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La vanité de la nature ne reprendra jamais le dessus sur celle de notre combat ||pv: Nyria||

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Anonymous
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   Dim 15 Nov - 19:48


Tu te réveillas en plein après midi, alors que le soleil était bien haut. Quelques nuages se risquaient à danser dans le ciel, blancs et cotonneux, se laissant déformer par le léger vent qui les balançait dans tous les sens, impitoyablement, et les changeait à sa détraquée volonté. Tu te levas doucement, peu pressée par quelque événement que ce fut. Personne ne pouvait tenir l'honneur de t'avoir un jour empêché d'agir à ta guise, du moins un félin, et ça n'allait certainement pas commencer aujourd'hui. Juste un jour qui ne différait absolument pas des autres, dans lequel tu pourrais t’aventurer aux alentours, sans être stoppée par une limite de temps, te laissant simplement errer jusqu'à ce que la fatigue engourdisse ton esprit. Tu trottas légèrement jusqu'à la sortie de l'endroit ou tu eut dormi, et laissa la lumière du soleil pleinement s’affaisser sur ton pelage. Tu fermas doucement les yeux, laissant une chaleur doucereuse t'envahir; c'était fort agréable et tu te laissas ainsi aller une poignée de seconde, avant de te sentir honteuse si quiconque regardait la scène; t'empêchant ainsi de profiter de ces espèces de bonheur naturels dont on a pas souvent le droit.

T'avançant plus loin que de raison pour briser ton envie de retourner te rendormir; ou te rouler en boule au soleil, au choix, tu décidas qu'il était fort temps de t'en aller, et de chercher un endroit ou dépenser ton énergie matinale. Une simple course suffirait largement, pour peu qu'elle soit rythmée par une certaine cadence, alliant rapidité et difficultés du terrain. Et pour être un terrain original, la ville était fort appréciable pour ce petit contretemps qu'elle te causait à chaque fois, pour peu que tu fusse assez têtue pour emprunter une route ardue, comme une ligne droite forgée dans les décombres. Mais tu n'allais tout de même pas t'abîmer les pattes pour cela; oh non ! Ce serait chose idiote, enfin. Même si tu aimais à te dépenser, il n'était pas concevable que tu puisse, ne serais-ce qu'une seconde, t'écorcher la pattes dans les décombres de la ville. Hors-de-question. Ceci dit, tu ne serais pas contre une petite course, histoire de dépenser ton temps utilement. Après tout, tu n'avais strictement rien à faire de mieux que de t'échauffer les pattes, et en plus, ça augmenterait un peu plus ta déjà remarquable endurance.

Ce n'est qu'après quelques temps que tu arrivas à un lieu défini, où tu te décidas enfin à te reposer. C'était un endroit plutôt intéressant, puisqu'il s'agissait d'un espèce de tsunami terrestre, aussi lent que s'il avait toujours vécu en tant que rampant. Il glissait lentement, engloutissant le ville petit à petit. C'était assez triste de savoir que dans un avenir proche, toute cette misère ne serait plus qu'un charmant petit cadavre sous le sable, alors que des gens ne comprendront certainement jamais l'horreur qui avait lieu ici. Et toutes ces mémoires oubliées, tu ne voulais pas y penser. Non, ça... Ça te faisait peur, parfois, de penser à toutes ces choses tombantes, glissant dans cet espèce d'abîme d'oubli, ce gouffre absolument horrifique dont rien ne revient. Cette notion t’effarait grandement, qu'on t'oublie un jour; et tu savais que tu ne serais jamais la Pandémie qui marquerait l'histoire. Tu ne serais jamais rien qu'un des nombreux chats qui avaient vécu, et dont quasiment personne ne se souviendra d'ici quelques années qu'ils seront morts. C'était une triste vision, mais tu en étais consciente, c'était ainsi.

Haussant les épaules, tu t'affaira à observer l'endroit avec une certaine compassion pour son envie de dévorer le théâtre dans ton dos. C'était une sublime métaphore naturelle, tu y pensais avec amertume. Peut-être que cette pensée t'eut assez distraite pour ne point entendre ces espèces de bruitages incessants derrière toi.

