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Sous la neige tout est bien mieux, June est un screamer, soooous la neige ||pv : June|| [Terminé]

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Anonymous
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   Jeu 11 Fév - 21:29




Tu t’étais réveillée relativement tôt comparé à l'accoutumée, et cela te dérangeais doucement que tu ne puisse trouver sommeil. Peut-être, enfin, sûrement, était-ce à cause du froid mordant dehors; qui te dérangeais d’une manière plutôt définie. Tu savais qu’en hiver les nuits se préparaient à être dotées d’une certaine rudesse, ce qui t’obligerais certainement à te terrer dans les logis des soldats; bien que tu n’appréciais nullement cela; une sorte de regroupement d’êtres qui bougeaient bien trop, semblable à des espèces d’insectes réunis. Ce n’était pas plaisant d’être ôté de sa sauvagerie, celle qui te faisait aisément vivre, et d’être mené à un niveau social nettement plus élevé, notamment qui se rapprochait déjà bien trop de l’humanité. Des chats qui vivaient comme des humains, ce n’était nullement envisageable pour toi. Une telle dénaturalisation de l’espèce, c’était outrageusement indigne. Mais d’un autre côté, l’hiver était bien trop rude; et si tu avais déjà passé nombre de mois à tergiverser sur autre chose que le froid lors de la saison appropriée, aujourd’hui, ton corps avait déjà oublié l’inconfort de la rue et préférait maintenant se plaindre de ton environnement si peu préparé au froid. Une sorte de faiblesse incongrue, aujourd’hui, mais dont tu ne pouvais plus rien faire pour en éradiquer la personne. Enfin, c’était ainsi, et tu devrais envisager de te forcer dans le futur, peu importait à quel point cela entachait ton honneur pour toi; non, c’était juste une question de principe dont tu pouvais aisément faire abstraction.

Aussi, même s’il était relativement tôt, puisque la fatigue t’encombrait bien trop pour l’envisager, tu ne comptais nullement te rendre à la frontière ouest. Tout était probable pour que tu fasse le voyage, mais malheureusement, tu te sentais de plus en plus faible ces derniers temps. Peut-être juste un manque d’énergie à faire ce que tu avais toujours fait, une lassitude du quotidien. C’était bien de changer parfois, de montrer que le monde est encore un tant soit peu différent et que de nouveaux horizons valaient la peine d’être considérés. Oh, ce n’était pas plus mal. Ton sang ne fît qu’un tour avant qu’une idée bien plus osée que jamais ne te traverse la tête; il existait un tas de zones bien trop peu conventionnelles et affreusement dangereuse pour t’intéresser. N'était-ce pas là le plus intéressant, que d’aller titiller les Felinae ? Ah, ce n’était peut-être pas une si bonne idée. Au fond, il valait mieux rester sur les sentiers battus, pelotonnée dans une réalité doucereuse. Rien de très osé, en somme, et d’un ennui drastique. Enfin, il fallait bien cesser cette idiotie que de rester là à ne rien faire; tu étais toujours un soldat, du moins, tu le pensais vraiment, et ça ne t’aiderait en rien de rester à errer à la caserne, quelque soit ton motif; parce que tu savais clairement qu’il n’y avait absolument rien pour te justifier. Tu n’étais pas une froussarde; tu étais une espèce de guerrière sans peurs, et tu pouvais te battre encore avec toutes tes compétences, et tu te savais bien encore assez vive pour battre pas mal de gens.

Aussi, tu ne te sentis absolument pas atteinte par la brise doucereusement glacée dehors. Il neigeait un peu; c’était surtout les restes de la nuit qui embourbaient le sol d’une couche épaisse et blanchâtre, un peu salie par les nombreux passages des soldats. Tu te décidas à t’approcher d’un lieu un tant soit peu armé de danger, et te retrouvas en quelques heures à l’orée. L’après-midi était tombée depuis quelques temps, et midi était passé depuis quelques heures. Tu n’aimais pas ce lieu, bien trop oppressant pour toi. Tu connaissais l’existence de sentinelles ennemies, et tu te sentais continuellement observée, bien que tu ne doutais pas que c’était l’exact résultat de ta paranoïa plutôt que quoi que ce soit qui puisse tenir en tant que réalité. Le sol était vraiment blanc, cette fois-ci; ce n’était pas un lieu aussi fréquenté que les abords de la caserne, tu en avais conscience, et cela te réchauffait le cœur de voir un tant soit peu de pureté à portée de patte. C’était une impression agréable, doucement affublée de pureté sacrée. Malgré qu’il te sembla être ici un paradis parfaitement blanc, la route de terre battue, victime du trafic routier humain, restait nettement discernable, quoi qu’une couche de neige écrasée puisse tenter vainement de la cacher, au mieux, de la maquiller pour la fondre dans le paysage.

