• Nom : Dorëan [Dô-ré-han]
• Surnom : Piaf ; Sac à plume ; Celui-qui-voudrait-toucher-le-ciel.
• Sexe : ♂
• Âge : 1 ans et 2 mois (21 ans âge humain)
• Orientation sexuel : Hein ?
• Clan : Euh... Soldat ? Au faite on est où ici ?...
• Rang : Frai comme la menthe !
• Race : Auuuuucune idée ! Mais il doit y avoir du Chartreux.
• Couleur de voix : #0F54BC

Hein ? Un pouvoir ? Quel pouvoir ? Un pouvoir genre... Super héros ? Un pouvoir... Pouvoir ? Non je n'ai pas de pouvoir ! Désolé de vous décevoir. Du moins si, je suis censé en avoir un mais il ne semble pas vouloir se montrer. Je veux dire par là que en gros, si j'ai un pouvoir, je ne l'ai pas encore trouver. Mais il ne devrais pas tarder. Car si j'ai des cornes qui apparaissent sur ma tête comme ça quand j'ai un grand coup d'émotion, c'est qu'il ne devrait pas vraiment me faire attendre non ?

Commentaire de Dorëan :

Alors mon physique... Hurm... Bah en faite, je sais pas trop... Je suis un frai, je suis un peu perdu, un peu déboussolé. Je n'ai pas vraiment eut le temps de comprendre ce qu'il m'arrivait. Bon en faite, je sais des choses sur mon physique, mais je n'ai pas encore tout pigé, vous voyais ? J'ai compris par exemple que je suis un chat. Quoi, vous le saviez ? Oui bah écoutez, c'est déjà ça hein ! J'aurais pus être euh... Un chameau tiens ! Vous auriez dit quoi si j'étais un chameau ? Quoique, j'aurais bien voulus voir ce que ça fait ! Ça aurait été sympathique... Bref, c'est pour cela qu'il faut préciser. On ne sait jamais. Et oui donc ensuite... Je ne sais pas moi... Ah si ! Je suis un mâle. Donc... Voila, vous avez compris. Et d'ailleurs, selon moi, je suis un beau mâle tout de même. Je sais pas vous mais je trouve que pour un chat comme moi, je suis bien grand et bien robuste, avec un air droit, fière. J'ai l'air fort, en faite. Mais je ne sais pas si je suis si fort que cela au final. Je n'ai jamais testé. Je pense que je devrais l'ajouté à ma liste de choses à faire... Bref oui pardon je m'emporte souvent ! Je suis donc un chat mâle assez grand et bien construit physiquement, pas non plus le grand dure à cuire avec des muscles que tu ne sais pas ce que c'est. Il me semble également que j'ai le pelage... Non, pardon. Autant pour moi. Il n'est pas noir, j'y tiens, compris ? Il est pas gris non plus. En faite, c'est une sorte de noir-gris-bleuté... Je sais pas si vous voyez la couleur mais quelque chose comme du gris-foncé – bien foncé hein, ne l'oublions pas et sachant que ce n'est PAS du noir – mélangé à du chartreux. C'est compliqué, oui. Mais c'est une belle couleur, qui je trouve, me va bien. Même très bien. Après... Et bien je croix que je n'ai pas de tâche, ou de rayure, ou d'autre couleur quelconque. Ah si ! Si si ! Pardon je suis étourdi. J'ai remarqué que j'ai deux triangles blancs dont les sommets pointes vers le bas en dessous de mes yeux. C'est assez fascinant, en vrai. Je ne sais pas si c'est de naissance ou autre, mais franchement, j'aime bien ! Je trouve ça bien rigolo. Bon, niveau pelage, c'est fait... Attendez hop hop hop ! Je n'ai pas dis ma taille non ? Bon. Je mesure à peu près hurm... Sans la queue bien sûr... Disons 52 cm ! Je crois bien. Et ma queue elle... 26 cm on va dire. Après, je le corps normal comme je l'ai dis avec de bonne proportion. Un beau gosse quoi. En suite bah... C'est compliqué vous voyez. Je n'ai pas encore tout compris à mon corps, alors j'ai du mal à me repérer. Je crois que... Que suite à je ne sais quoi, j'ai développé des attributs d'oiseaux. Quoi ? Des ailes ? Euh... Oui et non... Vraiment des « attributs d'oiseaux ». Des vrais de vrais. C'est à dire, des ailes, mais aussi j'ai mes pattes arrières qui sont des