Je grognais. Au milieu de tous ces chats. Ils étaient heureux. Ils étaient joyeux.
Parce que ça existait encore, la joie ?
Mon aura se mit à flamboyer de plus belle autours de moi. La joie. Est-ce que je l'avais déjà ressentit ? Cela me paraissait trop loin, beaucoup trop loin.
Ma sœur et ma mère avaient été tuées. Sous mes yeux. par mon propre père que j'ai moi même tuer ensuite.
Bien sûr après ça j'allais entrer dans la guilde, coller un sourire débordant d'une hypocrisie répugnante et me mettre à ronronner "Tout va bien, tout va bien" ?!
Révoltant. Cette joie sur ces visages autours de moi. Ces sourires doux me répugnants.
Comment la joie pouvait-elle encore exister ? Layna était morte. MORTE.
Je ne la reverrais jamais, plus jamais. Plus jamais son sourire qui me remontait le moral. Plus jamais sa douce queue blanche posée sur mon épaule qui me faisait simplement déborder de bonheur.
Tout en elle se résumait à présent à "plus jamais". Et pourtant ils étaient tous là. Leurs rires me parvenant malgré la brume qui semblait envelopper mon cerveau depuis que j'étais arrivée. Comment pouvait-ils rire ? C'était impossible. IMPOSSIBLE.
Tout mon être se révoltait. Je devais partir d'ici. Fuir cette ambiance qui me répugnait au plus profond de moi être.
Je sentit mes pattes bouger toutes seules, m'emportant loin d'ici. Je dû mettre longtemps, pourtant il me sembla que ce ne fut que quelques secondes après que j'arrivais à l'orée d'une forêt. Ben tiens, voilà un endroit où je ne risquais pas d'être déranger dans mes pensées. C'était bien ou mal ? Je ne le sais même pas. je me sentais sombre. Colérique. prise de pulsions meurtrières. Mais qu'est-ce qui m'arrivait ?
j'entendis un bruissement derrière moi. Les griffes sorties, mon aura s'animant d'un seul coup, des flammes dansant dans mes yeux, les crocs dévoilés, je fis volte face, tombant nez à nez avec une jeune chatte noire. Son odeur était celle de la guilde Felinae. Ma guilde.
Bon...

"Qu'est-ce que tu veux ?!" Tranchais-je d'un ton bien plus sec et agressif que je ne l'aurais voulu.

Oups... mais qu'est-ce qui m'arrivait ? Je ne voulais pas l'énerver ou l'effrayer j'avais juste été troublée... Mais qu'est-ce que je faisait ? Qu'est-ce que j'étais ?!
J'étais devenue un monstre...

Désolé si je n'est pas répondu je n'avais pas internet.

Il fesait beau aujourd'hui, le ciel était haut quand je m'étais réveiller. J'allais voir du côté de l'orée, j'aurais bien dormis un peu plus mais je me suis commaime lever. Je traînait mes pattes pour aller vers l'orée aujourd'hui les gens étaient joyeux. J'aimais le joie, c'est de vivre avec je trouvait. Bon je devait y aller, dommage que personnes ne puisse m'accompagner, c'est un des endroits que j'aime le moins avec l'arbre aux pendu dans la forêt. Le lieu où je me rendait, me terrifiais les humains passaient avec des monstres qui allaient vite et qui étaient lourds qui pouvait me retirer la vie si je traversait se chemin, se qui me fesait encore plus peure c'était qu'il l'attrape est me tue je n'aurais jamais dû rester en vie.
Je m'approchais de l'orée quand je ressentie une présence, je vis dans ma tête une petite chatte noire aux yeux rouges. J'avais surement du déjà la voire elle était surement une Felinae, je continua d'avancer puis je vit l'orée avec cette chatte. Elle savait que j'arrivais,elle me dit:
"Qu'est-ce que tu veux ?!" dit elle sur un ton tranchant et agressif.
Je l'avais surement dérangée, peut être mais je resterais. Elle avait l'air troublée. Je lui dit :
"Rien, c'est bon je viens juste patrouiller je ne te veux pas de mal sinon je peux aller plus loin."
Je sentie son odeur, oui c'était bien une Felinae.

"Rien, c'est bon je viens juste patrouiller je ne te veux pas de mal sinon je peux aller plus loin."

