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Nouveau départ, nouvelle Guilde...et nouvelle famille ? (Feat Kitsune11)

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   Jeu 23 Juin - 21:03


Le soir tombait, la nuit étendait son voile velouté et sombre sur le ciel piqué d’étoiles tandis que je marchais, les pattes courbaturées mais satisfaite. J’avais réussi à attraper une petite chouette du désert et deux gerbilles durant cette longue journée que j’avais passée à chasser. L’oasis fut enfin en vue et j’accélérai l’allure, soulagée ; quelques plumes de la chouette me tombèrent sur les pattes. En arrivant, je ne vis pas tout de suite ce qu’il se passait. Parfaitement détendue, un peu rafraîchie par l’air ambiant, je déposai les deux gerbilles sur le tas de gibier et partis vers mon abri, la chouette entre mes crocs. Soudain, je fus comme réveillée par quelques éclats de voix. Je posai la chouette sur mon nid et sortis. Il y avait là un petit attroupement, et je reconnus le rassemblement qui indiquait l’arrivée de nouveaux Caméléons dans la guilde. Curieuse, je m’approchai. Les quelques chats qui nous rejoignaient sortaient tout juste du labo ; ils semblaient effarés, un peu perdus. Les guérisseurs les auscultaient et tous les autres les entouraient, avenants, leur posant des questions, tentant de les rassurer ou d’engager la conversation. Personnellement, j’évitais toujours de trop les aborder dès leur arrivée ; je préférai leur laisser le temps de repérer les lieux et de digérer leurs récentes aventures. J’allai retourner dans ma tanière quand je repérai, au milieu des félins fraîchement ramenés, une chatonne. Mes oreilles se dressèrent et j’avançai un peu plus parmi la foule. La jeune enfant semblait minuscule, comme perdue parmi tous les adultes qui l'entouraient.
Pauvre petite boule de poils…
Rien qu’à sa vue, je m’étais attendrie et toute ma fatigue avait fondu. Cette petite avait besoin de moi. Je fendis la foule et rejoignis le groupe de félins entouré par les guérisseurs. Ceux-ci, ayant vu la petite également, me laissèrent passer avec un hochement de tête. Je vins me placer devant elle. La chatonne avait un pelage brun clair, tacheté de brun plus foncé et de blanc, tout ébouriffé ; probablement l’émotion. Lorsque je croisai son regard, je vis que ses yeux étaient vairons, l’un était d’un doré brillant, l’autre d’un rouge profond. Elle était très jolie. Je me penchai un peu vers elle et arborai un sourire rassurant tout en la reniflant. Elle semblait un peu secouée, mais elle était visiblement solide. Je ronronnai doucement, pour lui indiquer que je ne lui voulais aucun mal, puis lui parlai d’une voix douce et chaleureuse :

- Bonjour, petite.


Je m’avançai un peu et lui donnai un petit coup de langue derrière son oreille, tout doucement. J’ajoutai ensuite, toujours souriante et toujours avec une voix que je veux engageante et rassurante :

- N’aie pas peur, je suis là pour m’occuper de toi. Je m’appelle Yenäa.


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   Jeu 23 Juin - 22:09


J'étais sortie de mon laboratoire en feu juste a temps mais maintenant j'été seul, dans se qui me semble être un désert. Je ne sais pas comment avoir de la nourriture et même si je savais comment m'en procurer, ma légendaire non-agilité et ma légendaire non-souplesse fond que je ne suis pas douer pour attraper quoi que se soit.
j'été sur le point de m’évanouir, je n'avais pas arrêter de marcher, sans boire et sans manger. je sentie mon corps s'écrouler, je n'arriver plus a bouger. j'été sur le point de fermer mes yeux, peu être pour toujours quand j'entend quelque chose qui ressemble a des pat, des miaulement, des cris et un souffle frais sur mon dos.


Je me réveille par les secousse sous mon ventre. j'ouvre difficilement les yeux pour voir un paysage défiler devant moi. je regarde autour de moi déboussoler, je me rend compte qu'un chat me porte sur son dos, c'est pour cela que je sentie des secousse. il y avais d'autre chat a coté de moi mais je n’arrivais pas a voir leur pelage.  
Nous nous approchons de quelque chose mais mes yeux ne se son pas encore habituer a la luminosité, je ne voie pas se qui ressemble a notre destination.
Nous nous arrêtons a une sorte de source d'eau avec des tanièreS un peu partout autour de nous. Les miaulements joyeux arrive dans notre direction au moment ou nous fessons éruption dans se qui me parés être une sorte de base. Beaucoup de chat de toute Les couleurS se précipite vers nous. je sens qu'on me prend la peau du coup, au début, je proteste, mais, au final, je reste sage pour qu'on me pose par terre. de toute évidence, la "chose" qui ma déposer par terre étais bien plus forte que moi, je ne voulais pas me crée des ennuis.
il y avais beaucoup de miaulement et joie et beaucoup de mouvement autour de nous. je suis bien trop petite pour qu'on me remarque, j'essaye donc de reculer pour me mettre a l'écart. Je n'ai pas l'habitude d'autant de mouvement autour de moi, il y a trop de bruit, cela me rend nerveuse. je sens que se cela continue, mes cauchemar vont sortir d'eux même, ma nervosité rend mon "pouvoir" incontrôlable.
j'ai l'impression tout a cou qu'on me regarde. je tourne la tête dans tout les sens pour voir qui serrais susceptible de me regarder pour croiser le regard d'une chatte. Sont pelage étais blanc taché de roux, ses yeux étaient dorées et elle possédais deux queux. Etrangement, le faite qu'elle me regarde me fit du bien. je me sentis apaiser par son regard.
Quand elle fut prés de moi, elle me parla d'une voie douce et chaleureuse.


