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Foutu - Rp de mort [pv ceux qui ont posté dans la préparation du rp]

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Anonymous
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   Mer 24 Aoû - 3:54


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Ah…
Tu avais mal aujourd’hui. Un peu plus que d’habitude oui. Enfin  tu ne sais pas trop en fait. Tu as la tête qui tourne depuis que cette insecte t’as mordu. Un insecte rouge flamboyant. Une sale bête. Tu t’en ai plutôt bien sorti tout de même. Après une lutte avec ce monstre écarlate, tu avais réussi à le tuer. Non sans peine donc.
Après cette bataille, tu partais en direction de...é...ng….

Tu es réveillée, enfin.
Tu regardes autour de toi, ne distinguant que très peu de choses; tout est flou pour l’instant. Mais tu sentais ta patte flotter dans de l’eau, ce qui réveillait un peu ton esprit. Logiquement, tu parvins à la conclusion suivante: tu es à l’étang.
Il faisait plutôt beau. L’air était bon. Tout était calme. Et tu étais seule. Enfin seule, avec ton mal de crâne et cette nausée horrible qui te prenait aux tripes.

Fatiguée, tu bu un peu, histoire de te soulager et de reprendre tes esprits.
Tu étais calme, mais plutôt tourmentée. Tu ne te sentais vraiment pas bien. Ce n’était pas une migraine, et pas qu’une nausée passagère. Cet insecte… cet insecte était sûrement contaminé.
Après avoir émis cette hypothèse, tu écarquilles tes yeux rouges désormais et toussa fortement. Ta vue était de plus en plus floue. Et ton cou se resserrait peu à peu; tu dégobillais sentant ta gorge te brûler affreusement.

Tu hurlas de peur et de souffrance ne comprenant plus rien à rien, toujours horriblement seule. Allais tu réellement mourir comme cela? Non. Non c’est impossible.

« Je. Je ne peux pas mourir de cette façon. »

Crachais tu, bave confondue avec ton sang, t’écroulant sur le sol froid et humide.
Ah tu délirais complètement. Tu était juste sur les côtes de l’étang, là couchée et mourante. Ta vie est foutue. Quelle vie de merde.

Tu ne voulais pas mourir. Pas maintenant. Il te restait tellement de choses à voir, tellement de choses à faire. Même si tu n’avais jamais rien fait, tu le souhaitais au fond. Tu le sens. Tu sens que tu n’as rien accompli de ta vie. Tu n’as fait que de semer le mal. Toute ta vie. Tous ceux que tu as croisé, tu ne les a plus jamais revus. Ils t’ont tous évités de toute manière. Ah. Tu penses à Asumi en disant cela, n’est ce pas? Oui. Vous avez bien parler, mais tu le sentais qu’elle voulait partir. Et Plume Noire? Oui. C’était une de tes camarades à la base. Et puis tu as fuit. Tu t’en souviens? Ah non, pas toute seule non: avec Pandémie.
Hahaaa… Elle te manque tellement. Elle n’aurait pas du mourir; elle aurait du rester à tes côtés, juste là. Mais non. Elle n’est plus là. De toute manière, tu vas la rejoindre non?

Tu ne pouvais pas te soigner. Tu ne savais pas comment faire, et il n’y a pas de guérisseurs ici. Quoi d’autre? Tu ne te souviens même plus à quoi ressemblait l’insecte, même si quelqu'un le voulait, tu ne pourrais pas être sauvée, c’est trop tard.
Ta gorge brûle, tu as les pattes paralysées, et la vue brouillée. C’est foutu.


Invité



Anonymous
Invité


   Mer 24 Aoû - 18:29


Cette journée avait tout pour être une bonne journée, le soleil était plus calme que d'habitude, le vent soufflait doucement par brise, nous rafraîchissant d'une manière absolument incroyable, surtout à l'ombre, nous étions tellement bien dans ce genre d'endroit, le bord de l'eau était tellement frais que j'étais campée là depuis environ 1 heure, mes pattes légèrement enfoncés dans la terre et la vase mélangées ensemble comme deux soeurs, je léchais mon pelage d'une manière très calme, en pensant à mes amies et différentes rencontrent au fils des dernières semaines, allaient-il bien? Avaient-il de quoi vivre? Se nourrir? Boire? Dormir? Peut être que mes inquiétudes étaient fondées, après tout, les cadavres ne manquaient pas d'attirer les oiseaux charognards et même les animaux terrestres du même nom, et vers le déserts celui ci en grouillaient par endroit, peut être des solitaires après tout, ils n'avaient pas besoin de traîner par là après tout, surtout après ce genre de chose. Je secouais la tête doucement, faisant tinter une petite clochette se trouvant ici, qu'est ce que ça foutait là? Je la reniflais et donnais un petit coup de patte dessus, augmentant encore l'intensité de ce bruit si aigu mais agréable.

