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Tout ce cinéma pour une misérable épine ! [ Feat Aoki ]

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Anonymous
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   Ven 4 Aoû - 12:20






Tout ce cinéma pour une misérable épine ! [ Feat Aoki ]




Kinoa était assise dans l'une des salles du laboratoire, dans l'une de ces pièces qui servaient d'infirmerie. Elle avait les épaules basses et sanglotait doucement, le regard rivé au sol et les yeux pleins de larmes. Ses oreilles pendait piteusement, tout comme sa queue qui dépassait de la table métallique. Elle semblait très malheureuse. Que faisait-elle là ? Et pourquoi pleurait-elle ? Tout ce résumait en un mot : épine !

Lors d'une séance de jeux, de touche couleur précisément,( vous, humains, comprenez chat couleur ) Kinoa s'était enfoncée la plus énorme des épines entre deux doigts ! Un bon demi centimètre ! Elle avait hurlé de douleur et il avait été un moment impossible de l'immobiliser ! Jusqu'à ce qu'un humain arrive et la coince non sans difficulté dans une boite de plastique... Durant tout le voyage, la petite Toyger avait hurlé de douleur, criant qu'elle souffrait le martyre et qu'elle allait mourir. Pour une épine. Oui... C'est ridicule... Mais que voulez-vous?!À cet âge là, on ne voit pas tout de la même façon ! Enfin, toujours est-il que Kinoa fut déposée là, sur cette sorte de table d'acier qui la reflétait.  La pièce dans laquelle elle arriva était effrayante ! Toute blanche, au point de vous éblouir ! Et il y avait cette odeur ! Berk ! Comme... comme du savon qui pique ! Kinoa avait froncé la truffe dès son arrivée ici. L'homme en blouse blanche l'avait écrasée de ses grosses mains poilues contre la table, l'empêchant de bouger, et à l'aide d'une pince monstrueusement grande, a retiré l'écharde !

Brrr ! Kinoa frissonna en repensant à ses horribles mains qui la tenaient et à la douleur qu'elle avait ressenti. Au moins, maintenant c'était finit ! Elle regarda timidement autour d'elle. De nombreux soldats était couchés un peu partout. Des blessés, tous des blessés. Afin de préserver son esprit encore tout naïf et dépourvus d'effrayantes images, les hommes avaient tiré un grand drap blanc pour séparer les cages. Kinoa ne voyait aucunement les affreuses balafres des soldats, mais elle les entendait gémir. Elle sentait l'odeur de leur peur qui accentuait la sienne et parmi tout, il y avait celle du sang. La répugnante odeur métallique du sang. Rien que d'y penser, elle en avait la nausée !  Les hommes avaient du partir rapidement secourir un soldat gravement blessé, c'est pourquoi ils avaient laissé la petite toyger toute seule sur cette table d'opération qui ne servait plus. Ils ne tarderaient pas à revenir pour la ramener à la ménagerie, à moins qu'ils envoient un de leur soldats de mains à leur place... Mais qui sait ce qu'il pouvait se passer dans ce lieux si étrange ? Qui sait qu'elle rencontre la petite chatonne ferait-elle ? Un vieux grincheux malade ? Un jeune fougueux, blessé et dangereux ? Un sadique soldat chargé de la ramener à la ménagerie ? L'avenir seul nous le diras !

Code par xLitlle Rainbow & Altheda



Spoiler:

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Anonymous
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   Mer 9 Aoû - 14:39