- Bonjour, petite. 



sa voie été comme une sorte de lumière qu'il me suffises de suivre pour ne plus avoir aucun tourment.
la chatte s’avance un peu pour me donner un petit cou de langue derrière l'oreille. elle me souri et ajoute, toujours avec sa douce voie rassurante.


- N’aie pas peur, je suis là pour m’occuper de toi. Je m’appelle Yenäa. 



Son nom été beau, même doux a entendre et surement tous aussi doux a prononcer.
Mes pattes me porte toute seul vers cette chatte au pelage blanc taché de roux, sens m'en rendre compte, me voilà presque collé a ses patte.


- Je ... je suis numéro 11 ... non ....kitsune ... oui ... c'est sa .... kitsune....


Je suis nerveuse, mes cauchemars on comment envies de sortir de moi, je les retiens de toutes mes forces. Je ne veux pas qu'elle est peur.
Je devrai les faire sortirent a un moment, si je ne le fais pas au moins une fois toute les 24h… je ne connais pas les conséquences mais apparemment elle pourrais être terrible.

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   Jeu 23 Juin - 22:46


La petite vint se blottir presque aussitôt contre mes pattes ; elle tremblait légèrement. Lorsqu'elle parla, sa voix montrait qu'elle était désorientée et nerveuse :

- Je ... je suis numéro 11 ... non ....Kitsune ... oui ... c'est ça .... Kitsune....

Pauvre petite, elle est complètement perdue...
Je me penchai vers elle et commençai à faire sa toilette, tout doucement, pour lisser son pelage ébouriffé et la détendre. Tout en léchant sa fourrure, je lâche un ronronnement léger. Je m'interrompis quelques instants pour lui murmurer :

- Tu as un joli nom, petite Kitsune. Ne t'en fais pas, je suis là pour te protéger maintenant.

Je repris sa toilette, ne cessant pas de ronronner. Une fois fini, j'eus l'impression qu'elle était un peu moins crispée. Mais elle semblait toujours un peu effrayée. Consciente que la température était en chute libre depuis plusieurs minutes (après tout la nuit était tombée à présent), je lui dis doucement :

- Allez, viens, suis-moi. Tu dois avoir faim, et il ne fait plus très chaud à cette heure. Il y a de quoi manger dans ma tanière, et je pourrai te réchauffer.

Je me levai lentement et donnai un petit coup de museau affectueux à la petite Kitsune, puis commençai à me diriger doucement vers ma tanière, en prenant bien garde de rester à la hauteur de la chatonne. Nous nous éloignions de la foule et de l'agitation, et lorsque nous arrivâmes à l'entrée de mon nid, nous étions bien plus au calme. Je passai en premier et pénétrai la petite grotte qui formait mon abri. Le sol, tapissé de mousse et de plumes, était délicieusement confortable. La chouette que j'avais déposée sur mon nid était toujours là, comme endormie dans ses plumes. Je la pris dans ma gueule et fis un peu de place dans mon nid pour Kitsune. Cette nuit-là, elle dormirait avec moi. Si elle le souhaitait, plus tard, elle pourrait dormir seule ; mais cette nuit, je voulais m'assurer de son bien-être. Je m'allongeai et d'un signe de la queue l'invitai à me rejoindre, puis je posai l'oiseau devant ses pattes. Je relevai le menton et, croisant son regard, lui lançai dans un ronron :

- À toi l'honneur ! Manges en autant que tu veux.

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   Mar 28 Juin - 18:27


Elle continua de me lécher
-Tu as un joli nom, petite Kitsune. Ne t'en fais pas, je suis là pour te protéger maintenant.
 
La belle chatte continua ma toilette tout en ronronnant. Belle qu’elle arriva a me faire me sentir plus a l’aise, elle n’arriva pas totalement a me faire me sentir moins effrayer. S’étais un nouveau monde qui été devant moi. Jamais je n’étais sortie de mon laboratoire de plus, depuis qu’il avait pris feu je n’avais pas vu un seul chat. Je pense que les autres expériences de mon ancien laboratoire en brûler.
La voie de Yenäa m’a sorti de mes penser.
 
-Allez, viens, suis-moi. Tu dois avoir faim, et il ne fait plus très chaud à cette heure. Il y a de quoi manger dans ma tanière, et je pourrai te réchauffer.
 
