AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Partagez
Surprise à l'oasis [Feat Alceste]

Invité



Anonymous
Invité


   Dim 3 Juil - 10:55





Surprise à l'oasis

         Feat Alceste


Mon endroit préféré était l'Oasis. Puis juste après, l'arbre des pendus, mais n'en parlons pas. Pour l'instant, j'étais à l'Oasis. J'adore cet endroit car il est isolé, calme, et l'eau est belle. Un des rares lieux qui est encore naturel. Il n'y a pas de plantes carnivores, pas d'eau répugnante, et il n'est pas inquiétant. Je peux me reposer comme bon me semble. La chaleur me procure une sensation que j'affectionne très particulièrement. En bref, ce lieu est parfait.
Mais j'y suis rarement aller, de nuit. Voilà pourquoi je suis partie de la caserne des soldats en fin d'après midi, et après avoir longuement marché, à la tombée de la nuit, j'arrivai enfin à l'Oasis. J'étais assez habituée à faire la longue traversée et cela me fatiguait de moins en moins.
À présent, il faisait presque nuit, et je m'allongea sur une grande pierre brunâtre, qui avait pris le soleil toute la journée, elle était donc encore chaude. Quel délice !
Je commencerai à m'endormir sur cette grande pierre plate et chaude, et quand quelques minutes après le moment où mes paupières se sont refermées, je sentis quelques choses me chatouiller la truffe. C'était comme des brins d'herbe ou je ne sais quoi.
Cela me réveilla donc et quand j'ouvris les yeux, je ne vis rien. Étrange. Cela devais surement être une petite bourrasque de vent qui a dû amener des grains de sable, qui se sont logés dans mes narines. Quel super réveil. Maintenant mon nez me pique. C'est malin...
Je n'allais tout de même pas rester ici sur cette pierre, maintenant que je n'ai plus vraiment sommeil ... Je me leva donc et m'étira longuement.
Je regarda autour de moi, et je vis avec surprise qu'un autre chat se tenait au loin sur une grande pierre. Entre nous deux, il y avait l'eau. Je veux savoir qui est ce chat, car à cette distance, je ne distinguais pas grand chose.
J’espérais qu'il ne n'avait pas vu, car je compte bien faire un effet de surprise. Je replia mes ailes sur mon corps et très discrètement, je descendis dans l'eau. Mes pattes furent un peu mouillées, certes, mais peut importe, tant que je réussis ce que je comptait faire !
En faisant le moins de bruit possible, je traversa l'Oasis, là où il y avait le moins d'eau, parfois sur des bandes de terres. Je grimpa ensuite pour déboucher sur les pierres où se tenait le chat. Je ne montrait pas encore tout mon corps, je l’observais par un trou, j'espère, sans qu'il ne comprenne ma présence. A présent, je le voyait mieux, je le voyait de trois quart, plus précisément.

Son pelage était d'une couleur crème. Il était entièrement couvert de cette couleur. Du moins, c'est ce que je voyait d'où j'étais. Il portait autour de son cou une écharpe rayée de beige, de rouge, de bleu, de jaune, de marron, de noir et de vert. Très colorée en tout cas. Mais pourquoi mettre une écharpe quand il fait au moins 25 degrés ?!
Peu importe, je l'observa plus attentivement. Il avait l'air tellement fatigué ... Des sortes de cernes se trouvaient sous ses yeux. Qui eux, était rouges. Enfin, je crois, car même si je suis assez proche, j'ai des doutes pour les cernes. Cela peut très bien être des effets d'ombres. Même si il n'y a plus beaucoup de lumière à cette heure ci.
Je n'avais aucune idée pour la guilde. Mais ce n'était certainement pas un soldat. Enfin, peu être, mais je ne l'avais jamais croisé. Et j'en ai vu, des soldats. C'est peu être un solitaire ou encore un de ces felinae qui ne servent à rien !
Je me demandais vraiment ce qu'il faisait ici. Il devait avoir une bonne raison.
Je décidais enfin à sortir de ma cachette, pour arriver derrière lui. Je fis du bruit, cette fois ci, en faisant exprès, pour qu'il me remarque.
Au moment pile où il me vit, je ne perdis pas de temps et déclara d'une voix mielleuse et assez séductrice, non pas que ce chat me plaise, mais c'est juste naturel chez moi :

"Hum. Bien le bonjour. Puis-je savoir qui es-tu ?"


