L'aube. Le soleil se levait lentement, perçant doucement le ciel de ses rayons lumineux. Quelques oiseaux agrémentaient la forêt de leur douce mélodie, et une légère brise faisait danser les plantes. L'air était frais et c'était pour cette raison que Kaïgaan avait décidé de sortir à cette heure. En début d'après-midi, la chaleur assommerait tous les chats se baladant dehors et il était hors de question que notre soldat subisse le même sort. La dernière fois que le mâle électrique était venu mettre une patte sur ce sentier, il avait rencontré un Felinae, Enkiro. Ils étaient passés à un poil d'une confrontation mais, pour une fois, Kaïgaan avait préféré revenir sur ses pas, évitant de justesse un combat. Après tout, il serait assez idiot de se battre avec un félin du groupe qu'il comptait rejoindre un jour. Enfin, si tout se passait comme prévu, et ce n'était pas gagné. Depuis sa rencontre avec Gwei, ami Felinae, il prévoyait secrètement de faire évader les prisonniers, enfermés dans le laboratoire et la ménagerie. Si Gwei était très excité par ce plan, Kaïgaan était un peu plus réaliste. Faire libérer tout le monde allait être difficile et il serait bien chanceux de s'en sortir vivant. Enfin, les choses avançaient lentement.
Le félin marchait entre les arbres verdoyants, sentant avec bonheur l'herbe fraiche sous ses coussinets bleus. Il restait néanmoins attentif, étant tout de même sur le territoire de ses "ennemis". Ah... Kaïgaan était si peu fidèle aux Hommes. S'il restait avec eux, c'était auparavant par peur d'un monde plus hostile que les cages, mais maintenant, il prévoyait de les trahir. Marchant dans la forêt, le matou gris se perdait dans ses pensées. Allait-il pouvoir quitter la ville ? L'endroit où il était né et avait grandit ? La vie sauvage était si différente de son existence actuelle. Il ne savait même pas chasser, quelle honte pour un chat. S'il était un plutôt bon soldat, il ferait un Felinae plutôt moyen. Mais même s'il avait peur de changer de vie, quitter tout ce qu'il connaissait, il ne pouvait pas passer le restant de ses jours sans rien faire, à entendre jours et nuits les cris des félins captifs, hurlant de peur et de douleur.
Kaïgaan secoua la tête. Raaah, il pensait trop. Toujours trop. Il était impossible pour ce félin d'avoir l'esprit en paix, de ne pas douter. Non, il devait marcher, se vider la tête avant une journée au service des humains. Ses pensées noires s'arrêtèrent immédiatement, focalisées maintenant sur quelque chose de plus... Réel. Purée. Un Felinae se tenait droit devant lui. Noir, rayé de rouge, une écharpe gris autour du coup. PURÉE. Bah voilà, bravo Kaïgaan, formidable, un vrai génie ce chat. Il pense, il pense, et oublie de se concentrer sur son environnement, se sentir un malheureux Felinae. Quelques secondes s'écoulèrent pendant lesquelles Kaïgaan maudit son manque d'attention. Que devait-il faire ? Se barrer en courant ? Hors de question. Il avait une fierté plutôt imposante ce matou oh ! Il toussota avant de finalement prendre la parole.

- ... Hey !

Waw. Formidable. Son ton avait été calme, quoique sa gêne de se retrouver dans une telle situation était clairement visible. Mais il était hors de question que Kaïgaan fuit devant quelqu'un. Et puis, qui sait, certains Felinaes pouvaient se montrer très sympathiques. En effet, le soldat avait déjà rencontré plusieurs Felinaes et Caméléons discutant avec lui sans aucune méfiance, ni préjugé. Enfin, il allait bientôt savoir quel genre de matou se tenait en face de lui. Le félin gris le regardait droit dans les yeux, le regard calme malgré ses muscles tendus. S'il voulait éviter une bagarre, il valait mieux tout de même être prudent, prêt à parer une attaque.

Un petit matin, je me promenais pour me détendre l'esprit alors que les premiers rayons du soleil commencer à apparaître lentement, une légère brise matinale soufflait sur l'herbe et les arbres, la lueur du soleil était resplendissante et agréable à regarder, c'était le moment agréable pour commencer une belle balade, ce calme était un moment agréable pour se détendre l'esprit vus que c'est mon endroit favoris, ça tombe bien cet endroit regorge de merveille de la nature avec les oiseaux qui gazouillais comme si c'était un orchestre agréable à écouter, tout étais au rendez-vous mais pour moi c'était trop calme, je commençait à regarder autour de moi et je ne voyais rien j'ai perdu un peu de sang froid car le danger guette à tout moment, je continuait ma balade mais là je sentais qu'on m'observait et c'est la que j'entends une voix.

-... Hey !

aussitôt je me tournis vers cette voix et je m'aperçus que c'était un soldat qui était sur notre territoire, je ne savais pourquoi il était dans notre territoire seul mais je restait prudent si il voulait me tendre une embuscade mais je m'égare je le regardais fixement.

-... Que fait tu sur notre territoire?

En le regardant un peu plus il n'avait pas l'air de vouloir se battre mais il reste un soldat et ce sont nos ennemis, il n'avait pas intérêt à attaquer notre camp.

[ C'est pas mal pour un premier rp mais fait attention à ta ponctuation. Il n'y a que 3 points dans tout ton texte ^^' N'hésite pas à décrire ce que tu vois, le chat à qui tu parles. Tu peux décrire son physique, à quoi il te fait penser, si son expression te fait réagir... N'oublie pas de préciser le ton avec lequel ton personnage prend la parole, je trouve que ça aide à donner de la profondeur à la réplique ^^ Dernière chose, outre l’orthographe, fait attention au temps que tu utilises. Tu parles au passé et d'un coup PAF tu cases un verbe au présent x) ]

Le félin se tourna vers lui, l'air surpris. Bien, c'était une surprise partagée. Best rencontre ever. Kaïgaan attendait patiemment la réponse du Felinae, tendu mais essayant de garder le peu de fierté qui lui restait après ce manque horrible d'attention. Le chat noir rayé de rouge le fixait, l'air plutôt méfiant. Qui ne le serait pas ? Finalement, après quelques secondes d'un silence pesant, il finit par s'exprimer.

-... Que fait tu sur notre territoire ?

Kaïgaan remua la queue. Ce chat n'était pas aussi mignon et sociable que la majorité des Felinaes qu'il avait rencontré, mais avait plus l'air de se rapprocher du caractère d'Enkiro : "Pas touche à mon territoire". Chose tout à fait honorable, cela va de soit. L'ambiance était tendue, et le soldat gris savait qu'elle pouvait le devenir encore plus, comme cela avait été le cas avec Enkiro. Même endroit, même type de matou. Décidément, Kaïgaan n'était pas très chanceux ces derniers temps. Enfin, il devait répondre à notre petit chat tout noir et tout meugnon. Il prit donc un ton calme, se voulant le moins froid et agressif possible.

- Je prend juste l'air. La forêt est peut-être un des derniers endroits où l'air est respirable.

Ah, cela était certain que la ville n'était pas la perfection en terme de pureté. L'air était constamment pollué, lourd. C'est limite si Kaïgaan ne préférait pas l'odeur nauséabonde du marais, avec ses insectes énormes et visqueux. Enfin. Le soldat avait parfois, même souvent, besoin de se barrer de cette maudite ville qui lui servait de refuge, afin de se vider la tête de ses abrutis de collègues sans cervelle. Étant assez peu sociable, ces balades en solitaire étaient revigorantes. Mais bien sûr, il tombait toujours sur quelqu'un. A croire qu'il attirait tous les matous à lui. Trop de sex-appeal, très certainement. Le félin gris rajouta tout de même une ultime réplique, d'un ton qui se voulait plus rassurant et respectueux.