Bizarrement, toute cette neige drainait impitoyablement ton énergie. Les flocons tombaient encore, minces et filiformes, et s’écrasaient pitoyablement sur le sol, quoique dénués de toute disgrâce lorsqu’ils approchaient du moment fatidique. Tes oreilles se dressèrent, lorsque tu distinguas que tout n’était pas exactement blanc. Une boule grise était là, juste face à toi. Tu t’approchas, curieuse, lorsque tu distinguas un horrible bonnet kaki. Ton sang ne fit qu’un tour, tu avais reconnu cette espèce de hippie dévergondée. Avec un air horrifié, tu t’approchas de son visage et la patpat. Elle ne bougeait toujours pas, et un filet de bave épais coulait de sa bouge. Eeeeghh. Tu restas de marbre quelques secondes, puis piqua son bonnet délicatement avec les crocs, curieuse de voir ce qui se cachait; mais il était trop tard pour lui remettre alors que tu ne voulait absolument pas la réveiller. Cela dit, un bruit étrange saisit ton intérêt, et tu te retourna alors que tu constatas qu’il s’agissait seulement d’un animal perdu. Soupirant, tu te retournas e-OHMONDIEUOUESTCEQUELLEESTPASSEE. Tes yeux s’écarquillèrent alors que tu te mordit la lèvre, inquiète de ton devenir. WAAAAT, pensais-tu, alors que tu la cherchait du regard, ton coeur battant bien trop vite pour toi.


Dernière édition par Pandémie le Sam 21 Mai - 0:18, édité 1 fois

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Anonymous
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   Ven 12 Fév - 19:50




Il neigeait. Le sol était recouvert d'un beau manteau blanc semblable à du coton. Il faisait plutôt frais, ce qui est plutôt logique en soi. On pouvait voir quelques flocons, tombant de ça et là, gracieusement sur le sol. Pendant que ces beaux flocons de neige tombait, June tirait sa langue pour tenter d'en manger un ou deux, en vain. Toute cette neige tombait seulement sur sa mèche qui protège ses yeux verts émeraude. Aujourd'hui June était fatiguée. Vous me direz qu'elle l'est tout le temps, et moi je vous répond que c'est vrai. Mais oui, elle est fatiguée. Elle aurait bien envie de se reposer quelque part.
Elle marchait donc,en trottinant dans la neige froide, qui craquelait sous son poid puis qui fondait aussitôt. L'air était plutôt froid, et l'orée était déserte. Même si la chatte grise était fatiguée, elle était tout de même heureuse : peu importe le froid et le manque de nourriture, la neige lui donnait un sourire radieux. Au bout d'un petit moment de marche, elle trouva un bon coin pour «roupiller» comme elle dit souvent.
C'était un coin relativement petit ; un buisson dont le centre était arraché. June se roula alors sur elle-même deux ou trois fois avant de se coucher, dos à la neige. Elle s'était mise en boule et avait remis son bonnet en place pour s'endormir correctement.
June dormait, dormait, et dormait encore. C'est alors qu'elle senti un poid se retirer de sa tête. Comme si on lui arrachait sa mèche de cheveux.
Elle ouvre les yeux. MON BONNET.
Quelqu’un avait pris son bonnet. Quelqu’un avait OSE touché à son précieux bonnet kaki. Mais qui donc était ce fou, sans aucun respect pour les personnes qui dorment ?
La chatte grise tourna lentement sa tête.
PANDEMIE.
Oui. C'était elle. Personne ne sait comment cette hippie de première classe a bien pu se remémorer ce prénom en si peu de temps.
Comme possédée, June se leva, inclina sa tête et fond dans l'ombre. Pandémie s'était retourné par reflex en entendant un animal au loin. June n'avait qu'une seule idée en tête: récupérer son bonnet.
Elle ouvra ses yeux sous sa mèche noire, suivant chacun des mouvements de la soldate rousse. Elle était en panique. Elle devait savoir que ce qu'elle a fait est mal. Très mal.
June se plaça dans le dos de Pandémie, un poil dans l'ombre, l'air malsain.

-REND MOI CE QUE TU M'AS PRIS.

