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Participations au concours des Légendes - Halloween

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   Ven 28 Oct - 15:28





A vos Légendes !


OoooOOOUUuuuuh !

PoOostez voOos histoOIiires iciIIiii :face:

N'oOouubliez paAaas de liIIiire par lààà avant de coOOMmpter vos légendes : https://felinae.forumactif.org/t2823-event-d-halloween


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   Ven 28 Oct - 16:36


L'arbre des Pendus
Felinae

C'était il y a longtemps, avant que les Humains ne fasse des expériences sur les chats, en particulier sur Tsueko. Il y avait un jolie minette, toute noire, aux yeux rouges. Elle vivait chez ses Humains, heureuse. Jusqu'à qu'on vienne la saisir. On arracha son beau collier, et on la jeta dans une cage. On lui injecta plusieurs liquides, qui la transformèrent en quelque chose d'affreux : son pelage était poisseux, elle bavait, des ailes lui avaient poussées, ses griffes était beaucoup plus longues : elle était devenue un monstre conscient. Alors elle eu une idée : tuer. Grâce à ses talents, la bête noire arriva à attirer un Humain près d'un arbre.

Alors, l'Humain se prit une branche au cou qui l'étouffa. Casota -le nom de la minette noire- ne leva pas la patte pour aller sauver l'Humain qui gémissait. Ses yeux était beaucoup plus brillant d'un coup : elle avait le pouvoir de tuer. Une fois que l'agonie de l'Humain fût finie, elle coupa la branche et emmena le cadavre loin de l'arbre. Elle l'enterra, satisfaite. Elle s'enfuya dans la forêt.

Quelques années plus tard, la minette -redevenue jolie on ne sait comment- rencontra un autre chat, et ils tombèrent tout les deux amoureux. Elle fût enceinte, mais ses petits moururent à la naissance. Le mâle -Tierno- crût que les petits étaient morts à cause de sa compagne, il la griffa et la morda violemment, avant de s'enfuir. Casota qui était pleine de sang ne se contrôla plus. Quand elle ouvrit les yeux, elle vit Tierno, mort, à l'endroit où elle avait tuer l'Humain. Elle décida de le pendre à une branche, avant de l'enterrer. Puis elle se penda aussi. La dernière chose qu'elle entendit était un "Oh mon...!" C'était une voix de chat elle se sentit tomber sur le sol. Et elle ne sentit plus rien.

Depuis ce jour, le chat qui avait vu Casota se pendre se fit capturer par les Humains et dit à tout le monde ce qu'il avait vu. Mais aussi depuis cette légende, on dit que plusieurs chats seraient morts ici, et que, quand un chat mourrait, l'esprit de Casota venait l'enterrer en lui broyant les os. C'est comme ça qu'il fut nommé : l'Arbre des Pendus. Car, la pluparts des chats morts, ils étaient mort en s'étouffant à cause d'une branche.

Après de longues années, il n'est pas recommander de sa balader le soir à côté de l'Arbre aux Pendus. Car les branches pourraient bien vous tuer...


Dernière édition par CometRain le Ven 28 Oct - 17:38, édité 1 fois

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Anonymous
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   Ven 28 Oct - 17:28


