• Nom : Aedan (appelé par les plus jeunes Professeur Aedan)
• Sexe : Mâle
• Âge : Une dixaine d'années
• Clan : Soldat
• Rang : Retraité (mais encore entraîneur à ce jour)
• Code d'identification : 3696
• Race : Inconnu à ce jour

• Pouvoir : Aedan contrôle les esprits. Bien-sûr, avec le temps, il a apprit à le contrôler, et à le faire plus puissant, s'attirant les convoitises et le respect des Humains.

En effet, le pouvoir d'Aedan lui permet, par une simple pensée, de mettre son adversaire à terre. Il lui suffit pour cela de s'imisser dans son esprit et de lui faire revivre les moments les plus douloureux, ou les plus heureux de sa vie, et cela, sans lever une seule patte. Il a acquit une telle fort psychique qu'il pourrait littéralement faire se retourner le félin contre lui-même. Mais pour cela, il lui faut un taux élevé d'énergie, et même avec ça, il risque le coma. (Malgré tout, avec la viellesse -et donc la fatigue-, il pourrait très bien faire exploser un kilomètre autour de lui, seulement en perdant le contrôle de son pouvoir).

Pour simplement prendre le contrôle d'un esprit, Aedan sort de son propre corps afin de pouvoir rentrer complétement dans son hôte, et ainsi pouvoir voir toute sa minuscule vie. Il le contrôle parfaitement, et sait très bien comment s'en sortir. Il a plusieurs fois risquer d'y laisser sa vie, mais par miracle, il est encore là aujourd'hui.

Une insertion trop pousser (plus d'une quinzaines de minutes) lui fera perdre ses moyens, et son corps se mettra alors immédiatement à l'alerter. Si malgrè tout, il résiste à son appel, il aura du mal à voir les souvenirs, puis tout autour de lui deviendra noir. Il sera mort physiquement, mais restera erré psychiquement autour des autres, sans jamais trouver la paix.

• Physique :

Aedan est un chat imposant physiquement. Grand et plutôt carré, il a souvent du mal à se baisser à cause de ses articulations, qui se font bientôt aussi vielle que lui. Il a une jolie fourrure, dont il prend le plus grand soin. Ses poils sont mi-long, ce qui lui va parfaitement, malgré qu'en hiver, il ressemble plus à un petit ourson plutôt qu'à un chat. Sa robe se teinte principalement d'un brun se rapprochant de la couleur du caramel. Autour de ses moustaches, de son museau, sur ses pattes arrières et sur celles du devant, sur le bout de la queue, quelques pointes de blancs, salis par la poussières des déserts qu'il aime aller explorer. L'intérieur de ses cuisses sont aussi salis de ce blanc.

Son dos, ses cuisses, son cou, et le haut de ses pattes avant sont marqués d'une couleur plus foncés que celle du brun caramel qui le recouvre entièrement. Sur sa figure, de la même couleur, une tâche spécial, qui le démarque facilement des autres. Deux petits "ponts" qui se chevauche.

Comme une raie de mulet, une couleur encore plus sombre lui traverse tout le dos, et arrive jusqu'à sa queue. Sur sa queue, quatre bandes de cette même couleur.

Sur le bas des pattes, quelques rayures, toutes aussi foncés que les couleurs sur sa queue.

Ses yeux sont normalement rosés. Mais aujourd'hui, ils sont recouvert d'un voile blanc, qui le rendent pratiquement aveugle, mais pas totalement (il distingue juste vaguement les personnes qui se tiennent prêt de lui, mais jamais sans les voir distinctement). Cela ne l'handicape plus tellement, il a apprit à vivre avec, comme un second pouvoir.

Ses coussinets, l'interieur de ses oreilles, et son nez sont d'une couleur marron pâle, presque beige.

Sa fourrure est recouverte de quelques cicatrices, lui rememorant souvent ses anciens combats, dont il est nostalgique.

Dans l'oreille gauche, un tatouage pratiquement effacer avec son numéro d'identification.

Spoiler:

• Caractère : Le Professeur est un chat relativement calme, quand il ne s'agit ni d'insulte à son égard, ni de regard mal placé, ni parole offensante, ni de... En fait, tant qu'aucun chat de son clan ne lui manque de respect, il fera toujours preuve de bienveillance et de soutient moral envers eux.

