- aide pour moi, ne pas en tenir compte (modifiable au cours du rpg):
Rencontre avec Ryuk Abysse critique la taille de l'autre-> les deux se tapent dessus
Abysse peut utiliser son pv car il y a des flaques d'eau partout -> il a des courbatures
le jour se lève, un rayon en pleine gueule pour abysse
Une plante se réveil et lui choppe la queue
Une autre s'attaque a Ryuk (peut etre)
Les deux matous se séparent en feulant.
Lien : Peut être ami ou Rivaux
La nuit était tombée depuis un moment déjà. Une forte averse avait eu lieu quelques heures plus tôt, avant qu'Abysse ne sorte de la ville. La prairie carnivore était plongée dans le silence. Seul quelques insectes jouait leur musique nocturne habituelle. Le sol était sec depuis plusieurs jours et l'eau ne parvenait pas à s'infiltrer dans le sol, formant des flaques plus ou moins importantes. Abysse ne venait que rarement ici, privilégient les points d'eau près desquels il était plus facile de se défendre.
Sûr d'être tranquille, le matou plia ses pattes, se laissant tomber sur le flanc pour ensuite rouler sur le dos. Mais avec cette position, son ventre était trop exposé à son goût. Activant son pouvoir, il rassembla de l'eau qu'il figea en glace au dessus de son ventre, formant un arc de cercle ressemblant à une sort de pont large. Avec l'air frais de la nuit, il n'avait pas besoin de maintenir les molécules en place pour que l'eau reste gelée. Il laissa don la glace a son sort, ne contrôlant plus rien. Cette action n'avait pas durée plus d'une minute, ne provoquant donc pas les courbatures tant détestée par Abysse.
Le matou remplis ses poumons, les bloqua un instant et expira longuement. Que la caserne était bruyante, même la nuit !
Une branche craqua. La chanson des insectes s’interrompit le temps d'un souffle puis repris comme si rien ne s'était passé. Abysse détacha son regard des étoiles et regarda aux alentours. Étant sur le dos, il voyait à l'envers. Cela le perturbait un peu, mais il n'y fit pas vraiment attention. Mais les buissons bruissèrent et un chat sorti des fourrés.
Abysse, la tête en arrière, les cornes sur le sol lui servant de coussin, avait peut être l'air un peu ridicule. En quelques secondes, la glace se fit eau et tomba à côté d'Abysse. Il se redressa et fit face à l'intrus.