Comme à mon habitude, j'étais sorti sans la permission de Dariel notre chef à nous, les Felinae, enfin moi je le considère comme quelqu'un de tout à fait normal, pas comme mon chef en faite, la seule personne qui peut-être mon chef, c'est mon âme sœur, quelqu'un comme moi et qui me comprend. Si il y a une personne qui me comprend bien sûr! Ce qui est peu probable, d'après moi en tout cas.
CAR PERSONNE ME COMPRENDS! Certain pense même que je ne mérite pas ma place de soigneuse ais eux ils ne savent pas ce que ça fait de voir des gens mourir la plupart du temps sous leur nez!
J'essaye de sympatiser avec eux mais nan, ils sont agressif et trop sensible pour supporter ce que je dis, car les mots qui sortes de ma bouche sont trop blessant? Normal! Il n'y que la vérité qui blesse!
Je releva la tête et là, devinez quoi? Mes pattes m'ont guidées à L'arbre des pendus! Tiens donc, le parfaite endroit pour une sois-disante folle comme moi. Je me mis à pleurer de rage
- Pourquoi moi?!
Il y avait un arbre qui trônait en plein milieu de cette endroit ou la terre n'est que cendre, puisque c'était le seul défouloir, je lui mit coup et crocs dessus. J'aurai aimer me défouler sur quelque de plus..vivant en chair et en os. Mais cela me suffisait u moins pour l'instant. Je devint folle au moment pile ou je me cassa une griffe mais je souria
Même pas mal! Puis un bruit attira mon intention, je cru apercevoir une tâche noir, bof.., j'men fout!
ATTENTION : Le « renard » qui accompagne Ryuk et les voix qu'il entend ne sont en aucuns cas réelle, ils sont le pur fruit de son imagination.
Tu cherches depuis maintenant plusieurs jours ton frère. Le seul qui pourrait te sauver de cet enfer, de cette torture incessante. Tu n'arrêtes pas de rôder autour de chez les Soldats, tu essayes de détecter la moindre odeur, la moindre trace. Mais, en vain. Aucun signe de vie. A croire qu'il a disparu de la surface de la planète. Ca t'énerves, surtout que tu as dû faire face à quatre soldats enragés qui te sont tombés dessus. QUATRE. Y a un moment faut pas exagérer les gars. Bien évidemment, tu as pris tes pattes à ton cou. Et, par tu ne sais quel miracle, tu t'en es sorti. Bonne nouvelle, hein ? Oui mais non en fait. Déjà parce que tu n'es pas sûr que quelqu'un est encore envie que tu restes vivant et ensuite parce que comment dire... Ils t'ont légèrement défoncés la tronche... Légèrement. Non en fait t'es carrément déchiré de partout. Une entaille à l'épaule, une sur le flanc, une sur la cuisse (ce n'est pas passer loin de ta cicatrice, merci Hishika hein) en plus tu boites ! Parce que oui, il a fallu qu'une épine se trouve sur ton chemin ! Cela aurait été tellement simple ! Mais elle a traversé sans prévenir aussi ! Elle s'est littéralement jetée sur ta patte. Vive la forêt. De plus, tu meurs de faim. Parce que, un boiteux, amoché, taré qui pue à des kilomètres à la ronde à comment dire... Aucune chance d'attraper quoi que ce soit. Tu fais pitié. Tu soupires et remues la queue de droite à gauche, agacé. Tout ça à cause de qui ? Naaaaathaaaaaaan ! Cet idiot qui ne sort jamais de son trou. Sérieux, il t'exaspérè. Et dire que c'est lui qui doit t'aider à sortir de ce cercle vicieux. Pour l'instant, ça ne fonctionne pas du tout, ça fait même l'inverse. Tes cauchemars sont de plus en plus présents et oppressant. De plus, tu as la sensation désagréable d'être épier à chaque pas que tu fais. Oui c'est nouveau ça. Tu ne sais pas d'où cela vient. Enfin bon, si tu devais chercher à comprendre tout ce qui t'arrive en même temps... Ton Renard marche à tes côtés de plus en plus mais, attention miracle : il a enfin arrêté ses monologues ! Maintenant il se contente de simplement te déconcentrer ou de ricaner dans son coin à tel ou tel situation. Il te rappelle aussi souvent -très souvent- à quel point tu es nul et insignifiant. Mais bon, ce n'est pas comme si tu prenais la peine de l'écouter. En fait, c'était peut-être mieux quand il parlait non stop... Oui non quand même pas. Et y a les voix aussi. Toujours là pour embêter, dire des choses incompréhensibles et à peine audibles. Ou hurler. Très fort. Ça dépend. Elles passent d'une extrême à l'autre en un rien de temps. Vas savoir pourquoi. Enfin bon, actuellement tu marches totalement au hasard parce que vive le pif. Ton estomac gargouilles mais, tu n'y prêtes pas attention. Quelque chose de plus important t'attire. Ce chemin... Tu le connais ! Tu relèves la tête et observe le lieu où tu viens d'atterrir. L'arbre des pendus. Mais diable qu'est-ce que tu fous ici !? Cet endroit. Tu revois encore la scène se dérouler sous tes yeux. Le chat, ce diable, avec son arrière de bouc, ses cornes, sa cicatrice... Tu grognes et secoues la tête. Tu n'as pas le temps de reprendre entièrement tes esprits que tu entendis un chat crié. Tu redresses les oreilles et observe un chat, en pleur, qui donne des coups de crocs à l'arbre en plein milieu. Hum, d'accord. Encore une hallucination ou comment ça ce passe ? Tu te rapproches et vins tranquillement te placer près du chat. Tu t'assois et regardes l'arbre avant de déclarer : - Cela ne sert à rien, il est plus fort que toi et il est là depuis bien plus longtemps. Et arrêtes de pleurer, bébé.
Code par xLittleRainbow
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Mer 6 Sep - 13:49
Je griffa l'arbre aussi for que je le pouvais, laissant de profonde entaille dans son écorce, j'en avais marre qu'on me traite comme une ennemi même au QG, les gens s'écartent sur mon passage sauf les plus courageux ou les plus intelligents! Au moins, on me craint..héhé. Je ne risque pas d'avoir des discriminations ou quoi que ce soit. Je sentis une odeur de chat derrière mon dos, par reflexe je me retourna rapidement, toutes griffes sorties alors que l'individus s'exprima sans peur, il était dans un sale état! Vous me direz moi je le suis à l'intérieur.
"Cela ne sert à rien, il est plus fort que toi et il est là depuis bien plus longtemps. Et arrêtes de pleurer, bébé"
Bébé? Il m'a traiter de bébé, et pourquoi? Tout ça parce que je pleure?! Il ne sait pas pourquoi, alors calme toi Tornado, calme. Un arbre peut être plus fort qu'un chat? Mais c'est un vieux, il a sûrement des pouvoirs cette arbre nan? Au pire, faut pas s'embêter, j'ai pas envie de chercher à comprendre. Je m'arrêta, les griffes en sang, je ne senti rien puisqu'une autre douleur couvrait celle-ci, une douleur venant du cœur. Juste la haine et la tristesse? Sûrement. Je sourit à l'intrus comme s'il ne s'était rien passer du tout, même s'il m'a vu ou pas.
- Dis moi, qui es.. tu? Surtout pour oser parler à une tarée comme moi, tu m'as l'air bien courageux.
Un courant d'air passa, ce qui me donna des frissons, je ne veux plus qu'on me traite comme ça. Bizarrement je continua de sourire quand des larmes tomba comme de la neige.
Plic
Ploc
Ainsi de suites, je ne saurais vous dire combiens mais sûrement beaucoup. Une grande feuille sorti de nulle pars se posa sur mes yeux, les voilant. Tout est bien mieux comme ça, je ne vois rien, le vide m'engloutit sûrement, peu importe. Il peut choisir de me tuer ou de me laisser en vie, 2 choix possible. Lequel prendra t-il, si ça trouve il ne pense pas à me tuer mais si c'est le cas. Si ça trouve, il est comme moi, craint des autres à cause d'une folie? Qui sait.
