L'aube pointait à l'horizon, l'aube d'un jour nouveau où cette sensation de lourdeur me gagnait de plus en plus, le temps était calme, même le vent ne soufflait pus, le soleil brillait au loin malgré tout, c'est dans ces moments là que ma fille me manquait. J'avançais, mes pas ne faisant aucun bruit sur le sol humide de l'endroit, je regardais l'eau calmement, celle ci était verdâtre et visiblement pas très appétissante, malgré tout elle était buvable. Je regardais mon reflet dans celle ci, une chatte grise argenté au soleil levant, mes yeux bleus brillants dans l'obscurité mourante de l'endroit, mes ailes étaient grandes ouvertes leurs plumes grises se finissant en blanche, les tâches sur mon dos en formes d'ailes brillaient fortement. Un soupire s'échappa de ma gorge, comment une chatte comme moi, forte aussi bien en apparence que...en rien du tout en fait, seul mes ailes faisaient mal chez moi. Je me couchais, les deux pattes avant dans l'eau, elle était fraîche, dans cette chaude journée qui commençait, je n'allais pas cracher dessus, en vérité, je voudrais rester ici pour le restant de celle ci, mon compagnon, enfin je pense que je peux le considérer ainsi, était un grand sous chef Felinae au pelage noir avec des tâches bleus et jaunes en forme de circuit électrique sur le corps, ses yeux étaient ambrés. Il serrait un jour officiellement au yeux de tout le monde je pense, je voulais rejoindre les Felinaes, et cela très vite, même si ce n'était pas certains, je pense que une maladie me gagnait, et que les soldats, les plus faibles meurent, les plus fort résistent, je n'avais pas envie de mourir simplement à cause d'une fichue maladie.
"-Si seulement il était ici avec moi ! Il me manque trop, c'est indescriptible ! Criais-je très fortement.
J'écarquillais alors les yeux, j'espérais ne pas avoir alertée les autres tribus de cette endroit, même si on ne dirait pas mais les camps ne sont pas si loin que ça et puis cette endroit est souvent peuplé pour son eau, disons qu'avec la pollution l'eau était devenu une denrée plus rare qu'avant. Un bruit derrière moi me fit sursauter et glisser dans l'eau, moi qui s'avais nager habituellement, je coulais alors comme une pierre, je battais des pattes énergiquement en panique, je ne voulais pas mourir mais le courant m'emportait au loin ! Pitié de l'aide ! Je remontais finalement, malheureusement, incapable de sortir de l'eau, je tentais de ma garder à la surface, une fois le museau en dehors pour une courte durée je hurlais à plein poumon, malgré la brûlure intérieur que je subissais de ceux ci.
"-Aidez moi pitié !" Hurlais-je d'une voix érayée mais restant malgré tout puissante.
Mon ventre était si lourd que je ne pouvais remonter par moi même, je me trouvais alors une prise sur le bord, mes griffes se plantèrent sur la terre meuble et je tentais de remonter en vain, mes pattes arrières étaient emportées par le courant, je respirais à plein poumon malgré ma peur, mon long et épais pelage prennaient si vite l'eau que bientôt mes griffes dans la terre glissèrent doucement, j'espérais seulement maintenant que quelqu'un m'entende et m'aide aussi vite que possible, je ne voulais pas couler comme un rocher ! Pourquoi je ne pouvais nager? Mon poids avaient t'il donc quadruplé en un mois?! Je criais une nouvelle fois des mots incompréhensible quand je tombais finalement dans l'eau, mes poumons se remplirent d'eau et un voile noire se fondit sur ma vue.
