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Et si l'amour n'était pas réservé qu'aux autres? - Feat Cupcake

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Anonymous
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   Lun 4 Déc - 19:56


L'après midi venait de commencer, c'était une journée parfaite pour essayer de s'entraîner un peu, surtout avec le froid qui régnait sur l'endroit qu'était le champ d'entraînement. Ses nombreuses installations métalliques faisaient que l'endroit possédait toujours une fraîcheur, ce qui par moment faisait quand même bien plaisir. Le soleil brillait pour une fois depuis le début du mois, cela réchauffait mon pelage qui comme toujours n'avait pas une seule trace de saleté présente. En regardant autour de moi je remarquais bien vite que l'endroit était entièrement désert, pas un chat ou bien même un sale humain, personne, juste le vent. Je soupirais doucement, c'était comme ça bien souvent quand j'allais m'entraîner maintenant, je n'avais jamais personne avec qui m'entraînait ou bien même juste parlementer, c'était juste quelque chose comme ça, le vide, le silence, la solitude. L'air ébouriffait légèrement mon doux pelage d'hiver, c'était presque encore du duvet par endroit, j'avais eu une croissance très tardive, je sortais à peine de l'âge de l'adolescence, enfin pas dans mon corps, mais dans ma tête. Je fermais les yeux, m'abandonnant à cette brise, les odeurs de la forêt envahissant mes narines, me donnant l'eau à la bouche quand l'odeur des proies venait, je n'avais pas mangé ce matin, je n'avais plus faim depuis plusieurs jours déjà, je ne mangeais que peu, la nourriture humaine était trop nourrissante, et surtout écoeurante, elle ne me donnait plus du tout envie, enfin sauf l'envie de vomir. Je regardais le ciel en m'asseyant doucement, quelques nuages flottaient paisiblement dans l'air, je voudrais tellement être aussi paisible qu'eux, ne pas avoir à me soucier de quoi que ce soit, ne pas avoir se soucier des autres. J'étais trop ampathique, les gens se servaient de moi comme parloir pour disparaître la seconde suivante, une fois qu'ils ont bien tout déversé sur moi, comme si je n'étais qu'une corbeille à papier usée, vous savez le type que personne ne veut près de lui? Je soupirais doucement, mes griffes grattant doucement le sol, c'est ici que je venais m'entraîner avant, avec ma mère, c'est ici que j'ai découvert mon pouvoir, c'est ici que j'aurai pu m'enfuir une fois pour aller ailleurs.

Je me glissais doucement sur un morceau métallique plat, si personne n'était là alors je suppose que je pouvais dormir, et si n vétéran venait me disputer je jouerai encore un petit numéro de séduction comme j'en avais bien l'habitude, les mâles ne savaient pas que j'étais d'un autre bord, et qu'ils ne m'intéressaient pas du tout que ce soit côté sentimentale ou autre. Je ne voyais pas mon futur dans les pattes d'une personne me dominant de toute sa hauteur, je ne voyais pas mon futur dans la maternité que cela finirait par apporter car les mâles finissent toujours par forcer, et finalement partent quand les petits sont là, comme des lâches, ils nous laissent dans la panade. Je grognais intérieurement, posant ma tête sur mes pattes avant, laissant le soleil réchauffer à sa façon mon pelage. Mes paupières se firent lourdes, terriblement lourdes, mon coeur se ralentit de façon significative, alors que je sombrais dans un profond sommeil. Une image apparut doucement, c'était une tâche, une grande tâche rose bonbon que je connaissais bien. Cupcake. Cela faisait un petit moment maintenant que je la connaissais un peu plus personnellement j'aimais sa compagnie, j'aimais sa folie, j'aimais son énergie, j'avais appris à aimer ses couleurs, j'avais appris à aimer ce qui faisait qu'elle était totalement unique contrairement aux autres. Elle était juste devant moi, sautillant toujours sur ses pattes comme elle aimait le faire, cela me faisait souvent rire, à cause de ça elle était souvent maladroite, faisant ainsi râler les autres soldats un peu trop rôchons. Si l'un deux venait la menacer directement je me mettais entre les deux, n'hésitant pas à menacer à mon tour un mâle faisant 4 fois mon poids. Plus les journées avançaient, plus le temps passait, plus je me rendais compte qu'au final mes sentiments ne devaient pas être une simple amitié platonique, je ne pouvais pas supporter d'être trop souvent éloignée d'elle, c'était devenu ma seule amie, la seule qui pouvait me comprendre malgré sa soit disant folie. Je m'approchais à mon tour de mon amie, très lentement, je sentais une force me retenir, comme si mes membres étaient retenus par une force entièrement invisible, comme si mon corps n'était plus mien, comme si je ne pouvais plus rien contrôler.

