Je baisse la tête. Cela fait plus d'une heure que je chasse sur le sentier ! J'aime bien chasser un solitaire mais quand même ! Mes coussinets me pique et je suis fatigué. je me couche doucment à l'ombre d'un arbre et soupir. je me lèche les pattes , il fait chaud, trop chaud. J'ai soif, j'aimerai que le soleil dissparaisse pour une lune entière. je regarde le ciel enssoleilé et ferme les yeux, j'ai envie de dormir mais je ne peux pas. le temps passe, une minute, puis deux,puis trois. Je me sens un peu mieux et j'ouvre les yeux, des nuages couvrents e ciel et font de l'ombre sur le sentiers.Je vais enfin pouvoir reprendre la chasse ! je me lève et repart tranquillment en quête de gibier. La chasse est vraiment pénible et j'ai envie de rentrer mais un mulots de suffira pas. Une voiture passe et je m'écarte, puis un petit oiseaux attire mon attention.Je me mets en position de chasse.Je suis tapie sur le sol et l'oiseau ne me vois pas.Je lui saute dessu toutes griffes dehors mais il s'envole à temps. La rage me saisi et je lui cours innutilments après. J'en ai marre que tous les animeua m'échappe ! je continue à courrir et tout à coups je trébuche sur un rocher pointue et tombe à terre.J'ai mal, ma patte arrière gauche saigne et j'ai plusieurs égratinures.Je suis étalé par terre au soleil et j'ai beaucoup de peine à me relever. C'est horrible j'ai envi de pouvoir me téléporter ailleurs dans un endroit à l'ombre. j'avance un boitant et retombe à terre. Je pousse un miaulments de douleurs. je perds courage et reste à terre sur l'herbe. Fichu rochers ! j'apperçois au loin un shilouhette de chat blanc et roux. Pourvu que ça ne sois pas un soldats ! Je ne suis vraiment pas un état pour me battre.

Je viens d'arriver sur le sentier. Il fait terriblement chaud. C'est dans ces moments que je regrette que mon pouvoir ne serve qu'à réchauffer ! Je suis partie en chasse depuis quelques temps déjà ; d'après la position du soleil, presque deux heures, et je n'ai attrapé qu'une minuscule musaraigne. Pas de quoi nourrir ma Guilde... Et cette chaleur étouffante qui me fait haleter... Je commence à me fatiguer....
Il faut pourtant que je continue... Je ne peux quand même pas rentrer avec seulement cette prise ridicule...
Ma maigre prise entre les crocs, je cherche un coin de terre plutôt mou pour l'enterrer, et aller ensuite trouver un étang pour me désaltérer, quand j'entends un miaulement de douleur.
Un chat en détresse ! Je m'élance vers l'origine du cri et aperçois une silhouette sombre allongée au sol, en plein soleil, la patte en sang. En y regardant de plus près, je peux voir que ce chat a un pelage noir parsemé de grandes taches pourpres. Il a été génétiquement modifié. Comme moi. Mon cœur se gonfle de compassion. À présent, je ne peux plus faire demi-tour en feignant de n'avoir rien vu, il faut que j'aille l'aider !
Je cours vers lui malgré la chaleur accablante, soulevant à chaque foulée un nuage de poussière. Je m'arrête près de lui, la gorge sèche. Je pose ma musaraigne et pousse le chat blessé du bout du museau en tâchant de prendre une voix douce et rassurante :
"N'aie pas peur, je suis là pour t'aider. Tu peux bouger ?"

La chatte blanche et rousse s'approche de moi.Je recconaît l'odeur d'une caméléon ! Je commence à stressé en l'imaginant profiter de ma faiblesse pour m'attaquer mais très vite je sens qu'elle ne me veux aucun mal, elle à au contraire l'air de vouloir m'aider.Je soupir de soulagment.Elle posa sa proie et me poussa du bout du museau. Je ne suis pas très à l'aise et elle à du le voir.

-N'aie pas peur, je suis là pour t'aider. Tu peux bouger ? me demanda t-elle.

Je regarde ma patte blessé et me relève de mon mieux. Je ne veux pas qu'elle pense que je sois faible ! Mais franchment je pense qu'elle à remarqué que je suis un imbécile qui veut à tout prix cacher ses blessure.