jambes d'oiseaux. J'ai les pattes arrières d'un piaf. Et ça va en extrême contradiction avec mon pelage. Car mon pelage est gris-foncé chartreux et que mon plumage quand à lui est blanc. Blanc très pure. Les pattes d'oiseaux elles sont roses assez pâle, comme si elles étaient albinos. En faite je crois que tout mes attributs d'oiseaux sont albinos. Ce que est pour le moins, étrange. Mes ailes quand-t-a elles sont très grandes en envergure, énormément grandes. Mais je n'ai pus les voir qu'une fois, alors je ne sais pas vraiment leurs vrai mesure. Je pense tout de même que je dois dépassé les 2 m d'envergure. Étrangement aussi, le produit qui m'a fait muté m'a, après mon opération, fait poussé des plumes blanche vers la base de ma queue, mes entres ailes – donc les alentours de mon dos –  et le haut de me cuisse. Et quoi dire de plus... A oui ! J'ai une modification physique assez... Spécial. Sur mon crâne, quand j'ai un grand coup d'émotion – ou alors si vous voulez quand mon pouvoir s'enclenche – , j'ai deux excroissances de corne qui pousse. Comme deux cornes de bouc juvéniles, comme-ci comme-ça. Mais, elles sont spéciales, comme je l'ai dis. Et donc... Bah... Elles sont à la base osseuse, puis sont faite de kératine, mais la partie que l'on voit sortir de mon crâne est translucide et bleutée, comme du cristal. Et c'est assez spécial je dois dire. Ça me fait une tête de chèvre. Quoique j'aime les chèvres. Non pas à manger voyons !! J'aime les chèvres tout court ! Elles sont mignonnes avec leurs bouilles là ! Bref oui, pardon. Sinon donc, bah j'ai les yeux entre le bleu ciel et le bleu saphir, ce qui est très joli. J'ai le nez rose saumon et les coussinets aussi.
Après, je suis spécial car je porte des appareils... Bizarre sur moi. Comme je suis un frai tout nouveau, tout frai quoi, et que apparemment les hommes ont eus des problèmes avec mon opération, je porte un grand bandage qui recouvre mes ailes et les cache presque entièrement. Le bandage va de mes épaules à ma queue, laissant une touffe de plume de mes ailes en sortir. Je dois garder cette chose le temps que je m'adapte. Et pour mes pattes arrières, je porte des espèces de barre métallique, qui m'aide à marcher, tout le long de mes pattes d'oiseaux jusqu'en en dessous de celle-ci. Le gros bandage me fait une grosse bosse sur le dos et le ventre, et pour cacher tout ce bazar, je porte une espèce de cape. Normalement les hommes, quand j'irais mieux, m'enlèveront tout ça. Même si mes ailes, trop grande, risque d'avoir du mal toute seul et tomberons sûrement. La cape, elle, est longue et tombe au sol. Elle est grise-violacé et forme un nœud vers mon cou, et j'ai même une capuche ! Bref, j'ai hâte d'enlevé cette chose, même si je l'aime bien car elle me fait un air mystérieux !
Après et bien... J'ai une voix étrangement mature, pour un gamin comme moi ! C'est presque étrange à entendre. Presque... Choquant parfois ! Vous imaginez par exemple une voix super mature dire des choses infantiles ? Non ? Moi aussi ! Et pourtant je suis moi, on ne va pas me changer ! Et pour finir, niveau posture je suis encore assez... Vague. Je me tiens assez mal car j'ai du mal à m'habituer à mon corps. Du coup, je ressemble un peu à un gars qui c'est pris une sacrée cuite ! Je zig-gag beaucoup, mais c'est normal je me dis. Bon après, et bien parfois je déraille et quand je marche trop vite je tombe au sol. Donc je dois faire très attention. Et comme je ne peux pas voler car mes ailes ne sont pas encore fonctionnelles, c'est pas terrible. Oh j'oubliais une chose ! On lis assez facilement les émotions sur mon visage, comme sur un livre ouvert. Ou, tout simplement, comme un visage d'enfant.