Et elle proposais même d'aller plus loin pour ne pas me déranger. Alors que je venais carrément de lui cracher dessus. Mes oreilles se plaquèrent sur mon crâne tandis que le bout de ma queue noire s'agitait avec nervosité. J'avais vraiment un sérieux problème.
Mes yeux couleur de braise rivés sur elle ne devait pas non plus être très accueillants. Je les détournais, fixant le bout de mes pattes noires, et mes griffes blanches.

"Non, tu n'es pas obligée de partir. Je ne suis pas très accueillante ces temps-ci... Excuse moi."

Si ma voix c'était adoucie, elle était toujours froide pour autant. On me changera pas.
En tout cas je sentais que mon aura s'était calmée. Les flammes rougeoyaient autours de moi de manière plus paisible. Je ne sentais plus non plus la chaleur significative dans mes yeux. Bon, je devais être un peu plus accueillante non ?
Et pourquoi je m'en soucierait d'ailleurs ? Je n'en avais rien à faire si j'étais accueillante ou pas bon sang ! Mon aura se remit à flamboyer sauvagement avait de se calmer. Je n'allais pas me faire des ennemis, j'en avais déjà. Il fallait s'entraider, faire équipe, se faire des amis, pas plus d'ennemis, et surtout, il fallait peut-être éviter de s’entre-tuer !
Quoi que...

J'avais proposer de partir pour ne pas créer de problèmes, mieux vos les éviter. Je remarquais que sa queue bougeais beaucoup, peut-être est elle nerveuse. J'allais commencer à faire demi-tour quand elle me dit.
"Non, tu n'est pas obliger de partir. Je ne suis pas très accueillante c'est temps-ci... Excuse-moi."
Elle s'excuser cela vouliez dire au moins que je ne l'embêtais pas trop, enfin je pense. Sa voix encore un peu agressive était devenu plus calme. Peut-être avais t-elle souffert comme la plus pars d'entre nous. Je lui répondit:
" Ce n'est pas grave, je peux comprendre. Au faite je m'appelle Ombre et tu as du deviner que je suis comme toi une Felinae".
Ces paroles étaient sortis toute seules de ma bouche. Je ne sais pas pour quoi cette jeune chatte m'intriguer et bien qu'elle fut peut agréable avec moi au début. Je m'attachais un peu à elle, pourquoi je ne sais pas. Je lui fit un grand sourire. Ses yeux étaient rouges, je n'avais pas remarquer, souvent nos anomalies physique se voient plus. Mes yeux aussi sont bizarres mais on me voie a trois kilomètres à la ronde ave mes ailes. j'étais venue patrouiller mais sa aller finir différemment, mais pas d'une mauvaise façon. Cela allais finir d'une bonne façon. Je fis un grand sourire de plus.

" Ce n'est pas grave, je peux comprendre. Au faite je m'appelle Ombre et tu as du deviner que je suis comme toi une Felinae".

J'hochais la tête. je ne m'étais donc pas trompée.

"Moi c'est Huyana." Déclarais-je en plantant mon regard rouge-orangé couleur de braise dans le sien.

Une flamme rebelle se glissa hors de mon aura pour venir courir sur mon flanc et finir par s'enrouler autours de ma patte avant droite. Je l'agitais, distraite, jusqu'à ce que la flamme retourne à sa place.
Rentrant la tête dans mes épaules, je tentais de dire quelque chose. Mais rien ne voulait entrer dans ma tête. Je la vis me sourire avec douceur. Comme si elle comprenait. Je plantais les griffes dans la terre.
Personne ne m'a jamais compris, elle ne peut PAS me comprendre PERSONNE ne VEUT me comprendre !
Et pourtant elle était là, à sourire, comme si elle comprenait ma souffrance. Je me calmais un peu. Tout le monde souffrait non ?

"Comment es-tu arrivée dans la Felinae ?" Miaulais-je en la sondant de nouveau de mon regard brûlant.

Peut-être que si j'en apprenais plus sur elle je pourrais comprendre ce qu'elle a enduré... Et arrêter de me comporter comme si j'avais des plumes d'étourneau dans le crâne.