(Thème : un monstre chez les chats | felinae) Dans l’histoire Koï raconte une histoire aux chatons de la guilde
Chapitre I : L’enfance de Ténèbre
Un jour d’hiver un chaton albinos se nommant Ténèbre naquit, il était née avec un museau aplatit comme sa mère de race persan ce qui lui donnait un air haineux, il était immense, bien plus grand que les autres chatons, son poil long et blanc pouvait se voir même dans la plus sombre des nuit, ses yeux brillaient d’un éclat sinistre rouge.
On apprit bien vite que malgré ses deux parents très gentils se petit chaton blanc de seulement 1 mois et demi possédais un bien sombre pouvoir, Ténèbre pouvait cracher un souffle de gaz paralysant a l’odeur de soufre. Un jours dans la foret empoisonnée on retrouva le corps d’un chaton de 3 mois , il était blanc avec des yeux rouge , tout le monde pensait qu’il s’agissait de Ténèbre jusqu’à ce qu’on le retrouve dans la sylve jouant à la bagarre avec un autre chaton , quand le chef des felinae alla chercher le corps dans la foret empoissonnée à l’endroit où il avait été enterré il avait disparu , l’emplacement du corps n’avait pas été creusé , aucun prédateur n’avait pris le corps alors où avait-il bien pu passer ? Personne ne le savait et personne ne l’a jamais sut
Chapitre II : Un apprentissage pas vraiment parfait
Le chaton avait Bien grandit il avait six mois et faisait déjà la taille d’un adulte, depuis trois mois plusieurs combattants et chasseurs avaient retrouvé des corps de chaton blanc aux yeux rouge, certain couvert d’acide, d’autres calciné ou déchiqueté en lambeaux tous les corps avaient disparu les uns après les autres , un jours Ténèbre devait s’entrainer contre un autre apprenti combattant il fut pris d’une quinte de toux qui lui fit cracher du gaz pendant plusieurs dizaines de seconde l’autre chaton en respirât , ses vois respiratoires se paralysèrent et le chaton mourût étouffé mais personne ne put rien dire à ténèbre même si celui si avait parfois parut l’air fière d’avoir tué le chaton …
Chapitre III : Une mutation supplémentaire
Ténèbre était devenu un combattant chevronné qui enchainait les missions périlleuses contre les hommes, un jour pendant un combat il se fit mordre sauvagement par une expérience ratée, la plaie était grave, Ténèbre saignait abondamment, il fut forcé de s’enfuir, en terre inconnu Ténèbre ne trouvait pas son chemin il avait un faim dévorante et soif, une odeur attira le gros chat , une odeur de sang et de pourris, il se dirigea à sa source , un cadavre Korth en décomposition gisait dans une flaque de liquide vert fluorescent la faim le poussait à en prendre une bouchée , Il en prit une puis deux puis trois avant de dévorer presque la moitié de la chair en putréfaction restante sur la carcasse pour satisfaire la soif qui le détruisait de l’intérieur il but le sang de l’animal et lapa la surface du liquide verdâtre . Deux jours plus tard il souffrait son estomac produisait un bruit infernal et ses yeux le brulait.
Chapitre IV : La chose
Ténèbre rentra au camp totalement changé, il ressemblait plus à une expérience ratée mélangée à un korth qu’un chat, la bave qui coulait de son museau produisait de petite bulle verte sur le sol, ses yeux avaient disparu ne laissant place qu’a deux orbites vide, ses pattes avait triplé de volume, des griffes monstrueuses en sortaient, il n’avait presque plus de poils quelques touffes blanche apparaissait ici et là sur son visage et son dos , sa queue était déchirée seul le cartilage et les lambeaux de chaire qui était à son ancienne place pouvait attester de son ancienne présence sur le corps du félin . La mâchoire du chat était couverte de pustules et de sang la seule manière de vraiment reconnaitre le félin était grâce à son museau aplatit. L’ancien chat creusa un trou au milieu de la clairière et en ressortit une dizaine de corps de chatons blancs qu’il avala les uns après les autres, sa mère s’approcha de lui le reniflant elle essayait de savoir à quoi pouvait ressembler son chaton, car devenue myope elle ne savait pas son changement radical d’apparence elle le fixait, essayant de trouver une dernière lueur de son petit disparu frappé d’horreur elle se coucha par terre la tête basse, Ténèbre la renifla ouvrit la gueule et mordit la chatte au visage lui broyant la mâchoire , quand son corps se raidit il la pris dans la gueule serrant le dents et l’avala de la même manière que les chatons précédemment , il recommença à s’approcher d’un chat , son père , il lui arracha la queue et la carotide avec les dents , il avala tous les chatons ou presque il arracha la queue d’un et le rendit aveugle plantant ses griffes dans ses yeux le laissant pour mort , il repartit dans les bois son appétit rassasié .
On raconte que si on se balade dans la forêt empoisonné les nuits de pleine lune on pourrait apercevoir un chaton albinos avec une ombre monstrueuse qui si on s’en approche trop révélerai sa véritable forme , mais personne n’a jamais pu en reparler  …

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Anonymous
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   Ven 28 Oct - 19:01


La légende du monde au ciel rouge
Caméléons



Je me rappelle encore d'une légende, que m'a raconté mon pére avant sa mort. Apparemment, il avait appris cette histoire d'un messager Caméléon étrange. Bien súr, cela m'a fait extrémement peur á mon áge, mais avec le temps, j'ai fini par ne plus y croire. Mais je viens de faire une découverte, qui me fait penser autrement...

Une légende raconte un fait qui s'est produit peu aprés la fondation de la guilde. Un jeune chat noir et blanc, se nommant Ayari, aidait á installer le camp dans l'arbre creux. Mais ce chat était étrange, on le sentait bien. Le soir, lorsque tout le monde dormait, il se glissa entre les broussailles, et disparut jusqu'au matin suivant. Il n'avait pas l'air fatigué en plus. Une chatonne brune nommée Willow le vit partir un soir. Elle ne s'en soucia pas, du moins, pas au début.
Quelquechose changeait chez Ayari, avec le temps. Ce ne se produisait pas vite. Mais en grandissant, Willow remarqua que le chat devenait de plus en plus distant. Il parlait tout seul, et ses yeux avaient l'air de se voiler de ténébres, petit á petit. Un jour il disparut, et on ne le retrouva plus. Willow étant adulte, elle sortit en douce pour le chercher.