Description rapide :

► Chat mâle de 21 d'âge humain avec un corps bien construit et beau gosse.
► Pelage gris-foncé chartreux avec deux triangles au sommet blanc sous les yeux.
► Yeux entre le bleu claire et le bleu foncé. (Ou entre le bleu ciel et le bleu saphir.) PS : Plus saphir que ciel.
► Attribut d'oiseau albinos. (Des ailes et les pattes arrières d'un piaf albinos.)
► Corne de cristal bleu assez translucide qui apparaisse pendant mon pouvoir. PS : Ça fait un mal de chat !
► Porte un grand bandage sur tout le ventre et le dos qui recouvre ses ailes.
► Porte des appareils métalliques à ses pattes arrières pour marcher.
► Porte une cap qui cache tout cela, ne laissant apparaître que sa tête, son poitrail, et ses pattes avants.

Spoiler:

Comment je suis... Dans ma tête ? Ah ce n'est pas simple, vous savez. Non pas simple. Alors tout d’abord, j'ai l'air d'un chat assez sérieux et mystérieux. Quand on me voit, on peut penser que je suis calme, que je ne rigole pas souvent et que je suis très très sérieux et concentrer sur ce que je dois faire, que rien ne peux briser mon calme étrange. On dirait que je me tiens droit et fière, haut percher sur mes pattes. Comme si j'étais sûr de moi. J'ai l'air confiant et zen aussi. Je ressemble à quelqu'un de très mature, difficilement amical. Et puis, ma cape rajoute cette effet mystérieux sur moi. Je ressemble souvent à un solitaire qui semble bien avoir tout vécu, tout enduré. Et qui cache bien des secrets au péril de sa vie. Quelqu'un de réfléchi, de très méthodique. Quelqu'un de badass quoi. Mais en faite, je ne le suis pas tellement... Je suis pas toujours comme vous pensez que je suis. Quelqu'un de classe, très styler. Non. Je ne suis qu'un chat, parmi tant d'autre. Qui a sûrement un passé pas tellement top-top, je n'en sais rien, je ne préfère pas savoir. En vrai, je suis un chat très jovial. Très gentil. Je sais que j'ai l'air dure parfois, même s'il reste quand même un sourire sur mes babines en permanence. Mais je suis un vrai enfant, intérieurement. Pas qu’intérieurement d'ailleurs. Je me comporte comme tel. C'est à dire que je joue comme un enfant, que j'ai le regard qui pétille comme un enfant. Je suis un chaton, en définition. Si vous discutez avec moi, vous allez remarquer se ton enfantin dans ma voix. Vous allez aussi remarquer cette manière de parler, comme si je ne prenais pas au sérieux. Et pourtant, ma voix semble mature. Mais mon comportement la déforme, pourtant. Vous allez remarquer aussi que je ne prends rien au sérieux, et comme je l'ai dis plus haut, même pas moi ! Vous me dites que l'on va mourir, je vais totalement me désintéresser de ce que vous dites. Je vais donc repartir calmement, toujours aussi joyeux. Rien ne peut briser cette total gaminerie en moi – oui se mot n'existe pas mais ça me décrit bien – que cela peut en devenir stressant. Je suis très ignorant aussi de ce qui m’entoure, ce qui fait que je suis tout le temps curieux. Je suis très distant de ce monde, comme si je vivais ailleurs. Dans un autre monde, dans un autre endroit. Ma curiosité aussi semble naïf. Car je n'ai aucune limite. Je peux même vous harceler sans le vouloir, vous suivant