La grande chatte blanche et rousse se leva lentement tous en me donnant un petit cou de museau avant de se diriger vers se qui semblai être sa cellule…. Sans barreau….. étrange mais vrai….
Je la rejoins. Quand nous somme entrée dans son « habitat », je me rendis compte que le sol été bien plus agréable a toucher que celui de dehors. Les plumes et la mousse par terre rendaient le sol agréable a toucher. Je vis Yenäa se placer dans un nid en mousse et me fis une place pour que je m’y installe avec elle. Elle avais dans la gueule un sac de plume. Je pris place a ses coté et elle me mis le sac de plume sou le museau.
 
- À toi l'honneur ! Manges en autant que tu veux.
 
Voulais t’elle que je mange des plumes ? Comme elle avais l’air d’insister, je pris timidement une boucher de la chose. En réalité, s’étais plutôt bon. Cela avait un peu le goût de la nourriture que l’on nous donner au laboratoire.
Je ne pris que quelque boucher de ce que Yenäa ma proposa.
Je m’endormie juste après avoir manger.
 
Je ne savais pas quel heures il étais quand je me suis réveiller mais il fessait sombre. Je me sentis mal, comme si j’avais la nausée. Je n’avais pas libéré mes illusion aujourd’hui. Il fallais que je le face au plus vite.
Je sortie le plus discrètement possible de nit de Yenäa et sortie de la cellule végétale toujours avec cette envie de vomir.
Je sortie tant bien que mal du « camp » par là ou nous étions rentrés quand il fessait encore jour.
Quand je me considéra assez loin, je me déchargea de tout mes cauchemars, non-sen pousser un léger cri…. J’espère que personne ne ma entendus.

Mes illusions cauchemardesques donner l’impression de danser autour de moi. Ne pouvant résister a la tentation, je me mis a danser avec elles et a sauter dans tout les sens comme pour joué avec elles.
Je suis tomber de fatigue en peu de temps après avoir joué avec mes cauchemars, dehors.

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   Mar 28 Juin - 19:22


Malgré une légère appréhension à première vue, elle finit par manger un peu de chouette. Elle prit quelques bouchées puis sa respiration calme et profonde m'indiqua qu'elle s'était endormie. J'enroulai ma queue autour d'elle puis terminai l'oiseau en prenant soin de ne pas trop bouger et faire de bruit. Une fois mon repas terminé, je posai la tête sur mon nid, près de celle de Kitsune. Sa douce respiration me berça et je m'endormis.
Lorsque je me réveillai, la nuit était bien avancée et ma tanière était très sombre. Mais je discernai parfaitement que quelque chose avait changé. Un courant d'air caressait mon ventre, là où Kitsune aurait du se trouver, et son odeur m'indiqua qu'elle était sortie il y a peu de temps. Mon instinct de nourrice m'électrifia les muscles et je bondis sur mes pattes. Je sortis en vitesse, le ventre noué par l'inquiétude et l'esprit tourmenté d'interrogations. Suivant la trace de Kitsune à l'odeur, mon inquiétude se renforça lorsque sa piste me mena hors du QG. Soudain, relevant la tête, je vis une petite forme recroquevillée dans le sable. Mon sang ne fit qu'un tour et je m'élançai aussitôt jusqu'au petit corps de la chatonne. Approchant mon museau de son visage, je poussai un profond soupir de soulagement lorsque je constatai qu'elle respirait encore. Mais d'après ses légers tremblements et la température ambiante, elle avait froid. Sortir la nuit en plein désert était déconseillé, et encore plus pour un chaton de son âge.
Mais qu'est-ce qui lui a pris...?
Peut-être une envie fulgurante de courir, de jouer ? À cet âge, le jeu est essentiel et constant, mais le désert était dangereux... Une idée me traversa l'esprit et ma mâchoire se crispa.
C'est ma faute. J'aurais du l'avertir, lui parler du désert...
La culpabilité me figea quelques secondes puis je me secouai. Quoi qu'il en soit, il fallait que je la ramène à l'intérieur et que je la réchauffe. Pas de temps à perdre ! Prenant garde à ne pas trop la secouer, je l'attrapai délicatement par la peau du cou et la ramenai le plus rapidement possible dans ma tanière. Une fois arrivée, je la déposai sur le nid et l'allongeai tout contre mon ventre. Je fis doucement sa toilette, la frictionnai un peu tout en me blottissant contre elle, mais elle semblait toujours grelotter... Sans une once d'hésitation, j'entrecroisai mes deux bouts de queue. Une petite boule de chaleur commença à se répandre depuis mon ventre et nous entoura comme une bulle chaude, protectrice et lumineuse. Je laissai mon pouvoir se prolonger pendant une bonne vingtaine de minutes, tout en veillant attentivement au bien-être de la petite. J'avais repoussé toute mon inquiétude et mes questions jusqu'au lendemain. Inutile de la réveiller ou de la brusquer pour si peu. Après que mon pouvoir se fut dissipé, la petite semblait réchauffée. Après cela, je ne parvins pas à m'endormir alors je restai éveillée toute la nuit, veillant sur la petite, surveillant sa respiration et sa température. Heureusement, tout cela resta stable.
Lorsque les rayons du soleil pénétrèrent l'intérieur de ma tanière, j'avais les paupières un peu lourdes, mais la petite avait bien terminé sa nuit et c'était tout ce qui comptait. Je décidais de rester là, avec elle, et d'attendre patiemment qu'elle se réveille.