Tout ce cinéma pour ...
ft Kinoa
Les enfants suivent les exemples mieux qu'ils n'écoutent les conseils.
Ce matin ,tu fus réveillé par un bruit assourdissant. Ce bruit se répétait à n'en plus finir et tes oreilles souffraient de ce réveil brutal . Des sons brutes qui se répétaient à n'en plus finir. Quand tu sortis de ta torpeur ,tu compris que ce tapage provenait de ta porte. Quelqu'un tapait dessus brutalement et faisait tomber des particules de poussière sur le sol. Petit tapis gris dans cette chambre vide. Apparemment cette personne semblait pressé et voulait te parler. Tu te levas en faisant grincer les lattes de ton vieux lit. Tu remis ta capuche sur ta tête et t'avança vers la porte sans te presser.Pourquoi se presser si tu n'avais rien à faire pour cette journée. Tu ouvris la porte en faisant grincer ses gonds rouillés par le temps. Un soldat était posté devant ta porte et il avait l'air bien énerver. Des cicatrices barraient son pelage noir coupé à ras de la peau. Son corps était musclé et il était le portrait craché d'un abruti sadique qui adorait se battre.Tu le connaissais et tu savais qu'il était plus haut gradé que toi.  Une grande fatigue envahit ton corps alors que le soldat te parla de sa voix bourru. Un déluge de reproche sortit de sa bouche comme une vague qui t’effleuras à peine. Beaucoup de mots pour aucune utilité. Soudain un passage attira ton attention.Il disait que tu devais ramener une chatonne dans la ménagerie. Elle se situait dans le laboratoire et tu devais la raccompagner avant de revenir faire ta patrouille. Sa tirade finit ,le matou repartit d'un pas lourd en bousculant les petits nouveaux qui osaient se poster dans son passage. Tu l'entendis gueuler jusqu'à qu'il disparaisse derrière une porte en fer. Quel abrutit ! Tu rentras dans ta chambre et fis ta toilette avant de te consacrer à ta mission. Bien que tu n'éprouver aucune sympathie pour ton supérieur ,il t'avait confié une mission et bien quel soit facile ,tu ne pouvais pas désobéir. Cela ne faisait pas partit de ton principe et c'était bien le seul que tu avais. Tu t'étiras avant de ré-ouvrir ta porte en fer pour la deuxième fois de la journée. Tu t'enfonças dans le couloir des chambres qui grouillaient de soldats de tous les rangs.Grand comme petit ,tous les soldats avaient un corps façonné pour le combat ,à croire que l'on était bon que pour faire ça.Tu pris la direction du laboratoire en empruntant nombre de virage et porte. Tous ce ressemblait jusqu'à que tu distingue une porte orné d'un écriteau.La langue des humains étaient gravées dessus et sa belle écriture était illisible à tes yeux.Ce n'était qu'un ramassis de boucle et de point qui s’enchaînaient. Tu savais pourtant que tu étais arrivé à ton point de destination. Tu entendais les gémissements des malades et l'odeur du sang te prenait déjà à la gorge.Tu poussas la porte d'un coup d'épaule et t'engouffras dans la grande pièce qui servait d'infirmerie.La pièce était baignée de blanc et des chats blessés jonchaient le sol en remuant leurs membres affaiblis. Un frissons te parcourus l'échine en voyant leurs horribles balafres. Tu t'avanças entres les blessés avant de découvrir un petit lit entouré de draps blancs. Une petite boule de poil rayé dépassé de dessous le lit.Tu ne voyais que sa queue qui dépassait des draps blanc. Petite queue rousse foncé rayé de noir au poil cour qui tremblait de peur. Tu t’approchas d'elle et passas sous les draps qui la protégeaient de la vision du sang. Tu t'allongea près d'elle et l'observa. Elle devais être terrifié et une boule chaude et douce se forma dans le creux de ton ventre. Cette boule douce comme de la soie t'incitait à être doux avec cette petite chatonne. Tu pris la parole d'une voix calme et réconfortante pour une raison inconnu :

-Bonjours, tu dois être Kinoa ?Je suis venue te ramener à la ménagerie. Est-ce que tout va bien ?

Tu te demandais pourquoi tu étais si doux et réconfortant. Mais est-ce que tu l'étais vraiment ? Est-ce que ce n'était pas qu'une impression ?

