Mon excitation étais a son comble, mon professeur devant moi me guider dans la foret sombre que je m’amuser a imaginer maculer d’écarlate et croulant sous les corps inerte de chats. Le spectacle imaginaire me fit frissonner, non de peur, mais de plaisir. Comme si des ails ensanglanter venais d’être greffer a ma peau, je me sentie légère et prête a faire tous se que mon mentor me demander pour plonger la foret dans la désolation la plus extrême. Soudain mon enthousiasme griffu disparu pour laisser place un a tout autre plaisir : mon compagnon était un soldat, je pourrais le revoir. Je ne l’avais pas vu depuis plus d’une lune, je me suit même demander un jour si il n’étais pas mort… AH faut que j’ arrête de me dire sa moiiiiiii
Je me secoue la tête avant de reprendre la marche derrière mon mentor d’un pas assuré.
Je remarqua que le sol étais devenus gris, il semblait plus dur que l’herbe mais personnellement sa ne me fessait rien. Ryuk me jeta un coup d’œil derrière son épaule. Quoi ? nous avons accéléré le pas avant de voir un bâtiment envelopper d’ans une brume. Mon aînée ricana et je le regarda d’un air interrogateur avant que nous n’entrions dans le bâtiment sinistre. L’endroit était plein de chats qui venaient et aller de droite a gauche sans se soucier de autre. Un me bouscula sans même y prêter attention. Je me retrouva alors au sol. Je sais que je suit petite mas quand même. Une odeur étrange flottait dans l’air, je ne saurais dire se que c’étais mais elle avait l’air de mettre l’eau a la bouche de mon professeur. Celui-ci se tourna vers moi, encore étaler par terre :
- Voici l'endroit principal où sont réunis absolument tous les Soldats : la Caserne. C'est là où l'on mange et dort. On peut aller et venir comme bon nous sembles !
je regarda alors l’endroit ou nous nous trouvions avec attention tous me relevant sur mes pattes. L’odeur étrange que j’ai sentis étais donc de la nourriture ? il me reviens alors l’image du chat gris au yeux vairons. Ao ! Je chercha mon compagnon dans toute la foule de chats qui semblait me dévisager. Je ne le vu nul part, effectivement si lui m’avait vu, il se serait sans doute précipité vers moi. Ao… je baissa la tête avant de me reprendre. Ne montre pas de visage faible a ces chats ! Je bomba le torse et pris un regard assoiffer de sang avant de balayer l’assembler de chat qui me fixaient. Je regarda alors mon maître droit dans les yeux et hochât la tête pour lui annoncé que nous pouvions continuer a avancer, je m’occuperais de mon compagnon plus tard mais je ne peux pas omettre l’ipotése de sa mort.