- Ne t'inquiète pas, je ne compte attaquer personne...

Il n'aimait pas vraiment prendre cet air de "je suis gentil, ne me saute pas dessus", mais il n'avait pas d'autre moyen pour éviter une confrontation. Juste... Montrer qu'il était clean. Enfin, c'était juste sa parole, mais il espérait que le Felinae soit plutôt compréhensif. Mais bon, s'il ne voulait rien entendre et lui sautait dessus, Kaïgaan allait se défendre, fallait pas déconner non plus. Le soleil se levait lentement dans l'horizon et les deux félins se fixaient. L'air était tendu et chaque mot prononcés avant une potentielle trêve, ou un potentiel combat, avait son importance.

[ ok merci du conseil j'essayerais de détailler un maximale pourtant moi qui ait une imagination débordante j'était en mode je dois mettre quoi apres... je dois mettre quoi apres mais ok le prochain je vais essayer de m'appliquer.]

Bizarrement le soldat remue sa queue il pense que je ne lui veut aucun mal, il croyait peut être que j'allait l'attaquer de toute mes forces pour qu'il retourne d'où il vient mais je ne veux aucun conflit dans un endroit aussi harmonieux et magnifique.
Nous continuons à nous regarder fixement, l'atmosphère était tendue et très silencieux comme ci nous allons bondir mutuellement et commencer à se battre mais le soldat l'air plutôt rassurer prie la parole.


-Je prend juste l'air. La forêt est peut-être un des derniers endroits où l'air est respirable.


Il avait un ton délicat alors qu'on se fixait brutalement pendant un moment mais il est vrai que la forêt est un endroit où on peu respirer l'air frais de la nature en même temps je le comprend moi aussi quand j'habitais dans la ville avant de m'échapper l'air n'était pas pur, la pollution rendait l'air irrespirable et surtout très lourde, ce n'étais pas un endroit paradisiaque avec aussi le marais qui n'était pas du tout un endroit pour passer les vacances.
Je m'égare dans mes souvenirs, je revenais à moi tandis que le soldat voulant calme l'atmosphère.


- Ne t'inquiète pas, je ne compte attaquer personne...

Le ton de sa voix set devenu calme, il ne veut réellement pas se battre je ne sais pas si dois  le croire, les soldats sont nos ennemis oui mais celui-la semble ne pas être bagarreur je décide de me calmé en essayant de ne pas le provoquer.
Honnêtement je ne suis pas là pour me battre avec un soldat pour moi je ne veux pas saccager un endroit aussi magnifique et je ne veux pas faire blessé un soldat qui ne me veux pas de mal.
Avec un ton calme j'ai décidé d'être clair avec lui.

-Si tu dis que c'est le dernier endroit respirable, respecte le et tu pourra continue à venir si bon te semble.

En essayant d'être compréhensif j'espère que cet endroit va continuer à vivre longtemps en nous apportant du bonheur le soldat est devenu calme il sait que c'est le dernier endroit où on peut respirer librement sans avoir des problème d'atmosphère.
Le soldat me fixe du regard comme si il anticipe chacun de mes mouvements, l'atmosphère continue a être tendu entre nous comme si quelque chose va se passé à chaque instant.

[ Prend ton temps ^^ Tu peux très bien écrire une partie du rp, dire que tu n'as pas fini et le terminer plus tard. Niveau ponctuation ça progresse mais n'hésite pas à te relire, tu verras mieux où tu dois stopper une phrase. ]

Le matou noir avait l'air de se calmer. Ou du moins d'accepter de baisser sa méfiance. Il examinait Kaïgaan, essayant de lire en lui. Notre soldat se laissait faire, attendant patiemment une réponse. Les choses avaient l'air de s'arranger, ce n'était pas le moment de s'impatienter. Un oiseaux fila au-dessus d'eux, s'arrêtant sur une branche fine et souple. Finalement, le felinae lui répondit calmement.

- Si tu dis que c'est le dernier endroit respirable, respecte le et tu pourra continuer à venir si bon te semble.

Kaïgaan failli pousser un soupir de soulagement. Haw, ce félin était conciliant. JOIE. Le soldat gris comprenait qu'on se méfie de lui, et il en était même content. Il était tout de même un soldat, ce serait plutôt imprudent de ne pas rester sur ses gardes. Mais il était également bien content que la majorité des chats sauvages étaient capables de juger un chat à sa personnalité avant son clan. Kaïgaan se détendit -pas trop non plus- et s'assit sur l'herbe fraiche de la forêt. Le parterre vert état doux, légèrement humide, très agréable au toucher. Tout en posant son humble fessier au sol, il prit la parole.

- Merci. Je m'appelle Kaï.

Il sourit légèrement, relevant à peine ses lèvres. Un sourire poli, invitant à la discussion. Car après tout, tant qu'à rencontrer un Felinae sympathique, autant faire connaissance. Kaïgaan faisait un effort pour se montrer sociable, discuter avec les autres, ce qu'il ne faisait pas naturellement. Mais le fait est qu'il se montrait moins renfermé avec ses sois-disant ennemis. La plupart des autres soldats étaient trop différents de lui. Trop... Sadiques. Attendant la réponse du mâle rayé de rouge, notre félin aux coussinets électriques entreprit de se lécher la patte. Néanmoins, même si l'atmosphère s'était adouci, il n'en restait pas moins un minimum méfiant. Quelques coups d'oeil entre ses coups de langues réguliers n'étaient pas de trop. Kaïgaan était méfiant de nature, prenant du temps pour faire confiance à autrui. Mais grâce à cela, il ne s'était jamais trompé dans le choix de ses amis.

[ Ok merci du conseil je commence à comprendre et je crois que j'aime les rp, je vais essayer ça prendra du temps mais je vais essayer de me relire un peu plus cette fois.]

C'est moi ou alors c'est autre chose mais quand je lui ai dit qu'il pouvait continuer à venir dans ce lieux magnifique, j'ai l'impression que le soldat avait lâché un air de soulagement. Comme ci il se disait que mon intention n'était pas de l'attaquer en fin de compte mais je ne pouvait m'empêcher de rester sur mes gardes malgré ça. Peut-être que tout les soldat ne sont pas tous les mêmes en signe de caractère. Celui là me semble différent des autre soldat que j'ai rencontré auparavant. Au même moment le soldat qui s'est assis sur l'herbe et prie la parole avec un ton beaucoup plus calme qu'avant.

- Merci. Je m'appelle Kaï.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il se présente à moi comme ci de rien n'était mais qui sait. Peut-être que les soldat ne sont pas tous les mêmes après tout. Peut-être que les soldat ne sont pas aussi agressif et malveillant qu'on le dit. Le soldat fixa son regard sur le mien mais cette fois son visage était détendu et il m'a donner un petit sourire. Il ne me fait pas encore confiance et reste un peu vigilant certes mais je pense que ce soldat ma l'air sympa, d'après moi. Je lui rendais la pareil en me présentant à mon tour.

- Kaï? joli nom. Je m'appelle Zanark.

A mon tour je me suis aussi assis sur l'herbe pour tenir compagnie malgré que même si ses intentions ne sont pas du tout hostiles je reste un minimum sur mes gardes juste pour être vraiment sur que je ne me trompé pas à son sujet. En tout cas j'apprécie qu'il respecte cet endroit tout comme moi. Maintenant moi et le soldat nous sommes entrain d'admirer cet endroit. L'atmosphère qui était tendu est en train de se dissipé.
J'essaye avec le soldat de commencer à faire passer le temps en essayant de communiquer avec lui.

- Cet endroit inspire quoi pour toi?

Cet question n'était pas très insolite mais il faut bien commencer par quelque chose qui sait un mini lien se tissera entre nous. Je tourne ma tête vers le ciel avec un grand sourire et un regard déterminé malgré que je commence à me perdre dans mon imagination. Moi qui a une imagination débordante je pense que cet endroit est le meilleur pour m'y perdre pendant des heures.

