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/!\NSFW /!\| How to bottom with pain and stains ||ft.Alec||

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Anonymous
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   Lun 6 Aoû - 23:07


ATTENTION

ATTENTION NSFW LES ENFANTS.

How to bottom with pain and stains ||ft.Alec||


Marie-Antoinette est maîtresse du jeu
S'il pouvait penser, Emulp penserait probablement que la situation ne pouvait pas être pire. Et, sur cet unique point, il ne pouvait pas avoir plus tort. Mais cela, la prudence, la projection dans un futur proche, cela ne te concernait absolument pas. Tu manquais cruellement d'intérêt dans ce qui ne pouvait pas te divertir dans l'immédiat, ce qui faisait de toi une personne à la fois terriblement impulsive et terriblement osée. Cela faisait plusieurs jours que ta conscience glissait doucement entre tes pattes. Tu savais que cela n'était pas une bonne chose que de rester ici trop longtemps, avec tout ce qu'impliquait ta personne. Tu avais pris le Corps et tu l'avait emmené loin, très loin. Pendant quelques jours, tu n'avais fait que marcher et danser, sans te soucier de quoi que ce fut. Après tout, tu étais plutôt bonne chasseuse, et tu n'avais aucun mal à parvenir au moindre de tes besoins. Cela te prouvait une fois de plus qu'à chaque fois qu'on t'enlevait le Corps pour le remettre à sa "place", c'est-à-dire chez les Caprae, c'était là un intense gâchis. Comme tu préférerai être solitaire, que de te soumettre à leurs codes ! A chaque rare fois où tu pouvais voler sa réalité, même quelques heures, tu lui faisait ce doux cadeau de l'emmener, et de laisser ses yeux distinguer des monts qu'il n'aurait jamais eu en restant à ne rien faire, chaleureusement blottit contre sa paisible et ennuyeuse condition de bon-à-rien. C'était déjà chose rare que tu puisse l'avoir, mais chose encore plus rare que tu y restas plus de quelques heures; peut-être ton indépendance parvenait-elle enfin à dominer entièrement cette enveloppe-là?

C'est ce à quoi tu songeais, pendant que tu traversais mollement le désert, vers l'oasis. Assez naturellement, la température était chaude, mais le Corps, avec ta matière grise défectueuse, ne semblait nullement en avoir cure. Tu ne ressentais rien; quoi que d’occasionnelles brûlures dérangeantes sur tes coussinets te rappelaient à la réalité. Tu ne pouvais cependant négliger l'immense fatigue qui plombait tes épaules, bien plus que n'importe quelle chaleur qui pouvait abattre sur toi. Tu avais un air pitoyable, tu étais modérément sale, le poil en bataille, clairement emmêlé et lourd, qui bouclait encore fatidiquement malgré tout ce qu'il avait traversé; et ton visage était déformé par de grandes cernes, compte tenu le fait que tu avais peur de perdre le contrôle en dormant; alors tu résistais encore comme un enfant. Ta carrure, déjà courbée, était encore plus frêle qu'à l'ordinaire; tu avais simplement cet air fatigué et nécessiteux. Tu ne prenais même plus gare à tes chaussettes qui tombaient, aucune n'étant à la même hauteur qu'une autre, et aucune n'étant parfaitement remontée; ce déséquilibre-là cependant ne te dérangeait pas plus que ton air affreux. Cela avait pourtant toujours été une priorité, que de soigner son apparence pour charmer; mais tu étais trop lasse de marcher pour cela. Tu avais tourné en rond une bonne partie du temps; alors la lassitude s'y mêlait. Peu importe; que tu arrive à cet oasis était la seule chose qui comptait. Alors tu vivrai pour boire, et tu te laisserai t'endormir, parce que tu ne pouvais pas supporter cette douleur plus longtemps.

