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Who are you? [Pv. Alceste]

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Anonymous
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   Jeu 23 Juin - 20:56


"Who are you..?"
ft. Alceste




Dites-moi. Connaissez-vous la sensation de se faire broyer la patte très lentement? Moi oui, je l'expérience pour la première fois en ce moment même. C'est ma patte arrière gauche qui me fait défaut. Mais peu importe, il ne faut pas que je m'arrête. C'est pour ça que même avec une entorse ou une jambe cassée je continue à avancer dans cet endroit qui me semblait être l'étang. Une vilaine grimace sur le visage, j'avance. Il commençait à se faire tard mais on est en été, le soleil ne s'est pas encore couché. Mais cette fois-ci il me sera impossible de le voir se coucher car le ciel est couvert d'épais nuages noir. La pluie se prépare et la nuit risque d'être longue. Alors que moi j'avance ridiculement lentement pour rejoindre la Chapelle. Vous vous demandez peut-être comment me suis-je retrouvé dans cet état, ou alors peu vous importe. Quoi qu'il en soit, laissez-moi vous expliquer.

Pour la première fois depuis des mois j'ai eu le courage de remettre les pattes en territoire humain. Mon but était de seulement rentrer dans les égouts, de faire un peu d'exploration puis de repartir. Mais une fois à l'intérieur je me suis fais surprendre par une anormalement grosse horde d'anormalement gros rat. Et j'ai beau ne pas être un couard, sur le coup j'ai pris peur, j'ai fuis à vitesse grand V, littéralement, en une seconde j'étais loin. Mais par contre le freinage ne c'est pas passer comme prévu, la panique à fait que je me suis plus cassé la gueule que d'habitude. Du coup, j'ai abandonné l'idée de retourner passer une petite visite au humain, et je me retrouve à faire marche arrière, le retour au point de départ.

J'espère que mon explication aura été claire, car je ne peux pas faire mieux. Sur ce, je continue mon trajet difficile à travers la Zone en mutation.Un endroit que je sais fréquenté par d'autre chat, et pour ne pas vous mentir, j'aimerais éviter une quelconque rencontre social. Ne pas être quelqu'un de directement sympathique va de pair avec le fait que je ne suis pas d'humeur à cause de ma blessure, ce qui fait que je suis d'autant plus ronchon que d'habitude. Génial, n'est-il pas?

Mes poumons me font mal, ce qui me donnait du mal pour respirer, de plus l'air est humide, ce qui rend la chose encore plus difficile. Puis je senti quelque chose de frais tomber sur mon pelage. Une goutte d'eau. Brr.. J'allais finir trempé! Vous me direz, cela me fera du bien, il commence à faire chaud en ce moment. Mais quelque chose me tilta... Je ne sais pas si c'était l'odeur de la pluie ou juste le fais que j'étais déconcentré... Mais je viens de sentir une présence que je n'avais pas remarqué auparavant...

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Anonymous
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   Ven 24 Juin - 18:17




L’heure était tardive. Pour ce qu’il te paraissait être il y a cinq minutes, la matinée venait juste de tomber. Et toi, tu t'éveillais, lentement. Sans avoir conscience du prix du temps; pour ce qui était des premières secondes. Comme si tu avais encore de nombreuses heures avant de devoir t’inquiéter de rentrer; comme si l’après-midi avait à peine commencé et qu’il te restait d’innombrables minutes pour te décider à revenir vers les tiens. Le trajet vers l’oasis, de plus, était éprouva les faits étant que tu étais d’une alarmante lenteur. Pas que tu t’en souciais, de gâcher ta journée en fastidieux mouvements ; en réalité, tu le faisais souvent; que ce soit à dépenser ta faible énergie en tâches futiles, ou prendre un considérable temps et des moyens conséquents pour une action simpliste. Probablement un raisonnement de gosse, que de penser qu’il n’y avait que l'intention qui comptait; pourtant, tu étais plutôt bien placé pour pouvoir en témoigner le contraire. Mais d’un autre côté; on ne pouvait pas vraiment agir avec ce qu’on avait pas, alors tu continuais d’aller avec la lenteur et la passivité qui était tienne, si commune, et dont tu étais accoutumée depuis tellement de temps qu’il te semblait impossible de la contrer.