Mon amie s'immobilisait soudainement devant moi, un cri retentit derrière elle, un cri menaçant. J'écarquillais les yeux en voyant une horde de chats noirs aux yeux de différentes couleurs. L'obscurité tomba d'un coup, nous engloutissant d'un coup, alors qu'elle voulait sauter vers moi. Mon corps fut relâché à ce moment là, je me dirigeais vers elle, me heurtant à un mur invisible, qu'est ce qui se passait ici?! Je ne voyais rien, je ne pouvais entendre que des rires démoniaques, des rires tout droits sortis des enfers, puis soudainement un cri, la voix de Cupcake. Je claquais mes pattes avants, toutes griffes sorties, sur le mur invisible, cherchant à intervenir, à voir ce qu'il se passait, je hurlais son nom, comme une folle, gémissant sous la douleur que causait la dureté de la surface qui me retenait. Je continuais d'hurler, mes cris faisaient échos aux siens, je sentais ma détresse grandir au fur et à mesure que la panique me gagnait, qu'est ce qui se passait? Où étais-je? Pourquoi criait-elle? Qui étaient ces personnes? Je l'entendis hurler mon nom au même moment où moi j'hurlais le sien, elle semblait mourante, comme si son dernier souffle était proche, comme si les autres chats la malmenaient, comme si elle allait mourir ! Les larmes perlaient aux coins de mes yeux, j'avais peur, peur de la perdre, cela me semblait totalement inconcevable ! Puis d'un coup le bruit cessait. Plus rien. Juste le vide, le silence, la solitude. Je regardais tout autour de moi. Doucement, je m'avançais, le mur avait disparu entièrement, il n'était plus. J'avançais lentement, une tâche rouge apparaissait dans mon horizon. J'avançais encore, cette tâche grossissait. J'avançais encore une fois, accélérant le pas d'une manière significative, reconnaissant enfin cette tâche. C'était Cupcake, là étendue sur le sol noir, là couchée devant moi, le regard hagard, sa joie s'étant effacée de son si beau museau. Je me couchais près d'elle, les yeux écarquillés, les larmes coulant sur mes joues. Doucement, j'enfouissais mon museau dans son pelage trempé de sang, sentant une dernière fois son odeur. Je sentais mon coeur mourir, comme si il pourrissait à cause d'un venin quelconque. Je l'aimais je l'aimais je l'aimais ! Je l'aimais plus que tout. A ces pensées, je ne pouvais que hurler d'un coup dans ma folie de douleur

"-Je t'aime Cupcake ! Je t'aime je t'aime ! Ne me quitte pas !"

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Anonymous
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   Mar 5 Déc - 20:12



J'ouvre mes yeux, qui me picotent légèrement. Malgré mon pelage bien gonflé, préparé pour l'hiver, je sens une brise fraiche me couvrir. Ais-je dormis de la nuit ? J'avoue que j'en ne savais pas, à force de parfois cumulé des nuits sans sommeils et parfois une bref sieste, je ne savais plus du tout.
Bref, j'en m'en foutais ouvertement tout ce qui pouvait se trouver dans mon organisme. Je finis par me lever gauchement hors de ma cage-niche, allez savoir qu'elle foutu nom on donnait à ses trucs. Une fois en dehors ce truc je me secouais vivement, histoire d'être parfaite réveillé, même si c'est très rapide chez moi. Rien que ça, je sens déjà l’énergie croître dans mon corps.
Déjà passons vers l'endroit ou je vais faire mon petit rituel, c'est à dire passer à la ménagerie, voir les chatons ! Sortant de la chambre vide est dénué de Soldats, ce qui est fort étrange mais bon passons ! Je me met à bondir comme mon habitude depuis que je suis ainsi, sous des regards toujours aussi normal venant de la part des autres. Je passe sans les regarder, et souvent il se pousse à mon passage, ils savent qu'il vaudrait mieux pour eux...Et pour leur pelage !
Un des matous finis tout de même d’être arrogant, et le choc de nos deux corps musculeux se fait ressentir, nous faisant nous arrêter tout les deux, nous retournée et nous regardais droit dans les yeux. Je ne peux m'empêcher de faire ce sourire, si souvent collé à mon visage, et le regarde de mes yeux si étranges, la queue fouettant l'air rageusement.