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   Mar 28 Juin - 19:39


Je fut réveiller par une lumière vive qui indiquais que nous étions le matins ... du moins je croie. Quand j’ouvre les yeux, je suis dans la cellule végétale où m’avais installé Yennä.
Ne m’étai-je pas endormi dans le sable au coté de mes illusions ? Si sa se trouve c’étais un rêve… mais si c’étais un rêve alors j’aurais dut avoir la nausée a l’heure qu’il est ….
Je levas la tête pour voir la belle chatte blanche et rousse qui m’avaient emmener dans sont nid la veille, elle avais des cerne et semblai avoir les paupière lourde, comme si elle n’avais pas dormie de la nuit. Je décide alors pour ne pas trop la brusquer de lui tapoter légèrement a le ventre avec un de mes pattes pour lui indiqué que j’étais réveiller.
Quand elle baissa la tête vers moi je lui fit un grand sourire !
 
-Bonjour ! Tu n’as pas l’air d’avoir bien dormie. Pourquoi ?
 
Oui m’a nuit m’avais aidais a contenir mon stress, mon angoisse et ma peur.

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   Mar 28 Juin - 20:58


Mon regard était tourné vers le lointain, plongé dans le vague ; je somnolais peut-être un peu. Soudain, une petite patte me tapota le ventre. Je baissai les yeux pour croiser le regard brillant de Kitsune. Je lui fis un sourire tendre, auquel elle répondit par un grand sourire rayonnant. Elle avait l'air d'aller bien mieux, ce qui me rassura. Elle lança d'une petite voix fluette :

- Bonjour ! Tu n’as pas l’air d’avoir bien dormi. Pourquoi ?

J'eus un instant d'hésitation ; elle venait à peine de se réveiller après tout, mais elle avait également posé une question. Je décidai d'y répondre de manière plus ou moins détournée, pour ne pas la brusquer, et miaulai donc d'une voix douce :

- Bonjour, Kitsune. Je suis en effet un peu fatiguée, mais ne t'en fais pas pour moi. Et toi, ma petite, pourquoi donc es-tu sortie cette nuit ?


Je soutins son beau regard vairon. Je n'étais pas en colère, loin de là. J'étais juste inquiète, et un peu triste et déçue qu'elle ne m'ait pas avertie. Je comprenais un peu, bien sûr, après tout elle ne me connaissait que depuis la veille. J'ajoutai d'une voix paisible :

- Tu aurais pu me réveiller, si tu voulais aller dehors, tu sais.

Je lui passai doucement la langue sur le crâne, puis d'un mouvement de queue, je la rapprochai un peu de moi dans un geste protecteur et la serrai avec affection. Je murmurai avec un petit soupir :

- Je me suis inquiétée pour toi, cette nuit. Promets-moi simplement que la prochaine fois que tu voudras sortir pendant la nuit, tu me préviendras. D'accord ?

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   Mar 28 Juin - 21:43


- Bonjour, Kitsune. Je suis en effet un peu fatiguée, mais ne t'en fais pas pour moi. Et toi, ma petite, pourquoi donc es-tu sortie cette nuit ? 
 
Sorti…. J’étais donc belle et bien sortie cette nuit… elle m’a ramener ?
 
- Tu aurais pu me réveiller, si tu voulais aller dehors, tu sais.
 
Je soutiens son regard quelque instant, devrai-je lui dire que si je n’utilise pas mon pouvoir au moins une fois toutes les 24 heures je ne me sens pas bien et que je vomi ?
Elle me passa un coût de lange sur le crane et me rapproche d’elle par un mouvement de queux. Elle me murmure en soupirant :
 
- Je me suis inquiétée pour toi, cette nuit. Promets-moi simplement que la prochaine fois que tu voudras sortir pendant la nuit, tu me préviendras. D'accord ?
 
je soutient son regard une nouvelle fois puis me détache d’elle.
 
-Tu veux que je te dise, Yenäa, pourquoi je suis sortie hier soir ?
 
Sans attendre de réponse de sa part, je file en dehors de la cellule végétale dans la quel nous avons dormi et cour en direction de la sortie de camp sans faire attention au autres chats.
 
Quand nous somme arriver dans le désert, je m’éloigne un peu de la sortie du camp et attend Yenäa.
Quand elle fut arriver vers moi, je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que se soit. Je pousse un léger cris pour faire sortir le plus d’illusions cauchemardesques possibles. Je n’ai pas vu si elle avait eu peur ou non.
J’entreprends de lui parler de mes illusions.
 