Et puis, tes yeux s’ouvrirent complètement. Et tu constatas le reste; il faisait plutôt sombre; et tu sentais à la fraîcheur de l’air, couplé avec une espèce d’étrange et indicible sensation, que beaucoup de temps s’était écoulé. Ah, tu avais l’impression d’avoir reposé tes yeux quelques minutes, et ressentait, en plus de courbatures dans les pattes, une éparse fatigue. Un peu plus que d’habitude. Il était temps de rentrer; certes. Malgré tout, une inquiétude montait en ton être; tu n’aurais jamais le temps. Tu allais devoir te mouvoir, bientôt, dans une épaisse nuit, étouffée par de sombres nuages. Cette idée ne te plaisait pas réellement; en réalité, elle t’effrayait même. Pourtant, tu te devais de rentrer. Une espèce d’idée fixe, en somme, qui n’allait pas quitter ton esprit. C’était quelque chose que tu devais faire. Tu n’aimais pas dormir loin des autres, tu aimais encore moins dormir seul, et dans ce genre de lieux inhospitaliers. Parce que des bestioles dangereuses y rodent déjà le jour, mais que la nuit, c’est un véritable théâtre d’horreurs qui pouvaient défiler. Alors tu aurais préféré ne rien risquer. Mais peut-être que c’était mieux de ne pas bouger. Et puis tu te rendis compte que, lorsque tu dormais, tu brillais. C’était, tu pensais, le pire moyen de tenter un tant soit peu de se cacher de prédateurs, et de tenter de masquer le fait que tu étais complètement inoffensif et endormi. Rester ici, ce n’était pas une option.

Tu commençais à t’inquiéter du moindre bruit. Lentement, tu te posa sur tes pattes. Où en étais-tu, déjà? Peut-être serait-il utile de prendre conscience d’où tu te trouvais. Tu levai les yeux; et sentis une goutte d’eau te tomber sur le museau. Arf, ça n’allait pas arranger les choses. Tu te mis à briller, pour une des rares fois intentionnellement, et fit quelques pas. Tu voyais, à ce que tu pensais, que tu te trouvais à l’Etang. Tes souvenirs étaient lointains, et tu n’en étais pas réellement sûr; tu n’étais pas vraiment au bord de la rive. Ah, peut-être avais-tu tenté cela, dans la matinée. Tu étais vraiment loin de l’oasis. Ç’aurait pu être pire, ceci dit. Tu cessa de briller, prenant conscience que quelque prédateur que ce fut aurait pu te trouver assez rapidement. Tu tentas de situer mentalement la bonne direction; et, sans surprise, ce fut une tâche ardue. Tu soupiras. Ce n’était vraiment pas le moment de douter, Alceste. Tu sentis d’autres gouttes, plutôt fines. Et un problème de plus. Il fallait vraiment se hâter, tu n’aimerais pas croiser un mauvais personnage. Un soldat errant la nuit, était-ce si rare que cela? Tu cessa un instant d’être faussement paranoïaque, pour rentrer dans une réelle peur. Tu sentais quelqu’un. Sur tes gardes, tu te mis à faiblement briller. Tu n’étais pas rassuré, vraiment pas.

« Hum… Il y a quelqu’un? »

Tu dis cela d’une voix endormie; pas spécialement tremblante, ou transpirant d’autres émotions que la fatigue. Ce n’était pas la meilleure chose à faire. Mais tu préférais tenter cela, obtenir une réponse; plutôt que, s’il y avait réellement quelqu’un et que cette même personne voulait signifier sa présence, s’approche doucement derrière toi. Tu aurais probablement un arrêt cardiaque assez notable.

