J'étais partis m'entrainer. Je sautais d'Arbre en arbre de façons plutôt agile. J'aime bien être dans les arbres, je pouvais observer tout ce qui était autour de moi. Je vous vois venir, vous allez me traiter d'écureuil et de tout autre chose. Je m'arrêta pour observer l'environnement qui m'entourait. Les fleurs qui peuplaient auparavant ce champ étalaient leurs mille et une couleurs. Cela n'avait pas changé, mais leur régime alimentaire, lui, avait quelques peu évolué. Si elles continuaient de vivre de la lumière du soleil, la plupart du temps elles n'étaient pas contre un petit extra. De leur mode de vie autotrophe* elles avaient conservé l'habitude de se fermer la nuit et n'étaient donc pas dangereuses à ce moment là.

De jour elles étaient cependant acquis une vivacité qui vous étonnera. Elles n'attendaient pas passivement qu'un insecte tombe dans leurs filets, comme les plantes carnivores d'avant la guerre et les mutations. Elles avaient dorénavant une sorte d'intelligence et se rueraient sur l'imprudent venu voir leurs belles parures. De jour cette zone était donc particulièrement dangereuse. Il était possible de traverser le champ en se faisant très discret ou en se badigeonnant de pollen ou de sève. Avoir l'odeur des végétaux semblait aider à les berner.
Endroit parfait pour ce concocter une belle brochette végétarienne. Je sauta de ma branche, me laissant tombé, m'agrippant à l'écorce au dernier moment, fesant couler un peu de sève. Je m'avança vers une fleur pour la réduire en bouilli quand j'entendit des bruits de pat qui approchait.

Les fleurs étaient jolie, mais je ne m'interessais actuellement qu'à une chose, la délicieuse odeur d'écureuil provenant du centre du sommet d'un arbre, au-dessus des champs. Je commenća a grimper. C'était un jeu de chaton. Mes pattes se collait au tronc lisse sans bruit. C'etait mon pouvoir, des pattes de gekkos. A 5 mois seleument je le maîtrisais a merveille. En me faufilant sur les branches vers la nature de l'odeur, je glissa sur une feuille. À présent, je me trouvais au-dessus du vide, suspendu a la branche par une patte, a 4 mètres du champ de fleur. Si je tombais, je mourerais sur le coup en m'écrasant au sol.

AU SECOURS!!!

Ma patte commença a se décoller.

HRP:

Les bruits de pats continuait d'approcher, puis tout à coup, plus rien, je me dirigea vers la source de l'odeur et entendis un,
-AU SECOURS!!!
Vraiment furtif, je m'approcha encore et là je le vis, un uspris de petit chat accrocher à un feuille, Mais il est con ou quoi?! Il allait tomber dans le vide et tombé là c'était la mort assuré, je soupira longuement et sauta, me transforma pendant mon saut, l'attrapant au chemin, je continua mon chemin avec un chaton sur le dos. Je continua pendant 5 minutes et me posa. Je le déposa par terre et me re-transforma, j'avais de la difficulté à respirer. Je le regarda et lui dis,
-Ça va ptit? Fait plus ça, à moins que tu veuille mourrir jeune.
Je me mit à rire, puis repris un regard sérieux. Je regarda le chaton n'avait pas vraiment d'attribut physique, si on ne comptait pas son pelage. Il était assez menu et grand. Son poil n'était pas très long. Il avait une grosse touffe de "cheveux" sur le front, bleus foncés, comme ses tâches. Ses tâches ? Oui oui voua savez bien entendu. Son pelage était gris sombre, très sombre, presque noir. Il avait cependant des tâches bleues foncés, partout sur le corps sauf sur les jambes. Son museau était blanc. Ses grands yeux étaient ambrés, presque dorés, brillants. Aux pattes de devant, il avait des guêtres, des espèces de chaussettes, violet clair. Ri.di.cu.le je me leva non sans mal et cracha du sang à terre, je m'était transformer trop longtemps. Je retombis, sonné, mais toujours consciente.

-Ça va ptit? Fait plus ça, à moins que tu veuille mourrir jeune.

Son ton m'agaça. Si elle continuait a me donner des leçons c'était elle qui mourerais. Je me retourna et m'aprêta a repartir. De toute manière c'était une adulte, alors elle n'écouterais pas mes explications. Tandis que je commença a avancer pour rentrer, mon instinct me fit me retourner. La vieille femelle crachait... DU SANG ! L'horreur me serra le cœur tandis que je la regardait, complètement terrorisé par cette vision.

Je regarda le chat, il arborait un air terroriser, ce qui me surprenais guère, c'était une réaction normal quand on me voyaient cracher du sang. Je me leva non sans mal et m'assis. Je passa ma patte sur mes babines pour enlever le sang qui était rester.
Je me leva et m'en alla en disant qu chat,
- T'en fait pas moi, je suis plus forte que tu le croit, j'ai l'habitude.
J'agita mes queues créer une sorte de vague. Je sauta sur une branche basse d'un arbre à moitié brûler et manger par les plantes carnivores, les humains et leurs pollutions. Je me balança de branche en branche et m'arrêta pour observer le paysage. Le paysage étais remplis de fleur très belles,mais qu'il ne fallait pas approcher, sinon on risquait de mourrir étouffer ou juste digéré. Je me transforma, grogna. Un grognement digne de la fureur des dieux, faisant trembler la terre et le ciel. Je m'envola vers le QG.

(Comment je repond moi là)

Up ! ♪

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