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Ven 17 Juin - 19:58
Une Soldate, un Solitaire et des passagers clandestins
Featuring Saphira
Les premiers rayons du Soleil brillant déjà à travers le peu de feuilles dont les arbres étaient pourvu. Hataru souhaitait rejoindre l'Orée, et il avait choisi de faire le voyage à l'aube, pour ne croiser personne sur son chemin. Malheureusement, la chance ne semblait pas être de son côté aujourd'hui. En arrivant près du cours d'eau, il entendit une voie crier. Pas un cri de détresse, non. Plutôt un cri de frustration. Le mâle rayé soupira. Même à l'aurore, il y avait un moyen de croiser du monde ! Mais il devait passer par là. Alors, il continua sa route, espérant qu'il aurait juste à saluer cette personne d'un signe de tête. En se rapprochant, il sentit l'odeur des Soldats. Et l'odeur d'une femelle. Tiya ? Non. À son grand regret, le Solitaire reconnaîtrait l'odeur de son ancienne amie entre mille. Il aperçut enfin une silhouette féline. Il s'agissait en effet d'une Soldate. Sa fourrure était d'un gris cendré, et elle avait des ailes. Tentant de passer inaperçu, il marcha doucement, mais, erreur de débutant, il ne fit pas attention à la brindille sèche qui avait glissé malencontreusement sous ses pattes. Un craquement sonore retentit, et la féline sursauta et tomba dans l'eau. Hataru recula de quelques pas, et attendit de voir un chat trempé sortir de l'eau. Mais rien. Le courant serait-il assez fort pour emporter une Soldate ? Pourtant, même si la plupart des félins trouvent l'eau désagréable, nager est instinctif; tout le monde arrive à le faire. Soudain, une plainte -bien de détresse cette fois-ci- s'éleva, faisant fuir les oiseaux:
- Aidez moi pitié !
Ses doutes se confirmaient: cette femelle avait besoin d'aide pour sortir de l'eau terreuse. Mais aider n'était pas son fort. Mais le corps gris commençait à être emporté dans le courant tourbillonnant. La mort d'une Soldate "innocente" sur le cœur serait de trop. Il s'élança et, sans hésiter, plongea ses pattes avant dans l'eau et saisi, juste à temps, le cou de la féline cendrée. Au moment où il tenta de ramener ce poids mort sur la terre ferme, il comprit pourquoi elle avait tant de mal à remonter à la surface: cette Soldate avait mangé un peu trop de pâtée des humains, si l'ont pouvait dire. Néanmoins, le félin tigré puisa toute ses forces qu'il avait et finit par tomber en arrière, la femelle avec. Il se redressa aussitôt, et observa celle à qui il venait de sauver la vie. Ses yeux verts s’arrêtèrent sur ses yeux, sur ses côtes qui se gonflaient et se rentraient à toute vitesse, tentant laissant ses poumons reprendre de l'air, puis il remarqua son ventre rebondi, et il comprit. Gardant cela pour lui pour le moment, il finit par se rasseoir, mal à l'aise. Qu'allait-il faire ? Demander des nouvelles ? Partir en courant ? Aucune des idées qui lui traversèrent l'esprit ne lui semblaient valable. D'abord hésitant, il finit par miauler:
- Si je puis me permettre, il n'est pas très prudent de se balader si près de l'eau, surtout quand le courant est aussi fort, lorsqu'une femelle attends des chatons. Enfin, bien entendu, ajouta-t-il aussitôt, ne voulant pas paraître impoli, je ne tiens point à vous contraindre d'une quelconque façon.
Hataru se sentait bête, à attendre comme ça, rentrant et sortant ses griffes, signe de sa nervosité. Il espérait juste que son interlocutrice allait rapidement laisser un flot de paroles jaillir de sa gueule, car le silence qui s'installait devenait réellement gênant.
Hors RP:
je suis VRAIMENT VRAIMENT VRAIMENT désolée d'avoir mis autant de temps à répondre, je sais bien que je t'avait promis à mainte reprise de terminer cette réponse, sans jamais le faire ;w; Enfin bon, la voilà quand même et, j'espère qu'elle te plaira malgré son retard ^^'.
