Perchés sur un champignon

|Rivaille & Bones|

On lui en avait parler plusieurs fois. En fait, c'était plutôt lui qui s'était renseigne sur le dénommer Bones. Ce chat ne l'avait pas intrigué à cause de son physique ou encore de son histoire. Ça, Rivaille s'en foutait totalement. C'était juste que le sous-chef détestait l'inactivité surtout quand ont avait les capacités d'être un bon guerrier et voir ainsi le chat squelettique toujours dans sont coin perdu dans ses pensées lui avait donner envie de lui foutre une bonne tarte plusieurs fois. Alors il était aller demander par-ci par-là. A ce qu'il avait entendu le jeune chat, d'ailleurs plus vieux que lui mais c'est un détail, n'avait pas eu une histoire facile, histoire qu'il n'avait pas voulue écouter car il n'en avait juste rien à faire, De plus sont physique semblait être un complexe pour lui mais ça il l'avait compris de loin. Ce chat ne respirait pas la confiance en soit et semblait s'écarter des autres pour des raisons de peur ou peu-être de honte. Ce qui était sûr c'est que ce chat ne croyait pas en lui et il était évident qu'il était impossible pour un être vivant de prendre des initiatives et des responsabilité quand ont avait une phobie prononcé de sois même. Le sous-chef marchait en direction de la silhouette verdâtre posé sur un champignon. Celui-ci semblait perdu dans ses pensées ce qui n'avait rien détonnant. Rivaille s'approcha de lui discrètement, pas en rampant sur le sol juste d'un pas discret. Il se hissa sur le champignon avant de déclaré de cette voix toujours froide et j'men foutiste.

"Hey Bones."

Il voulait toute l'attention du mâle dos à lui, toute. Et quel était le meilleur moyen d'avoir l'intention de sont interlocuteur? La douleur. Oui c'est aussi con que ça mais le cerveau identifiant un potentielle danger portera alors certainement tout sont intérêt sur la source de cette dernière. Ça il l'avait vite compris quand sont père l'utilisa à multiples reprise sur lui. Sa patte se leva, griffes rentrées, pour foutre une bonne tarte assez violente dans le visage du chat transparent. Il recula légèrement au cas ou le chat plus âgé aurait de bon d'assez bon réflexes pour lui renvoyer le cou.

"Je dois te parler, je veux toute ton attention."

Ah non, Rivaille n'avait pas les manières d'approche les plus douces et les manières éducative les plus pédagogique mais bon c'était tout ce qu'il avait connue et au moins ça avait l'avantage d'être utile. Prions pour qu'il n'ait jamais d'apprenti.