-Qu'est-ce tu veux petit c** ? Si tu veux continuer à aller à la litière passe ton chemin ! Lui dis-je avec un petit rire.

Après un moment d'hésitations, il finit par partir, tandis que moi je retournais, galopait vers la ménagerie. Quand je l'eus atteint, je me forçais à m'arrêter pour ne rester qu'à l'entrée à regarder de loin. La pièce était globalement endormis, la plupart des petits dormaient près du ventre de leurs mère. C'était une bonne chose, tout semblait paisibles, malgré les crachats de certains mère qui ne m’appréciaient guère, ce qui était normal enfaite pour moi non ?
Bref, chose faite, mais ou aller maintenant ? Il fallait bien que je fasse quelque chose... Continuait ma quête ? Pourquoi pas, mais avant je voulais passer au camps D'entrainement cela faisait longtemps, que je n'avais plus posé pattes la-bas. Peut-être je verrais Papy ou bien le Professeur, mais celui-ci semblait avoir disparus, l'âge l'a peut être pris ?
Bondissante comme une balle, je sortis de la caserne, traversant le halls et tout et finis par voir le camps d'entrainement avec une présence au loin par terre. C'était vivant. Ça gigotait comme une proie. Ça semblait être un chat de jolie couleur.

Je m'approchais faisant des saut de biche bien haut avant de tomber pile poil à côté de la pr..WOSH, je voulais dire la jolie créature enchanteresse.
Je tournais la tête sur le côté la regardant, jolie créature que je voyais avec son pelage crème, ses jolies petite tâches. Elle respirait assez fort. Je la reconnaissais, comment aurais-je pu l'oublier ? Seule être dans ce monde qui au delà de l'âge d'un chaton me souriais faisant croire au contes de chaton. Bref ça faisait sentir quelque chose d'étrange. Elle avait disparut pendant un moment, je ne sais pas pourquoi, par contre la, elle semblait mal en point, elle respirait et gigotais bien trop.

-Je t'aime Cupcake ! Je t'aime je t'aime ! Ne me quitte pas ! Cria-t-elle endormis.

Me rendant complétement déboussolé par un tel dire que je n'avais pus dire je ne pus retenir de dire cela .

-Ho Shit...

Mais me revéillant rapidement grâce à mon adrénaline limite constante je me penchais vers elle et la secouais de mes deux pattes avant vivement, criant son nom.

-Réveille toi ! Tu rêves ! Reveille toi !! T'es au camps d'entrainement ! Ouvre tes mirettes ma jolie !

Wait, j'ai vraiment dis ses jolies yeux ?

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Anonymous
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   Mer 6 Déc - 15:15


La lumière me vint d'un coup dans mon visage, je sentais deux pattes me torturer les côtes, probablement dans l'espoir de me faire revenir à moi même, alors...Cela signifiait que ce n'était qu'un rêve? Un très mauvais rêve? Doucement mes paupières s'ouvrirent, une couleur flash les agressait avec violence, ce qui me fit refermer les yeux immédiatement, une voix résonnait dans mes oreilles, elle sonnait distordue, incompréhensible. Doucement je me frottais les yeux, les ouvrant alors sur le pelage d'une chatte deux fois comme moi, une belle femelle au pelage fushia, une belle femelle...Mon coeur se mit à chavirer alors que je me redressais d'un coup. Cupcake ! Ses yeux étaient paniqués, ses yeux si particulier, je ne pus m'empêcher de les fixer pendant une seconde sous le choc, qu'est ce qui venait de se passer? D'un coup sans réfléchir par la simple volonté de mes muscles, je me jetais contre elle, la tête contre son torse, j'étais petite par rapport à elle et ce malgré mes grandes pattes. Je blottissais ma tête dans son pelage rendu épais par l'hiver approchant, j'avais tellement eut peur de la perdre, tellement eut peur de la voir disparaître ! Je ne voulais pas être brisée à nouveau comme à la mort de ma mère d'une façon mystérieuse il y a 6 mois, je ne voulais pas perdre une personne que j'aimais à nouveau, et étrangement je ne voulais surtout pas la perdre elle. Je me mis doucement à pleurer contre elle, sanglotant comme un chaton à qui on aurait fait peur, je n'étais peut être pas aussi forte que j'aurai aimé l'être. Je cherchais à m'excuser mais les mots ne sortaient pas de ma bouche, refusant de s'en échapper pour laisser place à des hoquets disgracieux, j'étais bien trop sous le choc pour parler visiblement. Le temps autour de moi semblait avoir disparu, l'apparition de Cupcake semblait avoir réchauffer l'environnement, je ne pense pas pouvoir être aussi bien dans aucune autre situation, rien n'arrivait à la cheville du bonheur qui prenait possession de mon coeur à l'instant, rien, absolument rien sur cette planète. Je me laisser porter par les doux battements du coeur de mon amie, de ma meilleure amie, celle qui ne serait sans doute pour moi jamais rien de plus que ça, au grand désespoir de mon propre coeur. Reprenant doucement mon souffle tout en revenant à moi, je commençais à m'exprimer d'une voix sanglotante.