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Invité
Jeu 5 Oct - 19:36
On ris mieux à deux !
Feat Tornado
ATTENTION : Le « renard » qui accompagne Ryuk et les voix qu'il entend ne sont en aucuns cas réelle, ils sont le pur fruit de son imagination.
Elle ? Folle ? Tarée comme elle dit ? Haha elle est pas mal ! Tu la retiens ! C'est vrai qu'elle a l'air d'avoir perdue la boule et d'être dangereuse, agroouuu ! Le grand méchant renard. Tu es complètement dégénéré pour rester si près d'elle, oulala ! Tant de courage rassembler dans une seule boule de poil ! Tu entends même Renard derrière toi lâcher un "Oh le fou" sur un ton ironique. Les voix rigolent elles aussi dans ta tête. Eh bien dites donc c'est la fiesta, tout le monde au rendez-vous qui explose de rire intérieurement ! Sauf les voix, elles, elles s'en foutent, elles rient vraiment. Beaucoup trop et légèrement fort. Très légèrement n'est-ce pas. Un courant d'air frais passe, remuant un petit peu vos poils, apportant une touche de fraicheur. Elle frissonne. Seul le bruit de ses larmes qui s'écrasent sur le sol se fait entendre et brise le silence pesant de la nuit. Rien. Aucun oiseau ne chantent, aucune proie fait résonner ses pas légers. Pourtant, dans ta tête, c'est tout l'inverse. Le chaos total. Le vent fait accentuer tes voix et pour la première fois, tu reconnais les différents timbres. Tu peux entendre le hurlement de ton ancienne compagne, celui de ta mère, de celui que tu penses être ton père, de ton frère, de tes chatons. Ils hurlent tandis que des scènes se rejouent sous tes yeux. L'abandon de ton père, les moments passés avec ton frère et ta mère alors que tu n'étais qu'un chaton, l'abandon de ta mère cette fois, toute la haine que tu es ressentit envers tes parents, ta rencontre avec Hishika, le moment où tu as vu ses chatons, vos chatons, le moment où tu as tout détruit, le moment où tu as rencontré cet enfoiré de chat, ici même, ce diable, avec son arrière train de bouc, sa queue avec une pointe à son bout, ses cornes, sa balafre sur le visage, le moment où tu as tabassé ta pauvre compagne devant tous les Soldats, faisant le fanfaron, le fier, attirant l'attention, le moment où elle est partie, le moment ou toi, tu es parti pour de bon de chez les Soldats, laissant tout derrière toi pour une vie seule, loin de tous, loin de tous ses souvenirs. Tout. Absolument tout remonte à la surface. Tout ce que tu veux oublier. Tout ton passé. Tu fermes les yeux et d'un coup, tu éclates de rire, brisant le calme qui régnait. Tu rigoles encore et encore à un tel point que c'est limite si tu récupères ta respiration. De la bave commence à couler le long de ta bouche, se projetant partout autour de toi pour cause de ton fou rire. Pourquoi ? Tu n'en sais rien. Si seulement tu avais réponse à ça. Si seulement tu avais réponse à toutes les questions qui défilent en boucle dans ta tête. Tu ne comprends plus depuis longtemps, du moins tu ne cherches plus à comprendre depuis longtemps. Tu relèves le visage vers elle, la regardant dans ses yeux qui brillent dans l'obscurité. Elle ? Folle ? Hein ? Tu souris de manière narquoise avant de dire lentement : - C'est vrai que tu as l'air terrifiante, non de moi, je devrais prendre mes pattes à mon cou ! Tu repars dans ton fou rire tout en tournant autour d'elle. Tu te tortilles dans tous les sens, n'arrivant pas à marcher droit à cause de ton rire. Un rire bizarre, ressemblant à celui d'une hyène. Tout est bizarre chez toi. Faut pas chercher.
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