• Nom : Lecter
• Sexe : plus vraiment [ancien : femelle]
• Âge : 8 ans
• Clan : Felinae
• Rang : Cerbère
• Code d'identification : 7713
• Race : bâtard

• Pouvoir :
[ancien pouvoir] – durcir sa peau. Si trop utilisé, membre devient blessé. Les os ne sont pas durs, et sont donc facilement brisés. La douleur physique est présente.

[pouvoir évolué] – peut fusionner sa peau avec des pierres ; les cellules fusionnent en réalité avec un matériaux de propriété semblable -puisque son ancien pouvoir a fait effet sur tout son corps, il s'agit ici de pierres à vulgairement parler-.

[détails]
-théoriquement illimité (si parcelle de peau disponible, énergie et pierre présentes.)
-les pierres n'ont pas de limites de taille
-les pierres ont une dureté variable, mais ne peuvent être brisées par une force de chat ou une force humaine (en revanche, certains pouvoirs l'affectent)
-les pierres sont collées à la peau, et ne s'en décrochent donc pas à volonté
-son corps est lourd, elle n'est donc pas très rapide. Elle ne peut pas courir, mais a une marche rapide qui, associée à sa taille, ne la rend pas lente non plus.

[nécessaire]
-l'énergie au corps pour fusionner parfaitement. (dépend de la zone de peau qui va fusionner et non de la taille/poids de la roche)
-une roche de nature aléatoire. Ce qui est appelé en général « pierre » ou « roche » peut varier, mais doit rester d'une nature assez similaire à ce que l'on trouve dans la nature des roches, et ne peut donc pas être du métal, ect.

[inconvénients]
-si pas assez d'énergie/forçage, fusion imparfaite entraînant des conséquences physiques néfastes, ou aucune fusion, ou une trop faible pour durer.
-le corps n'étant pas vraiment vivant, seul le temps lui redonne de l'énergie.
-ne peut pas additionner des fusions entre elles (les pierres fusionnent avec la peau et non entre-pierres).
-ne pas négliger l'impossibilité de fusionner avec un rocher trop gros ; les pierres sont collées à la peau et si elles ne peuvent être soulevées le corps sera handicapé jusqu'à cassure
-les gros chocs cassent les parties du corps au même titre que les pierres
-la chaleur est capable de faire fondre le corps et les pierres si trop proche
-rester trop longtemps dans l'eau/en consommer est très dangereux également

pour la défaire en combat : chaleur // eau // choc violents // l'immobiliser quelque part
à craindre : le corps à corps // la dureté de pierre de son corps // sa frappe // ses capacités de fusion

• Physique :
[mesures]
Lecter est un chat plutôt grand. En revanche, on ne peut juger de sa maigreur, puisque son corps est vide de tout fluide, et que ses organes, privés de liquide, ont pourri et se sont flétris sur eux-même. Sa peau pourrait être sur ses os, mais la matière est trop dure pour se tendre, et donne, en somme, l'impression d'avoir un poids tout à fait normal ; sa masse en revanche est lourde, pour un chat normal ; très lourde.
[son corps organique et minéral]
La matière de sa peau sera vulgairement désignée comme du caillou. En réalité, il s'agit de peau tout à fait normale, mais ayant simplement des propriétés différentes dues au pouvoir passé : elle est relativement dure, au même titre que de la pierre. Cela ne veux cependant pas dire qu'elle ne peut être brisée, il est « seulement » nécessaire d'avoir la force de briser. Un chat normal en serait tout à fait incapable, mais de lourds chocs, de la chaleur ou de nombreux pouvoirs en ont tout à fait la possibilité. L'intérieur de son corps subit le même traitement par ailleurs.
Il s'agit donc en somme d'un chat un peu spécial, puisqu'il s'agit d'un être à la fois organique et minéral. Voyons cependant les inconvénients de ce mélange, puisque les avantages semblent être nombreux. Premièrement, le corps est dans l'incapacité de se régénérer ; toute partie perdue l'est définitivement. Le concept d'énergie au corps est tordu ; en effet, si un chat aura besoin de nourriture ou de repos simple, le corps de Lecter aura besoin d'un temps d'inactivité bien supérieur à celui d'un chat normal. On le verra souvent négliger les moindres mouvements en conséquences ; son corps est évidemment très lourd et demande de la force pour le traîner, tout comme il ralentit forcément chaque mouvement.
De plus, le corps ramollit à chaque instant. Dans une dizaine d'années, il sera redevenu comme avant ; cependant, « comme avant » signifiant avec une blessure mortelle, cela signifie la mort ; une mort lente, qu'on voit venir, et de plus en plus douloureuse. La seule manière de s'épargner cela serait de briser son cerveau, qui est la seule manière actuelle de réellement l'achever (à moins de le brûler complètement ou d'accélérer le processus en utilisant de l'eau ou un pouvoir quelconque ayant les même conséquences).
[physique réel]

Son pelage a pris une teinte brune sombre ; tout comme ses cornes qui ont foncit. Puisqu'elles s'enroulaient harmonieusement avant, Lecter les a brisé par soucis d'utilité, car elles avaient poussé de manière à lui entraver la vue. De cette manière, elles sont maintenant nettement plus courtes.