"-C...Cupcake...Excuse moi si...Je t'ai fait peur..." Je reprenais encore une fois mon souffle, j'avais énormément de mal à parler, je toussais doucement pour tenter de chasser la boule dans ma gorge. "-Je...dans mon rêve...Tu...Tu mourrais...Je...J'ai eu tellement peur pour toi !" Je la regardais de bas, mes yeux larmoyants dans les siens. Je chuchotais doucement quelque mot "-Je ne supporterai pas de devoir te perdre à nouveau..." Ma voix était claire, je tremblais comme un nouveau né un peu écarté du ventre de sa mère, je ne savais plus où me mettre, j'avais peur, peur de son rejet, peur qu'elle ne se moque de moi, peur qu'elle ne soit dégoûtée de moi. Je continuais de la regarder, la peur me tordait le ventre, a moins que ce ne soit la faim? Aucune idée. Doucement je reculais, frottant mes yeux avec mes pattes avants, me mettant sur mon arrière train, dans la position qu'elle appréciait faire pour embêter les autres, je l'avais déjà vu faire plusieurs mauvais tours aux soldats un peu trop rochons. Je clignais des yeux plusieurs fois après les avoir frotter, je voyais légèrement flou à cause du restant de larmes et surtout du fait de les avoir frotter, la pression faisait mal quand j'étais forcée de faire ça. Je la regardais, ce que je pouvais aimer son pelage, je le trouvais magnifique, bien qu'il nous agressait les yeux quand on ne s'y attendait pas, il était un mélange de toutes les bêtises humaines, mais...contrairement aux autres bêtises, j'adorais ça. Son énergie constante avait le don de me rendre joyeuse, de me faire rire, et surtout de me rendre entièrement heureuse d'être son amie. Je souriais doucement, un sourire franc, un sourire joyeux, je lui souriais comme on pouvait sourire à quelqu'un quand on lui était reconnaissant pour la vie. Des mots s'échappaient alors de ma bouche, sans que je ne puisse rien faire "-Merci d'être là, je suis désolée si j'ai dit quoi que ce soit d'étrange dans mon rêve, j'ignore ce que j'ai pu dire, ou même ce que toi tu as pu dire à mon réveil pour être sincère...J'espère simplement que ce n'était pas trop gênant hein?"

J'entendais un battement d'aile au dessus moi, regardant en levant la tête je voyais un petit oiseau, enfin un petit, il devait bien faire ma taille ! Je regardais ensuite Cupcake avec un regard joueur, son pouvoir pouvait être bien utile dans cette situation ! Mon estomac se tordit encore un peu sous la faim, je chuchotais qu'il devait attendre encore un peu. Je sautillais avec joie vers mon amie, collant doucement mon museau au sien avec un petit air joueur. Je rougissais un peu de ce que je venais de faire, c'était pas si habituel de faire ça pour moi, je cherchais simplement à lui faire comprendre doucement ce que je ressentais sans pour autant lui dire en mode gros bourrin du type "Hey je t'aime" je sais pas, ça avait un côté forceur que je n'aimais pas franchement, ce côté était réservé aux mâles, pas aux jeunes filles. Mon coeur battait la chamade, j'avais beaucoup trop chaud, j'essayais de le cacher du mieux possible derrière mon attitude joueuse. Je sautais doucement sur la plaque métallique, celle ci était plus glissante que prévue quand on sautait dessus sans prendre de précautions...Si bien que je tombais comme une petite crotte après avoir battu des pattes pendant quelques secondes pour tenter de rester accrocher. Je tombais sur le dos, la tête juste en dessous de celle de mon amie, je me mis alors à rire de façon incessante, quand j'avais faim et surtout quand j'étais préoccupée je n'arrivais définitivement à rien. Je donnais un coup de patte dans le museau de Cupcake, gardant toujours un petit sourire coquin. Je laissais le temps faire ce qu'il voulait, je n'y faisais plus attention, pour l'heure tout ce qui compte c'est que je pouvais enfin passer un peu de temps avec elle, et franchement après les derniers événements j'en avais gravement besoin ! Le petit "piou" de l'oiseau au dessus de nous me faisait encore davantage rire, je ne pouvais plus m'en empêcher, c'est comme si la surexcitation de mon amie m'avait contaminé par x ou y moyens. Et franchement ça ne me faisait clairement pas de mal de rire un peu à poumons ouverts !