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Anonymous
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   Mar 17 Nov - 22:57






La vanité de la nature ne reprendra jamais le dessus sur celle de notre combat


Je suis vraiment pas de bonne humeurs ce matin. J'ai juste envie de me venger sur quelqu'un. Les Caméléons se croient comme chez eux ou quoi ? Ils se sont servis dans ;a pile de gibier sans même m'en laissé une miette ! Je ne peux pas me contrôler et je suis enrager rouge ! Je me promène dans l'avancée du désert quand tout à coup je vois une chatte rouge munie de deux cornes. Je m'avance vers elle rapidement et je suis si proche d'elle que je lui agrippe une corne avec une tel force de poigne que je la projette à un mètre de moi. Je m'approche vers elle et lui mord dans le coup. Je ne peux pas m'empêché de l'attaquer car je suis affamé mais surtout enragé. Je ne la laisse pas réagir puis je lui griffe une oreille et le flans rapidement. Je fini par la cloué au sol. Je lui dit d'un ton froid:
-On dirais que quelqu'un se promène sur un peu loin de son territoire je me trompe ?
Je la regarde et lui souris méchamment puis lui griffe le coup dans la plaie de la morsure que je lui avait faite. Je la garde au sol et reste prête à l'attaquer à tout moments.

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Anonymous
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   Mer 18 Nov - 14:28




Tu compris rapidement que c'était là une chatte felinae, à ton plus grand désarroi. Te retournant, tu te levas, avec ce même regard hautain, et te perdis rapidement dans ses yeux myosotis. Ce n'était pas plaisant; ils n'étaient pas bienveillants, ou même neutres. Quelque chose n'allait définitivement pas; sa démarche était affreusement machinale, et son regard était comme désarmé, plongé en plein désarroi de quelque chose inatteignable. Peut-être étais-ce une certaine rage qui brûlait dans ses yeux, comme si elle s'apprêtait à l'instant à te détruire, à te réduire en poussière. Tu espérais que ce n'était pas le cas; tu n'avais nullement envie de te battre, encore moins contre une illuminée. Après tout, tu avais beau avoir goutté assez récemment à la colère des Felinae, et tu avais développé un éparse désir de te venger, mais tu n'avais pas envie de ça aujourd'hui. Cependant, tu aurais du te douter que jamais ça n'aurait pu être si simple; que chacune de tes journées se traduisaient par un long et interminable monologue; non, aujourd'hui, quelque chose de bien moins plaisant se préparait; et comme tu le ressentais, ça ne te plaisait vraiment, vraiment pas.

C'était une chatte sombre, plutôt grande à ce qu'il te paraissait. Quelques tâches blanches désharmonisaient son pelage; mais pas vraiment assez complètement pour le juger tout à fait anarchique, car les deux couleurs s'associaient avec une certaine finesse. Son regard, quand à lui, pouvait se targuer de posséder une teinte violette plutôt jolie, ne dégageait aucune expression que tu pouvais identifier clairement; peut-être une épaisse fatigue ainsi qu'une colère durement ressentie. Quelque chose de plutôt négatif dans l'ensemble. Pas très avantageux à ce qu'il te paraissait; même si pouvais commencer à penser que ce n'était qu'un leurre. Elle n'oserait sûrement pas, d'une seule marche, aussi funeste soit-elle, te sauter dessus sans penser à ce qu'il en résultait ! Tu ne connaissais pas ce mode de fonctionnement, aussi tu ne l'imaginas pas une seule seconde. Pourquoi donc? Toi, tu préférais attaquer si l'on t'y invitait, pas à vue, sans aucune raison. Ce n'était pas comme si ils avaient pour ordre de tuer tout soldat qu'ils voyaient, qui plus est lorsqu'il était dans un endroit où il ne gênait nulle présence, et qu'il n'était pas en position agressive. Du moins, tu l'espérais, car tu avais appris avec le temps et tes dépends qu'ils n'étaient pas inoffensifs, et ça te ferait mal de reconnaître qu'en ces temps-là, tu ferais mieux de te taire un peu plus; quoique cette fois-ci, ce n'était pas la parole qu'on allait te reprocher; mais ton temps de réaction bien trop long.