Elle marcha pendant un jour ou deux, sans rien de spectaculaire. Elle avait de loin dépassé la ville, et avait échappé de justesse á une patrouille de soldats. Aprés la ville, toute la terre était encore radioactive. Willow prit son courage á deux pattes, et s'aventura dans ces terres inconnues. Elle posa á peine sa patte sur le sol nucléaire, quand un affreux vacarme sonna dans ses oreilles. Elle eut ensuite la sensation d'étre aspirée dans un trou, tous ses sens tirés devant elle. Quand enfin le bruit se calma, Willow osa enfin ouvrir ses yeux, et immédiatement voulut les refermer.
Le ciel était devenu rouge sang, des nuages en forme de cránes, et de visages contortés de douleur volant ici et lá. Tremblante, elle baissa le regard, et son coeur fit un saltaut.
Elle sentait toujours un sol sous ses pattes, mais celle-ci n'était pas lá. Elle voyait juste le ciel rouge reflété en dessous d'elle. Elle se retourna pour partir, mais tout était devenu une mer de rouge. Elle marcha vers oú elle était venu, espérant se retrouver sur le chemin vers la ville, mais elle avait beau avancer, elle ne bougeait pas.

Tout a coup, elle vit une forme au loin. Ou bien tout prés, elle ne savait pas. Sa notion de perspective avait disparu. Peu á peu, cette forme se transforma en chat, avec d'abord des pattes, puis une téte et des oreilles, et enfin une queue émergeant de cette ombre difforme.

"Qu - Qui es tu ?", dit elle, la voix tremblante.

Le chat s'éclaircit, révélant un visage noir et blanc, et des trous á la place des yeux.

"Ayari ?", s'étonna-t-elle. Sa gorge était devenue séche.

"Moi ? Ayari ? Non, ma chére, mais je dois t'avouer que son corps m'a été utile." dit-il, d'une voix qui gela les os de Willow.

La pauvre chatte tremblait de tous ses membres. Elle voulut courir, mais elle était scotchée sur place.

"Veux-tu que je te raconte ce qu'a fait ton bon ami ?" poursuivit Ayari.

Willow voulut dire que non, elle voulait juste partir d'ici, mais au moment oú elle essaya de parler, elle se rendit compte que sa bouche s'était refermée comme si elle n'en avait jamais eu.

"Cette pauvre bestiole a fait, sans le savoir, une bétise monstruseuse. Petit, il a trouvé un cercle de sang de monstre par terre, et s'est mis á jouer dedans, en trasant des formes au hasard avec le liquide qu'il ne connaissait pas. Ces formes suffirent pour le condamner, et depuis est l'objet de ma possession. Il s'est battu longtemps, certes, mais je finis par l'avoir. Ces terres sont mon territoire."

Willow ne savait plus quoi faire. Soudain, le démon se rua vers elle, et elle se sentit tomber.... tomber dans l'abysse infinie du ciel rouge, dans la bouche d'un des chats souffrant, qui se referma sur elle.

La légende raconte que quiquonque s'aventure sur ces territoires subira le méme sort que cette pauvre Willow, et que le démon Ayari y attend toujours, pour vous voler votre áme.
Je n'y croyais plus, jusqu'á ce que j'ai découvert le cadavre brun de cette Cameléonne, enseveli sous le sable du désert. Comment je sais que c'est elle ? Elle n'a pas de bouche, et ses yeux ne sont que des trous. On dit bien que les yeux sont les fenétres vers l'esprit, non ?



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   Ven 28 Oct - 19:35


(Guilde des Caméléons)

