| Je m'étais réveillé de bonne heure ce matin et c'est non sans mal que je décida d'aller faire une petite ballade. Dans les égoûts. Oui. Ouiiii, dans les égoûts, mais que voulez-vous je suis un soldat et je ne connais pas le "bon air" et la "beauté" qui "hantent" les felinaes et caméléons. Pour moi je suis très bien ici d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi ils prétendent qu'ils ont de meilleurs endroits.
Ce serait abusé de se rendre sur leurs terres. De toute façon c'était pollué par ces infectes petits parasites là-bas, et avec une douce odeur assez... Détestable, de chat jouant pour la paix et la justice, gna gna gna... Bref la totale. Les deux choses, deux mais bien assez qui nous enquiquinent. Les deux choses qui devraient disparaître de ce monde, rayées de la carte. Les deux choses qui si elles n'étaient pas là nous offriraient la belle vie dans le Q.G à tous.
Je n'en ai rien à faire d'eux. De toute façon je les extermine en un quart de mili-mili-mili-mili-miliiiii-secondes. Tout simplement. Et sans aucune difficulté superficielle, tout est si factice. Et puis qui oserait arrêter des bêtes aussi viles et dépravées que nous ? Ma vanité était telle que je ne sentis même pas l'ouragan qui se faufila avec brio entre les poils tachetés de mon pelage. Mais cette galerne était très confortable..
Oh, et ces "caméléons" ! Ils ne font rien d'autre que se cacher. Ils sont distants car ils ont peurs. La plupart d'entre eux ne savent même pas se battre ! A quoi servent-ils dans ce monde à part pour déménager constamment de lieu de résidence ? Mh ? Je me le demande. Oui car la dernière fois que je m'étais faufilé au dernier endroit destiné à accueillir les caméléons, partis. Au début j'étais si satisfait, je pensais qu'ils étaient tous morts. Mais non, ils sont toujours là et empirent sur ce monde. Pourquoi ?
Avec tous ces délires je ne m'étais même pas aperçu que le léger vent qui m'avait soufflé de face m'avait rapporté une odeur de caméléon. Quand on parle du loup.. Mais que fait-il ici ? Je croyais qu'ils restaient tous planqués dans leur cachette secrète ! On dit au Q.G qu'ils sont partis loin des soldats. Les humains avaient dû les voir. Mais qu'ont-ils de mal les humains ? C'est eux qui nous ont donné ces super-pouvoirs incroyable. On devrait les remercier au lieu de les fuir ou de les combattre.
Ces idées me firent gronder, oubliant un instant qu'il me fallait rester "cacher" (ouep, parce qu'y'a pas beaucoup de cachettes dans les égoûts, vous me suivez) pour ne pas que l'individu qui s'était lui-même invité chez moi puisse me repérer. Ce grondement résonna en écho dans les égoûts et se faufila dans tous les couloirs de celui-ci. De quoi avertir le parasite de partir. Mais aujourd'hui, de bon matin, j'avais une certaine envie de me battre. Alors bon... J'veux dire, j'avais pas envie de l'avertir.
Avec ma vitesse je passa à côté de lui - il était en train de marcher sur l'autre trottoir - et par ma rapidité légendaire put l'observer tranquillement. Aucune chance qu'il ne me repère malgré le vent qui soufflait derrière moi : j'étais impregné de l'odeur des égouts. A moins peut-être qu'il ait une super-odorat. Là, j'étais mal, je vous l'accorde. Je préférais continuais à l'épier un petit peu.
Un peu plus tard, je décidais de me montrer. Sa progression aura été dure et très très lente, dis donc. A moins que ce ne soit mon pouvoir - ma rapidité augmentée, de... beaucoup -, que je vais tellement vite et trop souvent que je trouve que les autres avancent à la vitesse d'un escargot. Peut-être. Qui sait. Dans tous les cas, j'en avais ras le bol d'avancer encore moins vite qu'elle. C'était... désagréable, et presque impossible ! Comment modérer une sensation aussi géniale ?