"Moi c'est Huyana."me dit elle.
Elle étais devenu beaucoup plus agréable, heureusement j'aie beau être gentille j'aie des limites.
"Comment es-tu arrivée dans la Felinae ?" reprend elle.
O non c'étais un point que je n'aimais pas aborder, cela pourrais m'aider de le dire... Mais une rage incroyable sort de moi quand j'en parle. Je lui en veut encore encore a cet imbécile. Bon je vais lui en parler. Une grimace se forma sur mon visage. Je lui dit :
"Je vais faire une exception, tu me prômais de rien dire."
Je marquise une pause, son visage reflétait de la colère non se devais être de la colère.
"Enfin je pense, toi tu as du plus souffrir que moi enfin je n'est pas souffert".
C'étais vraie contrairement à beaucoup de gens, je n'avais pas souffert. Je reprit :
"J'aurais du être tuer par les humains, mais un soldat ma sauver. C'est pour ça que je ne les déteste pas".
Un petit sourire regain sur mon visage, j'avais oublier mon passé. Non je n'avais pas oublier mon frère et ma sœur. Rubis et Saphir... Soit je lui demandais la même chose, soit je me laissais. Non autant lui demander. Je lui demanda :
"Et toi, si sa ne te dérange pas".

[ Désolée du temps de réponse >.< ]

Elle grimaça. Je la vit, cette grimace habituelle, de ceux qui n'aiment pas leur passé. De ceux qui ne veulent pas se rappeler. De ceux qui auraient préféré ne pas avoir de passé du tout.

"Je vais faire une exception, tu me promet de rien dire."

J'haussais les épaules. Pourquoi le dirais-je ? je parlais peu. Tout juste une ou deux phrases par jour. A quoi ça sert de parler ? Certains disent, que ça sert à extérioriser sa colère, sa haine, sa tristesse. Ouais, c'est ça. La seule fois où ça m'étais arriver, je m'étais énervée contre un arbre. Je pense qu'il en garde encore des traces de griffes. Et de crocs.
Et moi un goût de mousse écœurant...

"Enfin je pense, toi tu as du plus souffrir que moi enfin je n'est pas souffert".

Je revenais à la réalité. Son passé. Elle devait me raconter son passé.

"J'aurais du être tuer par les humains, mais un soldat ma sauver. C'est pour ça que je ne les déteste pas".

Court. Sûrement résumé. Mais à quoi bon raconter les détails ? Le global suffisait bien.
Je vis un sourire regagner son visage, avant grave. Sourire... beaucoup trop dur. Est-ce que les muscles qui me permettaient avant d'étirer mes babines ainsi c'étaient atrophiés, si peu utilisés qu'ils ont totalement disparu ? Est-ce pour ça que je ne peux, et ne pourrais peut-être plus jamais sourire ?

"Et toi, si sa ne te dérange pas".


Je grimaçais. Je ne peux pas dire que j'hésitais, non. Elle m'avait raconter son passé, je me devais de faire de même. Seulement une résistance s'empara de moi quand j'ouvrit la gueule, faisant mourir ma voix dans ma gorge. Je n'étais jamais revenue oralement sur mon passé. Qu'est-ce que ça me ferait ?
Peut-être rien... peut-être étais-je devenue insensible, depuis ce jour.
Insensible au point de ne plus ressentir qu'une pression, qu'une obscuration sur mon cœur. Insensible au point qu'une chose qui ferait crouler de rire toute une tribu ne m'arracherait pas un seul sourire.
Je me forçais à articuler, mes yeux de braise flamboyants prenant une couleur plus sombre, comme une flamme dans la nuit, au milieu de mon pelage noir.

"Je suis née chez les humains. On a vécu dans une cage ma mère, ma sœur et moi jusqu'à ce qu'on soit assez puissantes pour supporter l'expérience. Mon père était soldat. Il a tué ma mère le jour de l'expérience quand elle essayait de nous protéger. Après, je vivais seule avec ma sœur. Elle avait des ailes blanches. Et de magnifiques yeux myosotis. Un jour ils ont fait entrer mon père dans la cage. Il a tué ma sœur. Puis je l'ai tué." Un rictus de satisfaction se glissa au coin de mes babines quand je me rappelais son expression au moment de sa mort. Le râle d'agonie, gargouillant, qu'il avait émit en s'étouffant dans son propre sang, quand je l'avais égorgé. Je me souvenais comme si c'était hier de la sensation de sa veine jugulaire, si fragile, se fendre sous mes griffes, et le sang éclaboussant le sol. Je reprit d'une voix morne, comme si tout était normal : "Peu de mois après, des combattants de la guilde Felinae sont venus sauver des chats. J'ai réussit à m'échapper. Maintenant je vis ici. Ma seule satisfaction, quand le désespoir vient, c'est de me rappeler ce que j'ai fais à mon père."