-Voilà pourquoi je suis sortie hier soir. Si je ne libère pas mes cauchemars au moins une fois toutes les 24 heures, cela me rend malade. Je ne peux les faire apparaître que 60 secondes mais cela est bien suffisant généralement pour faire décamper mes ennemies.
 
A peine j’eu finis de dire sa, que mes illusion eu disparut.

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   Mer 29 Juin - 19:01


Kitsune me regarda dans les yeux puis, s'écartant de moi, miaula d'un ton sérieux :

- Tu veux que je te dise, Yenäa, pourquoi je suis sortie hier soir ?

Je n'eus pas le temps de hocher la tête qu'elle avait déjà filé. Je sortis et la suivis en courant. Elle ne s'arrêta qu'une fois hors du QG, en plein milieu des dunes. J'allais lui demander des explications, mais une fois de plus, je n'eus pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit. La petite poussa un léger cri qui m'inquiéta et soudain, me glaçant le sang, des ombres immenses l'entourèrent. Je reculai d'un pas, les yeux écarquillés de surprise. Les ombres prenaient des formes cauchemardesques et monstrueuses, et ne tardèrent pas à m'entourer aussi. Je compris que c'était là son pouvoir et je maudis une fois de plus les hommes, qui faisaient subir à cette pauvre enfant un pouvoir terrifiant. Comment vivait-elle une telle chose ? Je crachai sur une ombre qui s'approchait un peu trop de moi, puis m'avançai vers Kitsune, dont la voix s'éleva à travers le rideau des sombres illusions :

- Voilà pourquoi je suis sortie hier soir. Si je ne libère pas mes cauchemars au moins une fois toutes les 24 heures, cela me rend malade. Je ne peux les faire apparaître que 60 secondes mais cela est bien suffisant généralement pour faire décamper mes ennemis.


L'instant suivant, les ombres s'effacèrent, et bientôt rien ne nous entoura plus, excepté le sable brûlant de soleil. Je m'approchai d'elle et lui dit d'une voix douce, rendue un peu tremblante par mon angoisse à son sujet :

- Je comprends, Kitsune. Cependant, sortir la nuit en plein cœur du désert n'est pas prudent, même pour le plus puissant des chats. Je viendrai avec toi les prochaines fois.

Je marquai une pause et m'approchai un peu plus de la chatonne.

- Tu n'as pas à subir cela seule. Je suis là pour toi maintenant. D'accord ?


Posant ma queue sur son dos, je désignai l'oasis du menton et miaulai d'une voix douce :

- Allez viens, rentrons à présent.

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   Mer 29 Juin - 21:58


- Je comprends, Kitsune. Cependant, sortir la nuit en plein cœur du désert n'est pas prudent, même pour le plus puissant des chats. Je viendrai avec toi les prochaines fois. 


Elle marqua une pose et s'approcha de moi.
Elle veut réellement venir et voir mes horribles illusions ? Cela me surprit. Je pense que c’est pour me protéger en quelque sorte et qu’elle veut veiller sur moi. 
 
 -Tu n'as pas à subir cela seule. Je suis là pour toi maintenant. D'accord ?

Elle posa sa queux sur mon dos et désigna le porte par la quelle nous étions sortie du montons.
J’avais envie de repousser sa queux mais elle faisait sa pour se rendre agréable et me signaler que je n’étais plus seul a présent… enfin je crois que c’est pour sa …
 
- Allez viens, rentrons à présent.
 
Je la suivis. Quand nous somme rentré au camp, je décide de lui parler de mes ambitions.
 
-Si je ne me trompe pas, il n’y a pas de chroniqueur ici n’est ce pas ?
 
Je ne la laissa pas le temps de me répondre.
 
-Personne pour raconter les batailles, porter les paroles de vaillants chats et compter les mésaventures et les épopées de nos aventurier. Personne pour profiler l’histoire de notre clan.
 
Je regardais alors autour de moi. Je pense que j’avais criez sans le vouloir. Beaucoup de chats me regarder. Je remarquais alors qu’ils n’avaient pour la plus part, pas le physique de combattant. Je sortie les griffes et montra alors les cros. Je décide alors de murmuré mes prochaines paroles, je ne sait pas si Yenäa ma entendus les prononcerais.
 
-Ou n’en avais vous pas besoin car vous ne combattez pas ? Car vous préféré rester dans votre confort au lieu de secourir les chats qui sont ans le besoin ? Car vous êtes des lâches ?
 
Je rentras alors dans la cellule végétale dans la quel j’avais dormie avec fureur.

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   Mer 29 Juin - 23:40


Kitsune me suivait sagement. Je marchais devant, l'esprit ailleurs, plongé dans mes réflexions. À peine fûmes nous arrivées dans le camp que la voix de la chatonne me sortit de mes songes :

- Si je ne me trompe pas, il n’y a pas de chroniqueur ici n’est ce pas ?