[ Fait vraiment attention tu utilises encore le présent et le passé en même temps x) Niveau ponctuation ça s'améliore ^^ Quand tu te relis, essaie (dans la mesure du possible) de parler tout haut, ou de le chuchoter. Tu verras que parfois tes phrases sont construites assez maladroitement. Enfin, mais ça reste un détail, n'hésite pas à détailler ce que ton personnage voit ou ressent. Tu dis qu'il regarde le ciel, comment est ce ciel ? Tu peux décrire ses couleurs, la météo... Sans oublier le contexte du rp (c'est l'aube). ]

Le Felinae sembla se détendre, lui répondant calmement.

- Kaï ? Joli nom. Je m'appelle Zanark.

Oooh, stop it you. Plus sérieusement, Kaïgaan était plutôt content que quelqu'un, un Felinae qui plus est, trouve son nom agréable à l'oreille. Enfin son surnom. C'était assez idiot quand on y pensait mais c'était son père qui lui avait donné son nom complet : Kaïgaan. Son père qu'il détestait plus que tout au monde. Enfin, il était mort alors on s'en foutait. Mais sa mère, elle, l'avait toujours appelé par un petit surnom : Kaï. Notre soldat avait depuis lors toujours voulu se faire appeler par son diminutif. Oui, c'était assez inutile, mais pour le mâle gris, c'était une façon de repousser son père et de se rapprocher de sa défunte mère qu'il aimait tant. Zanark, puisque tel était son nom, s'assit également, validant une conversation calme et sans problème. Enfin Kaïgaan l'espérait. Ce serait assez dommage de se bagarrer de si bon matin.

- Cet endroit inspire quoi pour toi ?

Sur ces mot, le matou noir rayé de rouge leva la tête vers le ciel, l'air rêveur. On ne lui avait jamais posé cette question, ce qu'il pensait d'un endroit. Après tout, la plupart des chats se fichaient se où ils étaient, tant qu'ils pouvaient y être en sécurité. Kaïgaan regarda Zanark un instant avant de répondre. Ce chat avait étrangement l'air proche de la "nature". Enfin, ce n'était peut-être qu'une impression, quelque chose qu'il renvoyait dans sa façon de parler mais qui n'était pas forcément vraie. Bref. Le soldat inspira lentement l'air frais de la forêt, fermant les yeux, avant de l'expirer tout aussi lentement. Une myriade d'odeur lui vint à l'esprit. L'herbe, les arbres, quelques rongeurs et autres animaux des bois, quelques fumets de chats... Qu'est-ce que cet endroit lui inspirait ? Pas grand chose finalement. C'était le territoire des Felinaes, il fallait s'y aventurer avec méfiance mais c'était toujours plus agréable de marcher ici que dans cette maudite ville. Kaïgaan rouvrit les yeux, répondant calmement en regardant la forêt, vivace et luxuriante.

- Je ne sais pas... Disons que, quand aucun Felinae ne nous tombe dessus, c'est un endroit calme. Et avec la vie à la caserne, on manque cruellement de calme.

Le "quand aucun Felinae ne nous tombe dessus", Kaïgaan avait quelque peu employé un ton moqueur, juste pour souligner que dans ce cas ci, Zanark était le Felinae en question. Enfin, s'il ne cherchait pas la bagarre, ce n'était pas si mal de rencontrer quelqu'un. C'est vrai que ce lieu était plutôt joli, mais le soldat recherchait avant tout le calme, comme il venait de le dire. La caserne était remplie de félins courant dans tous les sens à la recherche d'une mission, d'un camarade d'entrainement. Ce n'était jamais tranquille. Et étant plutôt peu sociable et facilement irritable, Kaïgaan avait parfois besoin de sortir, marcher sans réfléchir. Enfin, dans la grande majorité des cas il réfléchissait trop, se torturant l'esprit avec de sombres pensées sur sa place dans le monde, ou il tombait maladroitement sur quelqu'un. Enfin, la plupart des chats qu'il rencontrait était de bien meilleure compagnie que tous les soldats réunis, il n'allait pas se plaindre.

[Ok d'accord raconté mais vraiment tout en détail je fait des progrès mais j'ai encore beaucoup à apprendre]

Ainsi moi et Kaï regardons le ciel de l'aube avec ses petits nuages avec au fond une moitié de soleil s'élevé lentement.
Je ne sais pas comment Kaï va prendre ce que je viens de lui dire. Il me semble un peu gêner. En même temps il ne s'attends pas à ce que un Felinae comme moi lui pose ce genre de question.
Je suis peut être d'humeur amical cet endroit adouci mon esprit mais il n'empêche que cet endroit est peut être menacé. Avec tout ces bagarre qui s'accage la faune et la flore de ça lieux.
Avec cette légère brise Kaï me donna sa réponse.

- Je ne sais pas... disons que, quand aucun Felinae ne nous tombes dessus, c'est un endroit calme. Et avec la vie à la caserne, on manque cruellement de calme.

Sur ces paroles je me rappelle que la ville était mon habitat lorsque j'était à côté de la caserne. J'entendais leur brouhaha de loin. Kaï dit vrai la caserne n'est peut être pas un endroit pour être au calme mais au moins il ne doit pas s'ennuyé. Je ne suis pas sur mais on dirait que Kaï n'est pas très à l'aise en leur compagnie mais je ne vais pas le juger pour autant. Je respecte son choix.
Je respirait l'air frais du matin un grand coup et j'ai prie la parole.

- C'est vrai.

Mais quand Kaï à dit "quand aucun Felinae ne nous tombe dessus". Je suis devenue perplexe. Je me suis dit que Kaï à croisé plusieurs Felinae alors qu'il veux juste avoir un peu de calme dans cet endroit radieux. A chaque fois qu'il allait contempler ce lieu, les Felinae qu'il à rencontrer auparavant n'était pas aussi compréhensif que moi. Pour une fois cette rencontre ne se terminera pas sur une bagarre du moins jusque la suite de cette situation.
Je suis curieux de savoir les rencontres que Kaï à du avoir avec les autres Felinae, je lui ai donc poser la question.

- Si tu est tombé nez à nez avec des Felinae. Comment ont ils réagis lorsqu'il te voyait dans ce lieux?

Aussitôt je me détache du regard et je commençe à tourné ma tête vers Kaï. Je le regarda avec un air curieux. Je ne sais pas comment il va réagir face à cette question mais j'espère qu'il ne va pas le prendre mal. Vu qu'il n'est peut être tombé avec des Felinae bagarreur je le comprend il à du enchaîner des petite bagarre. Enfin moi c'est ce que je pense.

[ Pour la construction des phrases, tu t'améliores vachement ^^ Après tu progresseras en écriture avec le temps, et surtout en lisant beaucoup. Par contre, dans la dernière phrase de ton post, tu décides toi-même d'une action de Kaïgaan, disant qu'il tourne la tête vers ton personnage d'un air surpris. Ce n'est pas moi qui vais râler pour ça mais fait attention, c'est interdit de décider des actions d'un personnage qui n'est pas le sien, même aussi petite que celle-ci. ]

Un silence prit place entre les deux félins, puis, après quelques secondes, Zanark lui répondit.

- C'est vrai.

Oui. C'était vrai. TRUK2FOU. La brise fraiche et agréable venait doucement caresser leur pelage, faisant danser leur poil en rythme avec les feuilles des arbres verdoyants. Il avait beau être réaliste, froid et peu sensible, Kaïgaan ne pouvait nier que cet endroit était plutôt joli. Il l'aurait été bien plus si la guerre ne ravageait pas tout sur son passage, si les Hommes ne passaient pas leur temps à polluer... Mais bon, rien n'allait changer. Les Felinaes se battaient pour sauver les leurs, et c'était une cause admirable, mais les Hommes ne partiraient jamais. Et jamais ils ne cesseraient d'exploiter l'espèce féline. Tout cela n'était qu'une spirale sans fin ou chaque espèce tentait désespérément de s'en sortir, d'avoir le dessus. Les pensées du soldats furent interrompues quand on question lui parvint aux oreilles.