C'était là qu'Emulp aurait été très content de voir Alec, puis, en constatant les pensées qui te traversait l'esprit, étrangement beaucoup moins. Tu vis sa forme imposante au loin; peut-être était-ce parce que tu perdais déjà le contrôle, mais tes pensées accéléraient dans un bouillon noir et bizarre, et tu pouvais entendre des espèces de voix errer dans ta tête. Entre autre, lorsqu'elles arrivaient à être assez cohérentes, et plus que des murmures, on pouvait distinguer des objections, des négations, qui t'intimaient de repousser au plus loin ton désir. Mais on ne pouvait pas te repousser toi, après tout; tu n'étais pas n'importe qui. Et si la maladie affligeait le corps de trous de mémoire, ton intention de rendre le corps disparut incessamment avec le souvenir de ta petite cavale pour se concentrer sur ce qui se tenait fièrement dos à toi. Tu arrivas finalement à l'oasis, et te désaltéra après avoir salué le roi d'un coup de tête. Une fois ceci fait, tu restas un instant figé; comme si tu avais encore oublié ce que tu étais venue faire. Maintenant qu'un besoin était réglé, tu avais grand mal à te souvenir qu'il y en avait un autre. Tes yeux fatigués se redirigèrent sur Alec. Tu l'observas quelques secondes d'un air très anormal pour la figure d'Emulp, puisque s'y mêlaient l'appréciation de voir quelque chose de beau au désir. Avait-il toujours eu une aussi charmante figure? Un de ces airs matures et dur, comme s'il avait vécu beaucoup plus que ta petite tête ronde.

Tu imaginais déjà ses courbes se dessiner doucement selon tes fantaisies, et tu laissas ton esprit s'en aller quelques secondes dans quelque fantasme bizarre. Après tout, ce Corps là n'avait jamais perdu sa virginité. Tu étais peut-être très mignonne, mais tu avais ce caractère "particulier" qui faisait que personne ne voulait jamais de toi. Et, pour une personnalité aussi "particulière" que toi, c'était une immense torture. Tu voulais que quelqu'un te veuille, et plus que de raison. Tu voulais partager ce Corps, non pas avec quelque esprit qui te le vole, mais avec quelqu'un d'autre, quelqu'un qui avait son propre Corps. Malgré ton air fatigué et pathétique, ton regard bleu s'arrêta dans le sien, malgré les lourdes cernes et l'envie de les fermer qui titillait tes paupières. C'était peut-être ta simple personnalité qui te donnait cet aura charmant, mais tu savais que tu n'étais pas comme d'habitude.

Tu fis semblant de regarder l'horizon d'un air désintéresse et dit d'une voix lointaine:

« Eh, on dirait que le sable n'est pas la seule chose brûlante aujourd'hui. »

Tu posas ta patte sur ta bouche, avant de prononcer ces terribles mots d'un air enjôleur :

« Montre-moi qui est le Roi. »

Tu glissas avec une grâce (tout aussi anormale pour Emulp) plus près du sol, et te penchas avec un air qui empêchait toute confusion dans tes intentions.

Emulp reprend le Corps.

Oh merde.


Hail to the KingHail to the King


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Alec
Alec

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   Sam 1 Sep - 17:28


dance with the devil
Passer la souris ici pour lire

Il était tôt dans la journée, très tôt. Et pourtant, la fraîcheur du matin n'avait pas arrêté le Roi de ses promenades quotidiennes. Lorsque l'Aube pointa son museau, le Roi se mit en route. Il avait prit un rapide repas, une sorte de petite grive, frêle et frappée par l'environnement si difficile. Elle était bien passée, elle ne pesait pas dans son estomac, mais ne lui laissait pas pour autant une sensation de faim.

Le Roi quitta le camp en saluant les sujets qu'il croisait, aimablement, mais toujours froid. Il avait cette expression si propre à lui, avec ses sourcils froncés et son regard dur. On voyait que l'âge commençait à lui titiller le visage, les poils de son museau semblaient commencer à pointer du blanc. Ce n'était peut-être qu'une illusion, qui sait. Alec n'était pas si vieux, et pourtant il n'était pas non plus jeune, il était dans la fleur de l'âge, un adulte musclé et mature.

Il était vrai, on ne pouvait se voiler la face, qu'il était séduisant. Il avait cette expression de père, de daddy, qui pourrait exciter certaines personnes, en manque d'affection parentale. C'était vu, que parfois, les jeunes étaient attirés par des plus vieux, par l'envie d'avoir des ordres à recevoir, l'envie d'être soumis à ce substitut de parent qui partagerait les soirées torrides. Cette envie de redevenir l'enfant de quelqu'un, de revivre ce sentiment d'impuissance qui titille l'excitation.