En quelques secondes, sa démarche étrange l'avait rapproché de ta personne, et elle se tint là, sans attendre, avec cet air vraiment menaçant. Tu ne te mis pas sur tes gardes, tu ne cillas même pas à son approche; comme si elle ne faisait là que passer à côté de toi; il semblait pourtant évident que n'importe qui admettrait que tu étais dans sa route, et que par conséquent, tu allais passer sous ses griffes. Elle donna un fort coup dans une de tes cornes, ce qui te fis indéniablement perdre l'équilibre, et tu roulas un peu plus loin. Tu te relevas rapidement, complètement réveillée et consciente du danger qui proliférait. Tu devais absolument réagir; faire quelque chose. Alors qu'elle bondit à travers le sable que tu avais soulevé, tu durcit ta peau en prévention, et elle plante ses dents dans ton cou. Heureusement pour toi, cela ne te fit absolument pas mal. Tu tentas de la dégager, mais on l'aurait dit complètement détraquée et enragée; et elle ne semblait pas prête de te lâcher. Décidément, elle était d'une sauvagerie dantesque. Perdue dans des pensées futiles, tu fut rapidement concentrée par une douleur aiguë dans l'oreille, qui te fit ta cabrer; elle en profita pour te griffer le flanc et te clouer au sol.

Tu la regardas avec un air haineux; ne pouvant réagir pour le moment. Elle te regardas à son tour, ne semblant que peu se soucier de ta douleur. Ton flanc te brûlait, et elle semblait, à s'y méprendre, se plaire à la contemplation d'une personne complètement dominée. Enfin, complètement... Qu'elle y croit, qu'elle y croit. Tu préparais tes pattes arrières, concentrant tout ton pouvoir dans celles-là, pensant que le temps qu'elle prendrait à t'adresser enfin la parole t'aiderait à reprendre le dessus; ce qui n'était pas tout à fait faux. Dans un élan de supériorité, elle crut bonne idée de te dire, d'un espèce de ton froid qui te fit immédiatement mépriser plus la personne:

«On dirait que quelqu'un se promène sur un peu loin de son territoire je me trompe ? »

Tu esquissas un sourire face à son rictus méchant, et encore plus lorsqu'elle griffas l'espèce de plaie qu'elle pensais avoir faire à cause de la morsure. Bon, tu y avais perdu du poil, mais ça ne t'empêchais pas de ne pas craindre quelque douleur que ce fut. Redressant un peu ta tête pour la rapprocher de la sienne, tu lui déclara d'un ton légèrement amusée, bien que tu ne l'était absolument pas :

«Oh, je ne puis que penser que c'est simplement toi, bien trop enivrée par ta rage, qui te serait perdue dans l'antre du loup, n'est-ce pas? »

Utilisant toute ta force, tu lui griffas le ventre, puis la projeta peu loin, axant plutôt la chute contre le sol, et lui sautas à ton tour dessus, avec une certaine vitesse. Sautillant une fois sur son ventre, tu pris l'élan d'une courte chute pour te rattraper en lui griffant le ventre, puis, ta sûreté étant plus que compromise, tu utilisas tes pattes arrières pour te retirer d'un saut, tout en lui infligeant une dernière griffure, certainement plus profonde que les autres. Levant hautainement la tête, bien que le sang chaud qui coulait sur ton flanc t'aurait volontiers infligé une grimace de douleur, tu tint bon et lui dit :

« Alors, qui est perdue, à ton humble avis? Peut-être ta faction de Felinae ne correspond pas tout à fait à tes attentes. C'est étrange... Cela fait cinq Felinae violents que je croise; où est donc votre réflexion, votre justice? Je ne saurais la trouver seule, éclaires-moi donc ! »

Tu attendais sa réaction, bien sur tes gardes.