C'était il y a ben longtemps maintenant .., savait-il parler ou était-il muet ? Refusait-il tout simplement de parler ? Lorsqu’il fut trouver , il était là debout dans cette clairière de débris et de pollution, à quelques lieux des laboratoire.s Il ne bougeais pas, ces yeux sombre restaient là à contempler le vide comme s'il y voyais quelque chose. Quand la patrouille c'était approchée de lui il avait brusquement tourné la tête dans leur direction , puis  était de nouveau rester quelques temps immobile. Les plus courageux lui avaient lancer quelques questions au loin comme "Qui est-tu ?" ou encore "De quel guilde est-tu, quel est ton nom ?" mais elle demeuraient  dans le vide sans réponse.... Supposant qu'il s'agissait de quelqu'un de peut fréquentable, probablement un Soldat, la patrouille ne s'éternisait pas plus en ce lieu hostile, c'était pour le bien et la sûreté de tous. La patrouille était à mi chemin quand une ombre féline ce découpais à l'horizon : fine , droit, debout et surtout immobile : c'était le même chat que tout à l'heure. La patrouille décida de l’ignorer et passent à quelques longueurs de queues de lui, continuant leurs chemins sans ce soucier de l'étrange matou qui tourna brusquement la tête dans leur direction quand il arrivèrent au niveau de son museau. Il regardais toujours le vide de ses yeux sombre, rien ne semblais le distraire, il ne clignais même pas des yeux. 
La lune était haut dans le ciel quand la patrouille arrivais enfin au camp , tous épuiser par leur long trajet il ce dispersèrent pour rejoindre leurs tanières. Quand l'un d'entre eux ce mis à crier, tout le groupe ce mis à ce précipiter vers la source du bruit : leur compagnon n'était plus là , disparut. Et à leur grande stupéfaction l'endroit n'était pas vide, il y avais ce mystérieux félin aux yeux sombre, qui les contemplais de son air sans âmes. Pas la moindre odeur de sang, plus un bruit, juste les battements de cœurs dans les poitrines des félins qui semblais complètement désappointer. Leurs poils ce dréssairent sur leur échines et il attaquèrent tous l'étrangers persuadé qu'il était coupable. Malgré les griffures, il ne bougeais toujours pas  mais du sang noir ce mis à couler de ces plaies , un des Caméléons, enrager car il était le frère de son camarade disparut finis par égorger l’inconnue, sa tête tomba au sol dans un cris de stupeur , le corps du matou sans tête restais debout, immobile, la tête par terre continuais d'observer le vide .... Personne ne sut ce qu'il fut arriver suite à ce là cette nuit, mais le corps décapiter et sa tête avaient étés emmenés dans la forêt loin du camp afin de ne pas nuire à la vie d’autrui . Le compagnon disparut ne fut jamais retrouver et l'étrange félin ne fus plus vus.... jusqu'à ce jour.... Une autre patrouille allais partir du camp quand une tête de chat gisait au sol devant l'entrée... cette tête avait les yeux ouvert et un regard sombre qui semblais observer le vide... c'était lui, toujours là, même sans son corps...
On raconte qu'aujourd'hui encore, à chaque instant de ta vie il t'observe, il est là, tu ne le vois pas, immobile à te comtempler de son regard noir, et si tu t'éloigne, tu disparaîtra à jamais...

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Anonymous
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   Dim 30 Oct - 23:09



La Prairie Carnivore

Une légende raconte que bien avant la naissance des humains
Vivaient de puissants Dieux félins

Leur terre était belle et fertile
Mais fut dévastée par une guerre futile

Car deux Dieux forts et fort stupides
De ce lieu paradisiaque étaient avides

Alors une guerre dévastatrice s'enclencha
Pour savoir qui de ce lieu deviendrait roi

Cependant, une Déesse fort sage
Vint couper cours à leur enfantillage

Constatant les dommages de cet affrontement
La Déesse décida de punir ces garnements

Après mûre réflexion, elle condamna le premier
A passer sa vie sous forme de plante constamment affamée

Le second quant à lui ne fut pas épargné
Car il avait pour mission une interminable corvée

Il devait nourrir le premier félin
Et s'arrêter lorsqu'il n'aurait plus faim

Alors il récolta des baies, éleva des souris
Ce qui ne suffisait point à la plante aigrie

Même si la forêt grandissait à nouveau
L'appétit du premier n'offrait rien de beau

Ainsi autour de lui s'installa des êtres semblables
Des frères et sœurs ayant une faim inconcevable

Le Dieu encore félin finit par se faire mortellement mordre
Ce qui influença le régime de ces monstres devenus carnivores

La verdure était en effet revenue
Mais pas à la manière d'antan voulue

L'ancien terrain de guerre avait fait place
A une prairie carnivore vorace

La déesse féline n'y changea rien
Et laissa ces vils créatures dans leur besoin


Spoiler:

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Anonymous
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   Jeu 10 Nov - 15:42


Ecrit par Phil et scénarisé par Alec.
Thème : Spiritisme ?
Guilde : Felinae/Cameleon/Soldat, peu importe, tout ne le monde y croit à des degrés différents, c'est simplement une légende comme une autre.

Cela ressemblait plus à une prière silencieuse, pour une quiétude inexistante, qu'une plainte. C'est ce que l'usage veux que l'on utilise pour décrire les sons qui leur parvenaient aux oreilles, provenant de voix bien trop âpres pour être vivantes, bien trop pures pour être souillées par l'âge.