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Anonymous
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   Mar 28 Juin - 14:00


Who are you?
ft. Alceste





« Hum… Il y a quelqu’un? »

Une voix se fit entendre non loin de moi. Elle avait l'air un peu effrayée. C'était bel et bien un chat, présent non loin. En plissant un peu les yeux je pu voir la silhouette du chat en question, obscurcit dans la nuit. Le peu de lumière qu'il y avait ne me permettais pas de voir grand chose, mais une chose était sûr, il était très près. Et il me tournait le dos. Tout aurait pu être parfait si je n'avais pas été blessé. Si cela n'avait pas été le cas j'aurais pu passer tranquillement derrière lui sans un bruit. J'allais quand même tenter le tout pour le tout, en essayant de faire le moins de bruit possible. Je me mit alors à avancer doucement, mes pattes effleuraient à peine le sol. Tout ce passait bien jusque là. Mais le faux pas qu'il ne fallait pas commettre arriva avec la grâce d'un éléphant conduisant un camion benne. Pour faire simple: Je me suis ramassé par terre avec le plus gros boucan jamais entendu. Comment se faisait-il que les bruits la nuit, soit entendu dix fois plus fort que le jour?!

Bon… Sur le coup, la discrétion c'est foiré. Et dans ma chute, ma jambe blessé en avait pris un coup. Des petits cris de douleurs sortait de ma gueule alors que j'essayais de les retenir en vain. Je n'avais pas du tout envie que l'on me voit dans cet état. J’ignorai d'abord l'autre chat, essayant de me relever. Et puis dans un murmure à moi même, je répondis à sa question.

« Bien sûr qu'il y a quelqu'un abrutis...»

Réponse que j'aurais préféré garder pour moi même mais qui est sortie toute seule. Je ne savais pas si l'autre matou l'avais entendu, mais peu m'importe. Les essaies à me relever étaient vain, ma patte me faisait bien trop mal, j'avais du aggravé la blessure. Une vilaine grimace était présente sur mon visage, traduisant très bien mes pensés. Pensés qui se résumer à: ''Putain de sa mère, ça fais mal.'' en parlant un peu crémant. Puis je lançai un regard pas très commode à l'autre chat, juste pour voir ce qu'il faisait.

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Anonymous
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   Mar 28 Juin - 22:04




Un silence fut tout ce qui t’attendait. Un silence doucereusement mauvais; tu n’aimais pas vraiment cela. Tous tes sens étaient amplifiés par une espèce de peur, grandissante et bondissante dans les recoins de ton cerveau, à chaque seconde qui passait, s’allongeait paisiblement, t’effrayant avec des bruits peu familiers. Ce n’était pas une situation très aisée; néanmoins, tu te devais de cesser de t’inquiéter. Relativiser était une chose que tu savais faire. Il n’y avait rien. Et plus les secondes, certes courtes, passaient avec une vitesse douteuse, plus ton esprit se calmait, grâce à ta nature -certes émotive- mais plutôt changeante. Aucune raison de paniquer. Ah, les termes n’étaient pas exactes. Il y avait bien quelqu’un; même sous l’odeur acre de la pluie tu le distinguais, néanmoins, tu ne pouvais rester d’une timorée prudence. La bestiole avait du s’éloigner. Tu n’étais plus vraiment concentré sur les odeurs. Probablement parce qu’une affreuse cataplexie, malgré ce que tu pensais de tes émotions, avait commencé à annihiler l’usage de ta truffe pendant quelques temps. C’est vrai que tu ne sentais rien. Et savoir que les mécanismes de ton corps, malgré tous tes efforts mentaux, commençaient à montrer des signaux d’abandon, te fit douter. Et puis quelque chose cessa définitivement cette espèce de comédie mentale, tellement risible pour quiconque la voyant de l’extérieur.