J'ouvris des yeux surpris.
Chroniqueur ? Mais... de quoi parle-t-elle ?
Je m'apprêtais à lui demander, mais elle répondit d'elle-même sans même entendre mon interrogation, d'une voix forte qui éveilla l'intérêt de plusieurs chats :

- Personne pour raconter les batailles, porter les paroles de vaillants chats et compter les mésaventures et les épopées de nos aventuriers. Personne pour profiler l’histoire de notre clan.

J'ouvris la gueule pour lui rappeler que nous étions pacifiques, que nous ne faisions pas la guerre, et que par conséquent non, nous n'avions pas de chroniqueur. Mais elle me devança une fois de plus. Son ton s'était fait amer et tranchant, ce qui me figea sur place, et elle parlait d'une voix basse.

- Ou n’en avez vous pas besoin car vous ne combattez pas ? Car vous préférez rester dans votre confort au lieu de secourir les chats qui sont dans le besoin ? Car vous êtes des lâches ?

Puis Kitsune rentra dans la tanière d'un pas furieux en me plantant sur place. Ses mots furibonds m'avaient fait l'effet d'un coup de griffe. Elle venait de dire tout haut ce que beaucoup de chats, notamment parmi les Felinaes et les Soldats, pensaient tout bas. Ils nous traitaient de faibles, de lâches, d'ingrats. Et la petite semblait d'accord avec eux. Une part de moi voulait lui feuler que si nous ne lui convenions pas, elle n'avait qu'à retourner chez les Felinaes ; une autre part voulait lui faire comprendre. Notre choix, nos principes. Moi-même, j'avais douté de mon choix. Parmi les Felinaes, plusieurs s'étaient moqués, m'avaient traitée de lâche et jeté des regards de mépris. Parce qu'ils ne comprenaient pas. Et Kitsune non plus.
Je pris une grande inspiration. Ma part de patience et de douceur avait pris le dessus. Mais mon chagrin de ne pas être acceptée remontait doucement à la surface et me nouait la gorge. Je retournai dans la tanière et m'assis en face de Kitsune. Je fixai sur elle un regard chagriné et lui dit d'une voix douce empreinte de rancœur :

- Je sais comment tu nous vois. Comment tu me vois. Tu penses que nous sommes des ingrats, de vulgaires chats faibles et lâches, pas vrai ?

Je poussai un profond soupir ; mes yeux s'embuèrent. J'ajoutai d'une voix tremblante :

- Si tu nous hais tant, tu peux retourner chez les Felinaes, tu sais. Personne ne t'empêchera de le faire, si c'est ce que tu souhaites.

Puis je fermai les yeux, refoulant les larmes qui montaient, tournai les talons et sortis. Tandis que je marchais dans le camp, tête basse et regard tourné vers le sol, je repensais à mon passé et aux évènements récents. J'avais grandi un peu comme Kitsune, c'est pourquoi j'avais tout de suite eu beaucoup d'affection pour elle. J'avais toujours beaucoup d'amour à donner aux chatons, mais elle, j'avais pensé que peut-être elle me comprendrait. Je la connaissais depuis peu, mais je l'aimais déjà comme ma propre fille. Qu'elle nous déteste ainsi me déchirait le cœur et je n'arrivais pas à refouler ça.
Je m'assis au bord de l'eau de l'oasis. Les vaguelettes tièdes venaient lécher mes pattes, mais aucune larme ne vint troubler l'eau paisible. Je ne pleurerai pas. Je relevai la tête et perdis mon regard dans le ciel. Mais les larmes tentèrent de m'assaillir encore, et je fermai les yeux.

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   Sam 2 Juil - 7:36


Je suis rentré dans la cellule végétale qui m’avaient servi de chambre avec fureur. Peu être me suis-je emporter trop vite… j’avais oublier que j’étais chez des pacifiques…
J’avais l’habitude de la violence dans mon laboratoire, je n’étais pas habituer a ne pas me battre en quelque sorte.
J’entends quelqu’un arriver derrière moi, s’étais Yenäa. Elle vient s’asseoir en face de moi.
Sa voix était toujours douce mais quelque chose avais changer :
 
-Je sais comment tu nous vois. Comment tu me vois. Tu penses que nous sommes des ingrats, de vulgaires chats faibles et lâches, pas vrai ? 
 
je m’excuse…mon intention n’étais pas de la blesser, je n’avais juste pas controler ma bouche… c’étais sortie tout seul…
 
-Avoue que tu aimerais ma tuer.
 
Je me crispe un petit moment… cela fessait longtemps qu’elles ne m’avais plus adresser la parole…
 
-Si tu nous hais tant, tu peux retourner chez les Felinaes, tu sais. Personne ne t'empêchera de le faire, si c'est ce que tu souhaites. 
 
Je ne les aie jamais vu… avant que je n’ai pu ajouter quelque chose, elle tourna les talons et partie. J’aurais du me taire.
Je sert mon collier de laboratoire toute griffe sortie, des larmes commencer a couler sur mes joues.… je ne suis pas des leur…
Je sors de la cellule végétale a mon tour et regard autour de moi, tous les chats me regardent avec mépris et incompréhension… je savais que je ne fessais pas partie de leur groupe…
Mes larmes coule de plus belle. Je me sauve en courant-, essayent de rattraper Yenäa.
 
