Mes pattes s’enfonçaient dans le sable brûlant et mes ailes traînaient dans le sable qui reflétait la lumière du soleil. Mon corps me semblait lourde est le moindre mouvement me faisais trébucher. Le soleil était haut dans le ciel et la température était haute en cette période de l’année. Tout de façon, je n’avais jamais vu le désert enneigé ou même froid. Je me demandais vraiment s’il pleuvait des fois mais bon le plus important, c’est de trouver un abri pour pouvoir se reposer. Sauf que pour l’instant, le paysage n’offrait que des dunes de sable à perte de vue. J’avais marché toute la journée et m’était arrêté que pour manger et pour me reposer deux petites minutes. J’avais du mal à mettre une patte devant l’autre et je n’étais vraiment pas en état de voler, ce qui m’aurait facilité la tâche. Soudain un point noir apparu à l’horizon.
Était-ce un mirage ? J’accélérais l’allure est arriva devant un abri délabré mais qui avait au moins un toit. J’avais envie d’exploser de joie ! Enfin, je vais trouver un endroit où je pourrais me reposer et en plus j’ai une vue magnifique. En oubliant ma fatigue, je tournais autour de la bâtisse pour trouver l’entrée. Oh non…. L’entrée était bouchée par des pierres qui étaient tombé pendant une tempête. J’hérissais ma fourrure et agita ma queue frustré d’être coincé dehors. Comment je vais faire ? En plus, je ne sais pas si j’ai encore assez d’énergie pour utiliser mon pouvoir. Bon je préfère quand même essayer même si je serai crevé après et très vulnérable. Mais je ne pense pas qu’il y est une quelconque âme qui vive par ici. Je me concentrais et utilisa mes dernière force pour faire apparaître deux fils argentés qui soulevèrent le plus gros rocher et le maintenait en l'air. A ce moment-là une douleur me transperça dans mes pattes et remonta jusqu’à mon flan. Je titubai dans l’ouverture et m’écroulai sur le sol avant que le rocher retombais devant l'ouverture en laissant encore un petite ouverture où un chat peut se glisser.. Je me glissais derrière deux rochers pour qu’on ne me voit pas et m’évanouit. Pourvu que personne n’arrive …..