Je commençais à jouer doucement avec l'objet que j'aimais tant dans mon enfance, en effet celle ci était un des jouets, enfin un modèle, des jouets que les chatons ramenaient parfois de leurs expéditions, nocturnes ou pas, elles brillaient sous n'importe qu'elle lumière et c'est cela qui les rendaient si intéressantes ! Puis le tintement continue attirerait n'importe qui après tout? Une drôle d'odeur vint à mes narines, mes yeux presque aveugles se tournèrent un peu plus loin, un chat...une chatte? Que faisait-elle ici? Elle semblait mal en point, mais ce gris, même si de la bout et du sang se trouvait à un endroit, je pouvais la reconnaître, c'est cette femelle qui m'avait rencontré une fois ! Je ne savais pas son nom malheureusement, mais je ne pouvais pas la laisser dans cette état si? Je courrais alors doucement vers la femelle, trébuchant et tombant dans l'eau croupie à plusieurs reprises, ce qui me fit hoqueter également, l'eau entrant dans mon canal respiratoire et dans ma gorge. Elle avait un sale goût de poisson pourri et du coup pas comestible !

Je sautais doucement sur un rocher, les griffes rétractées me faisaient glisser, je décidais donc de les sortir pour avoir une meilleure accroche, à cause de l'eau dans mes yeux et surtout de mon handicap si récent, je ne la voyais plus, elle avait bougée? Elle semblait tellement pathétique à l'instant quand je venais de la voir, elle semblait, mourante? Non les solitaires sont des battants, tous autant qu'ils sont, je pouvais le savoir sinon le solitaire noir et gris n'aurait pas survécu au blessure causées par Ao ! Enfin bref, je tournais la tête tout autour avant de la voir à nouveau, je ne sais pas pourquoi mais mon instinct me disait de tenter le tout pour le tout pour aider cette femelle mal en point ! Je me remis alors à courir, traversant quelques plantes plus ou moins piquantes, l'une d'elle attaquait même, mais j'ignorais donnant un coup avec ma queue pour lui faire comprendre qu'elle ne décidait rien ici !

J'arrivais à la hauteur de la chatte, mais pourquoi avais-je pu la voir de si loin alors que ma vue n'était clairement plus aussi bonne qu'avant? Peut être mon instinct l'avait vu et donc m'avait juste ordonné d'aller la sauver, enfin de tenter de la sauver, car maintenant que je m'approchais de plus en plus je pouvais sentir une drôle d'odeur, entre pourriture et sang, une autre odeur traînait dans l'air, l'odeur de la pollution mais bien plus élevé, bien plus forte, bien plus virulente, un frisson me parcourut et j'utilisais alors difficilement ma queue pour ne plus respirer cette air nauséabond et je me posais après de la femelle grise au bout des pattes noires, son corps était si..maigre? Si mal en point? Je posais alors mes pattes sur la blessures et utilisais ce que je pouvais du fluide sans me tuer à mon tour pour tenter de refermer celle ci, sans succès, je ne pouvais malheureusement rien faire pour elle.

Je commençais alors à chuchoter d'une petite voix triste et tremblante, mais tout de même bien plus douce et chaleureuse, comme une mère à ses chatons, une petite mélodie que j'avais apprise étant petite par ma mère adoptive, si la femelle s'en souvenait c'était maintenant, peut être qu'elle souffrait le martyre, peut être devrais-je couper court à ses souffrances mais non, je ne pouvais pas, je devais la protéger le temps qu'elle s'en aille pour de bon ! Je commençais alors ma petite musique douce.