partout tel un enfant qui harcèle ses parents pour savoir où ce cache ses cadeaux d'anniversaires. Oui, cette chose, c'est moi. Je ne me méfie jamais du danger, en faite je m'en fiche. Je suis un ignorant. Et puis, vous avez beau vous énervez contre moi, cela ne s'arrêtera pas. Je n'aurais même pas peur. Je continuerais mes gamineries. Je suis un grand bébé ! Mais, malgré toute ma naïveté, mes enfantillages, je suis un grand cœur. Je peux vous écouté quand vous le voulez. Vous pouvez tout me dire, TOUT. Je suis quelqu'un de confiance, qui n'hésitera pas à vous aidez en cas de danger. Je suis très honnête aussi, et je me fiche totalement de mon passé, car j'en ai pas ! Je me préoccupe juste du présent, le temps le plus important. Et puis, qui sait où il pourra m'emmené. Non ? Après, je suis d'une patience sans limite. C'est incroyable ce que je peux être doux. Je suis une vrai peluche ! J'éprouve souvent de la compassion envers les autres. Car j'ai l'impression de savoir plus que quiconque ce que l'on peut vivre sur cette terre. Et puis aussi, étant très joueur, je me prête souvent à des jeux stupides. Je suis sûrement le plus gentil soldat qui puisse existait. Je n'aime pas me battre, sauf en cas d'extrême besoin. Je préfère arranger ça par la parole. Car les mots font toujours plus mal que le physique. D'ailleurs, si deux personnes ce battent devant moi, je risque de ne pas comprendre tout de suite. Mais quand j'aurais compris, je me mettrait soudainement entre les deux, comme pour ne pas qu'ils continuent leurs actes. Si quelqu'un ce prête à mes jeux, mes enfantillages, je peux certifié que cela sera drôle, et que l'on s'amusera. D'ailleurs, envers les chatons, je suis comme perdu. Je les regarde, les fixe. Puis sans un mot je me mets à jouer. Et c'est comme si deux chatons jouaient ensemble finalement. Mais l'un des deux chatons semble avoir grandis trop vite. Beaucoup trop vite. Et ce la semble triste, parfois. Ah oui juste une chose ! Je voulais vous dire, je suis quelqu'un, aussi, sur lequel on voit facilement les émotions sur le visage. Ne semble pas vraiment cacher quoique ce soit. Je m'exprime toujours clairement pour bien montrer mes émotions. Même si la plus part des choses que je dis sont flou. A par être quelqu'un d'énervant, d'attentif à votre personne, je suis aussi extrêmement rêveur. Vous me trouverez souvent m'arrêter, en marchant, d'un seul coup. Peu importe le temps qu'il fera, l'heure aussi, je me stopperais net. Et d'un seul coup, je lèverais le regard au ciel. Et je sourirais, une lueur étrange dans les yeux. Comme un grand gamin, à qui l'on a privé de tout ce qu'il existe. A qui l'on voit dans son regard, avoir tout perdu. Mais se gamin ne s'en rendra sûrement pas compte. Car se gamin, voyez-vous, s’émerveillera à regarder le ciel. Il voudra le rejoindre, en espérant y arriver un jour. Il voudra le toucher. Mais pour le moment, il se contente de le regarder. Car il sait que ce jour là approche. Que ce jour là viendra. Et qu'il s'envolera. Parmi le ciel. Parmi les cieux. Il est bête, se gamin. De penser ça. Mais il s'en fiche. Il peut voler, non ? Il a des ailes après tout. Alors, pourquoi pas.