Ce n'est pas quelqu'un qui a sa langue dans sa poche, et la moindre petit incartarde de votre part vous vaudra une sanction (surtout si vous êtes son élève). Mais laissons les quelques personnages qui le connaisse, le décrire.

" Aedan... Disons qu'il est toujours fraîs et disponible, quelque soit la demande. Je dirais que *kauff kauff*... Excusez moi. Je dirais que malgré son âge avancé, il pête carrément le feu. Regardez-moi, j'ai à peine plus d'âge que lui, et je ne tiens déjà plus sur mes pattes. Alors qu'Aedan, lui, on dirait qu'il aime ça, se sentir viellir. J'vous jure, il est tout le temps ailleurs, jamais au camp. Et pourtant il est retraîté, mais je dirais qu'il ne tiens tout simplement pas en place.Tant qu'on ne lui coupera pas les pattes, il restera un Soldat, un vrai de vrai. 'Voyez ce que je veux dire ?" - Un vétéran.

" Ce vieu brigand ? Il a été mon maître pendant plus d'un an, et je peux vous assurer que vous ne trouverez jamais un seul chat avec son sang-froid. Il fait carrément peur, quand il a décidé de ne pas exprimer la moindre émotion. Et ça lui arrive souvent, quand quelque chose le frustre. Il se referme sur lui-même et vous enverra bouler. Pourtant, c'est quelqu'un d'attachiant. Littéralement, il vous pète les nerfs, mais vous savez que ça reste quelqu'un de bon, et de loyal. Vous pourrez compter sur lui pour la moindre pépite, tant qu'il peut avoir confiance en vous autant que vous l'avez pour lui. Il n'est pas généreux pour un sous, mais la loyauté, ça lui connait. Ca reste le meilleur maître de tout les temps." - Une Soldate de première ligne.

" Le professeur est quelqu'un d'admirable. Franchement, il fait preuve d'une autorité sans détour. Il a pas besoin de beaucoup bavardé avec vous pour que vous compreniez que vous n'êtes qu'un microbe. Je pense qu'il a une haute estime de lui, et c'est normal, quand on est le meilleur dans sa matière. Pour devenir son élève, il faut réellement l'impressionner, sinon il vous renverra d'où vous venez sans plus de manière. Il n'est pas très polie, à ce qu'on m'a dit. Mais il reste gentil quand on le connait." - Un apprentit guerrier.

Vous l'aurez compris, Aedan est quelqu'un de dur et d'autoritaire, tout en restant loyal, aimant et gentil envers ceux qui ont sû l'apprécier à sa juste valeur. Malgré tout, il reste un vieu Soldat, et son vocabulaire n'est pas forcément adapté pour les plus jeunes esprits. Il reste frustré dans son coin quand quelque chose l'enquiquine, et vaut mieux pas lui chercher des poux dans ces moments là.
Avec ses élèves, il est dur, et veut le meilleur d'eux. Mais il ne sera pas méchant pour autant. Il sera simplement dur, sans être malveillant, au contraire. Aedan est quelqu'un avec une carapace de fer, mais que la confiance et la loyauté font rapidement fondre.

• Histoire : Le jour de sa naissance ne fut pas plus formelle que ça. Sa mère mit au monde trois adorables chatons recouverts de sang, le père était absent, et seul le minuscule trou dans la cage lui permettait de voir ses enfants. Elle était fatiguée, amaigris, mais elle tint bon jusqu'à leur première année de vie. Elle dépérit au combat.

Aedan fut alors livré à lui-même. Malgré qu'il soit assez autonome, sa mère avait toujours été sa reine, elle était extrêmement précieuse à ses yeux de chaton. Quand il apprit sa mort, il se referma, passa plusieurs journées seul, au loin. Ses deux soeurs, essayèrent de lui faire remonter la pente, lui apportant un énorme soutient. Mais le jeune mâle se laisse déperir, son corps ne portant plus que ses os et sa peau. C'est les Humains qui le sauvèrent d'une mort prochaine. Lui et ses soeurs furent transférer dans un laboratoire ou chacun fut enfermer dans une cage très étroite. On leurs avaient planter des dixièmes de tuyau un peu partout sur le corps, afin de pouvoir observer chacune de leurs fonctions vitales.

