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Une rencontre bizarre ! [ft.Mhei]

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Anonymous
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   Ven 11 Mai - 4:44


It's kind of creepy, here...Soren & MheiJe ne savais pas qu'est-ce que je faisais ici. Mes pattes se sont décidés où aller, quelle vitesse je devrais marcher et quand rentrer. Je me suis levé très tôt pour me promener juste pour aller à ce bâtiment lugubre, abandonnant ma petite tâche d'aujourd'hui. Mes camarades ont racontés quelques jours plus tôt au sujet de l'usine, le fait que des chats y allaient et n'y revenaient jamais.
C'est presque flippant à vrai dire, j'ai l'impression d'être comme un chaton qui croit à tout ce que les adultes leur raconte.
Enfin, me voilà devant l'usine, rien qu'en levant mes yeux je ressentis des tremblements partout dans mon corps, des oreilles jusqu'à la queue. Et en parlant de l'odeur, elle était horrible. Inspirant d'un coup, j'y rentrais par un petit trou des portails et j'eus une envie de vomir, l'odeur était bien plus forte et âcre. En fronçant mon museau, je continuais mon chemin, chaque pas que je faisais provoquaient un léger son mais tout de même sourd, comme un coup de tonnerre éloigné. Mon regard s'aventura les alentours du bâtiment, tant de choses étaient rouillés, les passerelles étaient en très mauvais état et si un chat marchait dessus, ce serait du suicide, les vitres étaient cassés mais il y avait peu de lumière.

Avalant difficilement ma salive, j'accentua ma démarche tout en restant silencieux. Cette silence était très...inconfortable, mais bon vu l'endroit où je suis, c'est tout à fait normal hein, je suis quand même fou d'aller là. Je risque ma vie, de plus que je suis assez loin de chez moi. Je devrais peut-être rentrer...non, je mourrais dehors. J'ai marché sans arrêt, pas eu le temps de chasser et de boire. Je lâchai un soupir avant de m'asseoir, c'est si fatiguant tout ça, surtout que je perds du temps, en ce moment je serai dans ma guilde en train de m'entraîner d'arrache-pied, pour retrouver Petrichor, ma sœurette adorée. Je ne voulais et ne veux surtout pas la perdre, je sais qu'elle est vivante, elle est quelque part ici, dans ces terres et non vers l'inconnu. Mon instinct fraternel disait qu'elle est toujours en vie, mais juste ailleurs. Il faut que je la trouve, avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'elle ne se fasse capturer par ces...humains. Je réprima un feulement en pensant à ce qu'ils ont fait à la majorité de mes camarades. Sois en sécurité, Petrichor...

Je fixais mes pattes rousses, réfléchissant mais en étant aux aguets. Bon, dorénavant que je suis à cet endroit, infesté par je ne sais quoi, que dois-je faire ?  Je lâchai de nouveau un soupir, mes épaules s'abaissaient au moment de l'expiration. C'est bien ennuyeux aujourd'hui.
©️ 2981 12289 0

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Anonymous
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   Sam 12 Mai - 1:01




Pv Soren
Perdus entre décombres et cauchemars



« Le progrès technique a permis à l'Homme de s'élever en maître de la nature, mais il a par la même causé sa perte. »





Tu erres.
Sans but
Sans désir.
Sans voie.
Tes battement de coeur sont décharnés.
Décharnés mais pas anarchiques.
Ils battent en rythme.
Un rythme lent.
Apaisant.
Le rythme de sa voix.
Le rythme de ses pas.
Le rythme de ses pensées.
Le rythme de son coeur à lui.
Le seul qui compte désormais.
Plus que ton passé.
Plus que ton avenir.
Plus que ta propre vie.
Plus que l'ombre dans ta tête.
Il est celui pour lequel tu vis toujours.
Juste au cas où.
Au cas où il aurait besoin de toi.
Au cas où tu pourrais redevenir normale.
Au cas où tu cesserais de vivre cette torture.
Au cas où il pourrait peut-être t'aimer.
Juste au cas où.