Hors RP :Pas grave :)



Dernière édition par Aoki le Sam 26 Aoû - 19:32, édité 3 fois

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Anonymous
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   Ven 11 Aoû - 13:50






Tout ce cinéma pour une misérable épine ! [ Feat Aoki ]





Cachée sous le lit, Kinoa se bouchait les oreilles de ses pattes, toute tremblante.
Elle détestait cet endroit et elle détestait cette odeur terrifiante. Cette odeur qui la répugnait instinctivement. Celle de la mort, des maladies, du sang !
La porte principale, qui n'était pas bien loin de son lit, c'était ouverte brutalement, laissant entrer un humain qui portait un jeune chat crème par la peau du coup. Kinoa n'avait pas pu résister à la tentation de regarder, et elle le regrettait maintenant amèrement.
Ce petit chat crème, à peine plus vieux qu'elle, pendait mollement entre les mains de l'humain en blouse blanche. Il était couvert de sang, des touffes de poils lui manquaient et l'un de ses yeux était crevé. Il pleurait, son unique œil était grand ouvert et sa pupille à peine visible tremblait. L'expression de terreur qui se lisait sur son visage contamina Kinoa qui se senti soudainement très mal. Ce petit chat n'avait même plus la force de hurler, mais elle pouvait l'entendre murmurer... Ses paroles étaient confuses, il ne semblait pas se rendre compte de se qu'il disait et de ce qu'il se passait. Épouvantée, la petite chatonne avait filé se réfugier sous le lit en se cachant les yeux, tremblant comme une feuille. Elle n'aimait pas cet endroit, il lui donnait la chair de poule ! Elle entendait gémir les autres chats et elle avait presque l'impression qu'ils lui demandaient de l'aide. Les râles des mourants et les hurlements de ceux qui perdait l’esprit de douleur l'empêchèrent de remarquer que la grande porte s'était de nouveau ouverte. Trop concentrée sur sa peur, elle ne le vit pas approcher, ce chat venue pour elle. Du moins, elle ne le vit pas jusqu’à que ses pattes grises entrent dans son champ de vision. Elle ouvrit grand les yeux et recula doucement, ce qui fit dépasser sa queue tremblotante du dessous de lit. Il s'approchait, toujours plus, encore plus. Jusqu’à se glisser sous le lit auprès d'elle. Kinoa tremblait et elle fixait ses pattes, les yeux humide, n'osant pas les lever vers cet inconnu. Le chat gris commença par la regarder sans un mot, puis d'une voie douce se voulant réconfortante, il lui dit :

'' Bonjours, tu dois être Kinoa ?Je suis venue te ramener à la ménagerie. Est-ce que tout va bien ? 

Kinoa osa enfin relever les yeux vers ce chat inconnu dont elle n'avait vu que les pattes. Elle le regarda timidement, bien qu'effrayée. Sa voie était douce et bienveillante. Il ne semblait pas méchant, mais elle restait tout de même sur ses gardes. Elle semblait prête à pleurer, prête à éclater à tout instant. Elle ferma les yeux pour retenir ses larmes et renifla pour enfouir de nouveau sa tête entre ses pattes. Retenant un sanglot, elle parvient à articuler.

- Qu'est ce qu'ils ont tous ?! Pourquoi il y a autant de sang ! J'ai... J'ai peur...

Kinoa parvenait difficilement à se maîtriser. Elle ne cessait de revoir en boucle l'air terrifié de ce pauvre chaton crème qu'elle avait vu avant que ce soldat n'arrive. Elle renifla une nouvelle fois pour contenir les larmes qui menaçaient de l'envahir.