-Pourquoi ?
-Elle ne te comprend pas.
-Tue-les tous.
 
Non !
Ces voix qui me parle dans ma tête, cela fessait longtemps que je ne les ais pas entendus… pourquoi maintenant.
 
J’arrive a la retrouver, assise au bord de l’eau.
Je m’approche d’elle et essuies mes larmes, je ne veux pas quelle sache que j’ai pleurer. Avant de lui parler, je m’assois a coter d’elle et me regarde un instant dans l’eau. J’eu un mouvement de recule. C’est … moi ? j’avais un sourire forcer, des yeux exorbités et le pelage ébouriffer. Bien sur qu’il me prenne tous pour une folle si je suis dans cette états constamment…je range mon sourire et regarde normalement … en tout cas j’essaye…
 
-Désolé…
 
Je la regarde un moment, silencieuse, après cela, je sert ma chaîne avec mon numéro d’expérience toute griffe sorti, je fini même par me faire mal a la poitrine. Je sens sur sang couler sur mes patte. C’est agréable mais si je le montre trop, elle va me prendre pour une singlet.
 
-Désolé pour ce que j’ai dit… je ne voulais pas te blesser. C’est juste… que j’ai grandis dans un environnement violent… tu voie…. Je suis habituer a côtoyer des monstre assoiffer de sang…et a force… j’en suis devenus un …
 
Je me reprend et lèche ma patte pleine de sang.
 
-Je comprends que tu ne veuille pas d’un monstre a tes cotés…. Je commencer juste a me sentir bien avec toi mais  je te corserais des problèmes si je reste…
 
Je tourne les talons et m’éloigne un peu. Je m’arrête et regarde le ciel.
 
-Je voulais devenir sous-chef tu sais. Aider les autre dans le besoin mais je ne peux pas avec mon caractère… je doit arrêter avec mes rêve de chaton…
 
J’ai un moment de silence et reprends :
 

-Si tu le veux je peux partir… a toi de me dire…

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   Ven 19 Aoû - 0:44


Les yeux fermés, ruminant mes sombres pensées, je ne sentis pas tout de suite la présence de Kitsune à mes côtés. Elle m'avait suivie. Pourquoi cela ? J'ouvris les yeux et la dévisageai avec du chagrin empreint de curiosité. Sa fourrure était ébouriffée, et ses yeux rouges et gonflés, comme si elle venait de pleurer.

- Désolé..., miaula-t-elle d'une petite voix.

Elle me fixea en silence. Bientôt, elle leva sa patte avant et serra sa petite chaîne. Ses griffes sorties éraflèrent sa peau fragile et quelques gouttes de sang tombèrent sur la fourrure douce de ses coussinets. Je fus frappée par son indifférence. Elle venait de se faire mal, mais elle ne semblait pas gênée. Elle prit même la parole :

- Désolé pour ce que j’ai dit… je ne voulais pas te blesser. C’est juste… que j’ai grandi dans un environnement violent… tu vois…. Je suis habituée à côtoyer des monstres assoiffés de sang…et à force… j’en suis devenue un…


Frappée de stupeur devant son calme et ses paroles si sombres, ma gorge s'assécha et je n'osai pas répondre. Je secouai un peu la tête pour me reprendre et avisai de nouveau l'entaille à son poitrail. Je voulus m'approcher d'elle pour nettoyer sa blessure, mais elle se lécha d'elle-même sa patte souillée par le sang.

- Je comprends que tu ne veuilles pas d’un monstre à tes côtés…. Je commençais juste à me sentir bien avec toi mais je te causerais des problèmes si je reste…

Mon coeur se serra, étouffé par des sentiments contradictoires. J'étais soulagée qu'elle m'apprécie et qu'elle m'avoue se sentir bien avec moi, mais j'étais également attristée par sa résignation et ce qualificatif de "monstre" qu'elle s'attribuait. Le sang nettoyé, elle se leva et s'éloigna un peu, les yeux perdus dans l'immensité du ciel.

- Je voulais devenir sous-chef tu sais. Aider les autres dans le besoin mais je ne peux pas avec mon caractère… je dois arrêter avec mes rêves de chaton…

Sa remarque acerbe, tournée vers elle-même, me fit enfin réagir. Je me levai d'un bond, passai ma patte sur le museau pour essuyer mes yeux humides, puis m'approchai doucement d'elle. Elle laissa filer quelques secondes de silence avant d'ajouter :

- Si tu le veux je peux partir… à toi de me dire…

Je m'assis à côté d'elle et me penchai pour frotter ma joue contre la sienne en poussant un petit ronronnement doux que j'espérais rassurant. Je répondis d'une voix rendue un peu tremblante par l'émotion :

- Je suis désolée, moi aussi. J'ai dit des choses que je regrette. Si tu te sens bien parmi nous, personne ne t'empêchera de rester, et je serais plus que ravie de m'occuper de toi ; je t'aime déjà beaucoup.

