'etre jiur et nuit coincer dans la tanière à pleurer les peruds. Ils n'auraient jamais voulus ca, ils sont toujours la. Ils sont mes etoiles guidantes. Mes camarades avait ausi beosin de moi et j'allais les aider. Et J'étais fiere de notre nouvelle cheffe comme beaucoup de mes camarades j'imagine.

-On te suivra ! Car ta place est de nous guider, d'être cheffe, comme tu nous aidé quand nous étions apeuré après la Tempête ! Dis-je d'une vois forte, sentant enfin un sourire revenir et cette flamme d'espoir revenir apres plusieurs lunes obscurs et de souffrance.

Il faisait si froid. Il faisait si froid. Si froid que le désert lui même était devenu blanc, blanc de neige et de glace. Ce manteau d'eau gelé c'était répandu, et avait couvert le sable, qui en d'autre saison, en d'autre condition, pouvait devenir si chaud et brûlant sous le soleil... Dans cet étrange spectacle, un chat noir avançait en direction de l'oasis. Malgré son poils court, il résistait à l'atmosphère glaciale. La cape qui le couvrait était déjà couverte de givre et humide, mais elle lui permettait d'avoir quelque chose sur le dos. Mais même avec ce petit avantage, Kyouaku Kyuusei marchait lentement, retournant à l'oasis. Il avait espéré, espéré trouver une proie... La guilde était affaiblit, et ça faisait peine à voir. Un peu de gibier n'aurait fait de mal à personne... malheureusement, trouver une proie par ce froid, c'était presque impossible. Les chats n'étaient pas nés pour vivre dans de tel conditions... des conditions si extrêmes... C'était aussi pour ça qu'il marchait avec tant de lenteur. Sa cape, qu'il avait tant haïs autre fois, voletait au gré du vent glacial et lui donnait l'allure d'un spectre, et la fière carrure musclée qu'il arborait autrefois avait été creusée par sa faim. Sous son pelage, qui était lui même devenu terne, se montraient des côtes saillantes. Même avec son harnais, le poids des mâchoires de Messorem commençaient à le déranger de nouveau...

Kyouaku fut soulagé d'être de retour à l'oasis, parmi les Caméléons. Mais aussi meurtris. Il avait rejoint la guilde depuis peu, mais ça ne l'avait pas empêcher de s'attacher à toutes ces boules de poils. Voir leur état misérable l'affectait lui aussi. Il soupira, et d'entre ses mâchoires immondes, se souleva un nuage vaporeux blanc et chaud. Il marcha, chercha un endroit où s'installer. De part une habitude qu'il tenait du temps, désormais bien révolu, où il appartenait aux soldats, Kyouaku se mit légèrement à l'écart. Il s'allongea, à moitié sur sa cape, sous un rocher, dans l'ombre. Il ferma un instant les yeux, il était fatigué maintenant. Partir chasser, pour rien... une perte de temps qui lui avait coûter de l'énergie. Mais Messorem balaya bien vite l'idée de faire une sieste. Il redressa la tête. Se releva. Sortit à moitié de l'ombre. Il se passait quelque chose. Le félin noir entendit alors les paroles de Nuazu. La féline blanche se tenait sur un rocher en hauteur. En quelques paroles, elle résuma la situation pitoyable, misérable, et inquiétante, de la guilde des Caméléons. Tout allait mal, ça, tout le monde le savait. Des chats avaient même disparut.

Il fallait donc que ça change. C'est ce que Kyouaku avait compris dans les paroles de la féline. Il était parfaitement d'accord. Tout cela ne pouvait pas durer plus longtemps. Nuazu proposa des choses, des idées, intéressantes. Oui. Oui. Le félin noir écoutait avec attention son discours. Elle parlait de nouvelle direction, de déménagement. Oui, il faut réagir.