- Si tu es tombé nez à nez avec des Felinaes. Comment ont-ils réagis lorsqu'ils te voyaient dans ce lieu ?

Kaïgaan tourna la tête vers le mâle noir, plutôt surpris de la question. Après tout, il était aisé d’imaginer les différentes réactions que pouvait avoir un chat sauvage en rencontrant son ennemi de toujours. Enfin soit, répondons.

- Ça dépend. Certains sont très méfiants et me font dégager, d'autres discutent sans préjugés...

Il préférait nettement plus le deuxième cas, sans avoir besoin de préciser le pourquoi. Kaïgaan, qui auparavant assumait complétement son statut de "soldat qui fait peur aux gentils Felinaes", commençait à en avoir marre de constamment devoir se justifier d'être gentil, non-agressif. Comme si son clan le définissait plus que sa personnalité. Non, il était lui, peu importait à quel endroit il dormait le soir. Enfin, cessons ces vaines pensées. En y réfléchissant, Kaïgaan se rappela que seul deux Felinaes s'étaient montrés vraiment territoriaux avec lui. Gwei, qui était maintenant son ami et partenaire de mission suicide, et Enkiro, qui s'était montré bien moins sympathique, au point qu'ils étaient passés à un poil de la confrontation. En attendant la réponse de Zanark, le soldat électrique se passa quelques coups de langue sur la patte avant, qu'il passa ensuite derrière son oreille.

[Il n'y à rien pourquoi?... XD ok désolé je prends le temps de me relire malgré tout pour m'appliquer]

Au bout du compte Kaï à été surpris quand je lui ai posé la question. En même temps personne ne pose ce genre de question à un soldat qui croise sa route avec un Felinae dans ce genre d'endroit en plus, bref Kaï répond à ma question.

- Ça dépend. Certains sont très méfiants et me font dégager, d'autres discutent sans préjugés...

Comme je m'y attends tout les Felinae ne sont pas comme moi mais Kaï ne fait pas que des mauvaises rencontre au bout du compte. Quelques Felinae sont un peu compréhensif mais je pense qu'il à du avoir un peu de chance d'avoir rencontré des Felinae moins baggareur et très compréhensif dans ces environ. Quand je suis dans la Sylve je vois bien le caractère de chaque Felinae que je rencontre. Il y en où je m'entends très bien et d'autre qui sont un peu violent à mon gout et que je n'apprécie pas trop.
Je tourne à nouveau ma tête vers le ciel bleu de l'aube avec ses petit nuage et je commence à fermé les yeux.
Aussitôt je prie la parole.

- Ne t'inquiète pas. Je ne suis pas tellement baggareur. Je suis juste amicale à ceux qui ne me veulent pas de mal. Après tout tous les soldat ne sont pas aussi compréhensif que toi, je suppose?

Je respire un grand coup. Les soldat que j'ai rencontré lors de mes balades ne sont pas tellement "je te laisse faire tant que tu me me veux pas de mal". Non les soldat que j'ai rencontré son baggareur envers nous. Je comprend que nous sommes ennemis mais pas à un point critique en matière de soif d'aneantissement. Des fois je suis chanceux et j'arrive à les éviter avant qu'il ne me repère.
Kaï m'à l'air compréhensif. En tout cas c'est peut être le premier avec qui j'ai une conversation sérieuse entre un soldat et un Felinae et j'en suis fier que je me met à sourire. Après tout les soldat comme Kaï se font rare de nos jours.

Zanark eu l'air de réfléchir quelques instants, pesant les mots prononcés par le soldat. Kaïgaan avait remarqué, non sans amusement, que les Felinaes, et Caméléons d'ailleurs, qu'il rencontrait lui posaient beaucoup de questions. Surpris de faire la connaissance d'un soldat sympathique ? Profitant pour en apprendre plus sur un Clan si différent ? Le fait est qu'à chaque rencontre suivait son lot de questions. Si dans un premier temps, jouer à l'encyclopédie avait assez agacé le mâle gris, il en avait maintenant l'habitude. De plus, certaines questions lui faisaient en apprendre plus sur lui-même, le poussant dans les recoins infimes de ses pensées.

- Ne t'inquiète pas. Je ne suis pas tellement bagarreur. Je suis juste amicale à ceux qui ne me veulent pas de mal. Après tout tous les soldat ne sont pas aussi compréhensif que toi, je suppose ?

Zanark avait levé la tête, fermé les yeux, profitant de l'air ambiant. Effectivement, il était loin d'avoir l'air d'un combattant. Il semblait calme, rêveur, loin de chercher la bagarre. Un parfait Caméléon en somme, dommage qu'il soit Felinae. Cette pensée fit machinalement remuer les moustaches à Kaïgaan. Quant à lui, il ne se voyait pas vivre chez les Caméléons une fois échappé des Soldats. Toute sa vie durant, il avait été entrainé à se battre, à traquer. La vie des Caméléons serait trop fade à son goût. Enfin, nous n'en étions pas encore là. Il répondit finalement à Zanark, sorti de ses pensées par une brise fraiche.

- Non, c'est sûr que les soldats discutant tranquillement avec les Felinaes ne courent pas les rues...

Certains de ses collègues auraient sauté sur Zanark dès le premier regard, heureux de rapporter un Felinae à leurs maîtres. Enfin, tous n'étaient pas comme ça. Certains se fichaient complétement des Hommes et voulaient juste le confort et la sécurité d'une vie "domestique". Kaïgaan avait été de ces chats-là, avant. Puis, en grandissant et au fil de ses rencontres, il supportait de moins en moins la pression des humains, le mal qu'ils faisaient. Les cris apeurés des prisonniers résonnaient dans son esprit avant de dormir, et il avait décider de changer ça. Enfin, il était seul, avec certes l'aide de Gwei, pour trouver un moyen de libérer un maximum de captif. Cela n'allait pas se faire en quelques jours. Il se tourna finalement vers le chat rayé de rouge, une question aux lèvres.

- Pourquoi as-tu choisi de rejoindre les Felinaes ? Pourquoi pas les Caméléons ? Enfin, à moins que tu sois né chez eux.

Pour une fois, c'était à Kaïgaan de poser une question. Il pouvait en apprendre plus sur Zanark, son lieu de naissance, son passé, mais surtout savoir comment il a fait son choix. Si tenté qu'il en ai eu un à faire. S'il était né chat libre, cela semblait assez étrange de changer de camp, mais tout de même possible. Dans le cas contraire, il avait eu le choix entre les Felinaes combattant pour la liberté des leurs, les Caméléons vivant paisiblement en retrait, et la dure mais simple vie des solitaires. Qu'est-ce qui avait motivé son choix ? Bien évidement, Kaïgaan espérait que la réponse puisse un jour l'aider à faire son propre choix un jour. Dans bien longtemps...

Je ne sais pas au fond de moi si cette conversation est intéressante pour Kaï mais après tout ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un soldat symphatique envers un Felinae. Je me rappelle quand un Felinae rentre à notre quartier général. A chaque fois, il dit qu'il s'est battu avec un soldat au cours d'une balade. Avec ça. La majorité des Felinae ne se baladent plus par peur de se battre à nouveau.
A cette instant Kaï donna sa réponse.

- Non , c'est sûr que les soldats discutant avec les Felinaes ne courent pas les rues...