Sinon, que dire de plus sur moi ? Bien, voyais vous, j'ai des croyances. Oui oui, j'ai bien dis que j'étais spécial, n'est-ce pas ? Et bien, voyais vous, j'ai mes propres idées de ce monde. Étant encore assez naïf sur la situation actuel, je me rassure en quelque sorte. Et puis, c'est sympas d'être amnésique car tu peux croire tout ce que tu veux ! Par exemple moi j'ai une croyance, celle du Corbeau Blanc. Alors, cette croyance, en principe je ne l'étale pas comparer à d'habitude où je dis tout à tout le monde. Mais j'ai un souvenir, un seul, de mon passé. Il ne me dit pas grand chose, mais je m'en fiche. Je me souviens d'avoir vus ce corbeau entièrement blanc passé au dessus de moi en croissant. Donc, ma croyance est simple est pourtant assez étrange. Il existe, du moins pour moi, quatre gardiens. Un des Airs, le Corbeau Blanc. Un des Terres, le Cerf Vert. Un de l'eau, le Lézard Bleu. Et enfin celui du feu, le Renard Rouge. Dans mes légendes, mes histoires, le Corbeau Blanc m'a choisi. Et du coup, pour moi, il a une grande importance. Je ne sais pas pourquoi il m'aurait choisi, car je sais très bien qu'il est fictif, mais bon. J'aime bien me faire des films, après tout. Il faut bien vivre, non ? Sinon et bien, je n'ai pas un point de vus très net par rapport à la situation actuel. Pour moi, je me suis réveillé après quelque chose, et puis voilà. Certain « Soldat », comme ils s'appellent me trouve étrange, stupide, naïf. Mais je m'en fiche, je suis comme je suis. Je suis moi. Dorëan. Libre comme le vent, ou presque. D'ailleurs, en parlant de ça, on me surnomme souvent : « Celui-qui-voudrait-toucher-le-ciel » chez nous. Enfin chez les Soldats. Pourquoi ? Pour la simple est bonne raison que je suis réellement celui qui voudrait toucher le ciel. J'aimerais le toucher, le sentir sur mes pattes. J'aimerais volé, sentir le vent dans mon plumage. Ça serait une libération pour moi. Mais encore faut-il que je sache voler. Vous ne croyez pas ? D'ailleurs, comme je l'ai dis plus haut, je m'arrête souvent pendant que je marche pour regarder le ciel, se vieille ami. Et le soir, avant de m'endormir, je vais souvent me mettre dans un coin, pour regarder le ciel. Longuement. En souriant. Tel un oiseau en cage.
Niveau goût... Disons que je ne sais pas trop. J'aime le lapin, j'aime de tout, en bref. La seule chose que je n'aime pas, c'est l'oiseau peut-être. Je ne mangerais pas, jamais. Pour moi ils sont mes frères. Non merci, je ne veux pas y toucher ! J'ai des plumes, ce n'est pas pour rien. Mais tout de même, je mange d'autre chose. Il m'arrive de manger des fruits, comme des mûrs. Quoi, je suis omnivore et ? Franchement je ne vois pas le problème. Après, j'aime bien toute sorte de chose autre que les volatiles. Aussi, niveau ce que je n'aime pas, et bien je n'aime pas euh... Bah niveau goût je n'en sais rien... Bah j'aime pas le manque de respect, par exemple ! Je trouve ça fort désagréable. Après je n'aime pas voir les autres souffrir. Cela me fait souffrir aussi. C'est comme un supplice. Une torture. Quelque chose d'horrible. Après, j'ai des tics et tocs, comme tout le monde. Je sais que quand je suis heureux, mes yeux semblent pétillé. Cela est étrange, mais assez drôle. On dirait un enfant ! Quand je suis vexé, je semble me refermer un peu sur moi en grimaçant légèrement, et ça aussi c'est drôle a voir. Quand je suis exaspéré je roule les yeux au ciel en souriant. Et quand je suis en colère, ce qui est rare, je fronce mon nez. Ça, c'est le début. Après quand je me mets en colère pour de bon il ne faut pas être dans le coin ! Mais je ne pense pas me mettre en colère, je ne connais pas la colère !
Enfin, j'ai un don assez spécial. Non, ce n'est pas le don d'être un gamin de première. Non pas le don d'être heureux facilement. En faite, quand je vois quelqu'un, je l'analyse sans le vouloir. Je regard tes tics et tocs, je regarde comment tu réagis. Et quand je suis sûr de moi, je pose un bilan. En principe, je le garde pour moi. Je ne dis rien, rien du tout. Mais quand je commence un peu plus à te connaître, mon bilan grandis. Et quand, un jour, tu seras triste. Je viendrais te voir. Et je te dirais sans aucune crainte le fond de ma penser. Ce que pour moi, tu es. J'en suis capable, je vois ce qu'il y a de bon en chacun de nous. On en est tous capable d'ailleurs. Mais moi, je le dis. Car je sais que l'on en a besoin.