-ça va merci, ai-je marmonné la voix tremblante.

je recule d'un pas pour lui prouver mais je manque de trébucher.Je regarde ses yeux jaune-verts, le regard doux qu'elle me lançait me rassurait.Je ne pu pas m'empêcher de ronronner, moi qui detèste parler aux chats de ma propre guilde me voilà en train de remercier une caméléon ! Je baisse la tête gêné de devoir lui demander de l'aide.

-Hem...tu ne connaîtrait pas une plante pour calmer le plaie ? lui ai-je demander doucment.

je m'assied sur l'herbe en attendant sa réponce.

Il se relève, visiblement chancelant. Je souris doucement, soulagée : vue de près, sa blessure est moins grave qu'il n'y paraissait quelques temps plus tôt.
"Ça va, merci", marmonne-t-il.
Sa voix tremble légèrement. La douleur, peut-être ? À moins qu'il n'ait peur de moi ?
J'ai pu sentir sur son pelage l'odeur des Felinae, mais nos deux Guildes ne sont pas ennemies, alors aucune loi ne nous empêche de parler ou de nous entraider.
Il fait un pas en arrière, en manquant de tomber, puis relève la tête et soutient mon regard. Ses yeux, bien que d'une couleur inhabituelle, ne sont pas dénués d'une certaine beauté. Je ne peux m'empêcher de lui sourire.
Il commence à ronronner doucement. Je l'imite, maintenant complètement détendue.
Puis il baisse vivement la tête. Je ne vois plus son visage, mais je devine qu'il est gêné. Je n'ai pas le temps de réfléchir à la cause de sa gêne qu'il me demande d'une voix douce :
"Hem... Tu ne connaîtrais pas une plante pour calmer la plaie ?"
Je réfléchis un instant. Je ne suis pas une soigneuse, mais j'ai déjà eu l'occasion de les voir à l’œuvre. Si je me souvenais bien, les soigneurs utilisaient diverses plantes contre les infections. Je jette un coup d’œil à sa plaie. Bien que sa patte soit souillée de sang, les saignements semblent avoir cessé. Soudain, le nom de la plante nécessaire me revient !
Je me tourne vers le jeune Felinae, et lui réponds, tout sourire :
"Je crois que du souci ferait l'affaire. Je peux aller t'en chercher, si tu veux."
Tout d'un coup, je réalise que je ne connais même pas son nom. Je ris doucement.
"Décidément, je manque vraiment de politesse ! Je m'appelle Yenäa. Et toi ?"

La chatte blanche tigré réfléchis un instant et me répond souriante :

-Je crois que du souci ferait l'affaire. Je peux aller t'en chercher, si tu veux.

et puis elle ris doucement

Décidément, je manque vraiment de politesse ! Je m'appelle Yenäa. Et toi ?

je cligne lentment des yeux et me racle la gorge avant de répondre .

-Je me nomme Poison,normal mes crocs sont empoisonnés ai-je remarqué dans un petit rire gêné.

M...merci Yenäa.Tu es très gentille de faire tous ça et...et je marque un pause pour reprandre mon soufle
Je suis certains que n'importe quel autre chats ne se serai pas approché d'un chat innconu pour l'aider. ai-je finis.

Je lui lance un regard plein de gratittude.

"Je me nomme Poison, normal : mes crocs sont empoisonnés", répond-il.
Je déglutis. Vivre avec un tel pouvoir doit être un vrai fardeau... Je me sens presque reconnaissante en réalisant à quel point je suis chanceuse d'avoir un pouvoir qui ne comporte aucun risque.
Il rit, apparemment gêné, puis ajoute :
"M-Merci Yenäa. Tu es très gentille de faire tout ça, et..."
Il se tait un instant avant de continuer :
"Je suis certain que n'importe quel autre chat ne se serait pas approché d'un chat inconnu pour l'aider."
Puis il me regarde. Dans ses yeux, je lis de la gratitude. J'agite les oreilles, un peu gênée, avant de lui répondre :
"Tu sais, au début, je n'avais pas vraiment l'intention de m'approcher... En fait, je... quand j'ai vu que tu avais subi les expériences des hommes... Eh bien, je n'ai pas pu m'en aller. Je sais ce que c'est, et je crois... Je crois que je me sens proche de tous ceux qui ont vécu ça."
Je détourne le regard en poussant un petit soupir. Mais je n'ai pas envie d'être triste. Pas aujourd'hui. Poison est un chat bien, et je n'ai pas envie qu'il ait de la peine pour moi. Alors je lui rends son regard et je souris.
"Oublie ce que j'ai dit. Je suis contente de pouvoir t'aider."
Je désigne ma petite proie abandonnée par terre.
"Au fait, si tu as faim, n'hésite pas. En attendant, il faut nettoyer ça. Après, j'irai te chercher des feuilles."
Je m'approche de lui sans lui laisser le temps de répondre et je commence à nettoyer sa plaie à grands coups de langue.