La hippie qui avait normalement une voix posée, avait maintenant une voix sombre et rauque qui semblait venir du tréfonds des enfers. BONNET BONNET BONNET


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Anonymous
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   Mar 8 Mar - 21:35


Réfléchissant à une vitesse certaine, tu sondais les horizons d'un air plutôt inquiet.Qui ne l'aurait pas été? La pensée que tu étais une soldate forte et immuable, incroyablement forte même, jamais vraiment plongée dans une défaite honteuse, te revint à l'esprit, et ainsi, tu te calmas tout aussi vite. Jamais tu ne pourrais passer une seconde de plus dans la crainte qu'une étrange hippie ne te fasse du mal; tu étais convaincue que même en la menaçant elle ne ferait absolument rien qui puisse te porter du tort. Pourtant, elle se manifesta assez rapidement; raison de croire qu'au fond, c'était sûrement une espèce de pacifiste, mais qu'il ne fallait tout de même pas s'avancer à lui piquer ses précieux bien; sûrement le reflet d'une possessivité flagrante et certainement tout aussi handicapante dans la vie quotidienne. Tu n'aimerais pas être son compagnon, simplement imaginer que chaque faux mouvement te conduise ainsi dans une situation aussi angoissante ne pouvait pas convenir comme vie. Malgré tout, ce n'était pas spécialement ce que tu comptais devenir alors tu ne t'attardas pas vraiment plus que de nécessaire sur cette furtive et futile pensée. Après tout, gâcher plus de temps à ne pas se préparer à ce qu'elle s'apprêtait à faire, ça semblait aussi inopportun que dangereux; il fallait se garder de tout manquement à la tâche qu'était d'être alerte, quoi qu'il arrive. Dans ton dos, alors que tu regardais droit devant toi, surgit une voix rauque, étrangement, mais pourtant portant le ton toujours aussi spécial de la hippie, bien que teinté d'un manque de sanité poignant :

« REND MOI CE QUE TU M'AS PRIS. »

Tu inspiras rapidement, pour retenir un cri de stupeur bien placé. Elle te faisait extrêmement flipper, l'espèce de hippie. Mais ça allait, n'est-ce pas? Les gens les plus bizarres n'étaient pas forcément les plus dangereux, bien que drastiquement imprévisibles, et tu ne devais nullement te perdre dans la crainte profonde qu'elle soit dotée d'un pouvoir bien plus puissant que l'intelligence dont elle ne semblait pas rayonner. Sa voix était vraiment menaçante, comme si elle avait pris un ton infernal, qui n'était pas le sien, un peu comme si elle étais considérée comme possédée par un démon avare de bonnets. Plus tu y réfléchissais, et moins tout ceci avait l'air d'avoir un sens; la logique s’amenuisait grandement et il te semblait plus que temps de répliquer. D'un autre côté, laisser le silence régner te semblait une vision plutôt amusante, car tu ne savais combien de temps elle était capable de tenir ainsi, à moitié visible, dans ton dos, à te fixer avec cet air pataud. Après avoir tout de même laissé une dizaine de secondes passer, durant lesquelles tu ne savais absolument pas quel mouvement il était juste de faire pour ne pas perturber son esprit tordu, bien que ça semblait plutôt improbable et que tu abandonnas simplement, en te courbant un peu, te laissant t’enfoncer un peu plus dans la neige. Te retournant vers elle, tu pris le bonnet entre tes crocs, mais pas pour lui rendre. Tu le posas délicatement à tes pattes, mais toujours dénuée de toute intention de lui remettre son dû. Relevant la tête sur elle, tu affichas un grand sourire, avec un brin de malice, et comme tu le sentais, tu te détendais immédiatement; ainsi, en réponse à la frayeur qu'elle t'avait ainsi imposé, tu lui dit :

«Absolument, absolument, absoooluuument hors de question.»


Suivit de cela, tu lui sautas dessus, dans le but de voir ses yeux. C'était tout ce qui comptait, maintenant; replonger dans cette tendre enfance, régie par un maître d'orchestre enneigé, et c'était un doux moment. Plaquant June au sol, la faisant rouler sur le dos, tu ne lui laissas aucun temps pour réagir, soulevant ta patte, tu l'abattis avec une certaine maladresse et une force peu contrôlée sur son visage, et souleva son épaisse mèche de cheveux sombre. Cependant, la fourbe droguée avait très bien prévu le coup, et semblait avoir fermé ses paupières lors du choc précédent. Son visage était plutôt joli, avec des traits relativement harmonieux, deux triangles doucement formés sous ses yeux, qui, bien que clos, devaient sûrement étinceler d'une couleur toute aussi jolie. Brun? Vert? Bleu? Violet? Rose? Rouge? Tu l'imaginais drôlement bien avec les yeux rouge à vrai dire, ou du rose, ou des couleurs pastels, ou quelque chose de plutôt féminin dans l'ensemble. Tu l'imaginais beaucoup moins avec quelque chose de sombre; du marron ou du noir. Tu ignorais pourquoi elle aimait les cacher derrière sa frange; et le fait qu'elle le fasse te donnait absolument une raison de plus pour avoir envie de les découvrir. Tu voulais savoir leur couleur. Tu posas tes pattes sur ses joues, car tu avais trop peur de manipuler ses paupières pour lui forcer à ouvrir les yeux. Grommelant comme une gamine, tu lui rétorquas :

«Meeeeh... Je veux les voir. »

Tu attendais sa réponse, d'une humeur grognonne, avec une moue insatsfaite collée au visage.