Alors que je coulais à pic, je sentis un corps plongé à côté de moi et m'agrippa la peau du cou pour me soulever, il s'agissait d'un mâle je crois...Il tenta de ramener mon poids sur la terre, il avait du mal à cause de mon poids, j'avais autant grossi que ça? Puis mon poil prenait l'eau également vu son épaisseur donc ce n'était pas forcément ma faute bon dieu ! Avec un ultime effort, il nous fit basculer en arrière, sur la terre ferme où je reprenais mon souffle à plein poumon en crachant malgré tout des trombes d'eau, les yeux fermés.Je sentis son regard sur ma fourrure ce qui me mit mal à l'aise à dire vrai, mais je lui devais la vie après tout ! J'ouvris les yeux et vis un matou tigré au yeux verts, nos regards se croisèrent. Il me regardait, mes côtes se soulevant et s'abaissant très rapidement pour remplir mes poumons d'air pure, il semblait remarqué mon ventre, puis après un petit temps, il se rassit lentement, visiblement mal à l'aise suite à ma présence. Vu son odeur, quoi que un peu effacée par l'humidité, il s'agissait d'un solitaire, aucune des odeurs remarquables des tribus n'étaient présentes sur lui. Après de nombreuses minutes, il miaula d'une voix...assez grave.
"-Si je puis me permettre, il n'est pas très prudent de se balader si près de l'eau, surtout quand le courant est aussi fort, lorsqu'une femelle attends des chatons." Après une seconde il ajouta ensuite : Enfin, bien entendu, je ne tiens point à vous contraindre d'une quelconque façon." Dit-il.
Il rentrait et sortait ses griffes rapidement, il était nerveux, le silence s'installant ici était vraiment de mauvaise augure, voir carrément flippant ! Je me levais calmement et regardais mon ventre avant de me secouer doucement pour tenter de sécher un minimum ma fourrure détrempée. Je léchais mes cicatrices qui s'étaient un peu ouvertes à cause d'un rocher pointu heurté durant ma glissade. Je le regardais ensuite, en souriant de tout mes crocs blanc comme neige.
"-Je n'attends pas de petit que racontez vous ! En tout cas, je vous remercie, sans vous je serais morte au fond du ruisseau, je ne savais pas pourquoi je ne pouvais nager, j'ai du prendre un peu de poids, mais si j'ai gardé l'odeur des soldats détrompez vous ! Je suis une Felinae, pas une soldate, enfin une ancienne soldate plutôt." Dis-je d'une voix un peu enrouée mais très enjouée.
Je sentis une odeur musquée, ni une ni deux je m'approchais de celle ci et trouvais deux petites proies, des rongeurs je crois, mais assez muté, les deux étaient un peu comme des souris, mais avec des écailles sur le dos, les protégeant des attaques par derrière à cette endroit, leurs yeux étaient on ne peut plus normal et leurs museaux plutôt pointus. Je tuais les deux animaux et m'approchais du grand mâle tigré et lui jetait un des deux avec gaieté et amitié. Je m'asseyais ensuite en face de lui pour le regarder calmement.
"-Tenez, c'est en quelques sortes pour vous remerciez, mais, sans vouloir être impolie, je voudrais vous demander, comment vous appelez vous? D'où venez vous? " Demandais-je d'une petite voix tout aussi enthousiaste que tout à l'heure en fermant mes ailes sur mes côtes pour cacher mon horrible rondeur.
Hors rp:
T'en fais pas, c'est pas grave, tu as fais l'effort d'y répondre déjà merci pour ça !
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Sam 18 Juin - 10:30
Une Soldate, un Solitaire et des passagers clandestins
Featuring Saphira
La femelle cendrée se releva et s'ébroua quelques instants, tentant d'alléger sa fourrure du poids de l'eau. Elle lécha délicatement d'ancienne cicatrice qui s'était vraisemblablement rouverte, puis tourna la tête vers Hataru et miaula en souriant:
- Je n'attends pas de petit que racontez vous ! En tout cas, je vous remercie, sans vous je serais morte au fond du ruisseau, je ne savais pas pourquoi je ne pouvais nager, j'ai du prendre un peu de poids, mais si j'ai gardé l'odeur des soldats détrompez vous ! dit-elle d'une voie enjouée. Je suis une Felinae, pas une soldate, enfin une ancienne soldate plutôt.