On pourrait sûrement ce dire des choses comme : « Je suis sûr que Dorëan a un passé triste, pour qu'il soit si heureux ! Il veut nous cacher sa tristesse ! ». Bah en faite... Pas vraiment voyez-vous. On pourrait croire que mon passer est triste, incroyablement compliqué, ou autre. Mais la réalité est beaucoup plus simple. Néanmoins, il y a des choses que je ne comprends pas. Et je ne peux pas les ignorer. Même si parfois, la réalité est toujours plus compliquée.

Froid. Là est tout le sens de cette histoire. Froid. Je ne sentais que ça, du froid. Je ne sentais pas mon corps non pas le moindre, je sentais juste ma chaire étalée sur cette surface glacial et pour le moins hostile. Je ne souhaitais pourtant pas bouger. Non. En faite, je ne souhaitais rien du tout. Tout ce que je voulais, c'était le silence. Mais ce silence que je demandais, crié, au fond de lui. Il hurlait que l'on l'achève. Car ce silence n'était qu'un mauvais présage. Un présage de mort. Pourtant, il finit par ce briser. Je finis par entendre le bruit régulier du sang qui battait dans mes tympans, à toute vitesse. Sa course ne sembla pas ce stopper une seule seconde, il battait d'ailleurs encore plus fort. Encore plus vite. A tout rompre. D'un seul coup ce fut comme un choque. Je me redressais en un sursaut, haletant, le pelage trempé de sueur froide. J'avais fait un cauchemar, sans doute. Cela y ressemblait fort. Mais je n'eus pas le temps d'y penser que mon âme partie vagabonder sur ce que je voyais. En faite, je voyais très peu. Je ne voyais que du noir, ou presque. Proche de moi, je vis transpercer l'air des traits, droit, fidèle entre eux. Ils se croisaient jusqu’à former une grille, une barrière. Une... Cage ? J'étais enfermé, donc. Cela sembla évident. Je me dressais sans comprendre pourquoi, tirer par un élan de folie. Alors, je tourbillonnais sur place, semblant détraquer. Soudain, un horrible mal me prit. Je sentis une douleur aiguë me perçait le crâne. Chancelant, je retombais au sol lourdement, fermant les yeux. Cela dura longtemps. Et je restais là, sans bouger. La douleur ne voulait pas partir. Elle ne faisait qu’accroître. Silencieusement. Je sentais tout les porcs de ma peau s'ouvrir. Malgré le froid infernal du sol, je brûlais, j'avais de la fièvre. Cela me semblait être une torture. Un véritable supplice. Je crus que cela allait durée une éternité. Voir plus. Mais, au moment où j'étais le plus désespéré, je tendis l'oreille. Un bruit résonnait dans entre les murs. Il se rapprochait. J'entrouvris les yeux un instant, mais tout ce que je vis fus flou. Alors je dressais faiblement la tête qui retombant dans un léger fracas. Je sentis la chose me prendre, me retirant du sol. Comme si je m'élevais. A cette instant, je me souvins de quelque chose. Je crus voir, entre mes paupières fermaient, un oiseau d'un blanc pure passé au dessus de moi. Un oiseau semblable à un corbeau. Il passa, et repartit aussi tôt. Alors tout redevins de nouveau noir dans mon esprit. Et je laissais faire la chose, la fièvre empirant de plus en plus. Chaque instant était une éternité, qui elle même était une autre éternité. Et ça n'en finissait plus. Soudain, je sentis mon corps ce poser sur une surface plate. Ça ne pouvait pas être le sol, le sol était plus bas, j'en étais sûr. Alors où ? J'entendis des bruits infime de verre, comme des cliquetis. Puis, la chose se rapprocha de moi et je sentis quelque chose de fin, de très petit et fin, s'infiltrait dans la peau de ma patte droite. Cela fit mal, mais l'horrible douleur que mon crâne provoquait recouvrit toute attente. Alors, petit à petit, la douleur s'endormait. Lentement. Me libérant enfin. Je finis par ouvrir les yeux, faiblement. Au dessus de moi, un être au visage effrayant. Il me regardait fixement, et cela me perturber. Je ne saurais décrire la chose, tant sa laideur effrayait. Soudain, il