Tes pattes t'ont mené à un nouvel endroit.
Tu ne le connais pas.
Tu ne l'as jamais visité.
Il te domine de haut.
Il te rappelle cet oiseau de métal posé là bas.
Un bâtiment de métal oublié.
Tu n'es pas curieuse.
Tu es juste lasse.
Lasse de marcher.
Lasse d'errer.
Tu passes entre les plaques de métal rouillées.
Tout est immense.
C'est impressionnant.
C'est beau.
Le ciel gris est visible par des trous dans le plafond.
Le vent entre par les vitres brisées.
Le sable s'infiltre par les ouvertures de tous côtés.
Les dalles de béton ont été polies par les années.
Les pièces de machines tombées en ruines sont partout.
Les passerelles s'émiettent depuis des étages oubliés.
C'est tout bonnement majestueux.
Et terrifiant à la fois.
Tu ne sais pas trop ce que tu fais là.
Dehors le vent se met à hurler.
Les câbles qui pendent se mettent à bouger.
Ils suivent les caprices du vent.
Ils claquent sur les murs de métal.
La lumière se fait rare.
Un orage se prépare.
Hors de question de partir.
Tu es bloquée ici jusqu'à la fin de l'averse.
Passie ne s'est pas encore montré, heureusement.
Depuis votre dernière aventure il est étrange.
Il est calme.
Il te laisse un peu.
Enfin.
Pourquoi ?
Peut-être parce qu'il espère quelque chose.
Qu'un jour il redeviendra qui il était.
Il redeviendra vivant.
Tu frissonnes à cette idée.
Elle ne te plaît pas.
Elle fait peur.
Comme cet endroit maintenant.
Une seule chose t'étonne.
Il sent bon.
Terriblement bon.
Comme une proie fraîchement chassée.
Comme un coussin de plumes.
Comme l'être aimé.
Ton coeur s'emballe d'un coup.
Serait-il là ?
L'aurais-tu retrouvé par hasard ?
Tu ouvres grand les yeux.
Là bas !
Une silhouette masculine !
Tu te mets à courir.
Ta vie en dépend après tout.
Tu rêves de te blottir contre lui.
De sentir ses muscles.
Son odeur.
Sa présence.
Pourtant tu te stoppes.
Vivement.
Paniquée.
Trop tard.
Tu fonces dans l'inconnu et le renverse.
Vous roulez jusqu'à ce qu'un objet massif vous arrête.
Tu te relèves avec une grimace.
Tu trembles.
Tu craches du sable et de la poussière.
Soudain vient l'odeur.
La vraie cette fois ci.
Âcre et amère.
Si forte qu'elle te fait tousser
Les hallucinations ne sont pas qu'auditives et visuelles.
Tu le sais mais tu n'apprends rien.
Tu regardes l'autre, penaude.
Désarçonnée.
Bravo Mhei.

Dehors souffle la tempête.
L'orage ne se prépare plus.
Il est là.
Code par xLittleRainbow

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Anonymous
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   Sam 12 Mai - 4:39


It's kind of creepy, here...Soren & MheiJ'entendis des pas rapides, juste derrière moi. Je ne pouvais plus bouger, j'étais paralysé. Qui ou que se trouve derrière moi ? Putain, j'ai pas envie de le découvrir....De toute mes forces, je me retournai, mais je n'eus guère le temps de voir qu'une boule de poil me rentra dedans, puis en une fraction de seconde on déboula jusqu'à que mon dos touche une surface métallique ou je ne sais quoi. Je grognai de douleur, les dents serrés et les yeux fermés, tordu dans la douleur. Je rouvris mes yeux, puis je vis une femelle argenté, dont le bout de sa queue et de ses oreilles étaient d'un bleu comme le ciel. Elle est...magnifique à vrai dire. Elle me regarda de ses yeux bleus, une lueur embarrassée qui brillait. Malgré la forte puanteur de cette endroit, elle n'appartenait à aucune guilde. Elle est une solitaire.