Je m'allongeai sur le flanc, tout contre elle, comme le ferait une mère pour allaiter ses chatons, et ajoutai d'un ton doux, mais ferme, en lui tapotant la tête d'un des bouts de ma queue :

- Au demeurant, je ne veux plus t'entendre dire des horreurs pareilles. Tu n'es pas un monstre, tu es simplement une petite chatte qui n'a pas eu de chance. Il est d'ailleurs plus que probable qu'en grandissant tu parviennes à contrôler plus aisément tes pouvoirs et tes pulsions.


Je lui fis un petit sourire et poursuivis avec plus d'entrain, en la serrant contre moi avec chaleur :

- Et les rêves ne sont jamais une mauvaise chose. Si tu souhaites de tout ton cœur devenir sous-cheffe, rien ni personne ne saurait t'empêcher de réaliser ton rêve. Crois en toi, Kitsune, et un jour tu seras la plus grande et la plus courageuse sous-cheffe qui ait jamais vécue.

Je plongeai mon regard dans le sien. J'avais parlé avec sincérité, et j'espérais que Kitsune comprendrait toute l'affection et la confiance que je plaçais tacitement en elle.

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   Sam 29 Oct - 16:10


J’avais peur, oui peur de sa réaction. Aller t’elle me dire de partir ? Aller t’elle me dire qu’un chaton ne voulant que la bagarre de devait pas rester ici ? Toute ces incertitudes et ces questions tourner dans ma tête. Je l’entendit s’approcher de moi. Je ferma les yeux par réflexe, pensant qu’elle aller me frapper, me pousser ou me dire des choses désagréables.

- Je suis désolée, moi aussi.

Hein ?

- J'ai dit des choses que je regrette.

Mais non ! Je me retourne pour regarder la chatte blanche et rousse, les yeux plein d’incompréhensions et de regret.

- Si tu te sens bien parmi nous, personne ne t'empêchera de rester, et je serais plus que ravie de m'occuper de toi ; je t'aime déjà beaucoup.

Je crus pleuré. Elle… m’aimait ? Mais je suis … une horreur. Elle s’approcha de moi encore et s’allongea si prés de moi que nos fourrures se touchaient. Je sentis alors sa queux venir me tapoter la tête.

- Au demeurant, je ne veux plus t'entendre dire des horreurs pareilles. Tu n'es pas un monstre, tu es simplement une petite chatte qui n'a pas eu de chance. Il est d'ailleurs plus que probable qu'en grandissant tu parviennes à contrôler plus aisément tes pouvoirs et tes pulsions.

Je leva la tête vers elle les yeux plein de larmes et hocha la tête. Elle me sera contre elle et je me lésa faire, je frotta même ma tête contre son ventre.

- Et les rêves ne sont jamais une mauvaise chose. Si tu souhaites de tout ton cœur devenir sous-cheffe, rien ni personne ne saurait t'empêcher de réaliser ton rêve. Crois en toi, Kitsune, et un jour tu seras la plus grande et la plus courageuse sous-cheffe qui ait jamais vécue.

Je la regarde a nouveau et lui fait mon plus beau sourire. Jamais je n’avais étais aussi heureuse. Non jamais. Yenäa savait quels mots employer. Je resta un moment coller a elle, jusqu'à se que mes larmes partent. Ensuite je la regarde, déterminer. Me me détache d’elle et regarde le ciel avec un grand sourire un et regarde toujours déterminer. Je poussa ma voix fragile et aigu le plus fort possible pour que tous m’entende :

- Oui ! Je serais la meilleur, la plus forte, la plus sage.

Je regarde ensuite Yenäa.

- Rentrons chez nous.

Je m’élance dans le camp avec un grand sourire. Les jours noir sont loin encore. Profite bien de ta vit ici, kitsune.

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   Mer 30 Nov - 17:57


Kitsune leva la tête vers moi et je sentis mon cœur s'alléger en voyant le sourire radieux qui illuminait son visage de chaton. Elle resta blottie contre moi quelques minutes de plus, avant de se détacher de moi, les yeux brillant de détermination. Elle tourna son regard vers le ciel bleu, le visage toujours éclairé par un merveilleux sourire, et lança de toute la force de sa petite voix :

- Oui ! Je serai la meilleure, la plus forte, la plus sage !

J'esquissai un sourire fier en la voyant ainsi reprendre confiance en elle. Elle se tourna vers moi ; j'ignorais pourquoi, mais il me semblait qu'elle avait déjà grandi.

- Rentrons chez nous, miaula-t-elle doucement.

Chez nous
. Cette appellation me surprit, mais me réchauffa considérablement le cœur. Ronronnant de joie, je vins frotter mon museau contre sa joue avant de la suivre vers notre tanière. C'était une nouvelle vie qui commençait pour elle, pour moi. Et je n'avais qu'une hâte : la vivre.

Hors RP ::

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   Sam 7 Jan - 22:30


J'archive.





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