Code par xLitlle Rainbow & Altheda


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   Lun 28 Aoû - 14:40



Tout ce cinéma pour ...
ft Kinoa
Les enfants suivent les exemples mieux qu'ils n'écoutent les conseils.
Kinoa leva timidement les yeux vers toi et tu pus lire une terreur sans nom. Son petit corps sans nom tremblait et son pelage était ébouriffé.Après tout ,c'était normal. Quelle chatonne n'aurait pas peur en entendant les gémissements des blessés et les flaques écarlates qui s'épanouissaient sur le sol gris.Sol qui d'habitude devait être brillant et propre, se retrouvait plein de sang dans tous les petits recoins. Tu savais bien sûr qu'il le lavait mais il était vite sale. Et les humains ne s'amusaient pas à faire le ménage toute les heures. A vrai , tu étais sûr qu'ils s'en foutaient pas mal. Leur seul préoccupation était qu les malades et blessés survivent sans attraper d'infection dut à la saleté. Tu dirais même que l'ambiance dans cette salle était oppressant. Comme un poids qui alourdissait tes épaules.Tu savais que dans ce lieu régnait la mort pour seul maître. On le ressentait en entendait les pleurs et les hurlements. Tu avais hâte de sortir de cette salle ,la petite chatonne avec toi. Sous la frayeur dans les yeux de la chatonne ,tu pouvais apercevoir une pointe de méfiance. Elle semblait prête à éclater en sanglot à chaque seconde qui défilait. Tu pouvais déjà apercevoir ses yeux qui brillait dans l'obscurité. Ta poitrine se serra pour une raison bien obscure mais tu sentais une grande gentillesse pour cette petite boule de poil effrayée.Cela te rappelait quelque chose mais tu n'arrivais pas à mettre la main dessus. Ce souvenir ... Il t'échappait sans cesse et tu l'entendais rire dans ton esprit. Il volait.Volait haut. Bien haut. Trop haut.Tu avais beau sauter ,tu n'y arrivais pas. Et alors tu abandonnais en attendant qu'il vienne à toi. Cela pourrait prendre des heures. Des jours ou même des années...Mais tu attendrais quoi qu'il arrive. Quoi qu'il se passe. La vois de Kinoa te sortis de tes pensées.

- Qu'est ce qu'ils ont tous ?! Pourquoi il y a autant de sang ! J'ai... J'ai peur...

Sa voix s'était chevrotante alors que la chatonne avait reposé sa tête dans ses pattes.Tu l'entendis renifler assez fort pour être entendu. Elle semblait vraiment prête à éclater en sanglot. Comment pourrais-tu rassurer cette petite sans la brusquer ? Tu n'en avais aucune idée. Tu n'étais vraiment pas fait pour ses choses là. Tu n'es même pas sûr si tu adoptes la bonne façon de te comporter avec elle.Tu ne te souvenais même plus comment faisais ta mère pour te rassurer quand t'étais petit. Est-ce qu'elle te prenait entre ses pattes ? Est-ce qu'elle te disait des choses douces ? Tu ne te souvins pas à quoi elle ressemblait. Tu pouvais juste encore entendre le son de sa voix. Mais est-ce que c'était vraiment sa voix ? Peut-être était-ce la voix de quelqu'un d'autre que tu prenais pour ta mère ? A cause de ce fichu pouvoir, tu ne te souvenais même plus de tes souvenirs avant ton enfermement. Peut-être avais-tu une sœur ? Un frère ? Tu secouas la tête pour faire partir toute ses mauvaises pensées qui t’envahissaient.Il fallait que tu te concentres que sur le moyen de faire sortir Kinoa et toi par la même occasion.

-Ne t'inquiète pas, ils vont tous bien et ils vont bientôt sortir d'ici.Les humains vont tous bien les soigner.

C'était une part de vérité et en même temps une part de mensonge. Tu savais pertinemment que tout le monde ne sortira pas vivant de cette endroit. Que ça soit à cause d'une maladie ou d'une blessure. Mais pour ne pas l'effrayer encore plus ,il fallait que tu arrondisses les choses. Que tu caches un mensonge derrière une vérité. C'était la pièce à deux faces ! Tu regardas la chatonne avec un regard calme et réfléchi.

-Si tu veux ,tu peux fermer les yeux pour ne plus avoir peur. J'aurais juste à te guider et en quelque seconde ,tu seras dehors ...

Tu ne sais pas comment l'idée t'étais venu mais tu te souvenais de ton passage dans les cages.Pour ne plus avoir peur ,tu avais fermé les yeux et repensais au moment de bonheur dans le tout petit passage de ta vie que tu avais oublié. Le seul passage qui était heureux d'ailleurs. Peut-être cela l'aiderait elle aussi ?


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Anonymous
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   Dim 1 Oct - 13:08


up :)

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Anonymous
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   Mar 17 Oct - 18:22


J'archive !





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