Il était une créature féline qui croyait simplement au spiritisme, et vivait une vie plongée dans un espèce de délire continu. Et elle s'eut trouvé un compagnon avec une rapidité notable, probablement accrue par la délicatesse de ses mouvements, ses fines courbes et son visage doux. Charmé par une beauté peu commune, il trouva en son mental un syndrome passionnant, et décida de rester à ses côtés et de la protéger d'elle-même, quitte à la cloître dans une prison mentale pour le simple désir d'être auprès d'elle.

Nullement crédule, il ne se laissait pas convaincre par la réalité de l'au-delà, et piétinait allègrement tous les hommages que sa compagne laissait aux esprits. Frustrés par tant de honteux supplices, les présences décidèrent de punir le couple. C'était ce que déclarait sa femelle, avec un visage déformé par des expressions contradictoires. Par la haine, la frustration d'avoir à porter ce fardeau; et par l'admiration et l'idolâtration de ce même poids. C'était ce qu'elle déclarait, avec un ton supérieur d'une personne qui était omnisciente, alors qu'à ses pattes gisait d'horribles chatons. Des espèces de monstruosités déformées, décharnées, portant un visage tordu, des membres atrophiés et un corps complètement difforme.

S'ils restaient la définition du beau pour la matriarche, jamais le père ne pouvait cautionner une telle abomination. La nuit même, il se décida à se débarrasser de ces horreurs, persuadé qu'ils n'apporteraient que la misère et la malédiction. C'était la fin du mois d'octobre, il faisait un froid notable, et les abandonner dans un cours d'eau glacé lui semblait une ravissante idée. Que les flots lavent les impuretés de ces enfants du diable, qu'ils souffrent une nuit d'avoir trop respiré, qu'ils soient sacrifié pour l'honneur et la prospérité.

La noirceur du deuil métamorphosa sa compagne en quelque chose qu'il ne reconnaissait pas. Certes, il avait feinté son implication; certes, il avait feinté les recherches; certes, tout semblait lui apporter un masque un peu plus parfait. Mais chaque jour aussi, elle était de plus en plus suspicieuse de lui. Semblait être dévorée par des spasmes la nuit, des crises de somnambulisme, l'amenant indéfiniment à l'endroit où il avait laissé les petits monstres. Il n'en restait rien; pas un os, pas une trace de sang, pas le moindre indice d'un passage funeste de vie à trépas. Mais elle doutait. Elle doutait, et devenait de jour en jour plus sombre et morose.

Et un jour, elle ne supporta plus cette inendiguable tristesse. Voulant, trouvant un coupable à punir de la mort de quasiment tout ce qui comptait pour elle, elle se décida à châtier la seule chose qui lui restait. Cette querelle fut courte, futile, se solvant par un accident malencontreux. La femelle s'était fracassée le crâne contre une pierre, à l'endroit vague où il avait laissé les créatures. Pris de terribles remords, il s'enferma à son tour dans un état presque catatonique, torturé par des esprits n'existant que dans sa tête. Ne comprenant ce qu'il lui arrivait que dans la souffrance, il trouva le cadavre d'un chaton. Ce n'était pas le sien, et ça n'avait probablement rien à faire avec lui. Mais le corps, rongé et décrépi, ressemblait horriblement à ses enfants. L'apportant à la tombe de sa famille, il l'enterra. Et il passa une nuit normale, pour la première fois depuis des semaines d'insomnies.

Il lui semblait trouver la quiétude. Le pardon, peut-être.

Un jour, il partit à son tour. Sans vraiment de raisons, d'intentions. Une mort naturelle, quoi que prématurée. Un résultat d'un mode de vie probablement trop dégradé pour lui assurer une certaine prospérité. Mais dans la mort, il ne trouva nullement la paix d'esprit. Il continua d'errer quelques temps, et trouva ce qui lui semblait être le fantôme de sa compagne. Elle semblait heureuse, comme revivre, aux côtés de ses chatons. Mais il n'osa l'approcher. Il trouva d'autres chatons, et recommençait à les guider vers sa compagne. Et elle semblait plus illuminée à chaque fois.
Mais il lui amena un chaton bien trop joli, et brisa son harmonie. Alors, fidèlement à ses actes du passé, il orchestra un théâtre lugubre pour plaire à ses intentions.

Les nuits d'octobre, lorsqu'il lui devient impossible de trouver la paix, il aime à enlever des chatons; il les traîne avec lui sur le sentier de l'au-delà, les rends difformes à l'image de ses propres petits; si ce n'est pas sa femelle qui les guide à ses côtés. Ils disent qu'on peut les trouver à courir dans la brume; ils disent qu'on peut les entendre miauler. Mais ils disent surtout qu'ils ne reviennent jamais, si ce n'est de par leur cadavre mutilé.