Yenäa agita ses oreilles légèrment gênée.

-Tu sais, au début, je n'avais pas vraiment l'intention de m'approcher... En fait, je... quand j'ai vu que tu avais subi les expériences des hommes... Eh bien, je n'ai pas pu m'en aller. Je sais ce que c'est, et je crois... Je crois que je me sens proche de tous ceux qui ont vécu ça.


Elle pousse un petit soupir.Alors Yenäa à elle aussi été modifié par les hommes ? La pauvre, je sais à quel point les hommes sont cruels, dailleurs je viens de remarqué qu'elle à la queu divisé en deux.Frenchmant un chat comme elle ne mérit pas ça.Elle sourit.

-Oublie ce que j'ai dit. Je suis contente de pouvoir t'aider.
Elle me montre sa petite proi au sol.
Au fait, si tu as faim, n'hésite pas. En attendant, il faut nettoyer ça. Après, j'irai te chercher des feuilles.

Sans me laisser le temps de répondre elle se mets à lécher ma plaie. Je me sens bizarre, gêné, mais je ne peux pas la repouse.Je rougi un peu puis secoue la tête.

-Euh...Alors c'est quoi ton pouvoir ?ai-je demander por détentre l'atmosphère

Alors que je lèche doucement sa patte, il ne se débat pas, n'essaie pas de me repousser. De toute façon, il doit savoir que je n'ai pas l'intention de lui manger la patte.
Je l'entends me demander sur un ton léger :
"Euh... Alors c'est quoi ton pouvoir ?"
Je relève la tête, jette un petit regard satisfait à la plaie maintenant propre, et lui réponds de ce même ton détendu :
"Oh, rien de bien impressionnant. Je peux créer de la lumière chaude."
Je ne suis même pas sûre qu'il ait compris. Je ris et tente de l'expliquer mieux que ça.
"En gros, mon corps émet de la lumière, et cette lumière réchauffe. Un peu comme le soleil, tu vois. Mais en beaucoup moins puissant, évidemment."
J'ajoute en ronronnant presque :
"Et ne compte pas sur moi pour te faire une démonstration par cette chaleur !"
Je croise son regard et puis, c'est plus fort que moi, j'éclate de rire. Pourquoi ? Allez savoir. Il faut croire que j'apprécie ce chat. Je n'avais plus ri comme ça depuis longtemps.

Yenäa releva la tête avec un petit regard satisfait et lança d'un ton détendu :

-Oh, rien de bien impressionnant. Je peux créer de la lumière chaude.

Perplexe je remue mes oreilles.

-En gros, mon corps émet de la lumière, et cette lumière réchauffe. Un peu comme le soleil, tu vois. Mais en beaucoup moins puissant, évidemment.

je hôche la tête, puis elle ajoute :

-Et ne compte pas sur moi pour te faire une démonstration par cette chaleur !

Elle éclate de rire, moi aussi.Quelle blageuse cette Yenäa ! Je me sens bien, dailleurs c'est la prmière fois que je ris depuis l'accident de Kyü. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve que Yenäa est vraiment sympa ! Il y à bien Nyara que je conssidaire comme une amie mais là c'est different.

-T'as raison, à moins que tu veuille provoqué un inccedie ! ai-je plaisanter à mon tour.

Moi qui pensais que ma journée était fichu, je m'amuse bien plus avec une caméléon qu'avec tous les Felinae !

"T'as raison, à moins que tu ne veuilles provoquer un incendie !" plaisante Poison.
Nous rions tous les deux. C'est un moment formidable. Qui aurait pu croire que cette journée caniculaire et mauvaise pour la chasse tournerait aussi bien ? Je n'avais presque rien attrapé pour nourrir ma Guilde, mais j'avais trouvé bien mieux : un ami.
Après quelques minutes à rire, je reprends doucement mon souffle et je réalise que je meurs de soif. Ma gorge est plus sèche qu'un désert.
"Bon, plus sérieusement, lui dis-je malgré le fait que je ris encore à moitié, que dirais-tu d'aller trouver un petit coin d'ombre ? Ou un point d'eau ? On pourrait se reposer et discuter un peu."
Je jette un autre coup d’œil à la plaie.
"Je t'aiderai à marcher, si tu veux. Et je suis sûre qu'on trouvera de quoi te soigner sur le chemin. Qu'en dis-tu ?"