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   Mer 18 Nov - 21:46






La vanité de la nature ne reprendras jamais le dessus sur celle de notre combat


Je suis hors de moi. Cette chatte crois pouvoirs s'en prendre à moi aussi facilement ? De nombreuse égratignure saignent sans taché mon pelage noir. Je suis prise aux piège. La Soldate rouge me plaque au sol puis je la fait trébucher qui sans attendre une seule seconde s'en prends à moi mais j'essaye de m'envoler en la tenant par le coup. Je peine à m'envoler. J'essais de ne pas penser pas à la douleur que me procure mes blessure et m'envole vers le ciel puis laisse la minette tomber. Pendant qu'elle tombe je vole vers elle et lui griffe le museau. Je la rattrape avant qu'elle ne puisse toucher le sol. Je continue de voler et la laisse tomber à une hauteur raisonnable de 4 mètre de hauteur puis quand elle touche le sol je bats des ailes dans le ciel et lui feule à bout de souffle: 
-Tu a peut-être rencontré des Felinae violent mais moi je suis à demi soldat !
Je souris furieusement et toujours dans le ciel je lèche mes plaît. Après qu'aucune trace de sang ne paraisse je fonce vers elle en esquivant quelques coups de griffes et manque de lui arraché un oreille puis je mord dans une de ses pattes très fort. Je me pose un peu plus loin de la chatte rouge sur mes gardes et à bout de souffle puis lui crie d'un ton sarcastique et l'air rieur:
-Je me nomme Nyria. Tu dois te nommer Rouginette je suppose  ? 
Je regarde mes griffes l'air posé. Je fini par levé la tête vers "Rouginette" puis lui fait une grimace. Je me lève et lui fait signe de s'approcher prête à lui infligé un grand nombres de blessures. Je me mets à pensé l'air rageuse:
"Elle me blesse , je la blesse !"
Je me met en position d'attaque pour mieux la blesser.

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   Ven 20 Nov - 22:38




Elle semble des plus frustrées; oh peu t'importait quelle émotion la traversait; elle était d'une violence des plus désastreuses et d'une disgrâce assez incroyable, alors qu'elle était pourtant munie d'un ravissant regard. Tu avais beau être en position de force pour l'instant, tu étais bien lasse de tout cela. Elle ne semblait pas prête à être désarmée par toutes ces tirades ennuyantes dont tu avais le secret; mais semblait plutôt se préoccuper de quelque compétences physiques qu'elle eut; et, grand malheur t'en fut, était complètement absorbée par la violence qui se déchaînait dans vos regards; tu pouvais le dire désormais, c'était une bête enragée. Elle n'avait sûrement aucune conscience de la réalité, tu te disais. Une fantaisiste, qui pensais sûrement que ses bases étaient la perfection; diantre, elles étaient pourtant horriblement erronées ! Comment un chat pouvait-il un jour penser que ce combat était juste? Une haine démesurée contre les soldats, peut-être? Cela n'avait aucun sens. Ils n'étaient pas censés s'attaquer ainsi aux gens ! Tu pensais à tous ces soldats traîtres qui aimaient à penser à se libérer; les Felinae ne devraient-ils pas être affairés à les corrompre? Pourquoi t'attaquer ainsi? Une envie de rage, voilà tout. Dénuée de sens, certes, mais peut-être plus compréhensible qu'elle n'y paraissait.

Elle se relève, et tu constate avec un demi-effroi son état pitoyable. Peut-être avais-tu fait preuve d'une trop grande violence, quand bien même ta révolte fut amèrement justifiée? Peu t'importait, au final; tu ne devrais pas t'en soucier. Son état était le sien, et était complètement indépendant du tien. Le sang tâchait son pelage de jais, et te donnait l'étrange impression que cela donnait une rage encore plus détestable à ses yeux; comme si tu venais simplement de frapper la bestiole qui sommeillait, et que désormais, elle s’éveillait doucement, revenant à la triste réalité, embrumée par la douleur, et désirait maintenant se venger; te faire vivre ce que tu avais osé lui infliger, alors qu'elle était un instant distraite? Allais-tu donc subir une rébellion? Certainement, ça te décevrait grandement de sa part qu'elle se stoppe ici; et en plus d'être plus que grandement improbable, bien que ça te sauverait, ce serait d'une incompréhensibilité extrême. Soudainement, plus comme une sorte de lâche réflexe, scindant tout espoir de t'achever au sol, elle s'élève dans les airs, comme un oiseau hors d'atteinte. C'était sûrement ce qu'elle pouvait symboliser pour toi, un colibri blessé et qui désirait simplement retourner dans son nid; mais bien trop vengeur pour pouvoir penser à se reposer un seul instant sans avoir planté son bec dans ta trachée.