Je lui fit un petit sourire, pas vraiment chaleureux, tout au contraire, pour le mettre mal à l'aise.
Je me demandais vraiment si ce chat allait fuir. Je n'espère pas, j'ai étrangement envie de faire connaissance ... Et puis, si il fuis, je ferais comme je lui a dit ; je le courserait, le plaquerais au sol, et il sera obligé de me parler.


HRP : Désolé pour le titre vraiiiiiment nul, mais j'étais en panne d'inspiration xD


Code par xLittleRainbow

Invité



Anonymous
Invité


   Jeu 21 Juil - 12:57


C’était plutôt tôt, dans la matinée. Encore une fois, tu n’avais rien à faire; tu avais rarement quelque chose à faire, ces derniers temps; et la plupart des mères -quoi qu’il n’y en avait pas énormément- préféraient largement rester avec leurs petits plutôt que de les confier à Alceste l’inutile. Logique, pensais-tu. Peut-être ferais-tu mieux de tenter de leur ramener quelque proie étrangement faiblarde, au moins, pour les récompenser de leur éternelle patience envers ta personne? Ah, tu aurais aimé, mais t’en sentais tout bonnement incapable; néanmoins, quoique tu ne perdais rien de plus qu’un peu de temps à essayer, tu te disais que ça ne valait rien pour attendre; que tu allais définitivement récupérer cette proie. Ouaip, tu te le disais. Alors, légèrement éloigné de l’endroit où tout le monde était, après avoir rapidement pris en filature un groupe de chasseurs, tu te stoppas. Regardant aux alentours; une étendue de sable infinie. Le sol, intact, ne recelait absolument aucune crevasse où de petites créatures auraient pu se faufiler, dans l’espoir d’échapper à la chaleur dévorante. Ah, tu compatissais, mais au moins, ton sens extrêmement frileux te procurait une certaine résistance mentale à la chaleur; même si celle physique ne pouvait rester dupe.

Enfin, il te fallait bien continuer de chercher. Or, cette courte pose, durant laquelle tu eut bien du mal à sortir ton corps amorphe d’une position de repos, te fit perdre de vue le groupe. Alors, tu ignorais où aller. Est, ouest, nord? Aucune idée. Tu continuais d’errer, quoi qu’oscillant légèrement vers l’est. Réfléchissant, vraiment. Rien, rien. Déjà que tu n’étais pas capable de chasser en terres «plus adéquates», tu te demandais d’où t’étais venu l'infime et tordu espoir que cela pourrait un jour changer. Peut-être parce que tu refusais d’utiliser ta faiblesse comme excuse pour ne rien foutre, que tu avais cette gaminerie de «l’intention, ça compte» alors que ça ne compte pas du tout. Si on a besoin de repasser derrière, alors ne fous rien; et e c’était exactement cela. Incapable de faire autre chose que de dormir; et si on devait te payer à chaque journée de ta vie inutile, tu serais déjà roi; quoi qu’il n’y ait aucune réelle monnaie dans ton petit monde. Enfin, ça devait être bien, d’être au moins respecté pour quelque chose. Sinon, tu ne voyais pas l’utilité d’être monarche; tu dormirais tout le temps sur ton trône et serait absolument aisé à assassiner.