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Anonymous
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   Mar 8 Mar - 21:58




-Absolument, absolument, absoooluuument hors de question.

BONNET BONNET BONNET RENDLEMOIIII. Le cas de June ne s'arrangeait visiblement pas. Pandémie avait refusé, pour je-ne-sais quelle raison de rendre son bonnet à June. Elle le prit le déposa au sol et... NYAAA LACHE MOI ROUQUINE SANS AAAAME
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, Pandémie avait sauté sur June, la rendant sans défense dos à terre. Impossible de savoir ce à quoi pensait June à ce moment.
Larouquinessansame approcha lentement sa patte du visage de June et lui leva sa mèche noir qui couvrait habituellement ses yeux, de manière à voir leur couleur.
La chatte grise avait, malheureusement pour Pandémie, fermé les yeux.

-Meeeeh... Je veux les voir.

On aurait dit un enfant capricieux. Elle attendait visiblement une réponse.
June esquissa un laaarge sourire, laissant voir deux petites canines blanches comme neige; et glissa sa patte lentement dans la neige, en prit une bonne poignée et d'un geste rapide l'écrasa contre le visage de Pandémie en guise de réponse. Hé hé hé... Après cela elle ouvrit un de ses yeux, et s'extirpa de l'étreinte de la rouquine, en ce qui pouvait paraître une seconde.

-Nuh.

Dit-elle avec le même sourire de droguée...


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Anonymous
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   Sam 19 Mar - 22:45


C'était étrange, cette sensation particulière que tu éprouvais avec elle. Le non-sens de sa personne, le peu de préoccupations qu'elle semblait porter à son entourage semblait affreusement contagieuse, et peu à peu, tu devenais complètement, en sa présence, insensible aux différences de guilde, aux différences de mentalité, de physiques, d'histoire, d'objectifs, de pouvoirs; toutes choses semblaient disparaître et chaque être complètement indépendant, maître de sa propre pensée. Rien n'était plus régît par une histoire stupide de guerre; la guerre elle-même semblait complètement s'évaporer à ses côtés. Seulement subsistaient deux femelles dans la neige; toi, et elle. Rien d'autre n'importait, pour le moment, que l'objectif naïf et enfantin de découvrir la couleur qui teintait ses iris; rien de plus stupide qui ne te concernait; rien du tout. Et tu aimais cette nouvelle sensation de liberté, de délivrance extrême de toutes contraintes; et tant cette émotion nouvelle et agréable était prenante, tu savais que le retour à la réalité serait extrêmement plombant, et d'une morosité notable. Mais cela n'importait pas; cela n'importait plus, dans le moment présent, et il était évident que pour toi, rien d'autre que ce qui arrivait là, sous tes yeux, rythmé par seulement sa présence, ne comptait vraiment. C'était une pensée futile et furtive, qui était fugace et passagère, mais qui pour l'instant présent, dominait et ne laisserait définitivement rien la perturber.

A ta demande, elle semblait réagir d'une façon complètement prévisible, esquissant un sourire largement marqué; elle semblait, à son tour, se comporter -quoi que tu doutas que ce n'était pas complètement habituel chez elle- comme une parfaite enfant. Tu te doutais bien que quiconque aurait vu la Pandémie dans cette situation aurait rit, désœuvré face à la risibilité de la situation dans laquelle était impliquée une figure si colérique et violente. Mais aucun soldat n'était là pour se moquer, alors il était définitivement préférable de s'adresser à elle de toute manière infantile que tu avais envie. Et si elle aussi se comportait comme une gamine, elle ne serait pas seule. Un bruit sourd attira ton attention, tes oreilles remuèrent doucement, et tu baissa les yeux vers ses pattes; elle la glissa sous la neige. Tu plissas légèrement les yeux, te questionnant sur le sens de ce qu'elle tentait de faire. En fait, ça semblait rudement stupide, et la chose la plus évidente te vint en dernier à l'esprit, juste avant l'acte fatal. Elle prit de la neige dans le creux de sa patte, et avec une rapidité absolument rapide -merci captain obvious- elle l'écrasa dans ton visage. Tu restas dans une position fixe quelques secondes, ayant du mal à réaliser ce qui se passait. Est-ce qu'un chat avait VRAIMENT osé faire ça à toi, Pandémie? Vraiment? Vraiment? Elle allait voir ce qui allait advenir de sa pauvre petite personne.