Ses mouvements t'avaient l'air, peut-être n'étais-ce qu'une impression, peinés. Douloureux, peut-être. Elle semblait simplement avoir quelques difficultés à prendre son envol, ceci dit, ce n'est pas sans t'emmener avec elle. Assez rapidement, tu te retrouves à une hauteur considérable, et tu commence à être atteinte par une angoisse affreuse de retomber. Mais soudainement aussi, tu te rappelle que tu retombais toujours sur tes pattes. Alors tu t'arranges pour alourdir la chose, tu gigotes comme pas possible et essaie de lui faire comprendre que jamais, jamais elle ne pourras espérer faire autre chose que te lâcher. Elle n'allait pas s'envoler à une vingtaines de mètres comme elle en serait sûrement capable, non, loin de là; elle allait simplement et rapidement être dans l'incapabilité de t'entraîner dans les abysses célestes, bien trop épuisée. Soudainement, tu sens son étau se desserrer brusquement; peut-être un peu trop, et tu te prépares à te rattraper sur le sol. Déstabilisée un court instant, ton instinct te rassure; ton corps se tend et tu adopte une position naturelle de retour à la terre; cependant, une douleur aiguë te prends au museau, et elle te rattrape à nouveau. Diantre, ne pouvait-elle pas te laisser tomber, cette espèce de lâche d'affreuse? Grimaçant, tu t'apprête à tenter de lui donner des coups en arrière, alors qu'elle te laisse tomber.

Tu ressentis la courte chute comme un frisson dans tout ton corps; une sorte d'ultrason qui vibre dans tout ton pelage. Tu frissonnes, peu habituée à de telles chutes; et tes pattes deviennent comme engourdies. Tu relève brusquement la tête, n'appréciant nullement cette espèce de fourmillement intense qui circule dans tes pattes. Elle se rapproche, continuant de battre des ailes. La bouche légèrement entrouverte, laissant clairement apercevoir ton épuisement qui arrivait à grande vitesse, tu l'écoutas:

«Tu a peut-être rencontré des Felinae violent mais moi je suis à demi soldat ! »

Voyez-vous cela? Incroyable, cette espèce de prétention. Alors c'était ainsi, les felinae les gentils, les soldats les méchants? Et même une espèce d'hybride comme elle avait saisit ces notions erronées et les avait donc définitivement adoptées? Ah, n'y avait-il donc plus aucun espoir? Le monde était-il destiné à de telles valeurs simplistes et idiotes? Elle sourit, apparemment satisfaite de sa petite plaisanterie, et se lèches les plaies. Réaction plutôt normale, mais tu ne détournera clairement pas les yeux pour nettoyer le sang qui ruisselait encore de ton flanc. Te prenant avec délicatesse dans un moment d'inattention totale, elle te saute dessus, et esquive tes réflexes; aucun de tes coups de griffes ne lui parvient. Heureusement, un mouvement arrière de ta tête empêche sa tentative de t'arracher une oreille; mais elle attrape en contrepartie ta patte avant, avec une force démesurée. Tu feule avec force, et bien que tu durcit ta peau, ce fut plus une mauvaise réaction plutôt qu'une réelle ligne de défense; tu lances la chatte de toutes tes forces, qui en profite pour s'éloigner.