J'ouvris la gueule pour lui parler, pour savoir si elle allait bien, mais ensuite, j'entendis un vent à l'extérieur, un vent puissant. Je me retournai vers les fenêtres cassées, et vit à mon grand dépit et un peu de panique, un orage. De gros nuages sombres, noirs, planaient à l'extérieur du bâtiment. Puis, un éclair s'y produisit, faisant un flash dans tout l'usine, une courte durée de lumière vive. Je me retournai enfin vers la femelle, avant de reprendre parole.

«-Nous...nous devrions rester ici, jusqu'à la fin de l'orage. On a pas le choix..»puis je lâchai un rire nerveux.

Cette situation est si bizarre. Je n'aurais pas dû partir. Qui sait, peut-être que cette orage durerai toute une journée, ou pendant des jours. Remarquant que j'étais toujours couché après notre roulade, je me remis à quatre pattes, grimaçant de douleur, avant de la regarder de mes yeux bruns. Elle était quand même petite, cette minette. Elle ressemblait un peu comme un chaton. J'espère que ma taille ne la terrifie pas...
Mes prunelles brunes étudièrent une seconde fois les environs de l'usine, tout était calme, mis à part le grondement du tonnerre, le sifflement du vent et nos deux respirations. Aucun félin ou autre chose de vivant en vue.
Après un court silence, je retournais mes yeux vers celle de la chatte, puis je remarquais qu'elle avait un genre de tatouage, un pentagramme. Pourtant, son tatouage est très facile à voir, et étrangement, elle brillait, je suis devenu aveugle je suppose. Je lui rendis un sourire chaleureux, pour qu'elle se détende et pour montrer que je suis innocent. Sauf si elle me veut du mal.
À vrai dire, je ne sais pas si c'est le bon moment de sourire. Après tout, elle a foncé droit vers moi pour je ne sais quel raison, puis me regarde, avec aucune excuse. Mais bon ce n'était pas de sa faute hein, elle est juste....embarrassée, peut-être qu'elle fait de l'anxiété ? Je ne sais pas. Je devrais peut-être l'aider, vu dans l'état qu'elle est.

«-Comment t'appelles-tu ? Moi, je me nomme Soren.»
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Anonymous
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   Ven 18 Mai - 21:46




Pv Soren
Perdus entre décombres et cauchemars

« Le progrès technique a permis à l'Homme de s'élever en maître de la nature, mais il a par la même causé sa perte. »





Encore une fois.
Pourquoi a-t-il fallu que ce soit ainsi ?
C'est presque une manie chez toi.
Tu ne rencontres personne.
Pas vraiment.
Pas normalement.
Tu les heurtes.
Tu leur fonce dedans.
Violemment.
Tu les choque.
Tu les bouscule.
Sans qu'ils comprennent.
Sans qu'ils anticipent.
Tu les brutalise juste.
Pauvre sauvage.
Folle et sauvage.
Il n'a pas compris.
Il ne comprendra pas.
Pas cette fois.

« Nous...nous devrions rester ici, jusqu'à la fin de l'orage. On a pas le choix.... »

Tu fais des efforts.
Ta bouche reste close.
L'orage gronde.
L'orage tonne.
L'orage rage.
Tu ne dis mot.
Tout simplement parce que tu as peur.
Ta folie est tout ce que tu as.
Tes mots aussi.
Alors tes mots te rendent folle.
Il n'y a pas d'autre explication.

« Comment t'appelles-tu ? Moi, je me nomme Soren. »