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Anonymous
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   Mer 3 Jan - 0:12



Après l'avoir secoué assez énergétiquement, elle finit par ouvrir tout doucement ses yeux. Ses jolie petits yeux comme je les ai appelé auparavant. Elle me fixait, sans cligner des yeux, et ce qu'on y voyait n'était pas semblables a ce que je voyais d'habitude. Le regard des autres est souvent emplis d'animosité, ou bien de peur. Mais pas la. La c'etait completement autre chose. Je ne pouvais pas mettre la patte dessus car je ne connaissais pas. C'etait effrayant, et c'était étrange de ressentir ca, moi qui normalement n'a peur de rien ! Je me sentais bête d'être au-dessus d'elle à la regarder, sans bouger.
Elle fait alors un mouvement brusque, d'habitude je suis agile pour esquiver de mes bonds, mais elle est plus rapife que moi, et elle se jette contre mon poitrail. Sa tête est contre, je peux ressentir la chaleur de son corps. Je peux sentir son pelage contre le mien, c'est tellement étrange. Cette sensation, celle de sentir quelqu'un contre soit, mais parce que cette personne a besoin de vous. Pas parce que elle se jette sur vous pour vous tuer.
Non. La c'est un geste doux. Une premiere pour moi ? J'en sais rien, mais je reste immobile face à ca. J'ai l'impressions d'être figée dans le temps, suis-je devenue une statue ? Moi qui suis pourtant si bondissante ?
On m'a peut-être jeté un sort diabolique ? Pourtant je ne ressens aucune douleur.
Juste de la douceur. C'est si contradictoire dans mon esprit, pour la premiere fois j'ai l'impressions de pensé sainement.

Elle bouge à nouveau contre moi, et je sens quelque chose de humide contre mon pelage. Les bruits qui intervienne peu apres, me permette de vite comprendre la situation. Elle pleure.
Que dois-je faire ? Avec des chaton ils suffient des les chatouiller de faire andouille comme je suis apte à le faire si
souvent. Mais la c'est different j'imagine ?
Perdue, j'esquisse un geste, je lui tapote le dos. Peut-être que cela peut aider ? Encourager ?

-C...Cupcake...Excuse moi si...Je t'ai fait peur...

Je cligne des yeux et croise son regard. Pourquoi s'excuser ? On ne decide pas des rêves tout comme on decide de nos vies. Sinon j'imagine que je devrais constemment m'excuser auprès des Soldats envers qui j'ai bien barbouillé leurs pelage de barbapapa bien collante. Pour moi c'est drôle, ca me détend, et ca ferme le clapet à tout ces imbéciles.

-Je...dans mon rêve...Tu...Tu mourrais...Je...J'ai eu tellement peur pour toi ! Elle fit une pause, reprenant son souffle, se calmant enfin. Je reste silencieuse. Je me demande bien comment je suis morte dans ce rêve. Il en faut plus pour m'achever en tout cas.Je ne supporterai pas de devoir te perdre à nouveau...