A bout de souffle, mais n'ayant très certainement pas fermé son clapet, elle ose encore s'adresser à toi, d'un air faussement heureux et satisfait :

« Je me nomme Nyria. Tu dois te nommer Rouginette je suppose ? »

Elle lève la tête vers toi, grimace. Elle se lève, te provoque. Position d'attaque. Tu laisses échapper un petit rire fourbe, alors que tu la regarde en levant le museau. Un peu de sang coule de ta plaie, maintenant bien plus ouverte, sûrement dans l'agitation du combat. Un espèce de sourire étrange et à moitié forcé se forme parmi les gouttes de sang.

« Ahah, j'eus beau penser un court instant que tu n'avais rien d'un soldat, si ce n'est la disgrâce du combat, mais je me suis bien trompée. Tu ne manque pas de fourberie, si je puis dire. De lâcheté, mais également d'une écœurante injustice. Oh, tu ne ferais pas une mauvaise soldate, loin de là. »

Te rapprochant d'elle, tu n'es tout de même nullement intéressée par la provocation.

«Rouginette est un nom bien peu charmant, ne trouves-tu pas? Oh, si tu faisais référence à mon pelage, il n'a pas toujours été rouge. Bien entendu, j'ai usé de nombre de sobriquets, avec tant d'années, et peu faisaient réellement référence à sa teinte. »

Cette fois-ci, tu recules légèrement, et, comme formant une révérence, tu t'inclines légèrement.

« Mon humble nom est Pandémie, chère Nyria. Mais vois-tu, j'ai un souci... »

Tu la regardas dans les yeux, sachant qu'elle ne te couperais pas.

« Clairement, je te hais. Mais je ne vois nulle raison de m'outrer de dire que je ne suis nullement intéressée par tes prestations, et encore moins pour un combat, si l'on peut qualifier cette mauvaise blague de telle. Alors, j'imagines que je puis tirer ma révérence sans te vexer, n'est-il pas? »

Tu recules encore plus, attendant sa réaction. Peut-être serait-elle plus posée et disposée à discuter, qui sait?


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Anonymous
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   Sam 21 Nov - 0:24






Titre que tu vas pouvoir rallonger à l'envie


Je connais son petit jeu. La dénommé Pandémie veut sympathiser avec moi pour ensuite m'achevé.Je me mets en position d'attaque et tourne autour d'elle lentement. Je lui répond d'une voix sérieuse:
-Je vois claire dans ton petit jeu ! Tu essais de m'amadouer pour mieux m'achevé !
Je laisse échappé un grognement. Je ne suis pas rassuré par la chatte. quelque gouttes de sang coule de mes blessure. Je me lève et fixe droit dans les yeux de Pandémie. Je reviens à moi même. Je vois se que j'ai fait et regarde la Soldate d'un air effrayé. Je reste sur mes garde sachant qu'un Soldat peut bien se montré galant mais il peut très bien changer de comportement passés vite. Je lui demande effrayé consciente de l'impertinence de ma questions et lui demande pour détendre l'atmosphère:
-Qu'est t'il arrivé ton pelage pour qu'il devienne rouge au juste ?
Je me protège dès que j'ai finis ma phrase de peur qu'elle ne m'attaque. Je baisse doucement ma patte en fixant la chatte puis remarque le sang qui recommence à couler de mes plaît. Je nettoie une nouvelle fois mes plaît saignantes. Incapable de retenir le suspense de savoirs si elle voulait m'attaquer ou non , je sort mes griffes. Je recule puis mon mauvais caractère reprend le dessus. Je ne veux pas attaqué sans raison mais la tension que je ressent je ne peut plus la supporter  ! Je cours vers elle et lui griffe la joue au passage. Je me remets en position d'attaque et lui saute sur le dos puis lui griffes le flanc mais je manque de peut son flanc gauche. Je cours dans le ciel et secoue ma tête. Je ne me supporte plus. Attaquer une Soldate qui se montrait si sympathique il n'y a pas longtemps ! Je ne veux pas me monter Bipolaire mais je n'ai pas le choix...Ou presque. J'ai attaqué Pandémie donc elle voudras surement me retourné la pareil. Je fait le vide dans ma tête puis redescend par terre. Il n'y a pas de retour en arrière je le sais donc je me battrait jusqu'à la fin de ce combat comme il se doit. je me tiens prête à esquiver et à attaquer la Soldate rouge au besoin.