Nous rions un moment ensemble.C'était amusent de pouvoir plaisanter comme ça ! Si seulment j'en avait plus l'occasion...

-Bon, plus sérieusement, lui dis-je malgré le fait que je ris encore à moitié, que dirais-tu d'aller trouver un petit coin d'ombre ? Ou un point d'eau ? On pourrait se reposer et discuter un peu.dit-elle malgré qu'elle est encore un peu en train de rire.

Moi ça m'irais bien un coin à l'ombre avec de l'eau ! De plus ici en meurt de chaud et j'ai de plus enplus soif. Mais avec ma plaie ça vas me prendre longtemps.... tanpis au pire j'essayerai de courir.

-Je t'aiderai à marcher, si tu veux. Et je suis sûre qu'on trouvera de quoi te soigner sur le chemin. Qu'en dis-tu ? demande Yenaä:

Je hôche la tête,bien content qu'elle me le propose.Je ne m'était jamais sentit aussi proche d'un chat de puis au moins... 7 mois ? la moitié de ma vie.

-Oui, merci ai-je répondu en me levant.

-Bon, alors je te suis on trouvra bien un petit coin d'eau ! ai-je annoncé avec enthousisame.

Il hoche la tête et se lève.
"Bon, alors je te suis on trouvera bien un petit coin d'eau !" lance-t-il, l'air enthousiaste.
Je lui souris, me lève à mon tour, récupère ma proie et viens me placer à sa gauche, mon épaule contre la sienne pour le soutenir.
"N'hésite pas à t'appuyer sur moi si tu as mal."
Nous commençons à marcher.
Après quelques temps, nous arrivons à un petit étang, bordé de roseaux et d'herbes folles, le tout ombragé par un grand saule pleureur aux racines noueuses. Il y a bien quelques moustiques, mais il me semble que c'est l'endroit parfait. J'aide Poison à atteindre le bord de l'étang, je vais déposer ma proie à l'ombre, puis je commence à boire. L'eau est tiède, car le soleil tape fort même à l'ombre, mais j'ai tellement chaud que je ne me fait pas prier. Je bois jusqu'à plus soif, puis je m'étire longuement avant de m'allonger sur le ventre, entre les racines du saule, ma proie entre les pattes.
Quand Poison viendra s'installer, nous pourrons discuter tranquillement en profitant de l'ombre de ce vénérable saule.

Yenaä se lève et viens se placer à ma gauche, son épaule contre la mienne pour m'aider à marcher.

-N'hésite pas à t'appuyer sur moi si tu as mal.

Nous commençons à marché.Je boite un peu mais ça va.Je epux compter sur Yenaä si j'ai un peu de mal.Lorsque que nous arrivons il y a un petit étang bordé de roseaux et d'herbes folles.Il y à un grand saule pleureur qui fait de l'ombre sur le petit endroit.C'est parfait, on va pouvoir se reposer à l'ombre et boire dans le ruisseau.Yenaä m'aide à rejoindre l'étand et pause sa proie pour aller boire.Je la rejoins, l'eau n'est pas très fraîche mais ça fait du bien quand même.Quand j'ai fini de boir je viens m'installer à côter de Yenaä.Je me sit qu'ont pourrait discuter un moment.J'ai plein de questions à lui poser sur elle et sa vie.

-Tu viens des caméléons n'est pas ? Quel est ton rang ? ai-je demandé.

Je me rapproche d'elle et lui sourit en admirant le petit ruisseau.