Les points sous ses yeux sont toujours présents, mais de petites tâches de rousseur ornent désormais son museau. On remarquera quelques cicatrices, mais l'on ne pourra rater l'énorme blessure due à l'éventrement passé ; d'où sortent des boyaux charmants enroulés autour de la taille de Lecter.

Ses yeux sont vitreux et ont perdu toute teinte. Lecter doit penser à régulièrement les laver, car il n'a plus d'utilité à cligner des yeux (ce dont il se prive joyeusement par ailleurs) et par conséquent, ils se salissent rapidement.

Spoiler:

• Caractère : Cinq lignes minimum.
Lecter n'est plus ce qu'il était. Ce fut un chat noble, fier, égocentrique mais fidèle, une personne avec de fortes convictions, de forte morale. Sa découverte un peu tardive de sa propre passion l'avait amené sur une autre route ; et, la réalité de sa mort, eu finit de le sortir de ce sinueux chemin.
C'est une personne aigrie et dure. Jalouse de la vie des autres, elle a une certaine volonté de destruction concernant les soldats. Ceux qui ont pu se reposer en toute tranquillité sous le laxisme des humains, qui ont laissé déborder leurs expériences ratées de pauvres types. Lecter haït le laxisme, la fainéantise, la paresse. Les soldats sont son premier souffre-douleur. Elle sait qu'ils sont parfaitement stupide de suivre les humains, et elle refuse de se laisser endoctriner à nouveau. Par conséquent, elle désire détruire l'empire soldat en général, et asseoir la domination des felinae : car les solitaires n'ont pas besoin de place, et si les soldats sont des pleutres, les caméléons ne sont pas en restes.
En soit, Lecter n'en a rien à faire des felinae en général. Misanthrope au possible, il  connaît pertinemment ses propres contradictions : il n'aime pas la vie mais défendra ses felinae, il les traitera aussi mal que possible mais les entraîne avec volonté pour qu'ils aient les moyens de survivre ; il hait les soldats sans ignorer qu'il en fut un ; il traitera mal tout solitaire sans nier son amour pour June.
Par ailleurs, s'il n'est pas de nature craintive et est d'un courage en réalité remarquable, il craint de se retrouver à nouveau devant June. Son apparence, son nom, sa voix, son caractère a changé, et il ne sait si elle sera capable de l'aimer à nouveau, c'est donc pour cela qu'il ne presse pas leur rencontre, tout en ignorant nullement qu'elle se fera un jour.
Il a une forte personnalité, et un avis tranché, et brusque. Puisqu'il a rencontré temporairement la mort, il ne craint plus de l'infliger ; et s'il se trouvera cruel, cela n'est que pour le bien commun. Il n'est nullement sadique, et n'aime pas, en réalité, se montrer violent. Cependant, comme il pensera souvent en soupirant ; la violence est le seul moyen de guider les faibles, et de protéger, et de survivre dans ce monde. Néanmoins, si personne n'a a mourir, il ne rajoutera personne à la liste.
Lecter est plutôt intelligent et calculateur en somme, et réfléchit avec soin à chacun de ses mots, tout comme il l'a toujours fait.
Ne donnez pas trop de crédit à ses promesses cependant ; il sait mentir et cela ne le gêne absolument pas.

• Histoire :

Ohhh, tu as une histoire un peu longue. Remplie de détails, d’innombrables actes, mais au moins tu devrais la résumer au possible.

Tu es rapidement passée de maîtres en maîtres, demeurant un chat pur et sans expériences. Une sorte de marchandise un peu interdite. Plus que de devoir te cacher face au gouvernement, tu étais une dame très difficile et fuguait, déménageait, abandonnait ta vie très souvent. Tu t'étais attachée à un étrange homme dont la drogue avait pollué son sang, et dont les veines avaient une étrange lueur surnaturelle. Il parlait souvent de complot féministe, et ne s'était jamais aperçu que tu étais une femelle : un jour il fit une overdose, et l'odeur de son cadavre attira la milice, puis le gouvernement, puis les scientifiques, et ce chat errant fut confié au gouvernement.

Tes espoirs t'avaient à moitié quitté lorsque tu fut une expérience : et bien que sans détermination, tu survécut : ton pelage devint plus sombre, passant d'un pâle et joli roux à un rouge sombre, ton corps brûlait et était rongé par une étreinte mauvaise. Puis une douleur atroce te tortura la tête, te prit ta raison : des cornes poussaient, tiraient tes os, perçaient ta chair, et au bout de quelques semaines, ton monde se radoucit, tout reprit son sens.