Le Solitaire n'ajouta rien, mais au fond de lui, il était sur que cette chatte allait bientôt donner la vie à une ou plusieurs petites boules de poils. Mais il n'insista pas. Il ne voulait pas causer de troubles avec qui que ce soit. Soudain, la future mère se leva et se mit en position de chasse, pour disparaitre dans des buissons. Le mâle rayé restait là, sans rien faire et, lorsqu'il finit par se rendre compte que c'était l'occasion rêvée pour partir, il se leva, mais la Soldate revint avec deux rongeurs dans la gueule. Mince ! Maintenant, elle allait lui en donner un, et il allait la vexer en le refusant. Et bingo ! Elle lui en lança un gaiement et ajouta:
- Tenez, c'est en quelques sortes pour vous remerciez, mais, sans vouloir être impolie, je voudrais vous demander, comment vous appelez vous ? D'où venez vous ?
Surpris que quelqu'un s'intéresse à lui, Hataru resta un instant ainsi, figé, debout sur ses quatre pattes, comme un imbécile. Il n'aimait pas qu'on lui pose des questions. Il n'aimait pas qu'on s'intéresse à lui. Lui, tout ce qu'il voulait, s'était se faire oublier. Mais par dessus tout, si il avait bien une vertu qu'il refusait d'abandonner, c'était la politesse. Alors le félin prit son courage à deux pattes, se rassit, en commença d'une voie plate:
- Et bien... pour commencer, je me prénomme Hataru. Et d'où je viens... pour tout vous dire, je suis né chez les Soldats, comme vous, j'imagine. Je vivais ma vie dans la ménagerie, et..
Bon sang, tu veux vraiment raconter ta vie à une inconnue, comme ça, juste parce que tu l'a tiré hors du Ruisseau ? Il secoua la tête pour s'éclaircir les idée et termina d'une voie monocorde:
- .. et je me suis échappé pour devenir un Solitaire.
Rien que de repenser à cette époque de son ancienne vie, Hataru avait senti que son pouvoir avait cherché à sortir. Mais il avait -et heureusement- réussi à le contenir, et à le calmer. Pour une fois. Décidément, cette discussion ne le mettait pas du tout à l'aise. Refusant de toucher au morceau de gibier, il se contenta de se rasseoir et de jeter quelques coup d'œil autour de lui, cherchant quelque chose ou quelqu'un pouvant le sauver de cet embarras.
Le mâle en face de moi visiblement surpris que j'ose lui demander ces genres d'informations, resta pendant quelques instants figé, je le regardais patiemment, il n'était pas très bavard, mais je lui devais la vie avant tout, jamais je ne pourrais l'oublier ! Lentement, il revint à lui et reprit lentement la vie où il l'avait laissé, enfin c'est l'impression que j'eus quand il me parla en se rasseyant doucement avec une voix plate, j'avoue que j'étais un peu gênée au fond de moi, car le mâle..enfin...comment dire, je semblais l'importuner, c'était assez visiblement, je l'écouterais et lui demanderai si il voudrait partir ensuite, je pense que c'était la meilleure solution pour lui, je n'étais pas égoïste et je ne pouvais le retenir ainsi.
"-Et bien... pour commencer, je me prénomme Hataru. Et d'où je viens... pour tout vous dire, je suis né chez les Soldats, comme vous, j'imagine. Je vivais ma vie dans la ménagerie, et..."Il s'arrêta d'un coup pensif à quelque chose d'inconnu. Il secoua alors violemment la tête pour se rafraîchir les idées et termina d'une voix monocorde. ".. et je me suis échappé pour devenir un Solitaire."
Je le regardais, il retenait quelque chose où j'hallucinais? Peut être qu'il était un peu comme moi avec un pouvoir incontrôlable, le mien d'ailleurs ne s'était pas réveillé depuis plusieurs jours, un véritable miracle pour moi ! Il n'était pas à l'aise, je pouvais le sentir à l'air nous entourant, il voulait partir, car vu la manière comment il regardait autour de nous et de ne pas toucher la pièce de gibier fraîche, c'était assez vexant à dire vrai...Je finis ma pièce de gibier sans un mot avec un regard cachant mes sentiments, je n'étais pas mal à l'aise, mais surtout un peu vexée du comportement du félin en face de moi, bien que assez poli sur la manière d'on il m'avait répondu, il voulait absolument se tirer.
