• Pouvoir : un seul. Eutropia possède un pouvoir assez spécial, bien qu’il ne soit pas un des plus puissants. Son corps est toujours chaud, elle arrive donc à résister à des très températures basses, il suffit qu’elle colle son corps à celui d’un autre félin pour que celui ressente cette chaleur. Dans ses canines se trouve un venin, ce venin a pour particularité de changer la température normale d’un ennemi/proies en une température très élevé, si elle mord l’ennemi au niveau de la nuque l’ennemi succombera à la chaleur ou bien celui-ci s’évanouira forcement. Cependant il y a deux contraintes, à force d’utiliser son pouvoir, Eutropia s’affaiblira énormément et comme c’est ce venin qu’il lui procure toute cette chaleur, elle ne peut pas utiliser ses pouvoirs en cas d’extrême froid.
• Attribut(s) physique(s) : un ou deux attribut(s) physique(s) non naturel(s) chez les chats. Eutropia possèdent des canines plus longues que les autres félins, elles dépassent donc légèrement de sa bouche. Sa fine queue se prolonge normalement sur quelques centimètres jusque celle-ci se divise (Pour vous donner une idée c’est un peu comme la queue d’un Mentali). Ses yeux jaunes luisent anormalement dans la pénombre.
• Physique : Eutropia est une chatte écaille de tortue aux yeux jaunes/ambrés. Comme dis aux dessus, ses canines dépassent légèrement de sa bouche et sa queue se prolonge sur quelques centimètres avant de se diviser en deux. Elle est plutôt maigre, ce qui donne l’impression qu’elle se nourrit très peu. Elle a aussi de grandes pattes. Grâce à son poids et à ses pattes, elle court très vite. Elle sourit que très rarement, et c’est rare fois son souvent quand elle est en présence de chaton. Elle n’affiche pas un air neutre mais plutôt un air mélancolique et… Peureux.
• Image :
- Spoiler:
• Caractère (5 lignes minimum) : Eutropia est d’apparence très froide et égoïste. Pourtant elle n’est pas froide, mais réservée et discrète. Elle n’est pas non plus égoïste, loin de là. Elle déteste voir les félins en insulté d’autres, elle serait capable de les défendre même si elle ne les connaissait pas. Malheureusement, de par sa ‘timidité’, elle n’ose pas s’approchait des autres, elle préfère que ce soit les autres qui viennent à elle. Elle reste dans son coin, à l’abri des regards, à oui, elle a aussi très peur du regard des autres. Elle est parfois rêveuse et mélancolique. Eutropia a un instinct très maternel malgré qu’elle n’ait jamais eu de portée. Elle a tendance à prendre sous son aile les chats plus jeune qu’elle. Elle se sur-estime énormément.
• Histoire (10 lignes minimum) : -« J’ai chaud, tellement chaud… »
Une sensation de chaleur intense envahit Eutropia, elle ne saurait dire si c’était une chaleur agréable ou au contraire, si c’était une chaleur étouffante.
Elle ne se souvenait pas de ce qu’il c’était passé avant, du moins elle était incapable de se souvenir de quoi que ce soit.
Eutropia n’avait qu’une seule envie ; s’étirer. Elle bougea légèrement sa pâte et à ce moment-là, une horrible douleur parcouru son corps tout entier. Elle poussa un gémissement, elle avait si mal. Elle peinait à se lever, mais une fois debout la douleur devint moins forte. La jeune chatte tanguait de droite à gauche avant de se stabiliser complètement. Elle observait les alentours. Enfermés dans des cages se trouvaient des chattes avec petits ou d’autres qui attendaient sans doute une portée. Elle regardait son corps, elle était si maigre, impossible qu’elle attende une portée. Certaine chatte la regardaient comme soulagés, d’autres la regardaient comme si elle était un monstre. Tournant en rond dans sa cage, elle remarqua enfin une gamelle avec un peu d’eau. Elle se pencha dessus et vit son reflet.
Elle était pétrifiée devant son propre reflet… Elle était sûre qu’auparavant elle n’était pas comme ça.
Ses crocs et ses yeux jaunes étaient terrifiant, et elle voulut regardait le reste de son corps, elle avait bien fait. Sa queue, elle ne saurait la décrire tellement celle-ci est étrange.
Soudainement, elle se souvint. Ces humains qui l’avait prise de force, et l’emmenait ici. Au début, tout allait bien pour elle jusqu’au jour où vint cette fameuse piqûre. Quand ils la plantèrent dans son corps, elle eut mal, tellement mal. Mais elle ne se souvenait pas de sa vie d’avant, ni de ce qui c’était passé après s’être faite piqué jusqu’à ce qu’elle se réveille.
Un frisson de haine parcourut son échine.
Elle se posait une question ; Pourquoi était-elle là, seul chat génétiquement modifié, autour de toutes ces chattes enceintes… ?
Un jour où elle était allongée dans sa cage, attendant que le temps passe, des humains ouvrirent sa cage et y déposèrent un chaton, rien qu’à l’odeur, elle sentait qu’il était sevré. Les humaines, eux, restaient devant la cage observant les deux chats. Au début elle se méfiée des Humains, mais elle porta vite son attention sur le chaton déboussolé, il devait surement avoir perdu sa mère depuis peu. Le chaton tremblait, il avait froid. Elle lécha le pauvre petit et enroula sa queue autour de lui pour le réchauffait. Il cessa de grelottait, mais il était toujours très inquiet en regardant la chatte. Eutropia sourit pour lui dire que tout allez bien, et qu’elle le protégera. Les Humains, satisfait, partirent.
Les jours passèrent, Eutropia et le chaton c’était lié. Le chaton la considérait comme sa mère et elle comme son fils.
Mais ces moments de bonheurs, ne durèrent pas longtemps. Le chaton avait grandi, c’était maintenant un chat adulte et les Humains le prirent. Non, Eutropia ne voulait pas le perdre. Elle mordit le bras de l’humain. Il lâcha le chat pendant qu’il hurlait de douleur. Le chat se cacha derrière la chatte, pétrifié de terreur. L’humain qui venait d’être mordu tomba à la reverse, son visage était rouge, presque écarlate. Mais d’autres hommes attrapèrent le chat par la peau du cou, et l’emmenèrent. Elle aurait voulu faire quelque chose pour lui, mais elle n’a rien pu faire… Bientôt il deviendra un monstre, un horrible monstre…
Eutropia se sentait coupable, et tellement incapable. Elle avait toujours cette impression que les autres chattes la regardaient comme un monstre. Elle restait, là, enfermée. Jusqu’à ce qu’elle vit une brèche dans sa cage qui pouvait lui permettre de sortir. Elle eut un long moment d’hésitation mais sortit finalement par le petit passage. Une fois dehors, elle respira l’air nauséabond. Elle jeta un dernier coup d’œil derrière avant de courir à toute allure.
Elle airé seule pendant quelques temps, jusqu’à ce qu’elle entende parler des ‘Felinae’ et de ce qu’ils faisaient. Elle voulut alors les rejoindre. Chose faite.
Maintenant ce qu’elle veut, c’est protéger les félins de ces terribles humains…