La fureur avait dansé dans ta tête, et tu songeais à la vengeance. Lorsque tu tenta de fuir dans le but de rejoindre un groupuscule violent, tu trouvas un chat sur ta route. Ton pouvoir, que tu ignorais, lui brisa la nuque après un coup bien placé. Tu ne tint pas deux jours avant que les humains te retrouvent : ce premier coup, étrange, avait brisé quelque chose en toi, et avait tordu ta patte d'une manière anormale.

Tu devint un soldat. Tu devais ce pouvoir fantastique aux humains, et tu avais appris à affiner tes batailles : tu étais vieille, expérimentée, qu'aurais-tu pu vouloir de plus ? Jusqu'à ce qu'une balade dans les égouts te fit rencontrer une caméléon nommée June. Quelques semaines et batailles de boules de neige suffirent à faire fondre ta personne, et tout lien impersonnel pour les soldats.

Et tu avais assassiné quelqu'un entre des murs blancs, aussi. Tu ne te souviens pas de son nom. Tu sais que ce n'était pas mérité, terrible, et que cela te retourna le cerveau : ce n'était pas une défense, seulement un accès de rage. Tuer ne t'a plus jamais dérangé.

Tu te souviens d'avoir croisé ce petit soldat : Isaac. Il avait toujours été trop intelligent pour ce monde. Tu le punis de ses déductions en lui fracassant le crâne, mais il n'était pas mort. Tu ne sauras jamais ce qu'il était devenu, sans savoir que l'avoir chassé de force allait entraîner sa décadence, et, plus tard, ta propre mort.

Il se battit avec Shrader, la seule personne qui comptait pour lui et qui avait été incapable de l'aider et l'avait presque laissé mourir de faim sans le trouver. Il fut cloué au sol par des drogues, perdit une partie de sa vie et s'enfuit ; tandis que Shrader tomba dans une incurable tristesse, et fut victime d'encore plus d'expériences, et muta en une horrible créature.

Pendant ce temps, éprise de June, elle te rendit tes sentiments, et vous vécurent une jolie vie pendant quelques mois. Quelque chose de paisible, en bonne saison qui plus était, et tout était parfait pour vous deux.

Et c'est ici que le poids de tes erreurs revint : Shrader, qui était devenu quelque chose de déformé et dévoré, cette expérience ratée, désirait votre peau. Tu voulais la défendre. Il te brisa les pattes, te brisa les os, détruisit ton corps. Tu réussit à l'affaiblir, l'aveugler, puis lui briser la nuque. C'était à ce moment là, où tes yeux étaient vitreux, où ton corps tremblait que l'adrénaline partit : tes entrailles étaient visibles, et il t'avait éventré.

C'était ta mort, aux côtés de June. Ton corps se refroidit, et elle te quitta sans pouvoir trouver la force de t'enterrer. Tu étais morte, tu en étais sûre. Ou, plutôt, ça ressemblait à un long et impérissable sommeil. Ton pouvoir, qui était de te durcir toi-même, s'effectua encore plus : il paralysa ton corps, le conserva dans une hibernation de pierre.

Tu ne sais qui, mais quelqu'un enterra ton corps. Ce n'était pas June, peut-être un personnage étrange. Ton corps, en pleine solidification. Tes organes, bien que prenant la dureté de l'acier, étaient toujours visibles : tu ne cicatrisait plus.

Tu sortit de terre quelque chose comme un an plus tard. Tu te souvenais de tout, mais eu du mal à continuer d'avancer. Tu te souviens vaguement de la sensation de ton corps : enveloppé dans une immortelle enveloppe de pierre. Tu te crut un instant immortelle, mais le temps te fit comprendre à quel point ce corps était fragile et ne pouvait plus se réparer.

Quelques semaines plus tard, après avoir reprit possession de ce corps imparfait, il était temps pour toi d'aller retrouver June. Après quelques semaines de recherches, tu abandonnais à moitié ta tâche. Tu comprenais que tous ces changements en toi ne pouvaient que l'effrayer, que la dégoûter. Tu devais assumer ce corps et combattre ces incertitudes avant de la rencontrer à nouveau.

Puis, un peu trop soudainement, tu te trouvas à un événement fortuit et particulier. Elle rencontra Alec qui l'invita chez les felinae; en échange de sa fidélité et de sa présence elle aurait l'occasion de pouvoir assouvir sa vengeance, et c'était bien assez.

• Pseudo le plus souvent utilisé : Abhorration ; mapleDinosaur
• Âge : 16
• Comment as-tu découvert le forum ? boop
• Autre chose ? boop
• Je souhaites avoir un parrain/une marraine pour mon premier rp : boop

Anchan was here