Il y'avait d'étrange lumière jaunâtre dans cette cage, et les grilles avaient été remplacer par des épaisses couches de plexiglace. Le premier fut Aedan, bien évidemment. Malgré le fait qu'il soit complètement décharnés, les Humains l'avaient eu à l'oeil dés qu'il était né. Sa carrure imposante dés les premières semaines de sa vie les avaient impressionner. Ils ne pouvaient pas se permettre de laisser mourir une si belle arme de guerre. Les Humains eurent très peu de mal pour le placer dans la boîte lumineuse. Ils portaient des masques, des gangs, des combinaisons. Aedan était déjà à moitié assomé par le trajet, et il ne tenait pratiquemment plus sur ses pattes. Ses deux soeurs avaient été placés sur le sol, dans une cage commune. Lyia, entièrement blances aux yeux bleux, fut la première à miauler sauvagemment.

- Aedan, Aedan ! Regarde autour de toi ! Ne les laisse pas faire ça ! Ils vont te tuer, tu es trop faible ! Aedan !

Mais le jeune mâle ne réagissait pas. Il releva seulement une babine... Il souriait. Il savait très bien ce qui l'attendait, et cela ne l'effrayait pas plus que ça. Aedan avait toujours d'un sang-froid inimaginable. Sa seconde soeur, écaille de tortue aux yeux vert, murmura contre Lyia :

- Dis-moi qu'il s'en sortira.

Avec un coup de langue affectueux, la jeune blanche la rassura.

"Je te le promet."

Les Humains actionnèrent une manette, puis un petit levier. Un bruit assourdissant retentie et toutes les électrodes placés sur la crâne d'Aedan le firent hurler d'un coup. Les deux soeurs ressentir une telle puissance émaner de cette machine, qu'elles se tapir au sol en signe de soumission. Le jeune mâle se releva d'un coup, étira ses pattes jusqu'à la pointe de ses griffes. Ses poils s'étaient érissés. Les Humains hurlèrent quelque chose, et d'un seul coup, Aedan se mit à flotter. Une auréole bleu l'entourait et son visage semblait si serein qu'on l'eu cru endormit. Il se sentait si léger, tout d'un coup. Il se sentait capable d'affronter toute sa vie, il se sentait tellement bien.

Aedan retomba tranquillement sur le flanc, comme endormit. Les Humains désactivèrent la machine. Avec des gans, ils le portèrent jusqu'à une cage complètement faites de cuivre, avec des barreaux tellement solides que même le héro le puis puissant ne pouvait l'éclater. C'était une mesure de protection supplémentaire pour les Hommes, car avec les mutations, certains spéciment devenait dangereux pour eux. Ils laissèrent le jeune mâle endormit. Et Aedan ne se rendra jamais compte qu'il passera plus de six mois dans cet état là.

Six mois plus tard donc, Aedan se réveilla. Ses yeux s'ouvrirent sur le métal cuivré sombre. La lumière ne traversait pas, il n'y voyait plus clairement, lui semblait-il. Il cligna plusieurs fois des paupières. Lentement. Sans se précipiter, il se demanda ou il était. L'odeur était âcre, et il avait du mal à se faire décoller. Il fallait qu'il se lève, pour voir où il pouvait bien se trouver. Il leva d'abord la tête, tranquillement. Il se sentait encore sur un petit nuage, et il avait peur de tomber.

C'est quand il décida de tourner la tête qu'il sentit les fils. Ils étaient encore posés sur lui, et un liquide incolor et transparent lui coulait dans les veines. Il se lècha les babines. Ni sèche, ni patteuse. C'était de l'eau. Les Humains continuaient de l'hydrater régulièrement. Cela voulait dire que l'un d'entre eux n'allaient pas tarder à revenir, puis que la perfusion était presque vide.