Kyouaku lui trouva du courage, à parler devant toute la guilde, proposant des choses nouvelles. Ses projets pouvaient tout changer... Certains chats ne seront peut-être pas d'accord, certains auront peut-être peur. Peur du changement, de la nouveauté. Mais un élan de fraîcheur et de bravoure, en ces temps austères, était le bienvenu. Et quoi de mieux, pour accompagner cela, qu'un nouveau nom ? Kyuusei trouva cela... habile. Intelligent. Bienvenu, aussi. Le nom d'Ophéis sonnait comme celui de l'espoir, du renouveau, de la renaissance des Caméléons.

Messorem entendit, un peu plus loin, bien plus en avant que lui qui se tenait à l'écart, une féline encourager ce nom. Puis une autre, encourager Nuazu. La nouvelle chef. Kyouaku s'avança lui aussi, à son tour, parmi les félins, il avait peu à dire, si ce n'était que de montrer qu'il approuvait, lui aussi, les idées de Nuazu. Il avança en avant, et s'inclina, avant de reculer.

"Les Caméléons meurent pour renaître." fit-il d'une voix forte et grave

Et voilà, il parlait encore de mort. Mais son ton lugubre et morne avait laisser place à une voix plus vivante, empreinte de conviction. Oui, des Caméléons étaient tombés... mais il fallait se relever et leur faire honneur.

Le vent soufflait fort dehors, probablement accompagné d'une pluie gelée et très certainement de neige qui nous recouvrerait encore un peu plus que d'habitude. Personnellement, j'avais pas froid, loin de là, j'étais dans une petite crevasse avec mon papa et ma maman ! Les deux étaient autour de moi, collant leurs pelages au mien pour me réchauffer et éviter que j'attrape un rhume. Ils sont gentils mes parents quand même ! Même mon papa qui pourtant est pas spécialement un caméléon mais qui pour le moment a été autorisé à rester pour donner son aide jusqu'à ce que la situation s'améliore pour la tribu ! Je suis tellement contente car même si son pelage est pas super doux il est super chaud et puis il est tellement gentille avec moi ! Dernière fois je lui ai dit que c'était mon amoureux, il a rigolé avant de me lécher le front ! Je baillais doucement, essayant de me rendormir tant bien que mal, j'avais passé une heure dehors aujourd'hui, à jouer et surtout à embêter les adultes, traînant dans les pattes de tout le monde avec les autres chatons, l'un des grands m'avait disputé, lui et mon père avait failli se battre par ma faute, à cause de ça j'avais été puni ! Je boudais un peu à cause de ça, mais je ne leur en voulais pas en fait ! Un autre bâillement accompagnait mes pensées alors que des miaulements résonnaient dehors, accompagné de petits cris d'excitations et de surprises. J'ouvrais doucement les yeux, regardant mes deux parents qui regardaient dehors, se levant et me faisait râler au passage car maintenant j'avais froid. Je continuais de les fixer, ma mère semblait inquiète et mon père ne montrait pas spécialement d'expression, seulement une certaine curiosité dans son regard. Je me levais pour les rejoindre, m'étirant au passage et laissant encore échapper un bâillement audible. J'avais que deux mois ! C'était encore un peu dur pour moi de tenir une journée entière sans faire une petite sieste, surtout en ce moment ma maman ne me donnait plus de lait et j'avais un peu faim, mais ça c'était tout le monde en ce moment non? Je regardais dehors, sortant d'un bon et regardant vers le rocher, là haut se trouvait une grande femelle blanche et grise aux poils épais, elle était tellement jolie ! Une profonde peur m'envahit soudainement, mais qu'est ce que?