"-Je sens votre inconfort, il est remarquable par tous ici, même si nous ne sommes que deux, vous désirez partir n'est ce pas? Si oui, vous pouvez le faire, je n'avais aucunement l'intention de croisez quelqu'un de toute manière." Dis-je d'une voix que j'aurais voulu plus douce que ça, mon ton était sec et assez...pas agressif mais presque.
Je sortais un peu les griffes, tremblante, les mâles fuyaient toujours, Kasaï, que j'avais rencontré, avait pour ainsi dire disparu des écrans radars depuis notre séparation cette nuit là...J'aurais voulu limite le griffer, mais ma gentillesse ne le voulait pas elle, il était avant tout un solitaire et ne devait pas croiser beaucoup de monde, surtout que beaucoup de solitaire était à moitié taré, par exemple Tsuko, un chat-cerf et Eyeless Jack, un cannibale à moitié fou à lié. Je le vais les yeux vers le ciel et rentrait les griffes un peu apaisée par la vue du soleil levant derrière nous.
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Dim 19 Juin - 9:31
Une Soldate, un Solitaire et des passagers clandestins
Featuring Saphira
L'ex-Soldate assise devant Hataru finit sa proie en gardant le silence. Il sentit que ses paroles l'avait vexée, et il s'en voulu un petit instant, puis ses pensées reprirent leur état d'esprit normal. Elle ne te connait pas. Elle ne sait pas ce que tu as derrière toi. Elle ne sait rien de ce qu'est la peine est le chagrin, à une dose inimaginable. Elle ne peut pas comprendre.
- Je sens votre inconfort, il est remarquable par tous ici, même si nous ne sommes que deux, vous désirez partir n'est ce pas ? Si oui, vous pouvez le faire, je n'avais aucunement l'intention de croisez quelqu'un de toute manière.
Le mâle aux beaux yeux vert avait senti le ton sec et cassant de son timbre vocal. Pendant un instant, son instinct lui criait de saisir cette chance, de partir et oublier cette rencontre. D'un autre côté, les paroles de la nouvelle Felinae l'avait piqué au vif. On aurait pu croire qu'elle lui en voulait de vouloir partir. Elle avait sortit les griffes. Un petit peu, elles étaient à peine visible, mais elles les avaient sorties. Et cela suffit pou que des flashs de souvenirs lui revinrent aussitôt. ◊◊◊Tiya était là, devant lui. Menaçante, ses longues griffes rougies par le sang étaient sorties, impressionnante. Hataru avait peur. il avait peur de son amie. Celle-ci s'approchait de plus en plus, une brume rose commençant à l'entourer. Et le Solitaire commençait à suffoquer. N'avait-elle donc aucune pitié ? "Va-t-en...Va-t-en... Ces mots se répétaient en boucle dans sa tête. Elle le chassait ! Sa meilleure amie la chassait pour rester avec des humains et une bande de chats totalement frappadingue. Alors il se retournât et couru jusqu'à en perdre son souffle.◊◊◊ Les yeux du mâle se rouvrirent brusquement. Une rage sourde s'emparait de lui. Ses pattes le picotait. Non.. Non ! Je ne veux pas. Alors il releva la tête et miaula d'une voie emportée par la colère et la frustration:
- Vous ne pouvez pas comprendre ! Vous ne pouvez pas m'en vouloir de quoi que ce soit, surtout pas de vouloir éviter toute compagnie ! Vous ne savez rien de moi ! Si j'ai choisi de vivre en Solitaire, reclus de toute guilde, ce n'est pas pour moi ! C'est pour vous tous, Felinaes, Caméléons, Soldats ! Je suis en danger public. Je suis bien mieux seul ! Et surtout, si je veux me retirer, ce n'est point pour vous importuner, mais pour vois protéger, vous et votre progéniture !
Oui, Hataru avait remit sur le tapis le sujet des petits, mais, sur le coup, il s'en fichait. C'est alors qu'il entendit de petits bruits électrique caractéristique. Quels imbécile il faisait ! Il c'était laissé emporter au lieu de se concentrer et essayer de se calmer. Il baissa les yeux et vit que la clef accrochée autour de son cou, habituellement noire et rouillée, prenait une allure bleutée, entourée de petits éclairs bleus. Refusant de croiser les yeux de la future mère ne nouvelle fois, car ils étaient sans doute écarquillés et emprunts par la peur, il ferma doucement les siens et déclara d'une voix froide:
- Voilà de quoi je parlais.