se pencha vers moi, pris un objet dans ses mains et me toucha. Je fermais les yeux, surpris. J'avais peur. Mais je réalisais qu'il n'y avait rien de grave. Alors je l'ai rouvris, et ce qu'il faisait m'étonna. Il avait pris une partie de mon anatomie que je ne connaissais pas. Une partie non pas faite de poil, mais de plume. Des ailes. Branches. Il les déploya en entière, gigantesque. Cela me surpris énormément. Ce qu'elles étaient grande. Ce qu'elles étaient belle... Il pris l'objet, tirant un file au bruit métallique de celui-ci. Il mit son rebord sur une de mes ailes, et le reste à l'autre. Puis il s'écarta, se retourna, laissant mes ailes se tordre au bord de la surface plane. Il revint vers moi et me retourna. Je me laissais faire, étrangement. Sans rien dire. Je n'arrivait pas à bouger le moindre de mes membres, de toute façon. Il m'enroula ce qui tenait dans sa main autour de moi, compressant mes ailes. Il me reposa sur la surface, qui semblait surélevait maintenant que je la voyais. Une table, un comptoir. Je ne sais quoi. Je regardais alors le vide, debout. J'eus alors l'idée de bouger un de mes membres, comme pour marcher. Mais je retombais sur la surface aussitôt. Tout ce que je faisais sembler vouer à l’échec. La chose soupira longuement. Il me prit de-nouveau, je ne me débattais toujours pas. Il traversa de longue dédale au mur sombre, pour finir par me déposer dans une autre cage. Je sentis le sol froid en dessous de moi, me rongeant la peau à tel point que j'en eus un frisson. Il referma l'entré et partie, comme si rien de tout cela ne c'était passé. Je le suivais du regard, toujours aussi muet. Quand, une voix m'interpella. Une voix grave, masculine. Mais aussi très vieille. Je tournais alors la tête vers celle ci, pour l'écouter.
- Hey petit, tu es nouveau non ?
Je ne répondis pas. A vrai dire, je n'avais pas besoin de répondre, car je ne comprenais rien. Je connaissais la signification des mots, je saurais capable de les comprendre, de les dire. Mais je ne comprenais pas le sens de sa question, semblant finalement très simple. Et puis, il serait difficile pour moi de répondre à quelque chose ou quelqu'un que je ne vois pas. Il est vrai que, dans ce noir, je ne voyais à peine le bout de mon nez. Et puis, mon cerveau était trop engourdit pour faire quoi que ce soit.
- Ok tu n'es pas très causant.
Il avait peut-être raison, après tout. Mais je me contentais de regarder fixement vers l'origine de la voix. Soudain, j'entendis le bruit d'un corps qui se lève. Je restais à ma place, ne semblant pas comprendre ce qui ce passé. Je l'entendis s'approcher de moi. Mais je ne vis rien. Alors, d'un seul coup, une lumière apparut. Une lumière jaunâtre, brillante, venant du pelage de celui qui me parler. Elle éclaira faiblement nos cage, infiltrant le grillage qui nous séparer. Je pus donc découvrir celui qui me parler. Un être dressait sur quatre patte, deux oreilles dirigeait vers le haut, les yeux d'un bleu très pale, le pelage d'une couleur doré au pointe cendre. Le félin semblait vieux, ses yeux étaient creusé par la fatigue et le temps. Il me regardait avec un air grave, sérieux. Ne semblant monter aucun signe de faiblesse. Je remarquais également qu'il avait des cicatrices sur le museau, et que sa queue semblait avoir été couper à mi-chemin. Il grimaçait en me regardant. Comme ci je me dégouttais.
- Tu as un nom ?
Je le regardais, surpris. Un nom ? Pourquoi aurais-je besoin d'être nommé ? Je n'en n'ai nullement besoin. Je continuais à le fixer de mon air ahuri. Bêtement. Alors, je sentis mes mâchoires ce décoller. Cela me fit une drôle de sensation. Et je sentis un mot étouffée sortir de ma gueule, un seul malheureux.
- Nom ?
Le félin haussa un sourcil, stupéfait. Cela n'était pas un « non », mais une question. Oui, une interrogation. Il le comprit bien vite et repris la parole en inspirant.