(dsl mon rp est un peu court ^^')

Il me rejoint après avoir bu, et s'installe à côté de moi.
"Tu viens des Caméléons n'est-ce pas ? Quel est ton rang ?" me demande-t-il, l'air curieux.
Puis il me sourit et regarde le petit ruisseau qui prend sa source dans l'étang.
Je lui souris à mon tour et lui réponds :
"Oui, je suis une Caméléon. Et je suis leur nourrice. Je m'occupe des petits dont les parents sont absents, pour telle ou telle raison. Mais vous en avez aussi, alors je pense que tu sais ce que c'est."
Je me tait un instant, ferme les yeux pour mieux sentir la petite brise fraîche qui vient de se lever. Je lui demande alors, toujours les yeux fermés :
"Et toi ? Quel est ton rang ? Et..."
J'hésite un peu à lui demander ça comme ça. J'ai peur de le vexer. Mais je me jette à l'eau.
"Désolée de te le demander de cette façon, mais... Pourquoi as-tu choisi les Felinae ? J'ai l'impression que tu es plutôt solitaire, parmi eux... Enfin, ce n'est qu'une impression, hein, je me trompe peut-être..."
Je lui jette un regard en coin pour observer sa réaction en espérant qu'il ne m'en veuille pas.

(Hors RP : pas grave tant qu'il fait au moins 10 lignes ;))

-Oui, je suis une Caméléon. Et je suis leur nourrice. Je m'occupe des petits dont les parents sont absents, pour telle ou telle raison. Mais vous en avez aussi, alors je pense que tu sais ce que c'est.

Nourrice ? ça lui va bien, elle est tellment douce.

-Et toi ? Quel est ton rang ? Et...

Elle hésita queqlques instants.

-Désolée de te le demander de cette façon, mais... Pourquoi as-tu choisi les Felinae ? J'ai l'impression que tu es plutôt solitaire, parmi eux... Enfin, ce n'est qu'une impression, hein, je me trompe peut-être...

Elle ne se trompe pas, je suis plutôt solitaire. Mais bon, elle ne connaît pas mon histoire ! mais je lui fait confiance, je vais lui en dire une partie..

-Je suis un Combattant, tu as raison je suis plutôt du genre à rester seul mais croics moi ça n'a pas toujours été comme ça.

Je m'interromp un momant pour tourner ma tête vers elle et l'observé une petite seconde avant de reprendre :

-Avant j'était plus joyeux et je me sentais bien dans ma guilde mais en grandissant mon caractère à changer, dailleurs j'envisage parfois de changer de guilde...Mais je ne sais pas si c'est vraiment possible.

Je soupir en repansant à mon ami d'enfance.Je ne pense pas que Yenaë m'ai compris, peut-être après tout ? Je pose ma tête entre mes pattes et pousse un petit rire gêné.

"Je suis un Combattant, tu as raison je suis plutôt du genre à rester seul mais crois moi ça n'a pas toujours été comme ça."
Il se tait un instant, tourne la tête et croise mon regard. Un combattant. C'est vrai qu'avec ses crocs empoisonnés, il doit pouvoir repousser pas mal d'ennemis...
Puis il reprend :
"Avant j'étais plus joyeux et je me sentais bien dans ma Guilde mais en grandissant mon caractère a changé, d'ailleurs j'envisage parfois de changer de Guilde... Mais je ne sais pas si c'est vraiment possible."
Changer de Guilde ? Ce n'est pas rien. Moi même, j'ignore si cela s'est déjà produit.
Il pousse un soupir et pose sa tête entre ses pattes. Il a un petit rire gêné.
J'ai de la peine pour lui. Personne ne mérite d'être seul. Et je ne sais pas ce qu'il s'est passé pour qu'il change de caractère et n'aime plus sa Guilde, mais cela doit être grave. Je décide de ne pas insister. Quelqu'un qui lui enfonce le couteau dans la plaie, ce n'est pas quelque chose dont il ait grandement besoin en ce moment.
"Je suis désolée", je murmure.
Puis je me penche vers lui et lui lèche doucement l'oreille.

-Je suis désolée murmure Yenaä.

Elle n'avait pourtant rien à se reprocher, c'est une des seule personne que je trouve ''gentille'' dans se monde.Elle n'a donc aucune raison de s'excuser, ce n'est même pas de sa faute.Je relève la tête et agit mes oreilles.

-Tu n'a pas à t'excuser, tu n'as rien fait. ai-je marmonée d'une voix presque innaudible.

Je m'approche un peu d'elle et frôla sa douce fourrure, c'est vraiment dommage qu'elle apartienne à une autre guilde.De plus je ne veux as risquer de la rendre triste en parlent de mes soucis personnels.

-Pour changer de sujets, toi, pourquoi à tu à choisis la guilde des Caméléons ? ai-je demander.