Je sourie. Oui, j'était certain qu'il dirait ça. Au moins il prend mes questions au sérieux. Mais je m'égare bien sur que les soldats ne discutent pas avec leurs ennemis. Au contraire ils préfèrent nous sauter dessus, griffes sortie. Afin de pouvoir nous torturer ou de nous tuer. Voilà de ce que je pense des soldat de nos jours mais j'ai toujours un espoir qu'au moins une petite majorité soit comment dire: un peu pacifique. Et je pense que Kaï en fait partie.
En revenant à la realite, Kaï à pris la parole.

- Pourquoi as-tu choisi de rejoindre les Felinaes? Pourquoi pas les Caméléons? Enfin , à moins que tu sois né chez eux.

Aussitôt j'effaçe mon sourire. Sa question me donna une réflection. C'est vrai que les Caméléon sont un peuple pacifique avec les Felinae mais ils ne sont pas en conflit avec les soldats. Mais si je les avais rejoint au lieu d'être chez les Felinae. Je pense que ma vie ne serait pas pareil aujourd'hui. Pour moi les Felinaes m'ont secouru lors de ma fuite de chez les humains et mon accepter parmi eux.  Ils m'ont fait aussi comprendre les raisons de leur bataille et ça je leur suit reconnaisant. Voilà pourquoi j'ai rejoint les Felinaes.
Ainsi j'ouvre les yeux et je répond à la question de Kaï.

- J'ai choisi les Felinae parce que... lors de ma fuite, il y à bien longtemps. J'ai couru à toute vitesse pour fuir cette horrible endroit. Les humains me torturait, j'en pouvait plus mais j'ai réussi malgré ma poisse à m'echapper. Mais lors de ma fuite, épuisé. Je me suis écroulé et une patrouille Felinae ma ramener à leur quartier et m'ont accepter parmi eux. Depuis les Felinaes sont devenus ma nouvelle famille.

Voilà la raison pour laquelle j'ai rejoint les Felinaes. Ils m'ont secourus et ils m'ont accepter malgré mon passé. Cela doit être surprenant pour Kaï. Une histoire comme ça doit être invraisemblable mais ça c'est réellement passé. Au moins Kaï en sait un peu plus sur moi à présent. Je vais peut être arriver avoir un petit lien d'amitié avec Kaï même si nous ne sommes pas dans le même camp. Je regarde le ciel et je me dis que ma place est maintenant avec les Felinaes et si il faut que je meure pour l'honneur de mon clan. Je ne meurt pas pour rien au final.

HRP:

Le sourire de Zanark disparu instantanément. Kaïgaan grimaça légèrement, conscience qu'il venait de faire une bourde. Peut-être que le Felinae ne voulait pas parler de son passé, peut-être que c'était bien trop personnel pour être évoqué avec un soldat rencontré quelques minutes plus tôt. Pourtant, il n'avait pas l'air en colère, juste... En pleine réflexion. Cela détendit un peu le soldat gris, qui demeura complétement silencieux, ne voulant pas déranger le matou dans le chemin de ses pensées. Finalement, le Felinae s'élança dans une tirade, tout naturellement.

- J'ai choisi les Felinae parce que... Lors de ma fuite, il y a bien longtemps. J'ai couru à toute vitesse pour fuir cet horrible endroit. Les humains me torturaient, j'en pouvais plus mais j'ai réussi malgré ma poisse à m’échapper. Mais lors de ma fuite, épuisé. Je me suis écroulé et une patrouille Felinae ma ramener à leur quartier et m'ont accepter parmi eux. Depuis les Felinaes sont devenus ma nouvelle famille.

Oh, il était né chez les soldats, intéressant. Une fois de plus, il éleva la tête vers le ciel, comme irréversiblement attiré par la bleuté parfaite de l'infini. Quant à Kaïgaan, son regard fixait un point imaginaire à l'horizon, perdu dans ses pensées. Znark n'avait pas vraiment "choisi" les Felinaes à proprement dit parlé. Il était tombé sur eux et l'avaient acceptés, bien gentiment. Cela n'allait pas vraiment être le cas de Kaïgaan, bien que certains Felinaes se montraient très sympathiques avec lui. Mais il se voyait mal se ramener chez eux en demandant l'asile. Ils acceptaient peut-être les jeunes chats évadés, mais qu'en était-il d'un soldat qui avait passé deux années de sa vie à servir leurs ennemis ? Le mâle gris se reconcentra sur Monsieur J'aimeLeCiel, lui posant une autre question.

- Tu étais un soldat avant ? Ou tu t'es "juste" échappé de ta cage ?

Enfin, il avait l'air un peu trop jeune pour pouvoir avoir été un véritable soldat, pouvant sortir du laboratoire, mais bon, tout était possible. Franchement, Kaïgaan avait énormément de mal à imaginer Zanark en soldat. Il était loin d'avoir le caractère de ses collègues. La question était donc de savoir s'il s'était échappé en tant qu'expérience, jeune s’enfuyant d'une cage, ou en tant que soldat, circulant librement, décidant finalement de ne plus suivre les humains. Kaïgaan était attentif, les oreilles dressées, à l'écoute des prochaines paroles du mâle noir et rouge.

Oui je suis ne chez les soldats. Ma mère est un soldat, elle est au rang de reproductrice et mon père était un soldat de seconde ligne mais il est mort tue par un solitaire cannibale. D'ailleurs j'y repense souvent mais je me demande si ma mère va bien. Cela fait longtemps que je n'ai pas eu de ses nouvelles. J'aimerais la revoir juste un peu mais je sais que dans ces circonstances c'est tout bonnement impossible. Pour moi j'ai toujours un espoir de la revoir même je veux quel quitte les soldat pour rejoindre les Felinaes mais j'ai promis de ne pas intervenir pour mon bien alors je l'ai laissé seul. Il ne me reste que l'écharpe de ma mère . Elle me l'à donné avant que je ne m'enfuis pour de bon de chez les soldats. Ainsi que cet endroit. Quand je viens ici. Je levais la tête au ciel et je me rappelle des souvenirs à la fois émouvant et palpitant avec mes parents.
Sorti de mes pensé qui harcèle ma tete, Kaï veux me parler.

- Tu étais un soldat avant ? Ou tu t'est "juste" échapper de ta cage.

Evidemment, j'étais certain que Kaï allait poser cette question mais est-ce que je dois lui dire à propos de mon passé et m'entionner ma famille notamment ma mère. Pendant un instant, je me suis poser beaucoup de question dans ma tete. j'ai l'impression que ma tête va exploser. En me calmant l'esprit cette question intérieur intervint. Peut être que Kaï peut m'aider. Il sait peut être l'existence de ma mère mais je refuse de lui poser cette question. Elle est un peu bête et qui sait Kaï n'a peut être pas une bonne relation avec ma mère.
Après réflection, je répondais à la question de Kaï.

- Je suis née chez les soldats mais les humains ont fais des expériences sur moi. Évidemment je ne pouvais plus les supporté. Avec l'aide de ma mère je me suis échapper non seulement de ma cage mais aussi de la ville. Voilà pourquoi je suis devenue un Felinae.

J'ai du éprouver du courage pour parler à Kaï de l'existence de ma mère. En tout cas voilà mon histoire que je peux partager pour une fois avec un soldat. J'espère que Kaï ne va pas me considéré comme un traitre. D'ailleurs je ne sais pas si Kaï pense la même chose que moi par rapport au comportement des humains. Quand j'y pense dans notre quartier général. Les Felinaes m'ont accepter sans chichis quand je leur ai raconter mon passe. Ils étaient compréhensif envers moi. Et encore aujourd'hui même ils me respectent comme l'un des leurs et je n'ai toujours aucun regret par rapport à me décision.