Toujours la tête baissée, il sentait les petits flashs bleus picoter contre sa peau. Il espérait que la femelle cendrée était partie. Faire du mal était la dernière chose qu'il souhaitait faire.
Le mâle en face de moi avait fermé les yeux, son expression était indéchiffrable pour le moment, j'eus beau essayer je n'y parvenais nullement. Après plusieurs longues minutes, j'étais calmer, cependant cela allait changer, je le sentais, il semblait un peu horrifié, enfin je crois, je n'étais sure de rien à ce moment précis, je me levais prête à partir quand soudainement il ouvrit ses yeux verts feuilles, je fus surprise et me rasseyait alors calmement, il était plus que étrange, pas fou, mais étrange, cela me gênait à dire vrai. La rage lisible à travers son regard me fit sortir d'un coup les griffes et reculer un peu effrayée, je ne voulais pas l'attaquer et lui, je ne connaissais rien de ses intentions juste qu'il devait avoir un lourd passé ou un truc comme ça pour réagir de la sorte. Il leva la tête brusquement et miaula d'une voix colérique et frustrée.
"-Vous ne pouvez pas comprendre ! Vous ne pouvez pas m'en vouloir de quoi que ce soit, surtout pas de vouloir éviter toute compagnie ! Vous ne savez rien de moi ! Si j'ai choisi de vivre en Solitaire, reclus de toute guilde, ce n'est pas pour moi ! C'est pour vous tous, Felinaes, Caméléons, Soldats ! Je suis en danger public. Je suis bien mieux seul ! Et surtout, si je veux me retirer, ce n'est point pour vous importuner, mais pour vois protéger, vous et votre progéniture !"
Il avait osé remettre sur le tapis cette histoire de chaton ce qui m'agaça, tout le monde me le disait en ce moment, mais je savais que c'étais absurde ! Il semblait se moquer du fait que cela m'agaçait cette histoire et des éclairs bleutées l'entourèrent ce qui me faisait reculer encore un peu plus. Ok, donc ça confirmait mes doutes, il ne contrôlait pas son pouvoir, et la clé autour de son cou en était la source ! Un léger bruit électrique se faisait entendre autour de lui, il avait baissé les yeux et sa clé rouillée habituellement, enfin comme je l'avais vu tout à l'heure, était devenue comment dire bleuté avec des éclairs de la dite couleur l'entourant. Mes yeux, loin d'être écarquillés, était assez...sans aucun sentiments à dire vrai, je savais cacher ma peur la plupart du temps, même si je craignais son pouvoir je pouvais contrôler mes sentiments, contrairement à certain. Il ferma lentement les yeux et déclara d'une voix froide.
"-Voilà de quoi je parlais"
Toujours la tête baissée, il semblait concentré, pas calme mais concentré, il voulait sans doutes que je parte la maintenant pour ne pas me blesser, mais j'étais plus curieuse que autre chose, je suis définitivement débile je crois. Je le regardais alors, mes yeux saphirs brillaient d'une émotion nouvelle, la compassion, il devait souffrir de son pouvoir pour ainsi dire. Le vent autour de nous se renforçait, c'était à mon avantage, je l'entourais difficilement, grâce à mes ailes pour moduler l'air à ma guise, cependant dans la manipulation, je me blessais un peu partout, surtout sur le bout des ailes. Une fois le mâle entouré, je le regardais calmement, son pouvoir devait être contenu, c'est pour cela que j'utilisais le mien, même si actuellement j'avais du mal à l'utiliser en boucle.
"-Ca va aller, je ne connais pas grand chose de vous certes, vous devez avoir un passé douloureux et des souvenirs tout aussi...Cependant, si je peux vous aider, je le ferais, vous pouvez dire que je suis stupide, je le sais parfaitement, cependant, je ne suis pas un monstre qui vous laisserai crever à petit feu." Dis-je d'une voix douce et rassurante.
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