Un bruit qui ne pouvait être ignoré. Immédiatement, tu te tournas vers la source de celui-ci, sentant ton cœur s’affoler. Doucement. Ce n’était qu’un chat. Cette pensée ne te rassurait pas. Il n’avait pas l’air dangereux. Probablement parce qu’il était entrain de retenir, pour une sorte de fierté sordide, des cris de douleur. Pas que tu méprisais spécialement ce genre de comportement, mais ça avait quelque chose de dérisoire à tes yeux. Il te fallait identifier cependant le danger. Tu restais en alerte. Parce qu’être un idiot impulsif ne servait à rien. Tes yeux se fermaient, lentement. Tu secouas la tête; inconcevable que tu t’endorme à cet instant précis. Tu tenta de divertir ton esprit et de te concentrer sur le chat tombé. Il tenta de se relever, mais échoua. Tu le pris en pitié; ou peut-être serais-ce ce que tu essaierait de faire, si tu n’avais pas entendu des mots incongrus sortir de sa bouche. Tu avais remarqué. Mais d’un autre côté, tu ne lui en tint pas rigueur. Quoi que tu détestais la violence et l’impolitesse, non seulement tu n’aimais pas imposer tes avis à des étrangers, mais il semblait également étrangement intimidant; et qui plus est, blessé. Alors tu ne pouvais pas vraiment dire si c’était dérangeant, de te faire insulter intellectuellement par un personnage clairement en mauvais état. Tu ne savais pas vraiment. Enfin, tu allais probablement te montrer amical. Essayer que cette rencontre ne tourne pas trop mal. Même si tu ne distinguais pas grandement le chat dans l’obscurité, tu te disais qu’il n’avait rien de malsain à son égard, et qu’il méritait probablement autant de douceur que faire se peut.

Et puis tu t’étais approché, en brillant plus intensément dans l’obscurité plongeante de la nuit. Pour voir où tu posais les pattes, et distinguer la masse tombée non loin. Il ne parvenait pas, malgré quelques essais, à se relever. A ta propre lumière, tu distinguas son petit corps. Légèrement plus petit que toi. Mais si tu étais frêle, affreusement frêle, avec simplement un pelage bouffant; lui était d’une musculature nette, et semblait pouvoir t’écraser d’un seul coup de patte. Arf, tu n’aimais pas ça non plus. Il t’intimidait; et cela ne s’arrangea pas lorsqu’il se décida à te regarder avec un air mauvais. Ses yeux jaunes, intenses, ne croisèrent pas longtemps les tiens, d’un rouge terne, et lourds de cernes. Tu détournas les yeux le premier, supposant que, s’il avait trop d’ego pour s’autoriser à afficher bruyamment sa douleur, il en aurait bien trop pour refuser de tenir tête à un chat aussi faiblard que toi. Tu ne savais pas vraiment quoi dire. Pas vraiment comment réagir. Il te mettait mal à l’aise. Tu reposa tes yeux sur lui, cherchant une trace visible de sa blessure, s’il en avait une visible. Tu étais bien placé pour savoir que la douleur ne provient pas toujours d’un endroit physique visible. Mais, c’était probablement parce que tu étais trop loin, tu ne parvenais pas à la distinguer. Tu supposas une patte, puisqu’il avait du mal à se lever. Un instant, tu soulevas faiblement la patte; avec ton côté tactile tu avais presque eut besoin d’effleurer son corps pour lui demander où étais sa blessure. Mais tu t’étais ravisé; aucune chance qu’un matou comme ça te laisse avoir le moindre contact. Ou peut-être que tu étais juste rude et le jugeait trop aisément. Ouais, quelque chose dans le genre.

« Je, hum.. »

Tu n’étais pas vraiment timide, et tu le savais. Ce n’était pas compliqué de sortir quelques mots. Mais il y avait ces personnes, qui te faisaient perdre tout ton vocabulaire. Et c’était très ennuyant. Tes yeux se fermaient un peu plus. Néanmoins, avec son regard braqué sur toi, tu ne pouvais pas te résoudre à t’endormir. Tu résistas, avec mal, mais tu résistas. Arf, whatever. Tu lui tendis la patte pour l’aider, quoi que tu doutais qu’il la saisisse, brillant un peu plus de par ta panique montante.

« Je suis Alceste. Hum, si vous avez besoin d’aide pour vous lever… Ou pour quoi que ce soit d’autre. Je veux dire… Si je peux aider. Si je peux aider, je le ferais. »

Pas que tu avais envie de te faire marcher dessus tout de même, mais tu te sentais d’une humeur étrangement soumise.


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Anonymous
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   Ven 15 Juil - 21:25


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