"-Maman papa? Qu'est ce qui se passe ici? Pourquoi tout le monde crient? Et surtout pourquoi la dame elle est sur le rocher?" Je regardais à nouveau vers mes parents. Ma mère m'expliquait avec douceur tout en m'entourant avec sa longue queue touffue de la couleur de mon pelage que nous allions avoir un nouveau chef en remplacement de Millie... Qui était Millie déjà? Je l'ai connu? Je pense pas? Je la regardais, ne comprenant pas réellement ce qu'elle me disait. Mon père s'avança disant d'une voix grave et sérieuse que nous allions partir d'ici peu pour rejoindre une nouvelle maison où il ferait plus chaud et surtout où il y aurait plus de nourriture pour vivre, là où je pourrais apprendre à vivre normalement sans la faim constante entourée par mes camarades qui partaient au ciel. Je me tournais vers la femelle qui s'élevait en haut du rocher, elle était tellement fière, j'aimerai être ainsi ! J'étais une petite boule de poil pour l'instant, enfin même si j'avais déjà la taille d'un chaton de 4 mois selon mes parents, je souriais doucement et commençais à crier en entendant un autre chat dire que les caméléons renaîtraient. "-Les caméléons seront les plus forts de la forêt ! On deviendra fort et surtout on pourra manger comme on veut ! T'es notre chef maintenant !" Je couinais ces derniers mots d'un voix assez aigu, j'aimais déjà bien cette chatte même si je sentais toujours comme une peur avec elle. Je me tournais vers tout le monde avec un grand sourire béat. Je courais doucement, glissant en utilisant mes griffes, sur la glace, percutant un grand chat noir avec une drôle de tête pas loin de moi. Je rigolais en le regardant. C'était lui qui avait parlé plus tôt, je souriais encore plus, les yeux brillants. "-Si on renaît comme tu as dit on pourra ramener nos amis qui sont partis au ciel? Ils me manquent j'aimerais bien jouer avec eux !".

Je me relevais, car oui j'étais réellement tomber sur mon derrière en fait en me cognant contre le monsieur. Je regardais autour de moi, la neige, des chats, de la glace, du froid, mais aussi un soleil qui essayait de passer au travers des nuages. On allait survivre à tout ça ! On allait devenir les plus forts ! On allait ramener nos amis ! Oui ! Ca c'était un bon plan de vie !

Danteh etait collé à Camael. Meme si il devinait l'air dégoûté de celui ci, il se sentait au chaud, et avoir chaud c'était quand même plus important que le bonheur du bonhomme. Il regarda celui ci et lui dit, toujours à avec son air flemmard, a la limite de pouvoir ouvrir la bouche, tant il avais froid, comme si ses canines pointues allaient devenir deux grand bâtons de glace.

-Eeeeehhhh mon vieux, tu trouves pas qu'il fait un peu froid? Ca te dis pas que genreeeeeeeee... fin tu vois quoi, qu'on aille se mettre au chaud. Tu voiiis... moi qui dors sur toi ce genre de truc sympa quoi tu comprend?

Puis Danteh aperçu Nuazù au loin, son coeur se réchauffa d'une toute chaleur, il étais soudainement moins sensible au froid. Il la voyais s'approcher, est ce qu'elle allais venir lui parler, lui adresser un regard? Son coeur commençait à battre rapidement, comme submergé par l'émotion de voir la jeune chatte. Il étais si émotif avec elle, et un large sourire apparu sur son visage, Danteh n'en pouvais plus, il devais la voir, lui parler juste un petit peu, il en avais besoin. Puis il se stoppa dans son élan, lorsqu'il vit la chatte se diriger vers le grand rocher, il fut soudainement déçu, et poussa un tout petit miaulement de désespoir. Il était triste comme tout. Mais elle allais parler, et il devais l'écouter, la soutenir, prendre sa relève si il avais besoin. Il dressa ses oreilles et écouta son discours, plein d'une attention soudaine. Bon en fait, il s'en foutais un peu, il étais uniquement attentif à ses yeux, ses beaux yeux... Le regard de Nuazù se tourna soudainement vers le jeune chat. Il rougit soudainement, puis lui fit un clin d'oeil, l'incitant a continuer,  on pourrait même deviner la forme de ses lèvres, qui disaient "continue". Oui continue Nuazù, au moins juste pour que Danteh puisse te regarder, juste encore un peu. Et puis le nom de Camael ressortit. Et Danteh se tourna energiquement vers lui, étonné, mais tout heureux.

-Wooow mon vieux! Tu m'as caché ca dit donc! Je suis super content pour toi! dit il en tournant autour de lui, soudainement plein d'une énergie inconnue.

Up ~

J'archive [l'oasis]