"-Ne crains point cette nuit, tu ne t'égareras, si les ombres tombent, les étoiles, elles, trouvent leurs voix..." Je continuais doucement, cherchant au plus profond les paroles de cette musique si agréable à mon enfance, je ne me souviens pas de tout, alors parfois je murmurais des choses plus ou moins coordonnées et profonde, mais j'aimais beaucoup faire ça, je glissais alors doucement ma patte sur les yeux de la chatte grise et lui fermais les yeux avec une douceur maternelle avant de glisser son chapeau sur ses yeux en remontant sa mèche au dessus bien entendu, elle ne méritait pas de mourir maintenant, mais la nature choisissait notre vie, toute notre vie, la chaleur semblait être partie et soudainement je sentis comme une perle couler le long de ma joue et tomber doucement sur l'épaule de la chatte. "Que ta nouvelle vie te soit agréable ... J'espère te revoir un jour, surement dans un monde bien meilleur que celui dans lequel tu nous quittes aujourd'hui, adieu..." Dis-je d'une voix tremblante alors que je me levais pour partir à toute vitesse, les yeux embrumés par les larmes et la tristesse, comment pouvait-on mourir comme ça? Elle ne le méritait pas contrairement au humain.

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Anonymous
Invité


   Jeu 25 Aoû - 0:29


Et voilà que pour changer, je suis seul. J’avance, déterminé à aller je ne sais où. Mais mon pas est rapide, on peut même croire que je cours. Les arbres sont touffus et le bruits créé par leurs feuilles est assez fort. Quel son désagréable: Un genre de frottement insupportable. Les odeurs aussi sont présentes en nombres: pour une journée d’été assez chaude, j’ai l’impression d’entendre beaucoup de proies par-ci par là ! Tandis que les bruissements d’ailes d’insectes qui volent au vent sont, eux, quasi inexistants.

Mais soudain, je me fige net. Je reste immobile quelques instants puis tourne la tête vers l’Est. Vers l’étang. Je n’en suis pas sûr mais je crois bien avoir senti… quelque chose. Une odeur familière, une odeur que je connais. C’est un parfum assez fort d’ailleurs avec… Je fronce le museau. Où ai-je déjà sentis quelque chose de semblable ? Ou plutôt quelqu’un. En effet, c’est l’odeur d’un félin que je sens. Ahhh, c’est tellement agaçant de ne plus se rappeler qui porte un parfum pareil ! Je remue les moustaches, mécontent de moi, puis décide de me rapprocher de ce matou familier : de toute façon, je n’ai rien à perdre.

Tandis que je passe tranquillement entre les arbres, me dirigeant vers l’étang, je dresse les oreilles. Un cris retentit. Ou plutôt, un genre de hurlement d’agonie étouffé. Je sens mon coeur s’accélérer dans ma poitrine. Un horrible sentiment d’inquiétude me prend à la gorge, et avant même que l’idée me traverse l’esprit, me voilà en train de courir comme un dératé dans les feuilles et branches du sol forestier. Je fonce droit vers l'origine du bruit. C’est elle ! Je reconnais enfin cette odeur! C’est cette -surement- jolie solitaire ! L’ancienne caméléonne que j’avais croisé en longeant l’orée lors d’une journée de pluie ! Cette solitaire qui m’avait aidé lorsque j’avais fait un putain de malaise devant elle. Je me rappelle de son nom : June.

Pris dans ma course, je me prend une racine, tombe et me ramasse sur le sol. Sans hésiter, je me relève en quatrième vitesse et fonce vers l’étang. L’odeur de l’eau vient me chatouiller les narines. Je suis proche. Je dois admettre que son cris ne m’a pas du tout rassuré. J’ai bien l’impression qu’elle a des ennuies. Juste après avoir eu cette pensée, j’aperçois enfin la masse bleu de l’eau. Je ralentis le pas puis m’avance, intrigué et un peu apeuré. C’est alors que je distingue, de l’autre côté de l’étang, le corps de June. Elle est allongée de tout son long. Je ne saurais dire si elle dort ou est… ou …si elle dort plus profondément. À côté d’elle, une autre femelle a l’air de la contempler. Je déglutis. Je ne l’avait même pas senti! Car, de nouveau, la solitaire m’a perturbé mes sens. Je me rappelle la dernière fois, comment d’une façon que je ne m’explique pas, elle m’avait… intrigué d’une façon quasi obsessionnelle? Je voulais vraiment la connaître, elle et son caractère, ainsi que son apparence… Non. Je veux la connaître.