Avec une habilité assez incroyable, elle sortit de ton étreinte, comme si elle glissait sur la neige, et se releva tout aussi rapidement. Tu dégageas avec tes pattes, te laissant glisser au sol pour t'asseoir, la neige blanche qui fondait rapidement sur ta peau rougeâtre. Tu n'aimais pas la sensation désagréable de gel sur ton museau rafraîchit affreusement par la froideur ambiante; tu craignais pas mal le froid. Plissant les yeux, tu finis par dégager la plupart de la neige de ton visage; c'était mieux ainsi; même si tes yeux te piquaient de l'aval de neige que tu avais pris entre tes paupières. Tu ne pleurerais pas, même si tu avais l'excuse idéale pour. La neige fondante donnait une affreuse sensation, mais c'était quelque chose de si nouveau que c'en devenait appréciable. Tu la regarda, réfléchissant aux traitements infâmes auxquels tu pouvais et tu te devais de la soumettre; parce que personne ne pouvait décemment penser ainsi destituer Pandémie de sa royale prestance, sans en subir d'affreuses réparties. Au final, l'idée la plus simple était de l'enterrer sous la neige tant tu allais lui balancer de boules sur le visage. Oh, il n'y avait pas de moyen plus simple, en effet. Vraiment. Elle souri idiotement, comme à son habitude, et te répondit, avec un air toujours aussi distrait et naïf :

« Nuh. »

Tu pris beaucoup de neige dans ta patte, trichant avec son pouvoir pour compter sur la force de lancer. Tu n'avais pas vu ses yeux, mais tu allais te venger autrement. Balançant le tas colossal sur elle, tu lanças d'une voix toute aussi peu mature :

« Personne ne peux décemment insulter Pandémie de cette manière, manante ! »

Sur ce, tu lui expédia avec force, commençant une bataille de neige probablement trop hasardeuse pour l'époque.

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Anonymous
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   Lun 21 Mar - 19:55




Visiblement, Pandémie ne s'attendait pas -enfin elle avait juste l'air secouée- à cette boule de neige surprise. June avait donc profité de l'instant de surprise pour s'extirper. Pandémie, qui avait l'air plutôt formelle et sérieuse, avait l'air plus détendue; serait-ce là l'oeuvre de June? La rouquine ne s'était pas énervée; June ne s'attendait pas à ce qu'elle soit en colère, mais alors rire! C'était très mignon. La soldate était recouverte de neige qu'elle s'efforça de retirer au plus vite. Aaawn

-Personne ne peux décemment insulter Pandémie de cette manière, manante!

WUT. PANDEMIE LANCE DE LA NEIGE? OK. June! Tu sais ce qu'il te reste à faire n'est ce pas?
June esquiva toutes les boules de neiges sans aucune difficulté, elle avait comme retrouvé sa jeunesse. Si elle était douée pour quelque chose, c'était bien pour esquiver des coups et courir vite! Elle avait ça dans les gènes. Mais cette fois,ce n'était pas dans un combat, mais dans un jeu de gamin!

- WOUHOOUU CA FAIT LONGTEMPS QUE J'AVAIS PAS FAIT CA!

Et c'est vrai! Et tu y prenais un grand plaisir!
Après avoir passé toute la neige, June accéléra et fonça dans l'ombre de la chatte rouge, elle en ressortit rapidement et sauta sur le dos de Pandémie. Un risque, mais ça faisait bien trop longtemps que June n'avait pas pris de risque, alors au feu le doute!


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Anonymous
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   Sam 2 Avr - 19:08


Bien que tu faisais de ton mieux, que tu réunissait de grandes quantités de neige entre tes pattes avec une hasardeuse vitesse, que tu les lançais à un rythme irrégulier mais avec une rapide cadence, tu restais complètement incapable de toucher la chatte grise. Contrairement à toi qui avait vécu toute ton enfance loin de cette facétieuse neige, et qui ne l'avait découverte qu'une fois adulte, elle, semblait comme être née dedans. Se déplaçant avec une dextérité sans pareille, une aisance terrestre, elle esquiva toutes les tentatives vulgaires d'assassinat nébuleux contre sa personne. Tu étais complètement laminée par ses prestations. En réalité, elle se mouvait avec une telle grâce que tu te stoppas complètement au bout de quelques minutes de lancer de la neige pour la toucher, mais simplement pour la voir bouger. Cette pensée te torturas l'esprit d'une culpabilité affreuse. Pourquoi ressentais-tu ce besoin sans précédent de t'amuser avec elle? Après tout, ce n'était qu'une ennemie, et toi, tu sympathisais sans prendre garde à quoi que ce fut? Mais la plus coupable de tout cela, c'était l'intention flouâtre qui t'obligeait à continuer. Pas obliger, non, plutôt, qui te guidait à continuer.