Et pourtant, ce magnifique matou se dirigeait vers l'oasis, seul. Comment un si beau mâle pouvait se promener seul, sans compagne, sans personne à ses côtés. Si seulement, si seulement la mort de sa compagne n'était pas un secret, si seulement les gens savaient ce qu'il avait vécu. Certains en avaient connaissances, mais ils étaient si peu que l'on pouvait les compter sur les doigts d'une main.

Sa traversée fut longue, silencieuse et monotone. Une fois à l'oasis, il se posa lentement sur la berge, fixant la surface de l'eau en réfléchissant. Les jours devenaient de plus en plus dur, pour la guilde, mais aussi pour le Roi. Il se laissait perdre lui-même. Ahmès ne lui apportait plus ces sentiments de bonheur qu'il vivait au début. L'excitation de la nouveauté avait disparu.

Ses pensées fut coupées lors de l'approche d'Emulp, qui se déplaçait bizarrement d'une façon légère, si féminine. Le matou vint se placer à côté du Roi, et observait l'horizon, semblant désintéressé de tout ce qu'il se passait dans ce monde. Le silence se brisa, lorsqu'Emulp prononça ces paroles si peu naïve, d'une voix lointaine.

▬ « Eh, on dirait que le sable n'est pas la seule chose brûlante aujourd'hui. »

Qu- pardon? Quelle mouche avait piqué le félidé crème? Ce dernier posa sa patte sur sa bouche, d'une façon naïve et si provocatrice en même temps, comme s'il se rendait compte que ce n'était pas des paroles appropriées. Et pourtant, le félin crème tenta d'animer la couleuvre, lançant de l'huile sur le feu avec ces quelques mots :

▬ « Montre-moi qui est le Roi. »

Etait-ce un affront? Qu'attendait-il venant d'Alec? Le Roi écoutait silencieusement, épiant chaque mouvement du félin avec attention. Le félin crème se glissa avec grâce près du sol, d'une grâce plus qu'anormale pour lui. Il se pencha, avec cet air si commun qu'Alec connaissait plus que bien, ce geste qui empêchait de se tromper sur les intentions de son voisin. Alec était troublé. Il était déchiré entre l'envie face à ces façons féminines, et entre la connaissance qu'il n'était pas ce qu'il semblait être. Il n'était plus temps de réfléchir, et Alec se lâcha à ses pulsions.

Le félin brun se hissa au-dessus du félidé crème, bien plus petit que le Roi. Alec attrapa la peau de la nuque d'Emulp entre ses crocs, fermement mais délicatement, sans l'intention de le blesser. L'antédiluvien avait fait preuve d'irrespect face à son Roi, et cet affront devait être puni. Mais pourtant.. Alec ne voulait pas le punir avec violence, il voulait partager une partie de cette journée avec lui, délicatement et sensuellement. Alors, avec toute la délicatesse qu'un monstre comme Alec pouvait posséder, il pénétra lentement Emulp avec son pénis d'une circonférence si anormale pour un félin. C'était énorme, et douloureux. Mais pourtant, le roi s'y prenait avec une douceur telle que la douleur était effacée pour du plaisir.

Le Roi lâcha un semblant de ronron, court et rauque, alors qu'il s'attelait à faire des vas-et-viens lents mais puissants. Ne possédant autre entrée que l'anus d'Emulp, il n'y avait pas plusieurs choix, et c'était la seule porte que le félidé brun pouvait enfoncer, ce qu'il faisait délicatement. Ce n'était pas un viol, vu qu'Emulp était consentant. Mais était-ce seulement vraiment Emulp? Seul lui-même pouvait le savoir, alors qu'il dansait avec le Diable.
Hruskans

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Anonymous
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   Sam 1 Sep - 23:54


ATTENTION

ATTENTION NSFW LES ENFANTS.

