La lumière du jour transperçait les carreaux de la fenêtre se trouvant a coté de mon panier. J’ouvre avec difficultés les yeux et essaye tant bien que mal de lever ma tête pour regarder par la fenêtre. La lumière du soleil étais intense tant bien que mes yeux étais presque fermer quand je regardais l’extérieur, bien a l’abri des Potentiels danger du monde de dehors. J’étire longuement mes muscles et entame une petite toilette matinale, histoire de me réveiller. Je sauta en dehors de mon panier pour, comme a mon habitude, réveiller mon maître. Mais, quand je sauta avec souplesse sur le lit de celui ci, je ne l’aperçu pas. Je commence alors a me questionner sur la cause de sa disparition soudaine. Commençant a énuméré les possible cause, passant de la simple balade a l’enlèvement par des extraterrestres pour lui faire un lavage de cerveaux, en passant par la possibilité que d’autres humain l’aie prit pour un chat et lui aie fait subire des transformation génétique. Je me rappel alors de la lumière intense qui m’avait réveiller et décide de regarder à l’extérieur. Le soleil était déjà haut dans le ciel, il devait donc s’être lever plus tôt que moi … enfin … je l’espérais… Je saute alors du lit et me dirige vers ma gamelle, effectivement, celle ci étais plains, si il c’étais passer quelque chose, mon maître n’aurais pas pris le temps de me la remplire. Je commence alors a prendre mon petit déjeuner tranquillement quand j’entend la porte de la maison s’ouvrir. J’interromps mon repas pour regarder dans la direction du bruit et apparsoie avec soulagement mon maître qui étais rentrée. Je viens alors l’acceillir en me frottant a sa jambe tous en ronronnant, quand il me répond en me gratouillant l’oreille, je ronronne de plus belle. Il marche ensuite vers le plant de table et il s’en dégage une odeur absolument exquise. Je me lécher les babines, en me demandant se qu’il pouvait bien préparer. Il se retourne vers moi et met a ma hauteur une assiette remplie de chose s’entende terriblement bon. J’en prend une boucher et un gout incroyable envahi ma bouche, avant même que je ne m’en appersoive, j’avais fini l’assiette. Je me léche à nouveau les babines, repu. Après cela, Mon maître ressort de l’habitation et ferme bien la porte derrière lui. Je m’installe vers une des multiple fenêtres de notre habitation pour le suivre du regard. Nous étions arriver ici il n’y a pas très longtemps donc j’étais toujours inquiet au sujet e mon jeune maître. J’avais pris du temps avant de m’habituer a la présence d’un masque a gaz cachant son visage fin et constamment souriant. Cachant ses taches de rousseur et ses grands yeux marron vif. Avec ce petit air fourbe qu’il affichait constamment. Mais depuis que nous somme ici, je voie de moins en moins se magnifique sourire sur le visage de mon jeune maître, celui qui avais le don e me mettre de bonne humeur rien qu’en le voyant.
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Invité
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Dim 6 Aoû - 14:34
Qui es-tu ?
Feat Styx
"Ma Dame ! Ma Daaaaaaaame ! Où tu vas Ma Dame ? Pourquoi tu t'en va ? Tu m'a pas fait mon câli..."
*Clac*. Assise, la gueule encore entre-ouverte, j'observais la porte de la caravane venant tout juste de se fermer sous mon museau. L'air déçu, je baissai les oreilles. Mais que peut-elle bien faire ? Cela fait désormais plusieurs jours que ma bipède va et viens, de la maison sur roues à je ne sais où. J'étirai mes petites pattes, levai mon arrière train et sautai sur le rebords d'une fenêtre. La poussière et la saleté recouvraient d'une fine particule les carreaux. Ma chère maîtresse ne prenait même plus la peine de faire le ménage ! Mais qu'avait-elle ? Elle qui, malgré la guerre, la famine, le manque d'hygiène, prenait toujours le temps de s'occuper de moi et de sa maison ambulante. Désormais, je la sentais triste, molle et vieille. Certes elle n'est plus toute jeune, mais plus le temps passait, plus je la voyais malheureuse.
La couche de crasse commençait vraiment à m'agacer, je n'arrivais pas à apercevoir distinctement l'extérieur. Je décidai donc de sortir, moi aussi. Peut-être que je tomberai sur ma maîtresse après tout. Je me glissai donc sous une fenêtre légèrement entre-ouverte et sauta sur le sol poussiéreux du camps. Tout en regardant les alentours, je cherchais une nouvelle victime. Il fallait que je trouve un chat à embêter, histoire de me dégourdir les pattes et de penser à autre chose. Mon regard s'illumina et un sourire narquois esquissa mon visage d'ange lorsque j'aperçus un chat au pelage d'écaille de tortue. Je commençai donc ma route vers la minette et bondis pour atterrir sur une vieille planche qui bordait la fenêtre derrière lequel se tenait... Le matou ? Étrange, un mâle écaille de tortue...
"BOOH", criai-je après avoir sautai et en collant mon museau contre la vitre.
Je tomba à la renverse pris de panique, surpris par la jeune chatte se tenant de l’autre coté de la vitre. Je tomba en arrière et dans ma maladresse, je percuta un saladier qui me fit perdre l’équilibre. Je m’accrocha donc a celui-ci afin de me redresser mais je le fit tomber … sur moi… en moins de temps qu’il en faut pour dire Saumon, je me retrouva enfermer sou le saladier. Heureusement, celui-ci étais en plastique donc facile a soulever mais je me demander si la chatte étais toujours la et surtout si elle était dangereuse. Mon cœur battait a 10 000 a la seconde à cause de la surprise que j’ai eu. Je souleva légèrement le saladier afin de voir qui m’avaient surpris. Même si je me doutais que se serais a une femelle que j’aurais a faire a cause de la voie aigu qui m’avais fait sursauter, de peur ? Bien sur que non … bon si ... Mais vous en savez rien vous, elle est peu être dangereuse, assoiffer de sang et … Je soulève légèrement le saladier et voit qu’en réaliter, c’est une chatte tigrer brune aux yeux émeraude et au collier rose et bleu qui se tenais devant moi. Elle semblait plutôt fini et a peine plus petite que moi… non je ne suis pas petit, qui vous a dit sa ? Je soulève finalement complètement le saladier pour m’enlever du dessous de celui-ci, se devais être un spectacle ridiculement drôle pour la chatte. J’en avais les oreilles rouge de honte. Je la regarde hésitant avant de demander, toujours avais beaucoup d’hésitation :
« S-sa va pas ? … Je veux dire … vous avez fahi me faire faire une crise cardiaque … on ne fait pas se genre de chose a quelqu’un qu’on ne connaît pas … ni a une personne qu’on connaît d’ailleurs … on en fait pas se genre de chose … c’est tous… »
Elle ne devait sans doute pas me prendre au sérieux car j’avais la queux entre les jambes et ma position ressemblait a celle d’un chaton apeuré. J’essayais d’avoir l’air plus sérieux, en vain.
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