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Anonymous
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   Ven 11 Nov - 15:57


Thème : Histoire basée sur la notion de confiance infantile, et sur le sermon que vous avez tous entendus ''ne jamais faire confiance à un inconnu.

Guildes : Felinae/Soldats/Caméléons (seule la guilde Felinae est vraiment présente dans l'histoire mais celle-ci s'applique à toutes les guildes)

Le doux éclat de la lune donnait à la Sylve un éclat fantomatique. Il était tard, une bonne partie des membres de la guilde sommeillaient dans leurs tanières, sauf certains courageux ou insomniaques qui se risquaient à affronter la fraîcheur de cette nuit de saison des feuilles mortes. Un ancien rêvassait sur le seuil de sa tanière, quand il entendit des bruits venant de la pouponnière où quelque nourrices avaient acceptée de garder les chatons d’une reine ayant mise bas 3 lunes auparavant. Il se leva et s’approcha de la source de ce raffut. Les chatons jouaient dans le nid couvert de plumes, excités comme des puces. Ils étaient si ingérables qu’ils n’entendaient pas les nourrices leurs crier d’arrêter ce boucan. L’ancien se racla la gorge. Enfin les petites boules de poils l’aperçurent, il jeta un regard complice aux nourrices et s’adressa aux chatons :

Eh bien mes chers petits, vous n’arrivez pas à dormir ?

Les chatons répondirent du tac-au-tac :

Ont n’est pas fatigués et ont s’ennuie !

Le vieillard sourit devant cette jeunesse si remplie d’énergie et leurs fit une proposition :

Que diriez-vous d’une petite histoire ? J’en ai des tonnes à raconter !
Les yeux des chatons brillaient déjà à l’idée d’une histoire, mais l’un d’eux contesta tout de même :