Parce que tu appréciais cela, et que rien n'allais te faire cesser. Pour une fois, tu aimais complètement ta personne, et tu étais bien, dans un élément qui te convenait. Peut-être que tu ne devrais simplement pas te forcer, laisser faire les choses comme elles devraient être, sans penser aux conséquences; réflexion abruptement typique d'incompétentes personnes, mais c'était la meilleure chose à faire. Les conséquences ne pourraient être observées que chez vous deux; passer une bonne journée, une causalité aussi trouble? Non, ce que tu craignais, c'était bien autre chose. Mais tu ne te laissas guère distraire par ce genre de pensées plus longtemps, car la chatte se mit à courir vers toi. Tu cessas de lancer de la neige et reculas de quelques pas, infiniment surprises par ce genre de gestes chez la chatte grise, qui sembla, pour une fois, concentrée à une tâche plutôt risquée. Voulait-elle, prise d'une aussi folle que soudaine ardeur, déclencher un combat? Tu craignais cela, parce qu'au fond, tu es presque certaine que tu serais trop réticente, pour une raison qui t'échappais encore une fois, à la blesser. Mais se lancer dans un combat au résultat si hasardeux qu'il en devenait peu intéressant, elle disparut simplement dans ton ombre.

Tu n'aimais pas cela. Quelques secondes se passèrent, et tu pâlis, ne comprenant pas tout à fait la scène. Heureusement pour toi, cette tristement morne atmosphère ne put régner plus longtemps, car June ne tarda pas plus à ressortir derrière toi, et sur ton dos. T'écrasant complètement au sol, sous un grognement étrange, tu te retrouvas sous June. Tu la contempla quelques secondes, ainsi, dans cette position. Tu ne te serais jamais laissée dominer en temps normal, mais là, c'était différent. Tu pensais qu'elle était en pleine possession de ses droits, et tout naturellement, rien ne te venait à l'esprit qui représentait quelque chose d’agressif. Tu n'avais pas vraiment envie de la repousser. Elle était trop légère pour te faire du mal, et tu ne voyais aucun inconvénient à laisser cette situation plus durer. Pourquoi...? Tu ne voulais pas encore y réfléchir, alors que tes joues rougissaient doucement. Cela était tout de même presque imperceptible sous ton pelage rougît. Tu lui demandas tout de même :

« Me laisseras-tu voir ces yeux, un jour? »


Tu aimerais terriblement les voir, rien qu'une fois.

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   Mar 17 Mai - 16:17




« Me laisseras-tu voir ces yeux, un jour? »

Mmmmh... Bonne question, mais June avait une réponse en tête.

« Qu'est ce que tu disais tout à l'heure?.. AH OUI. Absolument, absolument, absoooluuument hors de question.»

Elle avait pris une grosse voix essayant d'imiter Pandémie, en vain. Une sorte de voix rauque montrant le caractère dominant de larousse.

Pour en revenir à sa réponse, en fait, elle ne savait pas si elle avait envie de les montrer, elle n'apprécie pas vraiment ses yeux. De 1, elle ne les utilise quasi jamais. Sauf quelques fois, pour voir les gens, par curiosité. Et de 2, BLUUUUH. Elle préfère de loin utiliser son odorat et son ouïe, qui ne les trompent jamais EUX (je pense que June pense à des rats en ce moment).
Mais bref, peut être qu'un jour, ses yeux se verront voir, peut être qu'elle ne portera plus de bonnet; même si ça semble complètement fou et impossible.

«Quoique...»

Mais que ce passait-il dans la tête de cette folle au bonnet? Pourquoi n'avait-elle plus sa voix idiote?
HEY. QUE FAIS TU.
Ses yeux étaient toujours fermés. Elle hésitait. Que se passerait-il si elle les ouvrait? Rien qu'une petite fois. Une petite. Peut être qu'il vaut mieux attendre. Mh.
Pendant une fraction de seconde elle les ouvrit, mais elle fut éblouie par la lumière qui se réfléchissait sur la neige blanche.

«NYAAAH»

Eh oui, ça fait mal. Bien. Cette fois, elle ouvrit ses yeux plus lentement. Douceeemeeent. Très bien. Sa pupille grandissait et rétrécissait, le vert de ses yeux était clair. June se demande bien de quoi elle a l'air maintenant. Et puis, qu'est ce qui lui a pris de faire ça aussi? Pandémie est une ennemie. Elle aurait pu la blesser pendant qu'elle était aveugle.
Non. June avait confiance. Mais assez bizarrement. En fait, elle ne vouait pas la même confiance à Pandémie. Elle avait l'impression que c'était réciproque. C'est très étrange, June n'avait jamais eu ce genre de sentiment auparavant.



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Anonymous
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   Sam 21 Mai - 0:17



« Qu'est ce que tu disais tout à l'heure?.. AH OUI. Absolument, absolument, absoooluuument hors de question.»