Je plantais mon regarde flamboyant dans le sien. Des flammes dansaient à l'intérieur. Je le savais.

"J'étais une meurtrière. Je le suis peut-être encore aujourd'hui, mais cette guilde est ma guilde. Vous pouvez me faire confiance."

"Je suis née chez les humains. On a vécu dans une cage ma mère, ma sœur et moi jusqu'à ce qu'on soit assez puissantes pour supporter l'expérience. Mon père était soldat. Il a tué ma mère le jour de l'expérience quand elle essayait de nous protéger. Après, je vivais seule avec ma sœur. Elle avait des ailes blanches. Et de magnifiques yeux myosotis. Un jour ils ont fait entrer mon père dans la cage. Il a tué ma sœur. Puis je l'ai tué."

Je suis plus supra se que je ne l'aurait curer. Tuer... Un petit sourire apparaît au coin de sa bouche.

Peu de mois après, des combattants de la guilde Felinae sont venus sauver des chats. J'ai réussit à m'échapper. Maintenant je vis ici. Ma seule satisfaction, quand le désespoir vient, c'est de me rappeler ce que j'ai fais à mon père."

Elle planta son regard dans le mien. Là j'aie peur, j'essaye de ne pas le montrer.

"J'étais une meurtrière. Je le suis peut-être encore aujourd'hui, mais cette guilde est ma guilde. Vous pouvez me faire confiance."

Une meurtrière peut être. Je lui dit :

" Je ne peut comprendre désolé, je n'aie pas vécu la même chose que toi. Tu sais je voulait allez chez les Camaléon mais cet imbécile de soldat m'a dit de l'attendre."

Ma tristesse c'était envoler. Et ma joie revient sur mon visage.



PS : Désolé pour le temps.

[Pas grave pour le temps et désolée je viens de remarquer que la couleur orange fait mal aux yeux, je vais changer]

Elle était là, à me fixer. Elle ne me quittait pas des yeux. Est-ce que je lui avais fait peur ? Sans doute. Mais que dire, que faire ? J'étais ce que j'étais. Une meurtrière. Une chatte brisée à l'intérieur, dont le cœur a volé en éclat. Et ces éclats sont devenus coupants et tranchants, aiguisés. Ils se sont endurcis pour ne plus avoir à souffrir. Ils restent là, de marbre. Attendant le jour où ils seront enfin libérés de cet étau sombre qu'est la haine.

"Je ne peut comprendre désolé, je n'aie pas vécu la même chose que toi. Tu sais je voulait allez chez les Caméléons mais cet imbécile de soldat m'a dit de l'attendre."

Je ne dis rien. Je n'avais pas la prétention de me dire comprise ou incomprise. C'était comme ça, c'est tout.

"On a tous un passé douloureux. Mais les humains paieront ça, un jour ou l'autre." Lâchais-je d'une voix sombre, menaçante.

Je ferais payer ça aux humains. Ils ne avaient pas ce qu'ils avaient créer. ils pensaient que parce qu'ils s'étaient approprié le pouvoir du monde, le pouvoir des expériences, ils pouvaient aussi s'approprier les êtres vivants.Mais ils ne peuvent pas, ils ne savent pas que leur fin est proche. Un jour si ça se trouve, ce seront les chats qui domineront le monde, et feront de ces humains des esclaves. Je ne rêvais que d'une chose pour le moment. De tomber devant un de ces humains, seul. Et qu'il se rende compte que ces stupides expériences m'ont amélioré, mais lui, l'ont laissé démuni, faible. Quand il ne peut se défendre avec ses objets étranges, alors il est inoffensif. Et alors je n'aurais plus qu'à me jeter à sa gorge, la transperçant de mes crocs, pour sentir ce délicieux sang d'humain couler dans ma gorge, sur mes babines, mes papilles. Ce sang d'humain que je goûterais pour la première fois, et qui ne serait je l'espère pas la dernière.

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'Dé des ingrédients' :

[ Suite à un pavé d'environ 40 lignes qui s'est supprimé à cause d'une fausse manip je te prie de me pardonner le temps supplémentaire avant ma réponse, sur ceux, je vais tuer mon ordi :'( ]