C'est vrai tiens, ça ne doit pas être amusent de ne jamais pouvoir se battre.Bon Yenaë est une nourrice donc elle ne se serait quand même pas battue dans la guilde Felinae, mais il y à bien plus d'aventure ! à y laisser sa peau parfois... de toute façon moi je n'ai pas grand chose à perdre. Je n'ai presque pas d'amis donc si je meurs on me regrettra pas !

Je l'entends marmonner quelque chose, mais c'est tellement bas que je ne comprends pas ce qu'il dit. Il s'approche un peu de moi. Nos fourrures se frôlent. Il prend la parole pour me demander :
"Pour changer de sujet, toi, pourquoi as-tu choisi la guilde des Caméléons ?"
Je souris, amusée, et lui réponds :
"Quand les Felinae m'ont sorti du Laboratoire, j'ai songé à les rejoindre. Mais... je n'aurai pas été utile aux Felinae. Ils avaient déjà des nourrices et se battaient beaucoup. Je n'ai jamais aimé me battre. Si cela est nécessaire, je n'hésite pas, mais je ne veux pas causer de souffrance inutile. Je suis d'accord avec les idéaux de ta Guilde, mais je n'aurai jamais pu en faire partie. Et... je crois..."
J'ai un hoquet mais je sais que je peux lui dire. Je lui fais confiance pour ne pas aller le crier sur tous les toits. L'une des raisons les plus importantes qui m'ont fait choisir les Caméléons.... Je ne l'ai jamais avoué à personne. Je ne me voyais pas le faire. Et encore moins avec un Felinae. Pourtant je continue.
"Je crois qu'une part de moi avait peur. Je me savais inutile aux Felinae... et... j'avais peur que, me considérant comme un fardeau... ils m'abandonnent. Je... Je n'aurai jamais pu survivre toute seule. Je suis bien trop faible, et je ne supporte pas d'être seule trop longtemps."
Je m'arrête, reprends mon souffle. On peut dire que j'ai vidé mon sac. Je ne continue pas. Je regarde mes pattes en guettant sa réaction du coin de l'oreille.

-Quand les Felinae m'ont sorti du Laboratoire, j'ai songé à les rejoindre. Mais... je n'aurai pas été utile aux Felinae. Ils avaient déjà des nourrices et se battaient beaucoup. Je n'ai jamais aimé me battre. Si cela est nécessaire, je n'hésite pas, mais je ne veux pas causer de souffrance inutile. Je suis d'accord avec les idéaux de ta Guilde, mais je n'aurai jamais pu en faire partie. Et... je crois...

Elle à un petit hoquet. Elle reprend :

-Je crois qu'une part de moi avait peur. Je me savais inutile aux Felinae... et... j'avais peur que, me considérant comme un fardeau... ils m'abandonnent. Je... Je n'aurai jamais pu survivre toute seule. Je suis bien trop faible, et je ne supporte pas d'être seule trop longtemps.

J'ai un petit sursaut. Je comprenais très bien mais je pense que Yenaä est tout sauf innutile.De plus, Les Felinae n'abandonnera jamais un chatte aussi gentille et douce. Je suis certains que Yenaä est une super nourrice.

-Tu sais je comprends mais je ne pense pas que Felinae oserai abandonner une chatte aussi gentille que toi. ai-je murmuré.

je lui caresse affectueusement le dos avec le boud de la queue en ronronnant.Je ne voulais pas la déprimer, j'essayer plutôt de lui remonter le moral !

-De plus, se serait plutôt les autres nourrice qui auraient du souci à se faire ! ai-je plaisanter.

"Tu sais, je comprends mais je ne pense pas que les Felinae oseraient abandonner une chatte aussi gentille que toi", me murmure Poison.
Ces mots me touchent énormément.
Je le sens me caresser le dos avec sa queue. Il ronronne. Je ronronne avec lui, reconnaissante.
"De plus, ce serait plutôt les autres nourrices qui auraient du souci à se faire !" lance-t-il d'un ton joyeux.
Je lève la tête vers lui en souriant. J'ai les yeux embués et je ronronne de gratitude. Je lui souffle entre deux ronrons :
"Merci, Poison."
Je ne sais pas s'il a senti dans ces deux mots à quel point il m'avait touchée, mais c'est le cas.
Je regarde le ciel. Il y a de plus en plus de nuages, et l'air s'est agréablement rafraîchi. Le vent m'apporte une odeur de gibier. Grâce à Poison, je me sens bien maintenant. Un frisson de délice me parcourt le dos alors que je hume les parfums des proies. Je lance une petite bourrade amicale dans l'épaule de Poison en lançant joyeusement :
"Une partie de chasse, ça te dit ?"