ESPÈCE DE PETITE brouette animée. Pourquoi se fichait-elle ainsi de toi? Bon, c'était vrai, tu ne t'étais pas vraiment accordée à sa volonté lorsque tu avais dérobé son bonnet, mais ce n'était tout de même pas très gentil de sa part. Et puis elle avait aussi imité avec une perfection notable ta voix rauque. Arg, cela te frustrait au plus haut point, qu'elle te piège à ton propre jeu, en l'usage de tes propres mots. Si elle voulait vraiment jouer à cela, elle allait réellement le payer cher. Dans un bon sens. Du genre se prendre une patate dans la tête. Pas convaincue que c'était un bon sens. Mais avec Pandémie, c'était toujours mieux que de se faire latter la gueule avec une barre de fer. Enfin, tu n'allais pas vraiment lui en tenir rigueur. Elle ressemblait, dans ton modèle familial, à un de ces gosses à qui on laissait tout passer, parce que c'était le préféré. Fin en même temps il n'y avait pas vraiment d'autres personnages comme elle dans ton entourage. Rien que de penser à tous ces soldats weird et violents, ces Felinae indélicats ou ces Caméléons si peu assumés, ça te faisait mal au cœur.

«Quoique...»

Elle avait perdu son ton un peu abruti, qui lui donnait, avec ses joues rondes et son air enfantin, quelque chose de vraiment adorable. Mais ce ton lui allait tout aussi bien. Et ça te prouvait qu'elle pouvait réfléchir de temps en temps. Tu en avais un peu douté, mais bon, ce n'était pas chose si peu commune que de voir des intellectuels masquer leur intelligence par divers moyens aussi inefficaces que déshonorants. Mais tu doutais qu'elle joua la moindre comédie et pensais juste qu'elle pouvait faire preuve de réflexion. Parce que de la à affirmer que June était une intellectuelle, ça dépassait peut-être un peu ta considération. Nah, lui donner ce rôle simplement et inexorablement la condamnait à la même place dans ton estime. C'était à dire pas très haut. Puis, tu la fixa. Après tout, cette hésitation semblait jouer en ta faveur. Peut-être hésitait-elle réellement; quoique tu la voyais bien joyeusement te troller et partir en trottinant et chantonnant. Mais pas cette fois, nope. Elle ouvrit les yeux. Rapidement. Tu te rendis compte qu'ils n'étaient pas juste très sombres, ou dissimulés par sa mèche, mais qu'elle les fermait réellement. Comment faisait-elle pour avoir autant d'adresse, si elle progressait en aveugle, si souvent?

Oh, ce fut rapide, mais tu pu constater leur teinte verdâtre, une couleur légèrement claire, tout en étant assez foncée. Quelque chose que tu ne saurais décrire, car trop fébrile, rapide, pour que tu ne puisse réellement en retenir les composants. Ses traits fins, une fois ses yeux ouverts, étaient soulignés, et lui donnaient un air légèrement plus adulte, et témoignaient probablement plus de son âge que n'importe quelle autre partie de son visage. Mais apparemment, elle n'était pas physiquement préparée à endurer un tel regroupement de lumière blanche et lumineuse, et fut aveuglée, puisqu'elle cria :

«NYAAAH»

Cela dit, le cri te surprit affreusement et tu sursautas. Ah bordel, tu ne savais pas que les junkies avaient une voix si stridente.

Elle ferma ses yeux, probablement sous la lancinante douleur, puis les rouvrit plus lentement. Bah, maintenant que c'était fait. Excepté qu'un vide s'était installé après son joli cri. C'était plutôt gênant. Puis elle s'était rapprochée. Pas vraiment remarqué, avant que vos fourrures ne se collent. Tu supposa que c'était tout à fait normal et à cause du froid, et absolument pas pour toute autre raison malsaine qui pouvait traverser ton esprit très mal tourné. Ah, c'était une sensation plutôt étrange, que d'être si près d'elle. Tu pouvais sentir que tu rougissais de cette proximité sous ton pelage rouge, mais que personne ne pouvait le distinguer, et encore moins elle avec sa vue de taupe. Enfin tu supposais. C'était mieux ainsi.

Vous repreniez vos discussions évasives et sans vraiment aucun sens. Le genre où tu lançais un truc un peu intelligent, un sujet un peu sérieux, et où elle répondait -si elle répondait- par quelque chose de simplet. Parfois, cela semblait tout à fait la réponse adéquate; parfois, ça semblait juste la faire passer pour une imbécile heureuse. Et peut-être que c'était une bonne chose, comme vie, dans sa tête, de se contenter de peu, de n'avoir aucun réel problème à ce propos. Peut-être que tu enviais parfois un peu cela. Tu sacrifierais bien ta compréhension et ton appréhension de la société contre une vie si simple et faire de bonnes choses. Ah, ce serait une jolie vie. Mais tu ne pouvais pas la mener, simplement. C 'était un peu triste, pour toi, mais c'était ainsi. Egalement, le temps passa assez vite. La fin de l'après-midi était tombée depuis quelques temps, presque une bonne heure, et le ciel commençait déjà, au loin, à s'assombrir; l'air à se rafraîchir et tout à devenir un peu plus nocturne. Rien d'intéressant, en somme.
Jusqu'à ce que tu commences à monologuer sur la vie et la mort :