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Anonymous
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   Sam 21 Nov - 19:59




Elle n'a pas l'air très intéressée par tes avances amicales, quand bien même il te semblait avoir adopté un ton des plus polis avec elle. Tu ne savais pas ce qui clochait chez elle; sûrement un début de paranoïa mal contrôlé. A vrai dire, tu n'avais pas vraiment besoin de ça, et tu n'étais pas d'humeur à t'amuser à essayer de la comprendre. Si tout ce que tu disais la blessait, pourquoi continuer le dialogue ? L'air affiché sur son visage ne te plaisait pas vraiment. Quelque chose te disait que tu aurais pu lui dire que tu allais la tuer, ç'aurait été le même foutu effet. Ne pouvait-elle pas se détendre un peu, et se comporter comme une personne civilisée? Si au début, tu la considérait simplement comme une détraquée, elle avait certes passé un peu plus haut dans ta considération, comme une fourbe tarée, mais maintenant, c'était simplement un animal apeuré qui ne savait que faire de ses griffes, plongé dans de profondes hallucinations, et qui ne saurait plus reconnaître qui était son dominant. Bah, qu'il en soit ainsi, si elle ne pouvait que dégénérer lentement, dévorée par son propre esprit, ça n'était nullement ton problème, après tout. Tu devais simplement envisager de partir dans pas très longtemps, car les esprits perturbés ne mettaient pas énormément de temps à devenir agressifs, ça tu en savais quelque chose.

Elle tourne autour de toi. Ah ! Quoi donc? Elle essaie de t'impressionner, peut-être? Sa démarche presque victorieuse eut un don assez impressionnant de t'impressionner en très peu de temps. Malgré tout, tu savais qu'elle essayait de faire quelque chose qui t'était bien familier; espérer réduire un tant soit peu son adversaire, où du moins, d'augmenter sa potentielle crainte de l'imprévisible; mais on ne pouvait impressionner une personne qui usait déjà de cette technique. Tu la suivais du regard, sans bouger ton corps; ta tête seulement. Accrochée au sol, tu savais qu'il ne lui manquait qu'un mouvement brusque pour qu'une justification nerveuse l'oblige à te sauter dessus. Restant calme, le corps tendu et complètement immobile, tu patientais avec quelques frissons. Elle ne te faisait nullement peur, et même si tu préparas un tant soit peu ton pouvoir, tu ne savais quand elle se préparait à attaquer. Elle ne te ferait jamais vraiment mal, mais tu préférais ne pas t'endolorir trop avant de rentrer; personne n'avait jamais aimé cet étrange concept qu'est la douleur; sauf un type de chats très particuliers qui t’effrayaient particulièrement; mais tu ne voulais pas vraiment en parler ou même y penser, c'est trop... Dégradant, huh. Bref, là n'était pas le sujet.

« Je vois clair dans ton petit jeu ! Tu essais de m'amadouer pour mieux m'achever ! »

Tu lui adressas un de tes plus magnifiques regards blasé. Vraiment? Et puis après tu allais respirer plus fort pour lui voler son air? Incroyable. Désastreusement incroyable, celle-là. Bah, elle avait bien fait ta journée. Tu en avais assez de voguer à des émotions instables, aussi tu te rassis, la regardant toujours avec un œil lassé de sa comédie. Si ce n'en était pas une, alors tu devais simplement penser qu'elle était trop instable pour toi, et que l'idée de t'ennuyer avec une personne comme celle-là de t'inspirer guère. Tu pensas à partir, car tu n'avais aucune intention d'essayer de la comprendre; et puis, après tout, tu pouvais bien te rendre dans un endroit bien plus intéressant et y passer toute la journée, avant que le soleil ne se couche, plutôt que de dépenser quelque minute de plus en sa désagréable présence, ce serait réduire le QI de toute la ville que de la laisser s'exprimer plus longtemps. Enfin. Elle grogna, ce qui te fit passablement rire. Vraiment, étais-tu dans une sorte d'énorme blague? Elle s'assit et lécha ses plaies. Elles étaient encore ouvertes. Vraiment, tu espérais qu'elle comprenne la leçon; même si tu ne t'étais jamais autant trompée de tous tes espoirs brisés par l'ardue réalité. Elle te lança un regard effrayé, que tu ne savais comment interpréter.