-Merci, Poison. souffla t-elle.

Elle ronronne et sourit.Tant mieux, je n'aime pas la voire triste. C'est bizzard pour les autres chats je m'en fiche mais pour elle.Elle regarde le ciel, le temps est devenue agréable et il y à un petit peu de vent.

-Une partie de chasse, ça te dit ?proposa t-elle.

J'avais un peu faim, de plus je ne pouvais par rentrer à la guilde avec un minable mulot ! dailleurs je ne sais même pas ou je l'ai posé.Je hôche la tête joyeusement.

-Je veux bien ! ça va être sympa. ai-je répondu.

Je me lève doucement les poils au vent.

-J'aimerai juste boire un dernière foi si tu est daccord.ai-je annoncer.

je me dirige lentment vers le ruisseau.

"Je veux bien ! Ça va être sympa", répond-il.
Mon sourire s'élargit. Il se lève lentement. La brise fait doucement onduler sa fourrure.
"J'aimerais juste boire une dernière fois si tu es d'accord", lance-t-il.
Il se dirige vers le ruisseau à pas lents. Je regarde encore le ciel. Soudain, je me fige. S'il fait maintenant plus frais, c'est que le soir commence à tomber. Je dois rentrer au camp des Caméléons. Je rejoins Poison, qui a fini de boire. Je lui explique, déçue :
"Je suis désolée, Poison, mais on ne pourra pas chasser ensemble aujourd'hui."
Je désigne le ciel.
"La nuit tombe. Je dois rentrer."
Je le regarde, désolée.
"Mais demain, on aura toute la journée, j'ajoute avec un sourire malicieux. Qu'en dis-tu ?"
Je lui fais une petite pichenette sur l'oreille.

-Je suis désolée, Poison, mais on ne pourra pas chasser ensemble aujourd'hui. explique t'elle déçu, elle désigna le ciel :

La nuit tombe. Je dois rentrer.

Je baisse la tête moi aussi un peu déçu, c'est triste mais je comprend qu'elle doive rentrer. Moi aussi dailleurs Je devrais y rentrer mais de toute façon je ne pense pas qu'on se rende vraiment compte que j'ai dissparu.

-Mais demain, on aura toute la journée, j'ajoute avec un sourire malicieux. Qu'en dis-tu ? propose t-elle.

Elle me fit une petite pichnette sur l'oreille et mon sourire revient. Je ronronne, se revoir est une très bonne idée ! on pourrait chasser ensemble... Deplus ce n'est pas interdit !

-Bonne idée Yenaä.ai-je répondu.

Je lui rend sa picjnette et ronronne de plus belle.

Alors on se retrouve ici, dans deux jours ? ai-je proposé.

Je m'éloigne déja sans attendre sa réponce je lui fait un signe de queue pour lui dire aurevoier. Je suis un peu triste, ça faisait longtemps que je navait pas eu ''d'ami''.

-Aurevoir ! à dans deux jours ! ai-je lancer d'une voix forte pour qu'elle m'entende.

Je tent les oreilles pour voire si elle me réponds.

"Bonne idée Yenäa", répond-il.
Il me rend ma pichenette et ronronne. Je ronronne de concert avec lui.
"Alors on se retrouve ici, dans deux jours ?" propose-t-il.
J'acquiesce, toujours en ronronnant ; je ne me rends pas compte tout de suite qu'il s'éloigne déjà. Sa queue ondule pour me dire au revoir. Bien qu'il ne me voie pas, j'ondule également la queue, déjà impatiente d'être dans deux jours. C'est mon premier ami parmi les Felinae, et j'ai vraiment envie que notre amitié dure.
"Au revoir ! À dans deux jours !" lance-t-il d'une voix forte.
Je lui réponds bruyamment :
"À dans deux jours, Poison !"
Je me retourne, dans la direction de l'Arbre Creux. Je récupère ma musaraigne ; tant pis pour la chasse. Puis je regarde le ciel. Il se pare déjà de couleurs orangées, et les nuages sont déjà d'une belle couleur rosée. Je ferme les yeux et souris. J'inspire une grande bouffée d'air. La forêt se pare déjà de l'odeur enivrante de la nuit. Je prends le chemin du retour, le cœur gonflé de joie à l'idée de revoir bientôt Poison. Mon ami.