- Ah d'accord je vois. Tu es amnésique. A moins que tes parents n'ai jamais eus l'idée de te nommer. Sais-tu au moins où tu te trouve ?
Je restais fixe. La question avait le droit d'être poser. Et surtout par moi. Car malgré tout ce que je pensais, non je ne savais pas où je me trouvais. En faite, je n'avais aucune idée de ce que j'étais, où j'étais, et qu'est-ce que je faisais là. Je restais silencieux. La était la fin de mon discoure assez court, finalement. Je continuais à fixer le félin, attendant une réponse de sa part.
- Je vois... Bon écoute moi bien petit. Comme tu n'as pas de nom, je vais t’appeler...
Il baissa la tête un instant, le regard dans ses pensés. Puis il se retourna vers une autre cage, retournant vers moi en fin que compte. Il semblait perdu, cherchant quelque chose dans sa mémoire. Je le fixais du regard, le regardant faire les cent pas. J'étais toujours allonger au sol, bougeant tout seul a des moment ma tête, comme si celle-ci aller tomber de sa place. Je tournais la tête vers un autre coin de la cage et fixais celui-ci. Quand tout à coup, j'entendis sa voix. Il s’avançait vers moi. Je tournais la tête pour le regarder, et celui-ci me dit alors perdu.
- Je crois bien avoir entendu ton nom par d'autre chat... Dorëan n'est-ce pas ?
Il leva la tête vers moi, attendant une réponse. Un simple oui ou non lui aurait sans doute suffit. Mais ce qui sortis de ma gueule fus mieux que cela. Cela avait beau être mal prononcer et étouffer, c'était déjà ça.
- J'aaaaime... Ce nooom...
Le chat sourit en me voyant faire. J'avais réussi à parler, même si cela n'était pas très explicatif. Il s’avança alors un peu plus vers la grille, le regard plus détendu, plus ouvert.
- Bien, écoute Dorëan, il faut que tu parte d'ici. Le monde dans lequel tu vis n'es pas très... Sûr. Il faut que tu t'enfuis, un jour. Que tu parte. C'est dangereux ici, trop dangereux. Moi même je ne vais pas rester, mais c'est autre chose... N'oublie pas que l'on ne né pas libre, mais qu'on le devient. Bonne chance, sac à plume.
Alors la lumière de son pelage s’éteint. Et tout fus calme, noir, et froid.

Voici mes premier souvenir de mon réveille. Je ne revis plus jamais le chat. Plus jamais. Je ne sus d'ailleurs jamais son nom. Mais il m'avait donné le mien, c'est tout ce qui me suffit. Par la suite, je retrouvais la mémoire du langage. Alors je pus discuter, pensé même. L'effet nocif dans mon cerveau qui me ralentissait commencer lui aussi à partir. Je dois dire que j'étais toujours aussi chancelant, mais au moins je savais parler, pensé, et réfléchir. Je n'étais quasiment plus droguer par leur produit. Je sortis dehors avec les autres chats deux jours plus tard. Lentement mais sûrement, j'apprenais à revivre. J'apprenais à survivre, plutôt. Comme je devais avoir en âge de chat 21 ans, personne ne vint m'aider quand j'avais besoin d'aide. D'ailleurs, on se moque souvent de moi. Mais je dois avouer que je m'en contre fiche. Car pour le moment, je vis ma vie tel quel. Et un jour, je partirais loin de ces idiots, je deviendrais libre.

Commentaire de Dorëan :

• Pseudo le plus souvent utilisé : StarLight. Oui, je suis de retour ! :D
• Âge : J'AI 3272 ans ! 8D (Manger du Nutella c'est bon pour la santé.)
• Comment as-tu découvert le forum ? Vidéo d'Euca ! x3
• Autre chose ? JE VOUS NEM TELLEMENT ! ♥
Oh et aussi, je demande un avis, un jugement sur ma fiche. Que je sache ce que je peux améliorée ! Merci ! :3
• Je souhaites avoir un parrain/une marraine pour mon premier rp : Nope !

Réponses volées par un arc-en-ciel