How to bottom with pain and stains ||ft.Alec||


Parce que tu te rappelas la situation, lorsque soudainement, tu sentis une déchirure dans ton arrière-train. Il y eut à peine un contact avec l'intimité du roi que tu sentais déjà tes entrailles brûler. Ce n'était pas bien, pas bien du tout, songeais-tu. Avec deux mâles, ce n'était pas bien. Ce n'était pas fait pour ça, un corps. Tu te disais que ton corps par ailleurs était trop étroit, et que ce ne serait pas confortable pour ce qui se frayait lentement un chemin à l'intérieur, et qu'il allait rapidement se retirer. Tu n'avais jamais ressenti une telle douleur; ni par l'intensité, ni par la sensation étrange qui venait avec. Tes yeux étaient fermés avec force, alors que tu fermais également tes mâchoires pour retenir le cri de douleur qui se changea en un gémissement plaintif étouffé. Qu'il soit à l'intérieur avant de se retirer une première fois prit un temps monstrueux, c'était lent, si lent; et tu en sentais chaque centimètre s'enfoncer lentement dans ton être. Lorsqu'il effectua son premier va-et-viens, tu pris conscience d'à quel point il était anormalement gros, et d'à quel point c'était beaucoup plus douloureux pour toi; et la fatigue des jours sans nourriture t'avait bien trop affaibli.

C'est alors que des larmes coulèrent sur tes joues. Tu te sentais immédiatement sale, et d'un autre côté, tu te sentis partir. Tu étais trop malade pour comprendre ce qu'il se passait réellement, puisqu'au bout de quelques retours, tes gémissements de douleur se changeaient en des gémissements de plaisir incontrôlés. Dans ta tête, des pensées compliquées se bousculaient : tu détestais ça, tu détestais cette douleur atroce et infâme; mais d'un autre côté, tu adorais le Roi, et tu ne voulais pas lui faire de la peine. Etait-ce une sorte de syndrome de Stockholm? Tu ne pouvais pas penser à ça, si bien qu'au bout d'un moment, ces pensées s'entrelacèrent et ne firent plus qu'une esquisse illisible et tu en perdis le fil. Tu te concentras alors sur la sensation qui détruisait le cours de ta conscience.

« V-vous me faîtes mal...»


C'était ce que tu avais vaguement réussit à articuler, avant de faiblir un peu trop. Tes pattes avant cédèrent sous les coups de butoir du Roi, et au lieu d'être légèrement surélevée, tu te retrouvas complètement écrasé, avec l'arrière-train levé et impossible à baisser à cause de la position d'Alec; tes griffes sorties, enfoncées dans le sable sans attraper quoi que ce soit, alors que tu tentais de rester un peu stable, mais tout ton corps tressaillait sous la force de l'autre chat. Il semblait prendre du plaisir avec ton corps, comme le traduisait ce qui semblait être un ronron. Tu te rendis compte cependant d'à quel point il était doux et charmant, ce qui contrastait tout à fait avec la douleur que tu ressentais encore. Mais comme tu perdais ta raison, tu n'étais plus tout à fait sûr de ça. Un mélange confus de tes consciences commençait à apprécier un peu trop la scène.

Tu soupirais des gémissements de plaisir, et à cause de ton manque de retenue, ils étaient affreusement bruyants, et assez androgynes pour qu'on puisse penser à s'y méprendre que tu étais une femelle; tu avais abandonné ton corps et te laissait complètement manipuler par le Roi. Ton corps était brûlant; et ce n'était plus à cause de la chaleur du désert, mais à cause de l'excitation qui commençait à monter clairement dans tout ton être. Les vas-et-viens d'Alec en toi étaient si profond que tu doutais que tu pourrais t'en sortir sans aucune marque; et il ne semblait pas s'épuiser alors que tu étais complètement dominé, sans pouvoir rien faire pour l'arrêter. Les larmes continuaient de couler sur tes joues, mélangées avec la peine, la douleur et le plaisir, ce qui donnait un spectacle bizarre sur ton visage.

Tu parviens au paroxisme du plaisir qui pouvait t'être accordé compte tenu de la douleur, alors que tu enfonçais ton visage dans tes pattes avant, comme pour cacher ton visage qui ne devrait pas exprimer ce genre de sentiments.







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