Dans un éclair noir, je me montra. Mais, à ma grande surprise, c'était une femelle. Moi qui croyait avoir affaire à un gros dur ! Dommage. Mais j'allais très vite retirer mes paroles. Car une fois l'avoir étudiée de haut en bas, mon coeur battait la chamade et j'avais envie de rester cloué ici à la regarder pendant des heures et des heures. J'agitais ma queue et la regardais de mon regard éclatant. Elle m'attirait. Dites moi que ce n'était pas son pouvoir, je vous en prie ! Mais quelle était cette sensation ? Voulais-je seulement la tuer ?... Etait-ce quelque chose de "sensationnel" ? Je veux des réponses !
— « Une chatte aussi char... ahem, un parasite dans ton genre n'a rien à faire ici. Qui es-tu, à part un caméléon ? Réponses, ou bien... »
Pour illustrer mes paroles, je sortis mes griffes aiguisées. J'étais posément assis. Mais, en sortant mes armes redoutables, je me rendis compte que je n'avais pas envie de la tuer. Pas du tout même. Non, l'envie de sang m'était sèchement passée. Sans le vouloir je rétractais mes griffes. Mes joues avaient rougi. Ce matin, j'avais envie de me battre. Et je le voulais toujours. Mais cette femelle, non. Qu'est-ce qui m'arrivait ?
Dernière édition par Ao le Sam 9 Juil - 20:20, édité 1 fois
Ce matin, encore, je n’arrive pas a dormir. Pourquoi ? Je ne saurais le dire mais j’ai le pressentiment qu’il ne faut pas que je reste ici aujourd’hui. Je me lève alors de mon id et sort du camp. Il fait encore nuit et je ne suis éclairé que par les étoiles. J’aime beaucoup cette ambiance. Tout en regardant le ciel étoilé, je marche, sans savoir où je mets les pattes. Le ciel est si beau que je ne peux détacher les yeux de celui-ci. J’ai l’impression de marcher en plain rêve. Je ne sens plus le sol sous mes pattes, comme si je flotter. Etrange ? Oui, je sais. Mais je suis étrange. Il n’y a aucun bruit, les voix qui trouble habituellement mes pensées son muette. Peu être sont-elles, elles aussi, ébloui par le spectacle au-dessus de ma tête. J’ai la sensation que quelque chose va arriver aujourd’hui, pas quelque chose de mal… c’est bien sa qui m’inquiéter a vrai dire, la dernière fois que j’ai eu un bon pressentiment, j’étais dans mon laboratoire et on nous avait servi de la pâté avarier. Burk, que de mauvais souvenir. A mais je me disperse, retournons au étoiles, elles sont si belles. Avant que je n’ai pue m’en rendre compte, je me retrouve dans une sorte de tunnel… mais qui sens pas la rose si vous voyer se que je veux dire…si je me souviens bien, je me trouve sur le territoire des soldats. Mon instinct m’a fait venir ici pour qui les soldats me tuent ? Ou peu être pourrais-je en apprendre plus sur eux. Je marche en essayent de ne pas faire trop attention a l’odeur qui, je dois le dire, est vraiment… délicieuse…. Sarcasme hein ? Malgré l’odeur et certaine tension qui règne ici, je suis assez heureuse. Je vais certainement pouvoir voir des soldats. Bon je cours sûrement aussi a ma perte mais boooooon se n’est qu’un détaille. Vous penser que je suis folle ? WAW BRAVO vous venez de gagner notre super gros lot : un séjour entre mes griffes et mes crocs. Bien sur que je suis folle, si non pourquoi mes pattes m’aurez emmener ici d’elles même ? D’ailleurs c’est logique que je soit taré, des voix habite dans ma tête et k’ai étais élever dans un laboratoire où tous les chats veulent la mort des autres. On comprend mieux comment sa ce fait que je vaux du sang sur mes pattes hein ? Une odeur me sort de mes pensées. Se n’est pas celle des égouts…du moins je ne crois pas. Je n’ai senti cette odeur que quelques secondes mais je sais que ce n’est pas celle de mon environnement