Tu secoues la tête.
Pas de réponse.
Tu le regardes.
Tout simplement désolée.
Tu ne peux pas parler.
Tu ne parleras pas.
Tu te le promets.
Tu t'en fais violence.
Ne rien répondre.
Ne rien dire.
Juste laisser passer.
Ne pas répondre verbalement.
Se concentrer sur la parole physique.
Parler avec le corps.
Ton corps n'est pas fou.
Un geste de la patte.
Un geste vers ton museau.
Un petit tapotement.
Un air désolé.
Un léger haussement d'épaule.
Une seule signification :
"Je ne peux pas parler."
Voilà ta nouvelle lubie.
Tu crois au silence.
Tu crois qu'il t'aidera.
Il faut réduire le contact.
Encore et toujours.
Ne pas se lier.
Ne pas exister.
Pas complètement.
Être un fantôme de mémoire.
Être un fantôme tout court.
Être un fantôme en attente.
En attente de son retour.
En attente de l'être aimé.
Tu pointes l'autre de la patte.
Tu l'interroges du regard.
Un petit mouvement de museau.
Une seule signification :
"Et toi qui es-tu ?"
Soudain il arrive.
Le premier éclair.
Il frappe.
Terrifiant.
Brutal.
Sec.
Assourdissant.
Aveuglant.
Le sol tremble.
Toi aussi tu trembles.
Ce n'était pas loin.
Tu cries sans un bruit.
Un vrai gémissement étouffé.
Tu n'aimes pas les orages.
Mais tu ne peux plus parler.
Cette fois-ci tu ne fais plus semblant.
Ta gorge est fermée.
Incapable de parler.
Tu es muette.
Vraiment muette.
Tu ne t'y attendais pas.
Mais cet éclair t'a bloqué.
Tu es comme choquée.
Restée coincée dans ton ancienne pensée.
Tu suffoques à moitié pour reprendre ton souffle.
L'usine entière a tremblé.
Au loin une passerelle s'est même effondrée.
Cet endroit n'est pas sûr.
Pourtant dehors ce serait pire.
Tu serres les dents.
Ton poil a gonflé.
Tu es énorme maintenant.
Toi la petite maigre.
Tu as presque doublé de volume.
Ça contraste avec ton côté fragile habituel.
Mais en ce moment tu n'es plus vraiment la même.
Tu as profondément changé.
Peut-être un jour finiras-tu par t'échapper de ce rêve.
De ce cauchemar.
Après tout, tout était réel.
Lui aussi l'a vécu.
Sauf que maintenant ce n'est pas l'instant pour ça.
Ce n'est pas le moment pour les questions métaphysiques.
Maintenant c'est l'orage.
Et l'orage fonce droit sur vous.
Code par xLittleRainbow

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Anonymous
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   Ven 29 Juin - 23:45


It's kind of creepy, here...Soren & MheiLa femelle argenté secoua la tête avant de regarder Soren, l'air désolée. Il lui a fallu quelques secondes avant qu'il ne comprenne, elle n'avait pas de nom ou soit elle ne voulait pas le dire. Peut-être qu'elle n'aimait pas son nom. Puis, elle leva sa patte avant de le mettre sur son museau, le tapotant légèrement avant d'hausser les épaules. Ah. Elle ne pouvait pas parler, ou elle ne voulait pas parler. La femelle continua ses signes, avant qu'un éclair frappa. Soren sursauta, le pelage ébouriffé et les yeux écarquillés, le mâle sentit le sol tremblait sous le coup de la foudre, il baissa ses oreilles en entendant une passerelle qui s'effondrait.

Le mâle au pelage roux regarda la belle femelle, dont sa fourrure a doublé son volume, les dents serrés. Le coeur du matou se serra face à cette scène et se rapprocha doucement d'elle, le regard apeuré mais compatissant. Il avait peur, extrêmement peur, elle aussi.

«-Viens, nous...nous devons bouger.»

Il la poussa avec sa patte légèrement, avant de marcher rapidement vers des escaliers qui menaient vers un lieu inconnu. Il descendit lentement, fronçant son museau, l'odeur s'est empiré. Il était fou, il marchait en territoire inconnu avec une femelle qu'il ne connaissait pas. Elle pourrait le blesser à tout moment. Il savait que la mort était là, en train de le regarder avec amusement. Il marchait droit vers son lieu de décès. Le pelage encore plus ébouriffé, il continua son chemin tout en regardant de gauche à droit, devant et derrière lui, et aussi au dessus de lui. Il ne savait pas si la femelle argentée le suivait.
Un nouveau tonnerre gronda, cette fois-ci encore plus fort, et Soren se résista de lâcher un cri effroyable. Ce ne serait pas digne d'un veilleur, surtout face à une présence d'une femelle effrayée. Deux passerelles s'effondrèrent au loin, et le sol trembla à nouveau. Il y avait tant de chances et tellement de façon d'y mourir, et aucune de ces façons n'étaient sans douleur.
©️ 2981 12289 0