Pas encore une histoire d’amour ! C’est dégoûtant ! Nous voulons avoir peur nous ! Tu en as des histoires comme ça ?
Le vieux matou regarda les nourrices pour demander leurs autorisation sur ce genre d’histoires, celles-ci se regardèrent et, après un instant d’hésitation, aquiéscèrent d’un hochement de tête, bien trop contentes de se débarasser pour un temps de ces petits monstres. L’ancien répondit alors :
Évidemment que j’en ai ! Je peux même vous en raconter une particulièrement effrayante. Mais pas ici, suivez-moi.
Les chatons le suivirent, encore plus qu’avant l’arrivée du vieux chat. Celui-ci les amenèrent en bordure du camp, là où ils ne seraient une nuisance sonore pour personne. Une fine couche de brume vint s’installer, ce qui donna une ambiance encore plus propice à l’histoire. Le matou s’assit par terre, les chatons se positionnèrent en cercle autours de lui. L’ancien prit une profonde inspiration et commença son récit :
Dans les tréfonds des égouts se situe un endroit qui fait l'objet d'un sombre mythe. Cette histoire se déroule il y a des saisons et des saisons d’aujourd’hui. Les Felinaes s’étaient implanter sur notre actuel territoire depuis un moment déjà, mais jamais ils ne furent confronter à une chose aussi horrible, aussi malsaine que ce qu’ils durent affronter durant cette fameuse saison des feuilles vertes. Tout commença avec un petit chaton blanc nommé Soulki. Il était adoré de ses camarades et était si mignon que même le plus cruel des prédateurs n’oserait lui faire du mal. Mais un soir.. le chaton n’arrivait pas à dormir. Il sentait qu’il ne pouvait pas dormir, pour quelle raison ? Personne ne le sait. Il entendait une voix dans sa tête. Elle l’appelait de son ton si rauque, légèrement nasillard, mais si attractif. Il en était comme hypnotiser. Il se leva et sortit du camp. La voix s’amplifiait à mesure qu’il marchait, il sentait qu’il se rapprochait. Que cette voix se rapprochait aussi. Elle l’invitait au jeux, à rire. Brusquement, la voix se tût. Il s’arrêta dans une clairière, et attendit. Il savait que la chose allait venir, et qu’ils allaient bien s’amuser ! Oh oui ! Bien s’amuser… une ombre passa derrière lui. Il se retourna en toute hâte et cria :
Il y a quelqu’un ?
Brusquement, les fourrées s’agitèrent. Une ombre en sortait. Les longues branches des arbres aux feuilles roussies par la saison cachaient complètement la lune blafarde. L’ombre s’approcha et s’assit devant le jeune chaton. Ils passèrent quelque instants à se regarder, puis le chat à la voix rauque prit la parole :
Bonjour Soulki ! Sais-tu qui je suis ? On m’appelle le chat farceur au rire grandiloquant ! Mais tu peux m’appeler Weas Gray. Que dirais-tu d’un petit jeu, mon petit ?
Le chaton était à présent sur la défensive à présent. Comment connaissait-il son nom ? Comme si la créature lisait dans ses pensées, il répondit à cette question intérieure :
Oh je te connais très bien mon petit Soulki ! Je suis un Felinae moi aussi ! Et je t’observe depuis un petit moment afin de jouer avec toi !
Le chaton se détendit. C’est vrai qu’il portait l’odeur des Felinaes ! Un peu éventée certes, mais il la portait ! Il pouvait donc lui faire confiance, ce n’était ni un soldat ni un chat errant. Le chaton répondit donc au chat qui devait être un mâle :
Quoi comme jeu ?
Il crut voir le chat sourire, mais avec l’obscurité il n’en était pas sûr. Il avait l’impression de connaître ce chat depuis toujours, mais il ne sût comment. Le chat répondit à sa question :
Oh tu verras, c’est un jeux de mon invention, il est très marrant ! Et si tu gagnes tu auras une surprise ! Suis-moi, je t’emmène dans un endroit plus propice au jeu !
Le matou se mit à rire. Soulki se mit à rire aussi. Il ne sût pas bien pourquoi il riait, mais ce qui est sûr c’est que ce chat devait être amusant ! Sans prévenir, le chat se leva, et quitta la clairière. Soulki se leva d’un bond, et couru pour le rattraper. Il était à son niveau à présent. Et ils marchèrent côte à côte, vers l’endroit où le mystérieux chat l’emmenait.
Ils se rapprochaient du territoire des soldats à présent. Le chaton ne se sentait plus très sûr de lui à présent. Encore une fois, le chat eût l’air de lire dans ses pensées et le rassura :
Ne t’inquiètes pas, si des méchant arrivent, je te protègerait ! On est amis maintenant ! Et c’est à ça que servent les amis !
Soulki réfléchit un instant et hocha la tête. C’est vrai, ils étaient amis maintenant ! Les deux chats étaient sortit du couvert des arbres, si bien que la lune les inondaient de sa lumière argentée. Soulki pouvait clairement voir le chat à présent. Le chat était grand, mais mince. Son pelage était blanc, enfin pas tout à fait. On aurait dit que de l’eau noire lui avait éclabousser une partie du visage. Oui c’est bien ça, le chat avait le pelage blanc éclaboussé de noir. Il avait également les yeux d’un bleu profond qui mêlaient bleu sombre de la mer et le bleu clair d’un iceberg. Le chaton discernait quelque chose dans ses yeux, mais il était trop jeune pour comprendre ce que c’était. Ils approchaient d’un espèce de tube qui s’enfonçait sous terre. Une odeur nauséabonde s’en échappait. Le chaton avait entendu des choses sur cet endroit. Il s’appelait ‘’égouts’’ et appartenait aux soldats. Le chat s’assis devant et prit la parole :
Eh bien entrons ! Tu verras, ça va être très amusant !
Le chaton douta un instant mais se reprit. C’est son ami et il le protégerait en cas de malheur !
Le matou entra dans l’espèce de tuyau et le chaton à sa suite. Ils marchèrent un moment, puis le chat s’arrêta. Il se retourna vers lui et dit :