« Et donc c'est pour ça que j'ai rejoint les soldats. Oh, je me condamne à une longue vie d'errance avec toute cette merde, et je regrette mon choix de plus en plus. Ce serait si simple, si je pouvais simplement ne plus être soldat. Je pense que c'est infaisable, cela dit. Ils me poursuivraient peut-être. Enfin, plus que probablement. Ce serait une vie de fuite, et je ne suis pas sûre que j'ai envie de mener une errance aussi pitoyable toute seule. Même si tu m'as pas mal ouverte sur ce sujet. Tu as changé pas mal de choses, dans ma vie, tu sais. La simplicité, grâce à ton absurde façon de penser, mais quelques fois intéressante; et puis aussi ta façon de courir partout. »

Mais qu'est-ce que tu disais comme merde? Tu aimais particulièrement ta façon de la complimenter tout en lui assaillant une mauvaise chose après. Ah, c'était des petites piques non désirées, mais dont tu ne pouvais simplement t'empêcher de lui faire part. Parce que quelque part, tu aurais bien aimé la faire réagir. Ah, et tu lui avais confié ton souhait de quitter les soldats. Tu y avais déjà pensé, bien sûr. Mais jamais vraiment réfléchit à ce point; au point que tu le verbalise à qui que ce soit, pas même à toi-même; pas au point que tu considère cela comme une réelle solution, et que tu puisse enfin quitter ces maudites responsabilités qui te pesaient trop. Tu imagine que c'était une manière d'exprimer ton ras-le-bol, et que tu voulais vraiment partager une vie tranquille comme la sienne. Et pour cela, tu devais dire des conneries monumentales. Bah, pendant qu'on y est.

« Et donc je trouve que t'as des jolis yeux. Tu devrais pas les cacher, ils sont si fins, et souligne ta maturité inexistante, et leur jolie teinte s'accorde parfaitement avec la couleur de ton pelage. Qui a d'ailleurs de jolis motifs et...»

Wow. C'était encore plus merdique. Tu réfléchis un court instant à pourquoi tu disais cela. Lui confier qu'elle était adorable? Mouais. A quoi ça te servirait? Tu n'avais pas vraiment besoin de cela, si? Après tout, elle n'allait probablement que l'ignorer. Et quelque part ça te gênais. Tu voulais la faire réagir. A propos de... Quelque chose? Bah. De toute manière, ça ne pouvait pas être pire, hein? Hein? On peut faire pire? Challenge accepted.

« Et du coup... Ben je me disais... Qu'être comme ça avec un caméléon. Je veux dire. Dans un sens tout à fait amical et dénué de sous-entendus. »

Ok. Non. On recommnce.

« Sérieusement Pandémie, tu peux la fermer. Attends, j'ai dit ça à voix haute? »

Merde.

« Et du coup je pense que tu me plais.»


A quel niveau était ta gêne et ta stupidité? Quoi vegeta? It's OVER 9000000000000000000000000? Mince alors.

« June? »


Tu te penchas légèrement, et constata qu'elle avait les yeux fermés. Rlly. Elle dormait? Bon, c'était une bonne chose. Prétendons que rien de tout ça n'est arrivé. Jamais. Jamais jamais. Ah, tu avais eu un coup de stress monumental. Sérieusement, qui aurait cru un jour que tu allais empiler un tel tas d'immondices verbaux à la suite? Et sans même le réparer, nope, en t'enfonçant un peu plus. Ah, au moins, la tension était redescendue. Tu rougissais ardemment en repensant à tes sentiments pour June. Maintenant pour lui avouer un jour, ça allait être plutôt weird. Bon, au moins, elle aura évité la déclaration la plus maladroite et horrible du monde. Tu t'endormis à ses côtés, quoi qu'un peu nerveuse.

Le lendemain matin, alors que tu pensais être complètement libérée, tu vis June debout. Elle te fixait de ses yeux ouverts. Tu lui demanda machinalement :

« Bien dormi...?

-Ah, pas vraiment... J'ai pas vraiment dormi en fait.

-Comment ça...?

-J'ai pas réussi à dormir vu que tu parlais. Ah, et merci pour le compliment de mes yeux, je vais essayer de les garder. Et puis... Tu parles toute seule au fait? Tu sais, c'est pas si- »


Ohmondieuohmondieuohmondieu. Pandémie rougit extrêmement, et n'attendit pas la suite pour se BARRER EN COURRANT.


HRP : j'ai bien évidemment eu l'autorisation de june pour jouer son personnage o3o

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Anonymous
Invité


   Jeu 23 Juin - 18:39


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