« Qu'est t'il arrivé ton pelage pour qu'il devienne rouge au juste ? »

Tu aimais cette question. Tu t’apprêtais à répondre d'une voix bien plus agréable; lorsqu'elle t'attaquas sans aucune retenue. Peu surprise, tu réussit à encaisser tous ses coups grâce à ton don, restant bien en place, n'en plaçant aucun de ta part. Elle s'envola, redescendit quelques temps plus tard. Ta plaie sur le museau recommença à saigner, mais tu étais chanceuse de n'avoir aucune plaie.

« Puisque mon pouvoir m'a évité la peine de souffrir, je vais ignorer ton assaut, la tarée. »

Détendue, tu léchas ton pelage avec une certaine attention.

« Mon pelage a muté avec mes pouvoirs; il est simplement devenu plus rougeâtre avec l'apparition de mes cornes. Mon pouvoir consistant à durcir ma peau, je supposes que cela à créer une sorte de couche dessous mon épiderme, et que le poil, poussant à travers cette couche, a simplement pris une teinte plus foncée. »

Tu te tournas vers elle, regardant ses ailes avec insistance.

« Je supposes que toi aussi, tu y es passée, n'est-il pas? Je me demandes simplement comment une détraquée aussi fourbe peu trouver sa place chez les Felinae. As-tu déjà envisagé de devenir soldate, ou simplement est-ce une excuse que d'être Felinae pour pouvoir assouvir ta vengeance sous le blason d'une bonne cause?»

L'écoutant avec attention, tu te préparas à un nouvel assaut, au cas où elle penserait que ce serait une idée correcte.


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   Dim 22 Nov - 15:32






La vanité de la nature ne reprendras jamais le dessus sur celle de notre combat


Je regarde la chatte toujours avec de la haine dans le regard puis lui répond:
-Les humains utilise les Soldats comme esclaves et j'en sais quelque chose ! Il ont tué mon père et on tenté de me rendre encore plus déchaîner avec les pouvoirs que je copiait ! Pourquoi redeviendrais-je une chatte domestique quand les Felinae sont libre et que j'ai une branche de la famille chez eux ?
Je sors et entre mes griffes l'air tendus puis m'avance jusqu'à être debout devant la minette puis je passe à la manière forte . Je m'exclame d'une voix curieuse:
-Voyons voir qu'elle est le pouvoirs de mademoiselle ici présente !
Je me mets à utilisé le pouvoirs de Pandémie et je vois que sont pouvoirs n'est pas très fameux. ma peaux s'endurcit mais sa me prend un moment avant de le découvrir. Je sautes sur la chatte et lui griffe furieusement le ventre puis lui mord la queue avec la même férocité. Je me sens normal seulement un peu plus lourde c'est tout. Je me recule pour essayer de me calmer. Je fixe Pandémie avec un regard sombre. Je finis par remarquer quelques égratignure sur mon pelage mais je suis surprise car aucune trace de sang ne ce font voir.. Je me recule puis court vers la chatte écarlate et lui donne deux bon coups de patte dans le ventre mais elle esquive. Je me calme. Je trouve que j'en fait un peut trop. Mes égratignure ne saigne pas mais sa ne veut pas dire que je suis invincible! Je suis si confiante que j'en oublie que je n'est qu'une heure devant moi avec ce pouvoirs car il n'as aucune force de destructions. Je décide d'en finir avec la chatte. Tout en sachant qu'affronter une Soldate à des risque.Je manque de lui morde au coups fortement et de lui planter mes griffes dans la joue. Je finit par lâcher prise et m'éloigne de la chatte toujours prête à esquiver ses coups. Pandémie n'est pas très blessé d'après se que je crois car plusieurs de mes coups on été évité par la chatte rouge mais je ne crois pas que cette bataille ne  seras pas très sanglante.

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