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Anonymous
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   Jeu 5 Juil - 2:12




Pv Soren
Perdus entre décombres et cauchemars

« Le progrès technique a permis à l'Homme de s'élever en maître de la nature, mais il a par la même causé sa perte. »





Il s'approche.
Doucement.
Gentiment.
Oui.
C'est le mot.
Il est gentil.
Sincèrement gentil.
En tout cas il a l'air.
Il faut se méfier des apparences.
Tu te décontractes un peu.
À peine.
Juste assez.
Ta fourrure dégonfle.
Tu respires un peu plus calmement.
Juste un peu.
Assez pour inspirer et expirer profondément.
Tu regardes le félin du dessous.
Il est plus grand que toi.
Un petit peu.
Pas beaucoup non plus.
Il est roux.
Dodu aussi.
Touffu.
Étonnamment doux.
Tu le regardes fixement.
Tu es perplexe.
Puis il prend la parole :

« Viens, nous... Nous devons bouger. »

Il te poussa légèrement.
Du bout de la patte.
Ce contact t'électrisa.
Littéralement.
Tu sentis le courant traverser tout ton corps.
Tu étais prête à avancer.
Prête à le suivre.
Prête à lui faire confiance.
Alors tu partis avec lui.
Il descendit un escalier.
Tu fis de même.
Il était méfiant.
Il avait bien raison.
Toi tu ne sais te méfier.
Ou alors tu te méfies trop.
C'est l'un ou l'autre
C'est tout ou rien.
C'est tout noir ou tout blanc.
Pas d'entre deux.
Pas de demi-mesure.
Pas de nuance grise.
Tout est tranché avec toi.
Le tonnerre gronde.
Les bruits continuent.
Quelle mauvaise idée.
Si mauvaise.
Pourquoi avait-il fallu que tu viennes ?
Pourquoi es-tu pénétrée dans ce bâtiment ?
Stupide, stupide.
Tu es stupide.
En plus d'être folle.
Dégoûtée par toi même.
Mais tu n'as pas le temps de te lamenter.
Pas le temps de te fustiger mentalement.
Tu as trop peur pour ça.
L'orage est ignoble.
Tellement puissant.
Affreusement violent.
Tu trembles.
Beaucoup.
Tu gémis.
Brièvement.
Tu te blottis contre lui.
Discrètement.
Son contact est apaisant.
Il ressemble à une maman.
Enfin tu penses.
Tu n'as jamais vraiment eu de mère.

Là bas il y a un recoin.
Une cachette où vous pourriez vous dissimuler.
C'était une machine autrefois.
Grande.
Cylindrique.
Enfoncée dans le sol.
Fermée sur le dessus.
Une paroi de vieux bois épaisse.
Une deuxième couche de béton armé.
Un trou y est ouvert sur le côté.
Tu ne sais pas ce que c'est.
Mais ça a l'air sûr.
Ça a l'air à l'abri.
Tu tentes d'attirer son attention.
Un petit coup de coude.
Un geste de la patte droit vers la cuve.
Tu lèves la tête vers lui.
On peut lire l'interrogation dans le regard.
Tu lui demandes si vous pouvez y aller.
Tu ne sais pas s'il sera d'accord.
Tu veux être sûre qu'il acceptera.
Que ça ne le dérangera pas.
Soudain une pensée te frappe.
Violente.
Inattendue.
Tu aurais dû y penser.
Bien sûr que tu aurais dû.
Mais tu ne l'as pas fait.
Tu es bien trop égoïste.
Et si son pouvoir pouvait l'aider ?
En avait-il seulement un ?
Après tout il ne semblait pas modifié.
Ou alors tu ne savais pas où.
Mais tout de même.
Tu abusais.
Encore.
Comme toujours.
Code par xLittleRainbow

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Anonymous
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   Dim 9 Sep - 16:25


Up ~





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