actuel. Si sa se trouve, quelqu’un m’observe. Je fais mine de rien et continue mon chemin. Je cour vraiment a ma mort moi. Je ne sais combien de minute ce son écouler depuis que j’ai senti cette odeur. Mais en un éclair, un chat apparais devant moi. Il est un peu plus grand que moi, a un pelage gris très foncée parsemé de tache de léopard grise. Il a des yeux vairons bleu et gris ainsi qu’une queux de baleine. A sa vu, mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Pourquoi il fait sa ? Il n’avait jamais fait sa pour les autres soldats que j’avais vu. Je reste bouche bée devant se chat. Je n’arrive pas a parler. « Une chatte aussi char... ahem, un parasite dans ton genre n'a rien à faire ici. Qui es-tu, à part un caméléon ? Réponses, ou bien... » a ces mots, la chat en face de moi sort les griffes. Je le savais, je court a ma perte ici. Mais, pour une raison que j’ignore, il range ses griffes après un petit moment. Je le regarde encore un peu, je ne veux pas détacher mon regard de lui. Je pense que je pourrais rester ici a le regarder toute la journée. Mais c’est un soldat, je détourne le regard pour lui répondre. « Je m’excuse. Je m’appel Kitsune. Comme tu l’a dit je suis un caméléons ! » Je ne peux pas m’empêcher de le regarder de nouveau. Je m’assoie devant lui. Est-ce parce que c’est un soldat de mon age que mon cœur bat aussi vite ? Je sen que ma figure deviens rouge. « Si tu veux me faire du mal ou même me tuer, tu peux… je n’est rien a faire ici tu a raison. » La chatte qui s'était installée, assise devant moi, avait elle aussi rougit. Elle m'avait regardé un moment et ne pouvait plus retirer ses yeux de mon corps. Moi aussi, d'ailleurs. Même, je lui accordais un regard même gênant. Elle devait se sentir visée. A moins que.. Peut-être que vu qu'elle me regardait pareillement, elle ne se sentait pas gênée. Dans tous les cas, elle prit la parole de sa voix d'une douceur incomparable qui dépassait mes espérances et me dit :
— « Je mexcuse. »
Quoi ? Elle "s'excuse" ? De quoi ?... Ah mais oui. Elle est sur mes terres.
Elle avait détourné le regard pour me donner sa réponse. Mais elle continua tout de même, elle devait savoir certainement ce qui l'attendait si elle restait là. Mais, je n'avais pas envie ! Je ne pouvais tout simplement pas la tuer, ou peut-être même pas la frôler de mes griffes aiguisées et vierge de toutes traces de sang.
— « Je m'appelle Kistune. Comme tu l'as dit je suis une caméléon ! »
Devant elle je me disais que les caméléons n'étaient peut-être pas si vils que ça. Me rendant compte de ce que je me disais intérieurement, je secouais soudainement ma tête et me disait que c'était certainement la plus belle et la plus sensée de tous les caméléons et qu'il n'y en avait aucun autre comme ça. C'est à dire que c'était la seule qui était à mon goût. Mais celle caméléonne n'était pas comme les autres ! Elle m'attirait tellement. J'avais déjà entendu de ce sentiment incroyable qui donnait des frissons et qui donnait son coeur aux autres. On appelait ça, "l'amour".
— « Si tu veux me faire ou même me tuer, tu peux... je n'ai rien à faire ici tu as raison. »
La.. Tuer ?
Je n'y pensais plus. J'allais tout simplement lui répondre quelque chose d'insensé ou même de très fou. Quelque chose qu'aucun soldat ne dirait jamais à une caméléonne. Quelque chose qui est contre les règles que l'on apprend aux Q.G. Quelque chose contre-nature, même. Cette chose, c'était tout simplement la chose que je n'aurais jamais pensé dire un jour ou même le penser.
Je redressais la tête et déclarais :
— « Je ne veux pas te tuer. »
Je marquais une pause qui pourra me préparer à ce qui allait se passer.