Zanark eu l'air d'hésiter, de réfléchir. Comme s'il pesait soigneusement ses mots. Quant à Kaïgaan, il était quelque peu mal à l'aise. Ce n'était pas vraiment son genre de poser autant de questions, d'être curieux sur la vie d'un autre chat. C'était assez égoïste de sa part de désirer ces informations, et ce uniquement pour en apprendre plus sur le passage de soldat à Felinae. Le mâle gris n'aimait pas l'imprévu, mais au contraire avoir le maximum d'informations possibles avant d'entreprendre quelque chose. Dit comme cela, c'était plutôt une qualité. Il était méfiant, prudent, prévoyant. Mais de ce fait, il était également très réaliste, n'osant pas vraiment prendre de risques insensées, préférant la sûreté. C'était une des principales raisons pour laquelle, avant de faire la rencontre de Gwei, il restait chez les Hommes malgré sa conscience maltraitée. Enfin, Zanark répondu enfin à sa question.

- Je suis né chez les soldats mais les humains ont fais des expériences sur moi. Évidemment je ne pouvais plus les supporter. Avec l'aide de ma mère je me suis échappé non seulement de ma cage mais aussi de la ville. Voilà pourquoi je suis devenu un Felinae.

Le matou noir et rouge avait l'air quelque peu anxieux, comme s'il redoutait quelque chose, mais Kaïgaan n'arrivait pas à mettre la patte dessus. Il s'était donc échappé au stade de cobaye, vivant avec, ou proche de sa mère. C'était à cet âge là que la plupart des félins se rebellaient, cherchant à fuir. S'ils restaient incontrôlables, ils devenaient des cobayes. Mais si les soldats arrivaient à les convaincre du bien fondé de leurs actions, ils devenaient soldats à leur tour. C'était le jeu de qui allait perdre ses principes en premier... Et dans son histoire, Zanark avait gagné, là où Kaïgaan avait perdu, préférant être docile mais hors d'un cage. Il regarda le Felinae, respectueux, presque admiratif. Le chat ébène était resté fidèle à ce qu'il pensait juste, fuyant un monde qui n'était pas le sien.

- Oh, je vois.

Que pouvait-il dire d'autre ? "Chapeau jeunot" ? Il aurait aimé le rassurer sur la condition de sa mère, lui dire qu'elle allait bien, mais il n'avait aucune idée de qui elle pouvait être. De plus, Kaïgaan connaissait bien le sort réservé aux reproductrices. Sa propre mère, reproductrice elle aussi, avait fini par mourir d'épuisement.

- Je peux me renseigner sur ta mère si tu le souhaites. Voir si elle va bien.

Il parlait, pas au fond, il ne pensait pas être porteur de bonne nouvelle. Enfin, elle pouvait très bien être encore reproductrice, enfermée gentiment dans sa cage métallique. Néanmoins, il voulait redonner un peu de pêche à Zanark, qui venait de perdre son sourire rêveur. Alors même si cet espoir allait peut-être s'avérer vain, il devait au moins essayer. Car il savait ce que c'était, de perdre sa mère.

Un silence se fit. Je ne senti plus le vent caresser mon peupelage ainsi que mon écharpe qui resta immobile. Kaï à l'air surprit par rapport à mon histoire. Ce n'est quand même pas tous les jours qu'une histoire que les soldats écoute surtout raconté par un Felinae. Je n'ai pas anticiper un silence aussi profond à un tel moment pareil. J'ai l'impression qu'à cause de mon histoire une tempête va se déchaîner mais j'ai un peu trop d'imagination.
Sur ces pensée, Kaï veux parler.

- Oh, je vois.

Sa réaction n'est pas sur l'offensive. Il n'est pas surpris non plus. En même temps quand je discute avec les Felinaes dans le quartier général. Il y en à certain qui ont leur histoire à propos des expériences faites par les humains et de leurs fuites. Évidemment certain d'entre eux on réussi à s'échapper d'autre non. Je plains les autres Felinaes qui n'ont pas réussi à s'échapper de leur cage mais je ne veux pas les forces si il veulent vraiment devenir des soldats. C'est leurs choix et je respectes leur choix même si je ne suis pas ravis pour autant.
Au bout d'un moment . Kaï ajouta quelque mot.

- Je peux  me renseigner sur ta mère si tu le souhaite. Voir si elle va bien.

Je me tourna brusquement vers Kaï. Il a attirer mon attention. Je ne sais pas si je peux le faire confiance à propos de ma famille. Ma mère est reproductrice. Elle est situé dans un endroit bien gardé mais Kaï doit connaître l'emplacement des reproductrice actuellement et comme c'est un soldat. C'est assez facile pour Kaï de voir le secteur des reproductrices. Je ne crie pas de joie trop vite. Je veux être sur si il est vraiment d'accord.
Aussitôt, je lui demanda.

- Tu peux faire ça pour moi?

Un soldat qui rends service à un Felinae. Cela me semble absurde mais pourquoi ne pas essayer après tout Kaï est pour moi le seul soldat en qui j'ai confiance. Si il peut me dire comment va ma mère je ne sais pas comment le remercier. Mais maintenant j'attends la réponse de Kaï en restant patient malgré que pour moi c'est vital.

Zanark, qui avait auparavant perdu cette petite étincelle brillant dans ses yeux, releva immédiatement la tête vers Kaïgaan. Son regard était vivace, rempli d'espoir, au point de surprendre légèrement le soldat gris. Cet espoir avait presque serré le coeur du matou moqueur, peu habitué à se retrouver face à une telle vague d'énergie. Il avait touché une corde sensible et devait maintenant faire attention à ne pas trop la chatouiller.

- Tu peux faire ça pour moi ?

Le matou à l'écharpe semblait surpris d'une telle proposition, ce que Kaïgaan pouvait concevoir. Les Felinaes, même nés chez les Hommes, avait une vision très... Tranchée sur les soldats. Des êtres abominables qu'il faut soit fuir, soit réduire en miette. Si le mâle électrique était certes obéissant du fait d'une lâcheté disparaissant lentement, il n'était pas ce genre de soldat. Savoir si sa mère allait bien avait l'air de tenir au coeur de Zanark et de toute façon, Kaïgaan ne risquait rien à jeter un oeil à la ménagerie lors d'une patrouille. Il se retint néanmoins de grincer des dents, mal à l'aise. Les reproductrices avaient une vie très dure, esclaves de la volonté immorale des humains. Il espérait que la mère de son tout jeune ami soit encore en vie, qu'elle allait bien. Et quand bien même cette chatte était encore parmi eux, elle ne devait certainement pas être en très grande forme après plusieurs mois, voir années, enfermée sans voir la lumière du jour... Mais ils ne perdaient rien à essayer. Il sourit donc à Zanark, espérant pouvoir tenir sa promesse.

- Bien sûr. Dis-moi juste à quoi elle ressemble et la prochaine fois que l'on se voit, je te dirai ce que j'ai appris.

En priant pour que ces nouvelles informations soient bonnes. Kaïgaan n'avait jamais été optimiste, imaginant bien plus facilement le pire scénario. Il s'inquiétait facilement, n'était pas étouffé par l'espoir et n'attendait pas grand chose des autres. Il avait toujours vécu selon un principe simple : Tout faire pour rester en vie. Les humains lui prodiguaient confort, nourriture et longue vie, ne l'obligeant "seulement" qu'à faire taire sa conscience. Il n'expérimentait pas depuis très longtemps le fait de faire de bonnes actions, de risquer quelque chose sans rien attendre en retour. Mais étrangement, voir un tel espoir comme celui aperçu dans les yeux de Zanark était assez agréable. Enfin, Kaïgaan devenait petit à petit un mec bien, tentant d'aider son prochain. Dans la mesure où il ne risquait pas trop sa peau, bien évidement.