Ses yeux croises à nouveau les miens. J'y voie un océan. Elle n'a pas peur de mes yeux étrange, elle n'en à jamais eu peur. Comme elle n'a jamais eu peur de moi, depuis la premiere fois que je l'ai vue. Elle m'a apprecié comme je suis. C'est la seule. L'unique. Il m'est difficile de clarifier mes idées dans mon monde ou tout va trop vite. Mais elle n'est pas mon ennemis. Elle est mon amie. Mais ce que ke ressent est confus. Ce que je ressent, est-ce de l'amitié ou plus ? C'est mal ? Je sais qu'elle compte pour moi. Parce que un moment je ne l'ai plus vue. Je ne l'ai plus croisé dans les patrouilles, ni dans la caserne, nulle part. Elle avait disparut et je le suis sentie si etrange que la seule chose que je voulais etait de tuer les idiots de ce monde.
Alors pourquoi voudrais-je disparaitre alors qu'elle est face à moi ?

Elle bouge, je sens sa chaleur se detacher de moi. J'eprouve une forte frustation à cette instant, pourquoi partir ? On etait si bien la maintenant ! Cette injuste ma fois !
Je la regarde, j'observe ce que elle fait. Je sens que la frustration à enfin à nouveau éveiller mon corps et tout ce qui suit avec. Ma queue fouette rageusement l'air, mes pattes me picote, mon corps entier me picote. Il me hurle de bondir sur place, de courir sur toute les surfaces possibles. Mais je veux voir ce que elle fait. Je veux savoir pourquoi elle c'est détachée Elle s'assit face à moi. Sa silhouette si gracieuse, son pelage si beau et ses yeux bleux qui ramene au temps d'une terre sereine. Elle me sourit. Ce sourire que désormais je connais, comme au premier jour ou elle fut la seule à me sourire sincèrement. Et c'était pas une moquerie. Sinon son pelage serait vite devenue rose.

- Merci d'être là, je suis désolée si j'ai dit quoi que ce soit d'étrange dans mon rêve, j'ignore ce que j'ai pu dire, ou même ce que toi tu as pu dire à mon réveil pour être sincère...J'espère simplement que ce n'était pas trop gênant hein?

He bien comment dire ca ? Tu as crie haut et fort que tu m'aimais, je ne risquerais pas de l'oublier celle la ! Et moi en te secouant j'ai carrement dit que tu avais de beau yeux. La vie est belle non ?
Je preferais taire ce qui c'était passer. Les rêves sont des illusions, voila pourquoi ca s apellent des rêvent. Initile de monter sur ses mirettes et son 31.
Je ne sais pas quoi faire, ni quoi lui répondre, mais les actions s'enchaînent vite vers la fin. Son regard change, un regard que j'aime chez elle et qui me fais de drôle de chose au ventre. Je la voie bondir comme moi j'ai l'habitude de le faire, elle va jusqu'a moi, son museau touche le mien, toujours avec ce regards que j'aime. Ce petit sourire en coin, qui fait tout. Les choses vont vite.
Elle essaye de grimper sur une des choses brillantes des humains et finis par tomber à mes pattes, sa tete en dessous de la mienne. Sa patte touche le bout de mon museau. La même chose le jour de notre rencontre. La premiere chose qu'elle a faite le jour de notre rencontre et qui m'a déstabilisé. Elle rit. Elle est heureuse. Et elle est avec moi. Cela est-il normal ? Dois-je m'en inquiete?

Je baisse alors ma tête, juste au dessus de la sienne, lui faire un sourire en coin en plissant les yeux.

- Tu n'as rien dit qui puisse me choquer en tout cas. Je me lève ensuite et passe près d'elle, ma queue effleurant son ventre avant de continuer à marcher en lancant. C'était plutôt plaisant..

Mais que faisais-je donc de parler comme ca ? Est'ce reelement interessant de faire ca ? Surtout que tout ca donne une fougue impressionnante à mon corps. Un bruit sonore d'oiseau retentit. Il est chiant. Cet idiot d'oiseau est la depuis avant a faire du boucan. Je parie qu'il se fout de notre gueule ce stupide piaf. Il va comprendre ca douleur.
Il se croit en securite la haut sur sa branche. Maos mes muscles sont fort. Dans quelque seconfe mon Coco, tu seras mort.
Je regarde le piaf et m'elance vers l'arbre des mes pattes puissante, une fois sur le tronc de l'arbre par la vitesse je me propulse vers la branche et donne un violent coup de patte à cet idiot d'oiseau qui voulait s'enfuir. Je retombe sur mes pattes puissante, l'oiseau dans ma gueule, sa petite nuque aneantie par mes crocs puissant. Je le jette par terre, ma queue fouette toujours rageusement l'air. Je lance alors à mon amie.

- Une petite faim ? Ca creuse les rêves !





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