— « Je ne peux pas te tuer. C'est insensé de ma part. De la part d'un soldat... Et pourtant, tu dois me croire. Je ne veux pas te faire mal. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que je ne pourrais même pas te frôler avec mes griffes. J'ai l'impression que jamais je ne pourrais te faire mal. Sais-tu ce que c'est ? Des soldats au Q.G m'ont déjà parlé de l'amour. Mais c'est bizarre que je tombe « amoureux » d'une caméléonne. Tu ne trouves pas ? Je crois que tu n'es pas comme ces autres parasites. Tu me plais. Et peut-être trop... »
Elle pouvait dire si elle voulait que j'étais fou. Mais je suis sûr et certain que rien ne pourra briser la relation que je commence à entreprendre avec elle. Le premier regard, et ce fut le coup de foudre. Elle a quelque chose en plus, un physique parfait, une voix parfaite, un caractère parfait... Tout de parfait. Mais je ne sais pas trop. Mon coeur de soldat me souffle parfois de revenir en arrière. Mais mon vrai coeur me dit de rester.
Alors, je reste. Je me prépare à subir son châtiment pour ma présence ici. Mais, étrangement, rien ne se passe. Les griffes du soldat ne me frôlent même pas. Mon cœur ne pouvait arrêter de battre. De la peur ? Non c’est autre chose. Se n’est même pas l’admiration que j’ai habituellement pour les soldats. C’est quelque chose de différent. « Je ne veux pas te tuer. » Quoi ? Il marqua une pose qui me semblai durer une éternité. Mon cœur bat de plus en plus vite. Se sentiment est unique, je ne pourrais le décrire. « Je ne peux pas te tuer. Comment ? « C'est insensé de ma part. De la part d'un soldat... Et pourtant, tu dois me croire. Je ne veux pas te faire mal. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que je ne pourrais même pas te frôler avec mes griffes. J'ai l'impression que jamais je ne pourrais te faire mal. Mon heure n’est pas venue alors. Même si tout les caméléons de la terre, a ma place, se serai enfuis. Je ne peux pas m’empêché de croire le soldat qui est en face de moi. « Sais-tu ce que c'est ? Des soldats au Q.G m'ont déjà parlé de l'amour. Mais c'est bizarre que je tombe « amoureux » d'une caméléonne. Tu ne trouves pas ? Je crois que tu n'es pas comme ces autres parasites. Tu me plais. Et peut-être trop... » L’amour ? Je ne connais pas ce sentiment. Alors c’est sa qui fait que mon cœur bat étrangement vite ? Que ma figure est rouge ? Que je fais confiance a un soldat ? Que je n’ai pas envie de partir ? Et que je n’ai pas peur ? Étrangement un sentiment de joie extrême me rempli le cœur. « Si c’est l’amour qui fait que je sens que je peux te faire confiance, alors … nous devons sûrement ressentir la même chose… » Je détourne le regard. Non. Qui pourraient m’aimer ? Il doit me faire une blague. Personne ne peut aimer une chatonne folle allier qui veux tuer tout se qui croise sa route. Je n’ai jamais connu mes parents, sûrement car ils mon abandonner car je devais être trop violente ou trop folle. Même si je me disais cela, sa révélation me fessait tellement plaisir. Je venez de connaître cette émotion et déjà, je savais que je ne pouvais pas m’en passer. Étrangement, je voulais me coller a lui et pousser un énorme ronronnement. Je sens des larmes couler sur mes joues pourquoi ? Je ne saurais le dire. Je le regarde les yeux remplie de larmes. « Je n’avais jamais ressenti sa…. C’est étrange… » Avant que je ne m’en rende compte, je marcher pour me coller au soldat. Mon instinct je suppose.
Sa fourrure est chaude et je ne peux pas m’en détacher. se sentiment est tellement incroyable que je ne pourrais l’abandonner. Je voudrais rester comme sa toute ma vie, avec lui. [Finis ou tu veux que je réponde ? :3] [Finis alors. On pourra en refaire pleins d'autres ! °0°] [ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!°0°] J'archive ! Pour vos futurs RPs, merci de préciser dans le titre quand ils sont terminés. :3 |