Ton esprit continuait de s’accorder au fait que la meilleure occupation était de penser à des choses bizarres et dénuée de sens, et tu avançais. Et tu piquas du nez, fermait les yeux et tomba, en quelques secondes, sans vraiment prévenir; parce que c’était comme ça, et que tu ne pouvait simplement rien y faire. La journée passa en l’espace de quelques secondes pour toi; comme si tu clignais des yeux et que le monde changeait subitement. Mais cela ne trompait pas, pas mal d’heures s’étaient, en effet, écoulées. Et tu te devais de bouger, parce que la nuit était glaciale, et que te trouver éloigné des tiens ne te plaisait guère. Tu te levas, en alerte. Mais en sécurité, aussi. Parce que tu n’étais pas si loin, au fond, et qu’il n’était pas extrêmement tard. Tu pouvais encore partir; bien que tu devrais surmonter la honte de dire qu’une journée entière n’aurait su suffire à te permettre d’attraper la moindre bestiole famélique. C’était un peu triste, mais tu avais accepté cette condition depuis bien longtemps, quoi qu’elle te rendait souvent très nerveux. Enfin… Tu humas l’air, histoire de savoir si un de tes compagnons restait aux alentours et OHBORDELDEMERDEUNSOLDAT. Tu eus à peine le temps de détecter plus en détail qui était cette personne, ni même de savoir à quelle distance elle était, que tu entendis une voix :

"Hum. Bien le bonjour. Puis-je savoir qui es-tu ?"

Tu te tournas, masquant ta surprise. Bien que tu scintillais légèrement. La regardant, tu lui trouvas un air charmeur, mais pas charmant. Tu n’aimais pas les personnes qui se donnaient ce genre d’air; mais tu ne jugeais pas sur le physique, alors, avant de savoir si sa personnalité collait à ce profil-ci, tu refusa de juger si elle était à ton goût ou pas, mentalement parlant. Physiquement parlant, définitivement pas, le regard qu’elle portait avec elle te faisant relativement flipper. Cependant, tu ne pouvais empêcher une certaine colère de monter en toi. C'était à cause des gens comme elle, que…

« Oh, moi? Rien qu’un caméléon sans importance. En revanche, toi…? Qu’est-ce qu’un soldat vient faire ici ? Comme si ce n’était pas suffisant, après le plaisir tordu de nous forcer à migrer? »

C’était vrai; qu’est-ce qu’elle cherchait par ici, hum?

Invité



Anonymous
Invité


   Mar 16 Aoû - 11:55





Tu ne m’échappera pas ...

      Feat Alceste


Le chat beige se tourna vers moi, visiblement surpris. C'était le but. Il me fixa un court instant, je le laissait faire, il ne me fera jamais aucun mal, ça se voit. Je suis très bien que c'est actuellement moi qui domine. Peu importe, puis il me répondit.

«Oh, moi? Rien qu’un caméléon sans importance. En revanche, toi…? Qu’est-ce qu’un soldat vient faire ici ? Comme si ce n’était pas suffisant, après le plaisir tordu de nous forcer à migrer ?»

Un simple caméléon sans importance ? Je n'en suis pas si sûre. Il n'ose tout simplement pas me dire la vérité. Il doit avoir peur en me voyant. Tant mieux. Et moi ? Il voulait savoir qui j'étais ? Bah de toute façon, j'allai lui dire sans même qu'il me pose la question. Je ne suis pas un soldat sans importance, moi, je suis la plus puissante de tous !
Oh, et puis, qu'est ce que la migration vient faire dans cette discussion. Je n'y ai jamais pris part, n'y voyant pas l’intérêt. Je voulais faire du mal aux caméléons, oui, ça je l'admet, mais que tout le monde y prenne part, ça me dégoute. Je veux bien leur faire peur, mais moi et moi seule. Oui, je suis égoïste, et alors ? Ça n'a jamais été dans ma nature d'être altruiste, et ça ne le sera probablement jamais.

Et puis, je n'étais même pas venu ici dans le but de faire du mal à un caméléon, je ne savais pas qu'il y en aurait un, ou tout simplement quelqu'un d'autre. J'ai l'habitude de me retrouver seule ici. Je voulais juste faire une pause et me détendre. Les caméléons voient vraiment le mal partout, enfin, il fait tout de même bien de se méfier de moi, on ne sait jamais …
Bon, il été temps de lui répondre, mais avant cela, je me mis à marcher tout autour de lui, tout en le regardant, pour bien lui faire comprendre une nouvelle fois, qu'il n'a aucune moyen de fuir et de s’échapper. Il doit absolument voir que c'est moi qui domine.