Voilà que je commence à m'éxiter dans ma tête. Enfin je vais pouvoir enfin avoir des nouvelles de ma chère mère qui est pour moi l'être la plus cher mais je sais une chose. Chez les reproductrices après quelques semaines leurs santé commence à être fragilisé. Cela fait quelque mois que je me suis enfui de la ville. Je regarde Kaï et j'ai l'impression qu'il n'à pas l'air enjoué. Peut-être qu'il ne veut pas m'aidé. Non, je ne pense pas que Kaï soit quelqu'un qui dit non à un service surtout si c'est capital ou tout simplement que ma mère est morte ou juste très affaiblie. Après tout voici le sort des reproductrice telle est le souhait des humains. Si les humains maltraitent ma mère aussi mal que ça. Je ne leur pardonnerai jamais.
Finalement, Kaï me donne un sourire et répondit.

- Bien sûr. Dis-moi juste à quoi elle ressemble et la prochaine fois que l'on se voit, je te dirai ce que j'ai appris.

A mon tour je lui sourit. Kaï est doté d'un courage remarquable même ennemi. Il est prêt à me rendre ce service. Mais l'air qu'il à prit avant de me répondre ma rendu inquiet. Ça veut dire que ma mère est en danger et qu'elle n'est pas bien là où elle est actuellement. J'hésite de dire à Kaï de la sauve avec mon aide mais se serai trop risque pour moi mais surtout pour Kaï et si ma mère est morte ça contera pour du beurre. Pour le moment vu que c'est la première rencontré de Kaï. Je préfère d'abord l'envoyer demander des nouvelles de ma mère.
Aussitôt, je lui dit.

- Ma mère à le pelage blanc comme la neige avec des rayures grise, elle est assez imposantes en taille comme moi. Si tu peux me donner de ces nouvelles ce serai gentil de ta part.

Je lui ai tout dit à propos de ma mère. En le regardant Kaï possède beaucoup de courage. Il est intéressant à mon gout. Mais j'y pense si il aide un Felinae au lieu de refuser complètement. Ça veut peut être dire qu'il en à marre de la vie avec les humains mais je ne vais pas le forcer à quitter son groupe après tout. D'ailleurs ma mère est peut être affolé à propos de moi. Elle ne sait peut être pas que Kaï va lui parlé à propos de moi. Je regarde mon écharpe. C'est la seule chose que ma mère se souvient de moi. Je pense que Kaï en aura besoin.
Sur ces belles paroles intérieurs. Je rajoute.

- Tiens, je te confie mon écharpe. Tu en aura besoin pour que ma mère sache que c'est moi qui t'envoi et dis lui que je l'aime du fond du coeur.

Aussitôt, je confie mon écharpe à Kaï. J'admire le courage de Kaï. Je le regarde avec un regard flamboyant et je lui sourit encore plus fort qu'avant. Le vent se remit à soufflé et le silence profond à disparu. D'ailleurs l'endroit où je me suis enfuit. Je me rappelle que c'est un endroit pas très sécurisé. Il est peut être difficile d'y accéder mais c'est le seul endroit pour y parvenir. Cette fois c'est la bonne. Tiens bon maman. Bientôt. Nous serons réunis.

Zanark lui sourit, visiblement ravi de la réponse du soldat. Celui-ci espérait être porteur de bonne nouvelle et, qui sait, peut-être allait-il réussir à la faire s'échapper lors de sa mission de sauvetage... Enfin, nous n'étions pas encore à ce stade, il fallait d'abord s'assurer qu'elle était encore en vie.

- Ma mère à le pelage blanc comme la neige avec des rayures grise, elle est assez imposantes en taille comme moi. Si tu peux me donner de ces nouvelles ce serai gentil de ta part.

Kaïgaan s'imagina la chatte, regarda le Felinae, et se demanda une seconde s'il ne se moquait pas de lui. Ils avaient un pelage bien différent... Enfin, les modifications génétiques pouvaient très bien altérer la couleur des poils, cela n'aurait rien de surprenant. Le mâle gris imprima le physique de la demoiselle dans sa tête, espérant ne pas l'oublier. Ce serait assez bête, vous le concevez. Il n'aurait qu'à faire partie d'une patrouille de reconnaissance autour des cages pour pouvoir observer les reproductrices. Cela n'enchantait pas vraiment Kaïgaan de devoir parler de lui-même à un chat qu'il ne connaissait pas, n'étant pas très sociable. Surtout que le chat en question était une reproductrice, vivant dans les cages dans lesquelles il avait grandi. Ah, les souvenirs allaient certainement lui remonter par myriades. Enfin, il pouvait bien faire ça. Zanark baissa les yeux vers son écharpe gris, plutôt vieillotte. Le soldat se demanda comment le Felinae avait-il bien pu recevoir un tel accessoire, quelle était son histoire. Le chat noir avait l'air de beaucoup y tenir et la valeur sentimentale de cet objet devait être assez importante. Kaïgaan n'avait jamais eu d'objet fétiche, ou n'importe quelle babiole qu'il aurait pu transporter partout. Il n'avait pas vraiment conscience de la valeur que pouvait avoir certaines choses, s'arrêtant uniquement sur la vie, se fichant complétement des objets. C'était juste des choses inanimées, à quoi bon y tenir ? Mais bon, il savait tout de même respecter l’affection que pouvait porter un chat à une babiole, même s'il n'en comprenait pas vraiment l'intérêt.

- Tiens, je te confie mon écharpe. Tu en aura besoin pour que ma mère sache que c'est moi qui t'envoie et dis lui que je l'aime du fond du coeur.

Avec un grand sourire, Zanark tendit l'écharpe au soldat, qui était censé la prendre et très certainement l’enfiler autour de son cou. Après une seconde de surprise, Kaïgaan souffla doucement du nez, amusé, avant de repousser gentiment l'écharpe.

- Je suis désolé, mais je pense que porter un écharpe puant le Felinae à trois kilomètres pourrait être un peu dangereux pour moi.

Il le gratifia d'un sourire désolé. Sans y prêter attention, il avait employé le terme de "puant" pour désigner les Felinaes. Il n'y avait pas songé lui-même, ne pensant pas du tout à mal. Simple tic de langage de soldat. A force d'entendre certaines choses depuis son enfance, il avait lui aussi acquis cette habitude. Mais c'était juste une expression, quelque chose qu'il prononçait sans y réfléchir, qui n'avait pas de signification pour lui. Après tout, il avait bien plus de sympathie pour ces chats libres que pour ses collègues. Bref, passons ce petit intermède sur le langage de soldat de Kaïgaan. Sans vraiment laisser le temps à Zanark ne mal prendre son refus, il enchaina d'un ton plus vivant.

- Ne t'inquiète pas, je pourrais simplement te décrire. Les mères n'oublient rien de leurs petits...

Une lueur triste passa rapidement dans le regard du soldat, qui se demandait ce que serait sa mère aujourd'hui, si elle serait fière de lui. Il avait grandit en tant que bon soldat obéissant, mais prévoyait de faire évader les prisonniers... il n'était certainement pas le genre de héro que les chatons pouvaient admirer. Il se cachait, hésitait, mais essayait tout de même... Kaïgaan cligna des yeux un peu plus fort, chassant ces pensées qui n'allaient le conduire qu'à de la noirceur, et se reconcentra sur Zanark.

Kaï à l'air un peu embarrasser quand je lui ai tendu mon écharpe. Il me la rendit immédiat comme si il touche quelque chose de dangereux. Je comprend sa réaction. C'était un peu bête de ma part et cette écharpe est assez vieilles donc je comprend sa réaction.
Il ajouta.

- Je suis désolé, mais je pense que porter une écharpe puant le Felinae à trois kilomètres pourrait être un peu dangereux pour lui.

Un petit sourire se dessina sur Kaï. J'étais certain qu'il dirait ça vu sa réaction quand je lui ai donné mon écharpe. Là, j'enleve mon sourire. Le terme de puant désigné par les soldats ma un peu touché. Cela me rappelle lorsque je discutait avec les soldats auparavant. Ils designaient chaque Felinae comme un puant ça ne me faisait rien mais puant non. Je préfère employé un autre terme. Au bout d'un moment je sourie à nouveau et j'ai envie de ricaner un peu comme si c'était une blague de l'anciens temps.
Ensuite, Kaï ajouta.