Bien, je vais compter jusqu’à 10, et toi tu devras te cacher. Si je te trouve tu auras un surprise, et aussi si tu gagnes ! Bien, je ferme les yeux… et je compte… 1.. 2..
Le chaton ne se fit pas prier et courut. Il l’entendait compter
3.. 4..
Le chat remarqua un groupe de tuyaux se situant sur le mur. Si il s’y installait et ne bougeait pas il gagnerait peut-être !
5.. 6.. 7..
Le chat se dêpêcha de monter en veillant à ne pas faire trop de bruits. Il s’installa sur le tuyau et se mit dans l’ombre autant que possible. Il entendit là fin du décompte
8.. 9.. 10 ! J’arrive !
Il entendait le matou marcher, celui-ci ne prenait pas soin d’être discret. Les pas se rapprochèrent, Soulki se colla contre le mur. Le chat apparût à l’autre bout du tunnel et avançait inexorablement vers lui. Il allait être trouver et il va perdre le jeu ! Il déteste perdre ! Le grand chat passait à coté de lui et brusquement s’arrêta. Lentement, très lentement, il tourna la tête vers lui. Le chat sourit et murmura :
Trouvé.. !
Soulki poussa un miaulement de déception. Enfin, il allait quand même avoir sa surprise ! Oh oui, une surprise.. le matou prit la parole :
Bien.. maintenant, la surprise..
Soulki se rendit compte que le chat s’avançait vers lui de plus en plus et l’acculait contre un angle. Il se rendit compte qu’il avait peur. Le chat lui fit un sourire carnacier, montrant des crocs extrêmement pointus et lui susurra :
Voici ta surprise Soulki..
Le matou se jeta sur le pauvre Soulki et l’immobilisa. Il ouvrit la gueule et se concentra sur la gorge du chaton. Le chaton hurlait mais personne ne l’entendait crier. Le matou plongea sur sa gorge et trancha net la jugulaire. Le chat recula. Soulki baignait à présent dans une mare de sang. Il respirait faiblement. Après quelque instants, son regard s’éteignit. Il expirait. Le chat poussa un miaulement de satisfaction :
Maintenant, c’est l’heure du dîner..
Il prit le cadavre du petit chaton dans sa gueule, et l’emmena. Chez lui. Au plus profond des égouts. Dans ce sinistre labyrinthe où la mort se cache depuis tant de saisons. Personne ne revit le petit Soulki. Sa mère découvrit son absence à l’aube. Elle en parla au chef. On le chercha pendant des lunes, mais on ne le retrouva jamais..
Toutes les lunes, des chatons disparaissaient, et on ne les revoyaient jamais. Tous emmener dans l’antre de la bête. Certains des petits chatons pourrissaient au fin fond des égouts, dans le noir le plus total, sans amour, et avec pour dernier souvenir, le rire sinistre du chat quand il s’apprêtait à mettre fin à leurs vies.
La guilde ne se doutait pas que quelque chose, une chose effroyable, vivait là, cacher, et mangeait leurs semblables, jusqu’au jour où..
L’ancien arrêta momentanément son histoire et regarda mes chatons. Ils tremblaient de peur à présent. L’ancien s’inquiètait de les avoir traumatiser, et leurs demanda d’une voix calme :
Voulez-vous que je continues l’histoire ?
Les petites boules de poils se regardèrent un instant et dirent tous en cœur, d’une voix légèrement hésitante :
Ou.. oui !
Le vieux matou réfléchit un instant et se replongea dans l’histoire :
Jusqu’au jour où, lors d’une énième patrouille, les Felinaes découvrirent un cadavre, à l’entrée des égouts. C’était un chaton, celui d’une Felinae. Son corps était en putréfaction. Ses yeux avaient jaunis, du sang caillé restait collé à sa gorge, tandis que son arrière train était en lambeau, à moitié manger. La patrouille poussa un miaulement d’horreur. Les morsures sur son abdomen étaient celles d’un chat. Oui, c’est un chat qui avait fait ça ! Ils prirent le chaton et l’enterrairent dans la forêt. Lorsque la pauvre mère appris ce qui avait été fait à son bébé, et de désespoir, se suicida en sautant du haut d’une corniche, dans les montagnes. La légende racontait que la créature ignoble qui avait fait ça vivait dans les égouts, mais personnes ne prirent la peine de la chercher. Des chats racontent l’avoir vu, mais ces chats deviennent rapidement fous et disparaissent à leurs tour. Le témoignage qui a l’air le plus vrai était celui d’une chatte. Elle se baladait au bord du ruisseau quand elle vit un de ses camarades se battre avec un soldat sur un édifice de pierre enjambant le cours d’eau. Malheureusement elle arrivait trop tard. Le soldat donna un coup de patte si puissant sur la tête du matou qu’il mourût sur le coup, et tomba dans le ruisseau. Le soldat s’enfuit. La chatte voulut aller chercher le corps de son camarade quand son instinct lui dit de ne pas bouger. Après un moment elle vit un chat sortir de sous l’édifice. Il souriait. Il se pencha vers la dépouille du pauvre chat qui était resté bloqué par des branchages. Il ouvrit la bouge et planta ses crocs dans sa chair tendre. Quand il eût prit une bouchée, il se releva, et tourna la tête vers la chatte. Il lui souriait, ses longues dents ensenglantées. Elle ferma les yeux pour se soustraire à cette vision d’horreur. Quand elle les reouvrit, le chat avait disparu. Elle raconta son récit au clan, mais personne ne la crut vraiment. Elle disparue quelque jours plus tard. Le monstre attendait, tapis dans l’ombre, sa nouvelle victime.
L’histoire est terminée les chatons !
Le vieillard se rendit compte que les chatons dormaient à présent, couchés sur le sol. L’ancien s’écria :
Oh et puis zut !
Il ramena les boules de poils à leurs nourrices, et s’en fût dormir dans sa tanière. Ce soir là il eut un sommeil agité.





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