Que les matin dans la caserne sont bruyants ! Tous se pousse, se bouscule et et dispute, pourquoi ne peuvent t'il pas tous vivre ensemble sans s'entre tuer ?! Je soupir. Je ne sais vraiment pas faire, on m'a conseillé d'aller m'entrainer au champ d'entrainement, mais je n'ai pas vraiment envie de devenir un sac de muscle ! Et pour ce qui est de mon pouvoir, je n'ai pas besoin de m'entrainer à l'utilisé vue que je le connait déjà très bien... A que cette vie est ennuyante ! Je fixe mon bracelet d'argent, et toi, que je te hais ! Je me lève et décide de ne plus y penser je devrais peux être sortir, je n'ai pas tenter d'aller hors de la ville pour l'instant. Mais ou aller ? Je ne compte pas aller vers les territoire des félinae, ce serais très mal vue... Dans ma tête se dessine le lieux ou j'ai grandi, mais avec eux viennent trop vite les visages souriant de ma petite famille. Je devrais tout de même aller voire ce qu'est devenus la bicoque dans laquelle nous vivions... Sa y est, je suis décidé. Mais je sais très bien que le port est bien loin d'ici... Du moins à pied ! Je sort de ma chambre, évitant l'étage des soldats adulte et je me rend sur un toit ou je prend le temps de me métamorphosé en douceur. C'est moins douloureux que les changement brusque, mais cela le reste tout de même. Je gémis et tombe au sol. Je ne cherche pas vraiment à contenir en moi la douleur, personne n'est la pour m'entendre. Après avoir vérifié que mes ailes sont en états de marche, je prend mon envol vers le vieux port. Je me laisse porté par les vent chaud du désert, laissant mes plume se doré au soleil, sans battre des ailes. Ce voyage plutôt agréable et relativement peux fatigant me fait incroyablement plaisir ! Enfin, je vois les bateaux échoué. J'ai l’impression que je rentre chez moi, que j'apporte à manger à ma petite famille ! Je croie apercevoir le visage souriant de Nigma, Safu et Liko qui se battent dans la poussière. Mais lorsque je me pose enfin, personne ne me souhait le bien venue. Je suis seule. Encore... Et j'ai ce stupide bracelet à la patte. Je grogne et me remet sous ma forme originel. Ce qui m'arrache un cris de douleur mal étouffé. Je me retrouve haletante dans la poussière. Mais courageusement je me relève. Je calme lentement ma respiration saccadé, assise sur le rebord d'un bateau de pêche détruit.