- Ne t'inquiète pas, je pourrais simplement te décrire. Les mère n'oublient rien de leurs petits...

Oui c'est vrai. Ma mère ne m'oubliera jamais même dans ces temps difficile. J'ai vue dans le regard de Kaï un air assez triste. C'est la deuxième fois que je vois son regard triste. A croire qu'il sait que ma mère est dans un état grave. Ce regard triste du soldat qui éprouve des sentiments pour ces reproductrice. Il doit avoir du mal à supporter de les voir souffrir ainsi. Mais il ne peut rien y faire pour arrêter ça. Pour moi je pense que si me mère est en vie. C'est le moment pour que je porter secours à ma mère en détresse.
Ainsi, je rétorqua.

- Tu as raison. Je te fais confiance. Tu ne devrais pas avoir trop de mal pour la trouver.

Oui vu que c'est un soldat et que presque tous les soldats connaissent l'emplacement des reproductrices. Ça ne devrait pas lui poser de problème. Et puis j'ai maintenant une confiance presque totale envers Kaï. Il à vraiment envie de m'aider au fond de lui. Et ça. De la part d'un soldat comme Kaï. Je lui serai reconnaissant. Même si cela ne dure peut-être qu'un court instant.

Zanark, qui avait arrêté de lui sourire une seconde avant de reprendre, lui répondit.

- Tu as raison. Je te fais confiance. Tu ne devrais pas avoir trop de mal pour la trouver.

Pour la trouver, cela ne devrait pas poser de problème. Mais il fallait ensuite pouvoir lui parler, la convaincre que ce qu'il disait était vrai et rapporter tout cela au Felinae à l'écharpe. Enfin, il avait déjà parlé à plusieurs chats enfermés sans trop de soucis, cela devrait aller. Le chat noir et rouge, lui faisait confiance... Ce n'était pas la première fois qu'un chat disait une telle chose à Kaïgaan, mais cela le touchait tout de même. Étrangement, ces chats n'étaient jamais des soldats. Mais ce sentiment de compter, d'être quelqu'un, était plutôt nouveau pour le mâle électrique. Et à vrai dire, il aimait plutôt ça. Enfin, ce n'était pas son genre de se la jouer héro, voulait absolument faire de bonnes actions. Il agissait selon ce qui lui paraissait le plus juste, sans vraiment chercher de reconnaissance. Il sourit donc à Zanark, s'imaginant mentalement sa mère une nouvelle fois.

- Ça ira.

Kaïgaan tourna la tête vers le chemin qui le menait à la caserne, se disant qu'il était peut-être temps de partir. Enfin, il pouvait toujours rester, mais ce savait pas vraiment quoi rajouter. Il aurait bien aimer connaître l'histoire sans doute fabuleux de la fantastique écharpe de Zanark, mais il n'était pas assez curieux pour lui poser la question. Disons que cela l'intriguait, mais que ne pas savoir le fin mot de cette histoire ne le préoccupait guère. D'un ton un peu désolé, il s'exprima à nouveau.

- Je vais devoir y aller, les Hommes vont avoir besoin de moi.

Kaïgaan était un peu triste de devoir quitter un chat aussi sympathique, mais les humains allaient bientôt distribuer les missions aux différents soldats et son absence serait remarquée. Déjà qu'il sortait beaucoup pour un domestique, ce n'était pas le moment de rater sa mission. Il tourna à nouveau la tête vers Zanark, un léger sourire aux lèvres, tel un au revoir qu'il voulait retarder. La compagnie de ce Felinae serait toujours bien meilleure à celle de ses collègues, et il le savait très bien. Kaïgaan n'était pas du tout pressé de rentrer chez lui et sans s'en rendre compte, faisait trainer ses gestes pour gagner du temps.

La brise continue à soufflé sur nos pelage. La conversation entre moi et Kaï me fait plaisir. J'en reviens pas mais bon ça aura éviter une bagarre. Cela me rappelle le bon vieux temps. Je ne me rappelle plus mais j'était assez proche de quelque soldat de la ville mais ils n'avaient pas le caractère de Kaï.
Un sourire se dessina sur Kaï, en ajoutant.

- Ça ira.

Moi aussi je le pense à moins qu'ils eu une embrouille en chemin mais pour moi je pense qu'il va s'en sortir. Je le dit et je le répète. J'ai confiance en Kaï et en ses actions.
Kaï tourna la tête et il regarda la ville. Wow le temps passe vite sans qu'on s'en rende compte.
Aussi, Kaï ajouta.

- je vais devoir y aller, les Hommes vont avoir besoin de moi.

Pour Kaï le moment de se dire au revoir est arrivé. C'est vrai que les soldat doivent rentré à une heure précises pour un briefing. Eh bien cet discussions était très intéressantes. Ce n'est pas tous les jours que j'aurai une discussions approfondis avec un autre soldat. Mais un jour on se reverra Kaï et moi qui sait.
En me relevant délicatement, Je lui dit.

- Oui tu as raison. Ne les fait pas attendre surtout. Je ne veux pas que tu passe un mauvais quart d'heures à cause de moi.

Je respire un grand coup. Kaï a toujours le sourire dessiné sur son visage. Les humains sont très strict lorsque ça concerne les horaires. J'ai entendu dire que lorsqu'un soldat n'exécute pas les ordres ou dans des situations où les humains ne sont pas content d'eux. Leurs punitions sont très sévères. Pauvre Kaï. Mais je pense qu'il est honnête et que les humains ne le punira pas de si tôt voir mène jamais.

Zanark se releva lentement alors qu'une légère brise vint faire danser les poils des deux félins.


- Oui tu as raison. Ne les fait pas attendre surtout. Je ne veux pas que tu passe un mauvais quart d'heure à cause de moi.

Kaïgaan sourit en coin, amusement touché que le Felinae se soucie autant de lui. Oh, le soldat allait rentrer à l'heure, sauf imprévu, cela allait bien se passer. Il serait entouré de chats barbants, recevrait une mission barbante qu'il exécuterait avec ennui. Voire parfois de la culpabilité. Enfin, ils allaient devoir se séparer. Sans lancer de réplique, pour éviter de relancer une discussion qui s’éterniserait, Kaïgaan fit un signe de tête au chat noir rayé de rouge. Un au revoir simple, formel, mais avec le regard témoignant d'une affection certaine. Il venait de rencontrer un chat bien sympathique, et n'allait pas oublier de sitôt ce nouvel ami. Enfin, il venait également de recevoir une nouvelle mission : Retrouver la mère de Zanark. Vivante si possible, ce serait mieux.
Après un dernier sourire, le soldat s'en alla. Pour une fois, il n'était pas sur ses gardes en tournant le dos au matou sauvage, n'ayant aucunement besoin de se méfier. C'est ainsi que Kaïgaan retourna vers "les siens", afin de continuer sa journée fade et sans saveur de soldat.

HRP:

Aussitôt Kaï ne perd pas de temps, il est temps pour lui de retrouver les siens afin de ne pas remarquer mon absence et cet ainsi que ma balade fut terminer, enfin je ne vais pas m'en plaindre cette balade à été riche en conversation, et elle restera graver dans ma mémoire pour tres longtemps. Mais quelque chose me dit que ce n'est que le début.
En voyant Kaï repartir, je me suis dit.


- Kaï... Un jour on se reverra. J'en suis certain.


Il est temps pour moi aussi de repartir chez les miens aussi . J'espère qu'il ne vont pas s'inquiéter que j'ai prie une balade plus longue que d'habitude. Je me tournis vers la ville en fermant les yeux et en pensant à ma mère ainsi qu'à Kaï. Je me retournes et je pris la route vers la Sylve.