«Moi ? Oh, tu as bien raison de parler de moi, Shimizu, la plus puissante des soldats. Pour répondre à ta question, je suis venue ici dans le but de m’entraîner à me battre, encore et encore, sans relâche. Mais un élément perturbateur m'a interrompu. Toi. Toi, un insignifiant caméléon qui est venu ici pour une raison que j'ignore. »

Oui, je sais, j'ai menti, pfff, je n'allais quand même pas lui dire que je voulais me reposer, il me prendrait pour une faible, non ? De toute façon, mentir fait parti de mon caractère.
Ce qui m'inquiète, ce que ce chat paraît assez intelligent. Faible, mais pas idiot. Il va surement voir que je ne suis absolument pas essoufflée. Bah, peu importe, je m’occuperais de ce problème après.
Après cette courte pose, je répondis à la deuxième partie de sa question :

«Et pour la migration des caméléons, ça ne me regarde pas. Je n'ai jamais contribué à cet exil, même si une forte envie m'y poussait, j'avais d'autres choses à faire plus intéressantes que de s'occuper d'un misérable peuple de chats peureux.»

Et ouais, je ment encore, mais je m'en contre fous. Ce caméléon m'a l'air tellement faible et impuissant que je vais pouvoir en faire n'importe quoi, je sens que je vais bien m'amuser …


Code par xLittleRainbow

Invité



Anonymous
Invité


   Mar 16 Aoû - 12:29




Tu étais une personne relativement calme, de par ta nature tolérante. Mais il y avait certaines choses sur lesquelles personne n'avait le droit d'appuyer, que personne n'avait le droit d'exploiter face à toi, et qui réveillait une susceptibilité certaine. Tu avais toujours été ainsi, de cette manière presque surprenante, à déceler en toi une infâme frustration concernant des sujets précis, et elle n'allait pas tarder à cracher sur tous tes principes de patience infinie. Elle marchait autour de toi, d'une manière étrange. Probablement qu'elle essayait de te prouver quelque chose, ce à quoi tu ne prêtas guère attention. Tu n'avais jamais été si courageux que cela, mais tu avais vécu bien assez longtemps pour comprendre que certaines émotions en dominaient d'autres, et que la vision de toutes ces choses, de ces morts, de cette épuisement continu, de par son groupe, ce n'était plus une option que d'être mauvais. Ce n'était plus une option que d’abandonner ce côté pacifiste, avec ces gens-là, bouffés par l'orgueil, qui ne laissaient jamais tranquille ceux qui n'avaient rien demandé. Pas que tu te sentais l'humeur d'être un sauveur, encore moins un héro, mais tu savais que tu ne pouvais te mentir à toi même. Qu'à cet instant, il te fallait rester froid, intelligent. Tu n'étais pas spécialement fort en combat, mais avait ton expérience, et serait prêt à l'user contre la femelle, tant elle commençait à t'ennuyer fortement. Sa présence empestait l'air d'une atmosphère lourde et insupportablement malsaine.

«Moi ? Oh, tu as bien raison de parler de moi, Shimizu, la plus puissante des soldats. Pour répondre à ta question, je suis venue ici dans le but de m’entraîner à me battre, encore et encore, sans relâche. Mais un élément perturbateur m'a interrompu. Toi. Toi, un insignifiant caméléon qui est venu ici pour une raison que j'ignore. »