Mais au fond de moi je crois que j’ai déjà compris la situation que je n’ose admettre. Une ambiance qui me fait froid dans le dos est omniprésente, et tandis que je me rapproche, celle-ci s’amplifie. Peut-être n’entendrais-je jamais à nouveau la voix de cette solitaire? Je me rappelle de ses façons d’être, constamment sur la défensive, m’épiant sans cesse. Je n’avais pas arrêté de la vexer, ahah, qu’est-ce que je ne suis pas doué pour converser. Mais au moins ce jour-là, j’ai compris qu’il restait des gens au coeur pur. Elle avait patiemment attendu que je me réveille de mon malaise et, cette action m’a quand même beaucoup touchée.

Je reste assez loin des deux femelles. L’autre est une soldate, je ne me rappelle plus son nom, mais je l’ai déjà croisé aussi. Bien que deux ou trois longueurs de queues de renards nous séparent, je l’entends.. chanter? Sa voix est douce mais mélancolique. Je ferme les yeux et respire un bon coup. Je ne veux pas aller voir… je n’ai pas envie de découvrir ce que je redoute. Je dois encore apprendre à la connaître… je veux apprendre à la faire rire.

Invité



Anonymous
Invité


   Mer 31 Aoû - 17:42



Tu étais encore consciente quand cette inconnue était là à chanter doucement. Tu n'aimes pas la musique. La musique a le don de t'énerver et de te stresser. Le chant n'est pas fait pour toi, il est fait par les humains, pour les humains. Tu as beau être contente de ton pouvoir, tu n'oublies néanmoins pas comment tu as fait pour l'avoir.
Ces bêtes humanoïdes t'ont fait souffrir pour leur propre bien; et même pas pour du bien, mais pour semer le mal ailleurs. Non seulement cela fait du mal sur d'autres endroits, mais en plus, cette douleur est aussi partagée avec leurs expériences c'est-à-dire vous.

Une fois tes yeux fermés, tu voulais les rouvrir, histoire de voir le monde, une dernière fois, même s'il t'a craché salement à la gueule. Tu voulais les rouvrir pour lui dire "hey, je t'emmerde, je m'en vais dans un meilleur endroit, quelqu'un que j'aime m'y attend connard". Oui, c'était le fond de ta pensée, une dernière pensée pour ce monde pourri; de l'intérieur, mais aussi de l'extérieur. Ce monde qui pue. Ce bordel sans nom.
Mais tu gardas ta gueule close, tout comme tes yeux douloureux. Jusqu'à entendre un second bruit, pas la musique non. Un bruit de fond. Quelque chose qui tombait, enfin quelqu'un pour le coup. Lentement, tu ouvris les yeux et distinguait une masse bleuté. C'était ce gars que tu avais rencontré la dernière fois. Mais ce n'est pas grâce à ta vue que tu l'avais reconnu, mais grâce à ton odorat évidemment.
Savoir sa présence te fit doucement rire. Ah. Il était en vie oui, mais toi t'allais crever. C'est con hein?
Tu aurais bien aimé le connaître un peu plus. Mais c'est trop tard.
C'est pas si grave, tu le verras sûrement plus tard ailleurs. Toi tu dois rejoindre quelqu'un d'autre pour l'instant.

Tu soupirais fortement, et pris une grande inspiration. Tu ne savais pas ce que tu voulais faire concrètement, jusqu'à entendre ton propre rire, lourd et assez inquiétant quand on y repense. Tu ne comprenais toi même pas pourquoi, mais tu avais une folle envie de faire entendre ta voix, une dernière fois.
Ce son doucereux t'avais irrité la voix, encore plus qu'elle ne l'était, mais tu t'en fiches. C'est pas comme si ç'allait changer grand chose.

D'ailleurs, tu n'as même pas pu remercier la femelle qui chantais, et qui t'avais accessoirement fermer les yeux. Tu n'aimes pas trop montrer ta reconnaissance, mais tu pouvais le faire au moins une fois dans ta vie non?
N'ayant pas envie de parler, tu ouvris un peu tes yeux en sa direction -et vis sa frimousse de jeune- et lui fit un signe de tête. C'était le moins que tu puisses faire, mais encore une fois, la politesse c'est pas ton truc.

Aah. Tu n'es toujours pas morte; on dirait que ce monde tient à te faire souffrir le plus longtemps que possible. Mais tu es têtue, tu vas lui montrer qui est le plus fort à ce jeu. A partir de ce moment précis, tu ne souffriras plus. Tu ne lui donnera pas cette satisfaction non. Alors tu ne te plaindras pas une seule foutue seconde. Pas une.






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