Aedan réfléchit, et la solution lui vint directement. Si il se montrait obéissant, il pourrait sûrement se faire sortir de là. D'un coup, il s'assit, car il n'était pas encore totalement sûr de sa stabilité. Maudit, il ne voyait vraiment pas grand chose, ses yeux lui renvoyaient quelque chose de très flou, qui ressemblait à une porte. Il leva alors les oreilles, et c'est alors qu'il entendit des bruits de pas. Impressionné de sa propre puissance, il écarquilla les yeux. Jamais il n'avait pû entendre si distinctement des pas.

La porte s'ouvrit dans un grincement affreux pour le jeune mâle, qui ne sembla pas retenir l'attention de l'Humain. La lumière s'alluma d'un seul coup, et c'est là qu'Aedan se rendit compte d'où il était. Il se rappelait de l'opération, de ses soeurs dans... Directement, Aedan scruta le coté de la pièce ou ses soeurs avaient mise, mais aucune trace de la caisse en plastique. Il baissa les oreilles, toujours assis, ses pattes vers l'intérieur droit, allongé comme des baguettes. Il entendit l'Humain parler à quelque chose, puis un bruit de métal, et la grille qui se referme.

L'homme passa devant lui, jeta un vif coup d'oeil, puis s'arrêta d'un coup. Il se baissa à hauteur d'yeux d'Aedan. Le chat le fixa droit dans les yeux, les oreilles vers l'arrière. D'un coup, il eu une vision violente, il se sentit sortir de son propre corps. Aedan vit un petit garçon avec un chaton, ils s'amusaient ensemble. Ils avaient l'air d'être très complice. La vision passa rapidement sur une autre. Si vite qu'Aedan faillis s'évanouir. Il résista néanmoins à la sensation de son mal de crâne. Il vit alors une scène plus triste, ou, plus grand, le garçon pleurait sur la table chez le vétérinaire, son chat dans ses bras.

Aedan se pencha rapidement en avant et vomis toute ses tripes sur le sol en cuivre. L'Humain ouvrit rapidement la cage, lui aussi un peu déboussolé. Il posa une main chaude et affectueuse sur le poil du jeune mâle. Celui-çi se retourna vivement, le cherchant des yeux. L'homme, pourtant à quelques centimètres de lui, lui paraissait floue, il distinguait seulement la couleur de ses yeux, et un... masque. Oui, il portait un masque à gaz. L'Homme lui parla en même temps qu'il lui caressait la fourrure. Aedan ne comprenait pas, mais il savait que celui là ne lui voulait pas de mal. Il était sûrement nouveau, et prenait la responsabilité de nourrir les bêtes parce qu'ils les aimaient sincèrement... Aedan secoua la tête pour revenir à la réalité. Il venait de plonger dans un état de pensée profonde. Il releva les yeux vers lui. Alors que la main de l'Homme venait relever son arrière train, Aedan ressentit une douleur si puissante qu'il grogna sourdement. L'Homme sortit sa main a toute vitesse et referma sans plus toucher à l'animal. Il s'en alla.

Aedan, épuisé, se laissa tomber sur le sol en cuivre, et ferma les yeux.

Ce fut seulement un an après qu'Aedan retrouva l'usage de ses pattes arrières, grâce à l'aide d'un immense professeur. Le meilleur de toute les générations confondues, d'après lui. Mais Aedan n'était pas objectif, car son maître avait toujours été son modèle.

Quand on le fit sortir de sa cage pour le mettre avec d'autres chats comme lui, dans une immense sale toute blanche, Aedan n'y voyait plus clairement, et ses pattes ne le supportaient pas. Il était là, assis comme un pantin au milieu des autres chats. Certains émettaient des ultrasons qui l'assomait. D'autres faisaient brûler la queue des autres rien qu'en soufflant dessus. D'autres encore possédaient des aîles, des cornes, un karma étrange autours d'eux. Une... puissance inouit. C'est à cet instant précis qu'Aedan comprit qu'il allait devenir un guerrier, et qu'ils étaient les armes de guerre des Hommes. Loin d'être effrayé par cette perspective, il vit là l'ocassion de pouvoir retrouver ses soeurs, et peut être pouvoir de nouveau être heureux. Si il était le meilleur, alors on le laisserait tranquille, tant on le respecterait.

Il regarda alors un chaton, à ses côtés. Il ressentit toute l'innocence de cet animal. Ce dernier tourna ses yeux bleux vers lui, le fixant intensivement. Aedan plongea comme dans un rêve, parmis plusieurs souvenirs, reliés entre eux par des petites étoiles. Il n'y en avait pas beaucoup, mais tous semblait heureux. Le jeune mâle, ne comprenant pas ce qu'il se passait, continua de flotter parmis les souvenirs. C'est alors qu'il découvrit un endroit bien plus sombre. Il continua son chemin jusqu'à rentrer dans le souvenir. Et il le vécu, comme si c'était lui.

Collé derrière sa mère, il la voyait se faire enfoncer par une voiture, ainsi que sa soeur. Son pelage blanc immaculé de sang, il avait titubé jusqu'au laboratoire, ou des Humains l'avaient pris en main, soigner, puis fais muter. Ce souvenir affreussement douloureux envahis Aedan jusqu'à la pointe de sa queue. Il retomba alors soudainement dans son corps. Le chaton restait toujours là, à le fixer. Ses yeux brulèrent d'une émotion inconnu pour le jeune mâle. Aedan avait la nausée, il se sentait tourner de l'oeil. C'est alors que le chaton se porta le coup fatal à lui même, il s'embrasa d'un coup ; son corps prit feu, et il devint cendre. Eberluée, le jeune mâle se demanda si il était la cause de cette mort. Il se sentit alors partir.

Il se réveilla le surlendemain, déposé dans un coin d'ombre. Il s'assit, et regarda autour de lui. Il faisait bon, le ciel était bleu et le soleil tapait réellement fort sur sa petite tête. C'est alors qu'il remarqua qu'il sentait l'herve sous ses fesses. Il... Les Humains l'avaient de nouveau rendu libre. Le jeune mâle tenta de deviner l'endroit, de distinguer autre chose que des choses vertes et bleu. C'est alors qu'une forme blanche se déplaca vers lui d'un pas décidé. Franchement inquiet, il baissa les oreilles et détourna les yeux afin de ne pas causer plus de dégat.

La forme se déposa alors à ses côtés, avant de se presser affecteusement contre lui. Aedan inspira profondément, et cette odeur si famillial lui fit perdre tout ses moyens. Il se mit à sangloter contre la fourrure blanche de sa soeur. Sa soeur, sa si précieuse soeur. Il tenta de murmurer, de parler, d'évoquer un souvenir, un souhait, mais rien n'y fit. La langue chaude et rappeuse vint caresser le haut du crâne du jeune mâle, et la voix si douce de sa soeur le réconforta immédiatement.

- Je suis là Aedan, ne t'inquiète pas. Eris et moi allons t'aider.

Soulagé, il lui sourit.

Et c'est ainsi que Aedan devint un grand Soldat de la Première ligne. Il s'entraîna dur avec sa soeur, le meilleur maître. Elle était douce, agile, et vicieuse. Elle lui apprit à aller plus vite, à être plus fort tout en restant leger. Elle lui apprit aussi... à maîtriser sa mutation. Si Lyia n'avait pas la même force psychique qu'Aedan, elle possédait cependant la vitesse de l'éclair. Elle ne se déplacait à cette vitesse qu'en entraînement, jamais au dehors. Et chaque fois, Aedan restait impressionner.

Il fut au service des Humains en tant que première ligne pendant plus de 8 ans.

Entre temps, il tomba amoureux, eu une fille, puis une petite-fille. Aujourd'hui toutes disparut avec la bataille. Il aimait ne pas s'en rappeler, faire abstraction de ces pertes. Il avait apprit à vivre dans le monde des vivants, et c'est ainsi qu'il resta au service des Hommes malgré son âge avancé. Il aimait aider les plus talentueux. C'était une deuxième vie pour lui.

• Pseudo le plus souvent utilisé : Ambre
• Âge : 18 ans
• Comment as-tu découvert le forum ? : heu, je sais plus
• Autre chose ? : Désolée si Professeur A semble invinsible ;;
• Je souhaites avoir un parrain/une marraine pour mon premier rp : Nope  

Gobé par une crème brûlée =w=