Ah, pour changer. Encore une soldate clichée sur tous bords, et d'une stupidité amère. Examinant ses mots, tu savais exactement quoi lui répondre. Après tout, en quoi un puissant soldat aurait besoin de s'entraîner ? Et pourquoi le faire dans un lieu désert? S'entraîner avec le vide, cela paraît bien étrange, surtout que tu savais de source sûre que les soldats avaient des endroits bien plus spacieux et faits pour cela, et même certains qu'on pouvait monopoliser, excluant l'hypothèse de vouloir être seul. Mais également, nombre de lieux vinrent dans ta tête pour écraser son raisonnement. Ah, l'oasis, un lieu vide de toute capacité de combattre, ça, c'était une chose sûre et établie. Elle prétendait, mentait, pour le simple but de te faire croire à une personnalité violente, probablement pour t'effarer au possible. Encore une fois, par ce cycle impérissable, elle se sentait supérieure de par ton apparence chétive, et pensait t’impressionner. Mais à travers ce capharnaüm de mensonges, tu ne trouvais qu'un mépris épars, qui, de tout son être, t'inspirait un dégoût remarquablement prononcé. Ce n'était pas la plus puissante des soldates, et tu n'étais pas qu'un insignifiant caméléon. Parce que tu savais parfaitement que l'inverse était tout à fait aussi crédible. Tu étais une personne complexée, certes, mais ce n'était pas ce genre de personnes qui allaient t'encourager dans cette voix, à vrai dire, le contraire arrivait relativement souvent.

«Et pour la migration des caméléons, ça ne me regarde pas. Je n'ai jamais contribué à cet exil, même si une forte envie m'y poussait, j'avais d'autres choses à faire plus intéressantes que de s'occuper d'un misérable peuple de chats peureux.»

Ah ces mots, tu ne pus réprimer un petit sourire. Tu venais d'envisager une possibilité bien peu développée par la soldate, -sûrement à cause de son honneur stupide, qui l'empêchait très probablement de réfléchir correctement aux mots qu'elle prononçait, sans remarquer, en conséquence, les absurdités qu'elle débitait-, celle qu'elle n'y avait pas participé car elle avait été trop faible. Ah, si seulement elle l'avait fait, tu aurais bien envie de le lui faire payer. Mais les mots étaient bien plus notables que les poings, car en ces cas, seule l'intelligence domine. Une intelligence cultivée, à part égale dès la naissance, à chances notables, celle qui n'était pas le fruit d'un instinct plus noté chez l'un ou l'autre, celle qui était le seul moyen viable de survie, pour peu que son esprit ne soit pas dans un corps trop fragile. Et cette soldate semblait bien peu intelligente, pour toi. Quoique tu n'aimais pas juger les gens de haut, celle-ci ne s'était pas vraiment gênée, et était partie du principe que ta fragilité apparente était une raison pour essayer de te mettre mal à l'aise. Mais nulles n'étaient les conséquences qu'elle attendait. Malgré ta maladie, tu te sentais, étrangement, éveillé, aussi éveillé que tu ne semblais l'avoir jamais été, quoi que les cernes de ton visage étaient la seule chose te raccrochant encore à la fatigue. Puis, tu décidas de lui répondre :

« Ah, j'avais oublié, l'orgueil qui vous fait débiter tant d'absurdités. Ah, j'y crois, à ton entraînement si ardu, dame soldate, au milieu d'un vide abyssal, du matin au soir, avec une hardiesse si notable, lorsque rien ni personne ne subsiste dans cette étendue dorée. Ah, j'y crois, à cette prétendue puissance, lorsqu'on fuit les siens pour prétendre s'entraîner avec l'inexistant. Ah, j'y crois, à ces miles choses intéressantes, lorsqu'on est trop faible pour participer à l'exil de mon peuple, si faible, si fébrile, si fragile qu'il ne peux se contraindre à respirer plus que de raison. »

Tout cela dit sur un ton sarcastique et moqueur, tu fis une petite révérence, et la regarda dans les yeux. Qu'avait-elle donc à dire de tout cela, tu te posais bien la question, quoi que tu doutais qu'elle resterait sans parler très longtemps. Probablement une autre réplique peu réfléchie.






Contenu sponsorisé


   


Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Une surprise renversante pour un pauvre matou - Feat Ryuk <3 FINI
» Who are you? [Pv. Alceste]
» ALCESTE. VIENS ICI QUE JTE//MUR//
» Journal de bord d'Alceste [6/?]
» Une rencontre surprise ! (Pv Skye)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Felinae :: Bien commencer :: Archives :: Felinae V1.0 :: Autre V1.0-
Sauter vers: